mackiavelik 230 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 L'Espagne interdit désormais l'avortement sauf dans deux cas très précis : en cas de viol, ou en cas de danger grave pour la santé physique ou mentale de la femme. Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 L'espagne faisant partie de l'Europe...les avortements auront lieu en France...remboursés par la secu espagnole en raison des accords intra européens ...et grace à un certificat medical de complaisance invoquant un danger physique... Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 Dans les régions frontalières, les chutes d'Espagnoles dans les escaliers ayant entraînées des fausses couches vont augmenter en flèche...... Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 a n y rien comprendre! ils ont permis le mariage homo avant la france et ils reviennent sur l avortement la crise et c est le retour aux valeurs morales tradi Citer Link to post Share on other sites
Jonquille 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 Il n'y a que les vieilles biques pour revenir sur cette loi .... Il est certain que de voir toutes ces personnes non concernées par l'enfantement qui veulent absolument se mêler des affaires des femmes en âge d'avoir des enfants, cela fout les boules.:mad: J'espère que cette loi ne sera pas votée! Je viens de voir l'article sur Avortement : le droit des femmes se prend une grande claque en Espagne - Le nouvel Observateur En Espagne, le Conseil des ministres a approuvé (après cinq tentatives ratées) ce vendredi la réforme de la loi sur l’avortement. Le nouveau texte s’appellera « loi organique de protection de la vie de la personne conçue et des droits de la femme enceinte ». Si le texte est adopté par le parlement, il s’agira d’un extraordinaire retour en arrière de 30 ans. La grossesse ne pourra être interrompue volontairement que dans deux cas : si elle présente un grave danger pour la santé physique et psychique de la mère constaté par (le délai est de 22 semaines) ou si elle est le fruit d’un viol (il faut qu’il fasse l’objet d’une plainte et le délai est alors de 12 semaines) Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement. « Il n’y a pas de première ou seconde catégorie », selon le gouvernement. La loi autorise en revanche l’objection de conscience pour les médecins du secteur public qui refuseraient de pratiquer l’intervention pour des raisons idéologiques. Les mineures de 16 et 17 ans n’auront plus la possibilité de passer outre la volonté parentale et devront avoir leur accord pour demander une interruption de grossesse. Un retour en arrière de 30 ans L’avortement ne sera donc plus un droit de la femme mais un « délit régulé ». Cette régression était une promesse électorale du gouvernement conservateur du premier ministre Mariano Rajoy. Jusqu’à présent, une femme en Espagne pouvait demander l’interruption de sa grossesse jusqu’à quatorze semaines sans avoir à justifier sa décision. « La vie de l’enfant à venir [“el concebido”, le conçu, ndlr] et pas encore né représente une valeur fondamentale, » a expliqué le ministre de la Justice Alberto Ruiz-Gallardon. « Et l’Etat est obligé de la défendre. » Pour lui, ce projet de loi permet de rééquilibrer les droits de la femme et ceux de l’enfant à venir. Les mouvements de gauche et féministes se préparent à une mobilisation exceptionnelle avant le débat devant le parlement pu le parti populaire au pouvoir détient la majorité absolue. Si elle est votée, la loi « la plus restrictive depuis le retour de la démocratie “selon El Pais, renverra l’Espagne 30 ans en arrière. Dans une déclaration qui enflamme déjà les progressistes espagnols, le ministre de la Justice a dit : ‘La femme n’est jamais coupable, la femme est toujours victime.’ Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted December 20, 2013 Author Partager Posted December 20, 2013 J'espère que cette loi ne sera pas votée! Le projet de loi a été approuvé par le gouvernement. C'est un choix populaire du peuple espagnol. Citer Link to post Share on other sites
