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Algérie : le taux de chômage tombe à 9,8%


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Le taux de chômage en Algérie a connu une baisse à 9,8% en septembre 2013. Bémol important, le chômage des jeunes reste toujours aussi élevé, il touche plus d’un Algérien de moins de 35 ans sur cinq.

 

Selon l’enquête annuelle de l’Office national des statistiques (ONS), le taux de chômage en Algérie s’est élevé à 9,8% en septembre 2013, soit 78 000 chômeurs de moins qu’à la même période en 2012.

Selon l’Agence de presse nationale algérienne (APS) qui rapporte l’information, cette situation du marché du travail « se caractérise essentiellement par une augmentation en volume de la population occupée du moment, soit un différentiel de 618 000 occupés par rapport à la même période en 2012. »

 

Chômage des jeunes

 

Toutefois, les progrès réalisés sur le front de l’emploi en Algérie ne concernent pas toutes les catégories de population. À l’image de ses voisins d’Afrique du Nord, le pays reste frappé par un niveau de chômage des jeunes très élevé. Selon les données du Fonds monétaire International (FMI), il touche 21,5% des Algériens de moins de 35 ans.

 

Par ailleurs, et comme le souligne la mission conduite par le FMI dans le pays en octobre dernier, si « les résultats économiques en 2013 ont été satisfaisants », avec notamment une inflation ramenée à 4,5 %, « la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel devrait s’établir à 2,7 % en 2013, contre 3,3 % en 2012″, en raison notamment de la baisse continue de l’activité dans le secteur hydrocarbure.

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Guest mounir 73
ce chiffre est loin de la réalité à moins que vendre du tabac, de la drogue ou la prostitution soient considérés comme des fonctions à part entière !

 

loukan dh'les chiffres i'guessetchayen m'dane thili atass ayagui i'nerwa ..

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Le taux de chômage en Algérie a connu une baisse à 9,8% en septembre 2013. Bémol important, le chômage des jeunes reste toujours aussi élevé, il touche plus d’un Algérien de moins de 35 ans sur cinq.

 

Selon l’enquête annuelle de l’Office national des statistiques (ONS), le taux de chômage en Algérie s’est élevé à 9,8% en septembre 2013, soit 78 000 chômeurs de moins qu’à la même période en 2012.

Selon l’Agence de presse nationale algérienne (APS) qui rapporte l’information, cette situation du marché du travail « se caractérise essentiellement par une augmentation en volume de la population occupée du moment, soit un différentiel de 618 000 occupés par rapport à la même période en 2012. »

 

Chômage des jeunes

 

Toutefois, les progrès réalisés sur le front de l’emploi en Algérie ne concernent pas toutes les catégories de population. À l’image de ses voisins d’Afrique du Nord, le pays reste frappé par un niveau de chômage des jeunes très élevé. Selon les données du Fonds monétaire International (FMI), il touche 21,5% des Algériens de moins de 35 ans.

 

Par ailleurs, et comme le souligne la mission conduite par le FMI dans le pays en octobre dernier, si « les résultats économiques en 2013 ont été satisfaisants », avec notamment une inflation ramenée à 4,5 %, « la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel devrait s’établir à 2,7 % en 2013, contre 3,3 % en 2012″, en raison notamment de la baisse continue de l’activité dans le secteur hydrocarbure.

 

 

que des mensonges la réalité c'est que la plupart de nos jeunes sont victimes d'esclavage chez les privés avec leurs diplômes font le travail d'un simple ouvrier et dans le pré emploie on trouve des jeunes avec le niveau de 9eme fondamentale et je connais beaucoup chez nous malheureusement la bonne personne dans le mauvais endroit et l'inverse je suis désolée pour notre société.:confused:

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ce chiffre est loin de la réalité à moins que vendre du tabac, de la drogue ou la prostitution soient considérés comme des fonctions à part entière !

 

Est considérée chômeur la personne qui n'a pas d'emploi et qui en recherche un.

Lorsque le manque d'emploi est endémique, les personnes qui se découragent de rechercher inutilement un emploi perdent leur titre de chômeur pour être considérées comme des sans emploi au même titre qu'une femme au foyer ou une personne qui ne travaillerait pas choix ou pour raison de santé.

 

Le taux de chômage est le rapport chômeurs sur population active (actifs occupés + chômeurs). Les personnes qui activent dans l'informel vont elles-même se définir comme chercheur d'emploi ou pas lorsque la question leur est posée lors du recensement ou lors de n'importe quelle étude sur l'emploi.

 

Étant donné la définition de départ, c'est un taux difficile à calculer dans un pays comme l'Algérie où il n'y pas de prestations de chômage et aucune enquête sur la population active. Comment séparer les chômeurs des sans-emplois?

Probablement que l'ONS a un modèle qui lui permet, à partir des déclarations du recensement et des indicateurs économiques, d'estimer les populations active et au chômage intercensitaires.

Ça reste un taux très politique et sa définition permet pas mal de manipulations.

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