Zoubir8 174 Posted January 6, 2014 Partager Posted January 6, 2014 Un djihadiste récemment mort en Syrie appelle F Hollande à se convertir à l'Islam. On se demande ce que fait Mr Valls pour éviter cette contagion de la jeunesse française. Ces français qui réussissent à l'étranger - Part 1 - YouTube Un djihadiste français meurt dans un attentat-suicide en Syrie Publié le 06/01/2014 Le Figaro Ce Toulousain de 30 ans, converti à l'islam, avait rejoint un groupe salafiste, accompagné de son jeune demi-frère qui est, lui, décédé en août. Publicité Dominique Bons a appris la nouvelle il y a quelques jours par SMS. Elle vient de perdre son fils parti combattre le régime de Bachar el-Assad. Nicolas est mort le 22 décembre lors d'un attentat-suicide dans la région de Homs. Il avait rejoint les rangs de l'État islamique en Irak et au Levant, un groupe proche d'al-Qaida. Quelque mois plus tôt, son demi-frère qui l'accompagnait est lui aussi décédé au combat. Lorsqu'elle apprend la mort de Nicolas, Dominique décide d'appeler le numéro syrien qui s'affiche. L'homme qui lui répond lui explique en français que son fils se trouve désormais au paradis avec Allah. «Ils étaient partis à deux dans un camion bourré d'explosifs. Ils ont foncé dans le tas et sont morts», raconte la mère de famille sur France 2. En décembre, elle a créé une association, pour stopper l'embrigadement et rompre l'isolement des familles. Voir la Vidéo sur le Site du Figaro Fin mars, Nicolas et son demi-frère de 22 ans prétextent un voyage en Thaïlande. Ils expliquent à leur entourage vouloir suivre des cours de boxe thaïe. Les deux jeunes originaires de Toulouse partent en fait en Turquie d'où ils traversent ensuite la frontière syrienne. Le 29 avril, un courrier arrive au domicile de la famille Bons. Nicolas et Jean-Daniel y annoncent le vrai dessein de leur voyage et ajoutent qu'ils ne se reverront plus sur cette terre. «C'est un grand choc, ça nous tombe dessus comme cela et on ne s'y attend pas, livre Dominique Bons. Au début, il y a une conversion à l'islam, en soi, ce n'est pas grave. C'est la suite qui est grave. Ça nous tombe dessus, nos enfants sont déjà partis.» La conversion de Nicolas remonte à 2010. «Au début, j'étais choquée, mais j'ai changé d'avis en voyant que ça lui apportait une certaine forme de sagesse et de bien-être», explique Dominique Bons dans Libération . Avant cette date, Nicolas avait rapidement laissé tomber l'école, puis il avait sombré dans la petite délinquance. Il vivait à droite et à gauche, entre chez sa mère et chez sa grand-mère. Puis, il s'est mis à fréquenter une mosquée radicale de Toulouse et finira par enrôler son frère. «Ce ne sont pas mes fils qui sont partis en Syrie, témoignait leur père dans Le Figaro après le décès de Jean-Daniel. Ils ont été conditionnés, mais je ne sais toujours pas où, ni comment.» «Oh! frère François Hollande, convertis-toi à l'islam» Nicolas dans une vidéo postée sur YouTube en juillet 2013. Les deux frères réapparaissent le 12 juillet sur YouTube. Le Coran et une kalachnikov à la main, Nicolas se présente sous le nom d'Abou Abdel Rahmen. «Oh! frère François Hollande, convertis-toi à l'islam, prêche-t-il dans cette vidéo. Sauve ton âme du feu de l'enfer et désavoue-toi de tes amis juifs et américains. Retire les troupes du Mali, arrête de combattre les musulmans, arrête de combattre l'islam.» À cette occasion, il enjoint «ses frères» à venir combattre le régime syrien. «J'ai compris qu'ils étaient montés dans l'intégrisme de plusieurs crans, et donc qu'ils étaient vraiment ancrés dans la religion très, très fortement», se souvient leur père au micro de RTL. Durant les neuf mois que Nicolas a passés en Syrie, Dominique Bons gardera contact avec lui. Ils se téléphonaient plus ou moins régulièrement une fois par semaine,. «Il me disait: “Maman je n'irai pas demander à combattre, mais si on me demande d'y aller, j'irai.” Au début, il évitait d'en parler pour ne pas me faire de la peine, mais à force de l'interroger, il avait fini par m'avouer qu'il allait parfois au combat.» Sur place, Nicolas côtoyait plusieurs Occidentaux notamment un Allemand de 21 ans ou même un autre Toulousain. Sa mère s'était, elle, rapprochée d'un collectif belge de parents de djihadistes. Selon des experts du renseignement, plusieurs centaines de Français sont partis ou voudraient rejoindre la Syrie. Citer Link to post Share on other sites