Jonquille 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 Le fait que le fœtus soit atteint d’une malformation grave ne sera plus un motif d’avortement. « Il n’y a pas de première ou seconde catégorie », selon le gouvernement. Il ne reste plus qu'à savoir si ce gouvernement aidera les parents dans la prise en charge de leurs enfants déficients. Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted December 20, 2013 Author Partager Posted December 20, 2013 Il ne reste plus qu'à savoir si ce gouvernement aidera les parents dans la prise en charge de leurs enfants déficients. Avorter un enfant parce qu'il est atteint d'un malformation, c'est comme l'avorter parce qu,il est une fille et pas un garcon et vice versa. Juste le fait d'y penser, c'est gravissime. Citer Link to post Share on other sites
Guest OsiriaS Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 L'Espagne interdit désormais l'avortement sauf dans deux cas très précis : en cas de viol, ou en cas de danger grave pour la santé physique ou mentale de la femme. Pourquoi tu ments !!!!!! :mad: L'Espagne l'a interdite uniquement à partir d'un nombre précis de semaines. Citer Link to post Share on other sites
Jonquille 10 Posted December 20, 2013 Partager Posted December 20, 2013 Avorter un enfant parce qu'il est atteint d'un malformation, c'est comme l'avorter parce qu,il est une fille et pas un garcon et vice versa. Juste le fait d'y penser, c'est gravissime. C'est vrai que mal encadré ca peut amener à l'eugénisme. La malformation dont il est question ici est d'ordre vitale il me semble. Citer Link to post Share on other sites
mackiavelik 230 Posted December 20, 2013 Author Partager Posted December 20, 2013 Pourquoi tu ments !!!!!! :mad: L'Espagne l'a interdite uniquement à partir d'un nombre précis de semaines. Bonsoir Osi, moi aussi je t'aime. Yakhi , tu sais lire?! Ca va passer, le parti au pouvoir est majoritaire. L'Espagne limite fortement l'avortement Un projet de loi limitant fortement l'avortement a été approuvé vendredi par le gouvernement espagnol conservateur de Mariano Rajoy. La gauche et les associations féministes dénoncent un « retour en arrière de 30 ans ». La réforme revient au système de 1985 et prévoit une autorisation d'avortement que dans deux cas très précis : en cas de viol, ou en cas de danger grave pour la santé physique ou mentale de la femme. En cas de viol, la femme devrait avoir précédemment déposé une plainte. Les mineures devront par ailleurs avoir une autorisation parentale pour avorter. Le texte annule la loi de 2010 qui autorise l'avortement jusqu'à 14 semaines, sinon jusqu'à 22 semaines en cas de malformation du fœtus, une des réformes phares du gouvernement socialiste précédent. Le nouveau projet porté par le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardon, a de bonnes chances d'être ensuite voté au parlement, où le Parti populaire au pouvoir dispose de la majorité absolue depuis les élections de novembre 2011. Les associations féministes et de gauche déplorent un « retour en arrière de 30 ans » et appellent déjà à la mobilisation. Le président de la Fédération de la planification familiale, Luis Enrique Sanchez, a affirmé jeudi que la future loi pourrait signifier « un retour en arrière à la situation des années 1980, avec des femmes espagnoles qui vont en France ou en Angleterre » pour avorter lorsqu'elles en ont les moyens. L'avortement est aujourd'hui autorisé dans la presque totalité des pays d'Europe. Citer Link to post Share on other sites
