Jump to content

La France livrée aux cambrioleurs.


Recommended Posts

Alors que le Président découche et que el Matador n'a qu'un mot à la bouche: Dieudoné, la France est livrée aux cambrioleurs des pays de l'Est qui chassent en bandes.

 

 

Mes voisins ont été cambriolés vendredi soir et une autre maison à côté aussi.

 

 

L'explosion des cambriolages touche de plein fouet les célébrités

 

Le Figaro 10/12/2013

 

 

Gangs de l'Est et voleurs haut de gamme écument les quartiers huppés de la capitale et les banlieues résidentielles.

 

La flambée des cambriolages qui touche Paris et sa proche couronne n'épargne pas les célébrités. Claude Lelouch en a fait l'amère expérience samedi dernier, quand un ou plusieurs inconnus ont brisé la fenêtre de son domicile du XVIIIe arrondissement avant de repartir avec du matériel high-tech. Sébastien Bazin, ancien président du Paris-SG et actuel PDG du groupe hôtelier Accor, a subi pareille mésaventure le 1er novembre lorsque, en son absence, un ou plusieurs inconnus se sont introduits dans son luxueux appartement du XVIe pour faire main basse sur 10 000 euros en espèces et un lot de bijoux estimés à 100 000 euros dans un coffre-fort.

 

Le président du directoire de Peugeot, Philippe Varin, a, lui, vu sa villa du Vésinet visitée à deux reprises, début octobre puis mi-novembre, par une équipe bien organisée qui a raflé 70 000 euros. Jean-Pierre Pernaut, de son côté, s'est fait dévaliser à Louveciennes le 19 octobre dernier. Le voleur a fouillé les trois étages de la demeure, empochant quelque 80 000 euros de bijoux, avant d'être surpris et mis en fuite par Nathalie Marquay, l'épouse du journaliste vedette de TF1. Invités bien involontaires de la rubrique des faits divers, ces VIP ont été les victimes collatérales d'un fléau qui, selon nos informations, a frappé quelque 9 213 résidences principales à Paris intra-muros dans les dix premiers mois de l'année 2013 (voir ci-contre). Soit près de 30 effractions par jour!

 

Les VIP ont été les victimes collatérales d'un fléau qui a frappé 9 213 résidences à Paris lors des dix premiers mois de l'année 2013, soit près de 30 effractions par jour !

 

«L'écrasante majorité des vols avec effraction sont le fait de gangs de l'ex-Yougoslavie, d'Albanais, de Moldaves ou de Géorgiens hypermobiles et qui multiplient les raids avant de disparaître, témoigne un commissaire parisien. À trois ou quatre dans une voiture, ils tournent dans un quartier avant de fondre sur un immeuble. Les jeunes Roms, quant à eux, forcent jusqu'à dix portes par jour à coups de tournevis en espérant trouver la caverne d'Ali Baba. Ils repartent contents s'ils trouvent cinquante grammes d'or…» Cette plèbe des forçats du pied-de-biche, qui aiguillonnent le sentiment d'insécurité, dissimule en son sein une caste des casseurs plus haut de gamme qui écument les quartiers cossus.

 

Selon certaines sources policières, ces Arsène Lupin d'un genre particulier se compteraient sur les doigts d'une main. «Disposant volontiers de brouilleurs d'ondes pour déjouer les alarmes, ces passionnés de serrurerie achètent les derniers modèles pour les démonter dans leur cave avec la minutie d'un horloger, jusqu'à trouver la faille, explique un policier spécialisé dans le banditisme. Ils adaptent ensuite leur outillage.» Ainsi, la technique du «forceur» de serrures ou celle, plus délicate du «parapluie», ébauche de clé d'où dépassent des tiges coulissantes permettant des ouvertures dites «fines», ont été très en vogue dans les années 1990. Le fric-frac est alors mené en moins de deux minutes, sans laisser de trace. Désormais, une simple carte de plastique susceptible de crocheter les serrures est devenue l'un des derniers sésames dans la panoplie des monte-en-l'air. «Parfois équipés d'otoscopes, un instrument médical permettant l'inspection du conduit auditif, ces experts mettent aussi de la poudre de graphite sur les serrures pour étudier le mécanisme, quitte à revenir à plusieurs reprises jusqu'à disposer d'une empreinte de clé parfaite, témoigne un expert. Une fois dans la place, ces spécialistes ne cèdent pas à la frénésie du vol mais prennent des photos des objets pour les négocier à des receleurs et revenir plus tard pour ne rafler que ce qui a été commandé. D'autres clichés sont pris pour les coffres, afin d'en sortir la fiche technique sur Internet, voire commander des clés à l'étranger…»