Souffre Annonyme 10 Posted January 6, 2014 Partager Posted January 6, 2014 Entre celui qu'appelle Carlita sarkozy à porter la burqa et lui qu'appelle Hollande à se convertir alors que pour certains extrêmes droite hollande est un islamiste comme martine aubry............ tout ça c'est trop comique............; moi j'appelle tous ces gens qui sont eux de vrais fous dangeureux à se suicidé collectivement comme ça le monde sera meilleur et les vrai suicidaire auront plus de raison de vouloir mourir Citer Link to post Share on other sites
ahmeddamien 10 Posted January 7, 2014 Partager Posted January 7, 2014 Un djihadiste récemment mort en Syrie appelle F Hollande à se convertir à l'Islam. On se demande ce que fait Mr Valls pour éviter cette contagion de la jeunesse française. Ces français qui réussissent à l'étranger - Part 1 - YouTube Un djihadiste français meurt dans un attentat-suicide en Syrie Publié le 06/01/2014 Le Figaro Ce Toulousain de 30 ans, converti à l'islam, avait rejoint un groupe salafiste, accompagné de son jeune demi-frère qui est, lui, décédé en août. Publicité Dominique Bons a appris la nouvelle il y a quelques jours par SMS. Elle vient de perdre son fils parti combattre le régime de Bachar el-Assad. Nicolas est mort le 22 décembre lors d'un attentat-suicide dans la région de Homs. Il avait rejoint les rangs de l'État islamique en Irak et au Levant, un groupe proche d'al-Qaida. Quelque mois plus tôt, son demi-frère qui l'accompagnait est lui aussi décédé au combat. Lorsqu'elle apprend la mort de Nicolas, Dominique décide d'appeler le numéro syrien qui s'affiche. L'homme qui lui répond lui explique en français que son fils se trouve désormais au paradis avec Allah. «Ils étaient partis à deux dans un camion bourré d'explosifs. Ils ont foncé dans le tas et sont morts», raconte la mère de famille sur France 2. En décembre, elle a créé une association, pour stopper l'embrigadement et rompre l'isolement des familles. Voir la Vidéo sur le Site du Figaro Fin mars, Nicolas et son demi-frère de 22 ans prétextent un voyage en Thaïlande. Ils expliquent à leur entourage vouloir suivre des cours de boxe thaïe. Les deux jeunes originaires de Toulouse partent en fait en Turquie d'où ils traversent ensuite la frontière syrienne. Le 29 avril, un courrier arrive au domicile de la famille Bons. Nicolas et Jean-Daniel y annoncent le vrai dessein de leur voyage et ajoutent qu'ils ne se reverront plus sur cette terre. «C'est un grand choc, ça nous tombe dessus comme cela et on ne s'y attend pas, livre Dominique Bons. Au début, il y a une conversion à l'islam, en soi, ce n'est pas grave. C'est la suite qui est grave. Ça nous tombe dessus, nos enfants sont déjà partis.» La conversion de Nicolas remonte à 2010. «Au début, j'étais choquée, mais j'ai changé d'avis en voyant que ça lui apportait une certaine forme de sagesse et de bien-être», explique Dominique Bons dans Libération . Avant cette date, Nicolas avait rapidement laissé tomber l'école, puis il avait sombré dans la petite délinquance. Il vivait à droite et à gauche, entre chez sa mère et chez sa grand-mère. Puis, il s'est mis à fréquenter une mosquée radicale de Toulouse et finira par enrôler son frère. «Ce ne sont pas mes fils qui sont partis en Syrie, témoignait leur père dans Le Figaro après