Guest OsiriaS Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 :eek: koule wallah !!! :eek: Non je ne sais pas lire, je lis sur les lèvres bark. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 L'Espagne interdit désormais l'avortement sauf dans deux cas très précis : en cas de viol, ou en cas de danger grave pour la santé physique ou mentale de la femme. Mieux vaut lire le contexte...et les situations: El Gobierno aprobó este viernes la ley del aborto más restrictiva de la democracia, a la que pondrá nombre Alberto Ruiz-Gallardón, ministro de Justicia. Interrumpir el embarazo dejará de ser un derecho de la mujer en las primeras 14 semanas —un derecho que existe solo desde 2010— y volverá a ser un delito despenalizado en ciertos supuestos, como lo era con la Ley de 1985. Pero esos supuestos se reducen, y la posibilidad de la mujer de acogerse a ellos se restringe. Solo habrá dos: violación y “grave peligro para la vida o la salud física o psíquica” de la mujer. Serán, de nuevo, los médicos —con requisitos más estrictos que en 1985 y un procedimiento más largo— los que decidirán si ese peligro existe. La presencia de malformaciones fetales gravísimas no será motivo de aborto, aunque sí lo será el efecto psicológico que eso tenga en la embarazada. La nueva normativa se llamará Ley de Protección de la Vida del Concebido y de los Derechos de la Mujer Embarazada, por ese orden; Gallardón aseguró que se ha hecho para proteger “a los más débiles: los concebidos y no nacidos”, pero “siempre en interés de la mujer” y respetando asimismo sus derechos. Según el ministro, la ley vigente, aprobada por el PSOE en 2010, vulnera el “equilibrio” en la protección de los derechos del feto y de la mujer que impuso el Tribunal Constitucional en su sentencia de 1985, porque “desprotege” al nasciturus en las primeras 14 semanas de embarazo (en ese plazo se puede abortar sin alegar motivo). La Ley de 2010 está recurrida por el PP ante el Constitucional, pero este aún no ha dictaminado; Gallardón dijo que el Gobierno no necesita esperar a conocer esa sentencia porque está convencido de que esa ley es inconstitucional. más información Soledad Puértolas: “La ultraderecha y el nacionalcatolicismo han ganado la batalla” El aborto fuera de la ley será un delito sin sanción para las gestantes Todos los médicos podrán objetar Rajoy tomó la decisión final tras meses de debate interno y tensión en el PP El PSOE calificó la futura norma de “vergüenza” y auguró que producirá muertes por abortos realizados en la clandestinidad. Otros grupos de oposición, como IU, UPyD, ERC y PNV se manifestaron también frontalmente en contra. La Asociación de Clínicas Autorizadas para la Interrupción del embarazo (ACAI) —a las que el anteproyecto de ley resta funciones y cuyos servicios prohíbe publicitar— afirmó en un comunicado que la ley hará “prácticamente imposible” abortar en España. En el año 2011, último con datos oficiales, se produjeron 118.359 abortos; el 90%, antes de la semana 14 de embarazo. El anteproyecto debe ser sometido ahora a diversos informes y después al debate parlamentario, por lo que no entrará en vigor hasta dentro de aproximadamente un año. » La malformación fetal no será motivo de aborto. El anteproyecto de ley señala que el aborto es un delito salvo en dos supuestos: que el embarazo sea fruto de una violación (alegable en las primeras 12 semanas) y que genere un “grave peligro para la vida o la salud psíquica de la embarazada” (alegable en las primeras 22 semanas). Desaparece, por tanto, el supuesto de malformación, enfermedad incurable o anomalía fetal incompatible con la vida, que con una u otra formulación ha existido durante tres décadas. Que el feto tenga un problema de salud, por muy grave que este sea y aunque vaya a producirle la muerte nada más nacer, ya no será en sí mismo un motivo legal para abortar. Gallardón, que anunció la supresión de ese supuesto hace año y medio, fue modulando su propuesta en los meses siguientes —ante la enorme polémica generada— y, el pasado mayo, en el Senado, hizo una distinción: entre las malformaciones fetales muy graves —“que naturalmente la legislación contemplará como ha contemplado siempre”, dijo— y las “discapacidades” del feto, que quedarían fuera de la ley para no “discriminar” a los discapacitados. Finalmente ha renunciado a esa distinción: todas las malformaciones y enfermedades quedan fuera de los supuestos legales de aborto. “No hay embriones de primera y de segunda, como no hay personas de primera y de segunda”, argumentó. La autorización la firmarán dos médicos ajenos a la clínica que haga el aborto » El “coladero” del daño psicológico, pero con más