le décès de Jean-Daniel. Ils ont été conditionnés, mais je ne sais toujours pas où, ni comment.» «Oh! frère François Hollande, convertis-toi à l'islam» Nicolas dans une vidéo postée sur YouTube en juillet 2013. Les deux frères réapparaissent le 12 juillet sur YouTube. Le Coran et une kalachnikov à la main, Nicolas se présente sous le nom d'Abou Abdel Rahmen. «Oh! frère François Hollande, convertis-toi à l'islam, prêche-t-il dans cette vidéo. Sauve ton âme du feu de l'enfer et désavoue-toi de tes amis juifs et américains. Retire les troupes du Mali, arrête de combattre les musulmans, arrête de combattre l'islam.» À cette occasion, il enjoint «ses frères» à venir combattre le régime syrien. «J'ai compris qu'ils étaient montés dans l'intégrisme de plusieurs crans, et donc qu'ils étaient vraiment ancrés dans la religion très, très fortement», se souvient leur père au micro de RTL. Durant les neuf mois que Nicolas a passés en Syrie, Dominique Bons gardera contact avec lui. Ils se téléphonaient plus ou moins régulièrement une fois par semaine,. «Il me disait: “Maman je n'irai pas demander à combattre, mais si on me demande d'y aller, j'irai.” Au début, il évitait d'en parler pour ne pas me faire de la peine, mais à force de l'interroger, il avait fini par m'avouer qu'il allait parfois au combat.» Sur place, Nicolas côtoyait plusieurs Occidentaux notamment un Allemand de 21 ans ou même un autre Toulousain. Sa mère s'était, elle, rapprochée d'un collectif belge de parents de djihadistes. Selon des experts du renseignement, plusieurs centaines de Français sont partis ou voudraient rejoindre la Syrie. Dieu a presque exaucer ses prieres puisque son pote francois hollande donne des armes aux terroristes depuis longtemps Citer Link to post Share on other sites
ahmeddamien 10 Posted January 7, 2014 Partager Posted January 7, 2014 « Les djihadistes aux yeux bleus » qui inquiètent tant l’Europe Camille Polloni | Journaliste Rue89 Dans des circonstances très particulières, le magazine américain Foreign Policy est parvenu à rencontrer deux djihadistes européens venus combattre le régime de Bachar el-Assad en Syrie, aux côtés d’Al Qaeda. L’un est un « Européen de souche » converti à l’islam, l’autre est né musulman (ni d’origine européenne, ni d’origine arabe). Ils dissimulent leur visage dans des foulards pour ne pas être reconnus, et ont posé leurs conditions : Ni leur nom, ni leur pays de résidence ne doivent être cités ; L’entretien se déroulera dans un lieu non précisé, « quelque part dans le nord de la Grande Syrie » (Syrie, Liban, Palestine, Irak, Jordanie). Pour des raisons de sécurité, les journalistes ont décidé d’envoyer un Syrien de confiance poser les questions qu’ils avaient préparées. L’entretien (filmé) se déroule en anglais, puisque ces Européens ne parlent pas arabe couramment. Le magazine parle de « djihad aux yeux bleus » (« blue-eyed jihad »). « Nous installerons la charia » Abu Talal, « un blond aux yeux bleus » cagoulé, pose avec sa Kalachnikov. Il fait partie de l’Etat islamique en Irak et en Syrie, une scission du Front Al Nosra affiliée à Al Qaeda en Irak. C’est la branche jihadiste la plus radicale des rebelles syriens. Abu Talal, venu pour des raisons religieuses aider les combattants de l’Armée syrienne libre à renverser le régime, explique : « Nous ne tuons pas des innocents, comme le font les troupes de Bachar. Le monde entier pense que la charia est mauvaise, mais ce n’est pas vrai. Nous aidons les gens... Et nous installerons la charia, quoi qu’il en soit. » Le deuxième combattant, Abu Salman, se présente comme un franc-tireur spécialiste de l’électronique : « Je coopère avec n’importe quel groupe qui a besoin de moi. Je n’en ai pas rejoint un en particulier. Vu la nature de mon travail, tout le monde a besoin de moi. » Il préfère tout de même « les meilleurs combattants de l’islam », c’est-à-dire les groupes les plus radicaux. Abu Salman dit être passé illégalement en Syrie par la Turquie. « Tout le monde prend cette route », même si « cela devient plus difficile » pour les étrangers à cause des contrôles accrus. Pour lui, même si les membres de l’Armée syrienne libre sont « de bons combattants », les Etats-Unis soutiennent « les pires éléments » en son sein. Ceux qui « ne se battent même pas pour la démocratie, mais qui volent juste de l’argent ». Les deux hommes sont convaincus que les Américains finiront par intervenir dans le conflit syrien et utiliseront des drones – comme au Yémen et au Pakistan – contre les djihadistes. Et si les groupes proches d’Al Qaeda gagnaient la guerre, « que se passerait-il ensuite pour les minorités chrétiennes, alaouites, chiites ? » demande Foreign Policy. « Ils devraient accepter » le nouvel état des choses « ou partir ». « Une potentielle menace terroriste » Au-delà de ces témoignages, le magazine s’attarde sur les controverses que suscitent les djihadistes étrangers en Syrie. « Certains Syriens reprochent aux djihadistes européens de souiller la pureté de leur révolution, tandis que le régime de Bachar el-Assad les brandit comme la preuve d’une infiltration étrangère de radicaux, et que les services de renseignement occidentaux les voient comme une potentielle menace terroriste. » Le risque serait qu’après avoir reçu une formation militaire, ces djihadistes de retour dans leur pays commettent des attentats. C’est la crainte d’une « filière syrienne » qui succéderait à d’autres terrains d’entraînement (Afghanistan, Bosnie, Tchétchénie...). D’après les estimations récentes du New York Times, plus de 600 combattants venus d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Australie sont entrés en Syrie depuis 2011. 14 enquêtes judiciaires en France La DCRI et la DGSE parlent « de 180 à 200 Français ». Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, dans une interview à Libération, a détaillé les chiffres en mai : « Outre les 50 Français encore sur place et les 40 en transit pour la Syrie, les 30 autres revenus dans l’Hexagone sont sous haute surveillance. » Plusieurs interpellations d’individus soupçonnés de préparer leur départ en Syrie – ou d’acheminer d’autres combattants – ont eu lieu récemment en France. Une source judiciaire citée par l’AFP indique : « Quatorze enquêtes judiciaires relatives à des infractions terroristes en lien avec la Syrie sont actuellement en cours à Paris et cinq informations judiciaires ont déjà été ouvertes. Au total, ces enquêtes concernent 36 personnes mises en cause. » Les autorités s’inquiètent aussi de la présence de quelques Français aux côtés des djihadistes lorsqu’ils occupaient le nord-Mali. Jeudi, Manuel Valls et son homologue belge, Joëlle Milquet, ont appelé dans un communiqué conjoint à « mieux lutter au niveau européen contre les départs vers la Syrie et les autres zones de conflit ». Pour faire face à « ce phénomène qui prend une dimension inédite en Europe », les deux ministres de l’Intérieur se déclarent favorables à un système de « passenger name record » européen, permettant d’enregistrer les données des voyageurs aériens. L’hypothèse avait pourtant été rejetée en avril par la commission Libe (des libertés civiles, justice et affaires intérieures) du Parlement européen. Les ministres de l’Intérieur ou de la Justice de neuf pays (Allemagne, Belgique, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Suède) ont écrit à la commission pour la faire changer d’avis. 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ahmeddamien 10 Posted January 7, 2014 Partager Posted January 7, 2014 on ne comprends pas vraiment le soutien de l 'état francais aux jihadistes qui combattent assad Citer Link to post Share on other sites
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