obstáculos. Que la malformación fetal desaparezca como supuesto no quiere decir que ninguna mujer embarazada de un feto con problemas de salud vaya a poder abortar: podrá hacerlo, si demuestra que eso supone un “grave peligro” para su salud psíquica, porque será eso lo que tendrá que alegar. El Gobierno recupera el supuesto de daño psicológico para la embarazada de la ley de 1985, al que se acogía entonces la inmensa mayoría de las mujeres y que el PP y las asociaciones antiabortistas tachaban de “coladero”. Lo recupera pero con un procedimiento más exigente, más complicado y más largo. » Un informe de dos médicos y ajenos a la clínica. El “grave peligro” para la salud psíquica de la mujer —o para la física, si es eso lo que la embarazada alega— tendrá que quedar acreditado en un informe firmado por dos médicos (ahora es solo uno). Esos dos profesionales no podrán ser los mismos que vayan a practicar el aborto —igual que sucede con la ley actual— pero tampoco podrán, y esta es la novedad, trabajar en el mismo centro en el que se practique el aborto. En la actualidad, el 97% de las interrupciones voluntarias del embarazo se produce en clínicas privadas, y son médicos de esas mismas clínicas los que elaboran los dictámenes médicos cuando son necesarios. También se hacía así con la ley de 1985. Ahora el PP rompe ese vínculo, para garantizar la “imparcialidad” de los informes médicos. La mujer podrá elegir qué dos médicos —de la sanidad pública o de otra clínica privada diferente a la que vaya a practicar el aborto— firman su dictamen. Si la embarazada alega que el peligro para su salud psíquica es producto de que el feto padece una anomalía incompatible con la vida, tendrá que haber dos informes: uno de un especialista que acredite que la anomalía existe y otro del psicólogo o psiquiatra que dictamine si eso le genera a la mujer un daño psíquico. A partir de la semana 22, el daño psíquico ya solo puede alegarse si es por anomalías del feto incompatibles con la vida (ahora es igual). Además, los médicos que firmen el informe en cualquier supuesto de riesgo para la salud psíquica tendrán que establecer que el conflicto entre la protección del feto y la de la mujer no puede resolverse, “desde el ámbito médico, de ninguna otra forma”. Y solo se entenderá que hay daño psíquico cuando, según su criterio, el embarazo produzca un “menoscabo importante” y “con permanencia en el tiempo” para la mujer. El Ministerio de Justicia afirma que así es como el Tribunal Constitucional describió en 1985 el riesgo para la salud psíquica. La embarazada podrá decidir qué facultativos realizan el informe » Información a la embarazada: verbal y con siete días de reflexión. En la actualidad, la mujer que decide abortar recibe de los médicos un sobre con información sobre alternativas, ayudas a la maternidad y riesgos de la intervención, y tiene que reflexionar sobre ello durante tres días antes de abortar. Ese plazo se amplía ahora a siete días, y la información —que no incluirá fotos de ecografías, según confirmó Gallardón— tendrá que darse en persona por parte de los trabajadores de los servicios sociales públicos. Fuentes de Justicia sostienen que no hay riesgo de que eso genere retrasos en todo el procedimiento y acabe aumentando los casos de abortos tardíos. “Se potenciarán los servicios sociales para que eso no suceda”, confían. » Las menores, con permiso paterno. Las chicas de 16 y 17 años volverán a requerir el permiso de sus padres para abortar (como sucedía antes de 2010). En caso de conflicto familiar grave, un juez decidirá —en 15 días— a quién da la razón, si a la joven o a sus padres; en principio, primará la opinión de la embarazada. » Derecho a la objeción de conciencia generalizado. Todos los profesionales sanitarios que participen, colaboren o cuyo trabajo sea necesario para realizar un aborto —desde el administrativo al celador o al que dispone los instrumentos en el quirófano— podrán acogerse a la objeción de conciencia. Con la ley actual solo pueden hacerlo los médicos que practican el aborto. »Un delito sin castigo para la mujer. Los abortos realizados fuera de los supuestos legales serán delito, pero solo habrá castigo para el médico (hasta tres años de cárcel y hasta seis de inhabilitación, como ahora). La mujer no tendrá reproche penal. Gallardón se felicitó de esa novedad y lo justificó en que la mujer es una “víctima” del aborto, un argumento que algunas asociaciones de mujeres tacharon de “paternalista Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 En général, et selon ce qui est dit: 1. L´avortement est interdit que dans certains cas, l´avortement sera illégal mais sans que la femme ne soit...pénalisée, seul le medecin qui le réalise le sera 2. Pour les mineures, il le sera avec autorisation 3. Pas d´avortement á cause de mal formation de foetus 4. Il faudra un rapport de deux medecins externes á l´organisme oú se réalise l´avortement pour le confirmer 5. L´avortement sera acceptable jusqu´á 22 semaines de grossesse, au delá cela sera interdit Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Et oui....cela sert á ca de connaitre les langues....:p De pouvoir soi meme lire et de plusieurs sources....espagnoles (Amateurs toujours dans le traitement de l´information:confused:) Ps: Drole de commentaires de la presse Latino sur cela :p:p Citer Link to post Share on other sites
Jonquille 10 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Cette loi est d'autant plus stupide que les espagnoles n'auront qu'à voyager quelques heures pour aller au Portugal ou en France, où elles n'auront aucun mal à trouver des cliniques qui feront l'intervention. Et c'est encore les plus pauvres qui trinqueront. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Le projet de loi a été approuvé par le gouvernement. C'est un choix populaire du peuple espagnol. Les peuples ont des valeurs et repères qu'ils expriment lorsqu'on les consulte . Pour une fois que les élites judéo-maçonniques n'ont pas imposé leurs choix et options on ne peut qu'en être agréablement surpris . Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 73 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 même dans ses pays rien n'est garantie un jour ils vont devoir se rendre compte sur quel chemin vont les choses .. c'est pas les chiens et les chats de compagnies qui vont faire en sorte que la natalité puisse continuer a exister ou donner le fruit escompter bien sur sans parler du reste des phénomènes qui ne cesse de prendre place dans ses société .. je me demande ce qu'il en sera pour la france par exemple si pour une quelconque raison le flux des migrants surtout ceux de "haut" niveau venait a s’arrêter sur plusieurs décennie .. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 même dans ses pays rien n'est garantie un jour ils vont devoir se rendre compte sur quel chemin vont les choses .. c'est pas les chiens et les chats de compagnies qui vont faire en sorte que la natalité puisse continuer a exister ou donner le fruit escompter bien sur sans parler du reste des phénomènes qui ne cesse de prendre place dans ses société .. je me demande ce qu'il en sera pour la france par exemple si pour une quelconque raison le flux des migrants surtout ceux de "haut" niveau venait a s’arrêter sur plusieurs décennie .. Bien que ca aie un habit moral....cette loi est comme un ordre á enfanter car....ce pays se vide....et les natalités baissent énormément (Avortements, Pillules, et Crise économique) Tout cela fera que dans quelques années le systemes de retraites ne pourra etre maintenu. Il faut un minimum de jeunes travailleurs, pour que les vieux ex-travailleurs puissent apprécier le fruit de leur vies.:p Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Les peuples ont des valeurs et repères qu'ils expriment lorsqu'on les consulte . Pour une fois que les élites judéo-maçonniques n'ont pas imposé leurs choix et options on ne peut qu'en être agréablement surpris . El ghabawa.....tetba3 battel apprement pour toi:) Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Bien que ca aie un habit moral....cette loi est comme un ordre á enfanter car....ce pays se vide....et les natalités baissent énormément (Avortements, Pillules, et Crise économique) Tout cela fera que dans quelques années le systemes de retraites ne pourra etre maintenu. Il faut un minimum de jeunes travailleurs, pour que les vieux ex-travailleurs puissent apprécier le fruit de leur vies.:p ah tu crois que c est pour ca? j ai l impression aussi que lorsqu il y a crise, les gens reviennent a des valeurs tradi, a une morale plus stricte, un peu comme pour retrouver des reperes forts, avoir l impression d etre de nouveau dans le controle Citer Link to post Share on other sites
Thouraya 10 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 ah tu crois que c est pour ca? j ai l impression aussi que lorsqu il y a crise, les gens reviennent a des valeurs tradi, a une morale plus stricte, un peu comme pour retrouver des reperes forts, avoir l impression d etre de nouveau dans le controle Ça c'est sûr... l'Europe se cherche son identité... y compris en allant voir dans les partis peu ragoûtants. L'extrême droite grecque séduit comme jamais au moment où le pays s'effondre, ça ne doit pas être une coïncidence. Mais je pense que l'explication de Nimos est peut être la première raison, et ça doit être pour ça que le gouvernement soutient cette loi. D'autant que je ne suis pas sûre que la population espagnole soit en majorité opposée à l'avortement, donc j'ai du mal à la voir comme une loi populiste. Comme tu l'avais souligné, ils ont autorisé le mariage gay bien avant la France, et ce alors même qu'on les dit très catholiques. Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Tant que les gays pourront avorter tout va bien Citer Link to post Share on other sites
moa1974 10 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Ça c'est sûr... l'Europe se cherche son identité... y compris en allant voir dans les partis peu ragoûtants. L'extrême droite grecque séduit comme jamais au moment où le pays s'effondre, ça ne doit pas être une coïncidence. Mais je pense que l'explication de Nimos est peut être la première raison, et ça doit être pour ça que le gouvernement soutient cette loi. D'autant que je ne suis pas sûre que la population espagnole soit en majorité opposée à l'avortement, donc j'ai du mal à la voir comme une loi populiste. Comme tu l'avais souligné, ils ont autorisé le mariage gay bien avant la France, et ce alors même qu'on les dit très catholiques. c est inquietant tout de meme, ce retour en arriere, dans des pays si proches de la France (culturellement, meme si l Espagne est plus catho) Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 73 Posted December 21, 2013 Partager Posted December 21, 2013 Bien que ca aie un habit moral....cette loi est comme un ordre á enfanter car....ce pays se vide....et les natalités baissent énormément (Avortements, Pillules, et Crise économique) Tout cela fera que dans quelques années le systemes de retraites ne pourra etre maintenu. Il faut un minimum de jeunes travailleurs, pour que les vieux ex-travailleurs puissent apprécier le fruit de leur vies.:p pas forcement contrairement a d'autre je sais le mettre de coté et utiliser la même logique de mes interlocuteurs .. maintenant si leur yeux reste rivé vers celui ci je n y peux rien il ne m’appartient pas réellement certains l'adopte avec le temps d'autre le lâche en court et d'autre y reviennent après un long périple .. pour revenir au sujet il ne s'agit pas seulement de cela ca va encore plus loin ca revêt même un caractère stratégique ca y va même de l’existence de ses propre pays ne serait ce que par rapport a la configuration qu'ils ont actuellement .. la natalité chez les "masse" immigrante qu'elle soit l'ancienne ou actuel ne cesse de s'accroitre tout le contraire des "originaux" je te laisse imaginer ce qu'il en sera dans quelques décennie et s'ils s y prennent dès maintenant c'est que ca sera trop tard après si ce n'est déjà le cas .. car déjà le noyaux en lui même ( la famille .. ) n'est plus ce qu'il était auparavant ect ... Citer Link to post Share on other sites
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