 

«Les spécialistes ne cèdent pas à la frénésie du vol mais prennent des photos des objets pour les négocier à des receleurs et revenir plus tard pour ne rafler que ce qui a été commandé»

 

Se livrant à un minutieux travail de repérage, les malfaiteurs passent plusieurs jours à surveiller les habitudes du concierge, les allers et venues du propriétaire et de sa famille avant de passer à l'acte. «Parfois, ils peuvent aussi obtenir des adresses de voyous de plus faible envergure qui n'ont pas le niveau de monter sur le coup, note un policier. En fouillant l'appartement, un bristol d'invitation à un vernissage ou deux billets d'opéra fournissent de précieuses indications sur l'emploi du temps des propriétaires.» Dans le gotha des «people», l'agenda devient public tant il est médiatisé. Et certaines coïncidences peuvent faire songer à un effet d'aubaine. Ainsi, Geneviève de Fontenay avait été cambriolée en 2003 pour la troisième fois alors qu'elle participait à l'élection de Miss France. Six ans plus tard, l'appartement de Monica Bellucci et de Vincent Cassel avait été visité quand l'actrice italienne participait à la cérémonie de clôture du Festival de Cannes. Dans le même temps, le chorégraphe Kamel Ouali avait été dévalisé alors qu'il était à la première de sa grande comédie musicale, Cléopâtre. Plusieurs joueurs de football, évoluant notamment au Paris Saint-Germain, ont enduré le même sort alors qu'ils disputaient des rencontres de Ligue 1. «Mais les victimes, quand elles sont connues, pensent être ciblées en raison de leur exposition médiatique alors que les voyous n'ont fracturé leur porte que par hasard», observe un officier parisien.

 

En fait, il faut remonter à la fin des années 1990 pour retrouver une retentissante série d'affaires mettant en scène un gang qui ciblait les grandes fortunes dans les VIIe et XVIe arrondissement. Surnommés les «saucissonneurs» en raison de leur habitude de ficeler leurs proies, ils piochaient le nom de leurs proies dans les colonnes du Who's Who, du Bottin mondain ou les allées chics de l'hippodrome de Longchamp. C'est ainsi qu'une princesse perse et sa gouvernante anglaise avaient été attaquées avenue Victor-Hugo, comme le parfumeur Guerlain, le patron des magasins Tati, Fabien Ouaki, l'épouse de Charles Aznavour ou encore l'écrivain Paul-Loup Sulitzer. Depuis lors, la police multiplie les plans cambriolages sans arriver à endiguer le phénomène. Seule la police judiciaire semble tirer son épingle du jeu, la brigade de répression du banditisme ayant à elle seule interpellé 58 cambrioleurs de haut vol en 2012. Dans le lot, figuraient des malfrats spécialisés dans les vols de clés laissées dans les boîtes aux lettres ou des «rats» d'immeubles fouillant les chambres de bonnes. Des endroits moins sanctuarisés où certaines familles remisent leurs trésors. À l'image de magnifiques tapisseries d'Aubusson qui auraient fait le bonheur de receleurs si la police ne les avait pas retrouvées in extremis.

 

 

 

Délinquance : le sévère constat d'un général

Le Figaro 06/01/2014

 

VIDÉO - Devant des députés, le général Soubelet, n°3 de la gendarmerie, a déploré que les délinquants «profitent du système» et a noté que «les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes».

 

«Je vais livrer une analyse personnelle, peut-être un peu iconoclaste»: avec un courage certain, le général de corps d'armée Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie nationale, s'est livré à une critique sans fard de la politique pénale actuellement menée. Ses propos, tenus le 18 décembre devant la commission parlementaire de «lutte contre l'insécurité» ouverte à la presse et qu'il savait enregistrés, sont ceux d'un grand technicien. Énoncés sur un ton posé, ils ont l'effet d'une bombe. Venant d'un gradé de tout premier plan et reprises par l'Agence France presse, ils traduisent, s'il en était encore besoin, le malaise des forces de l'ordre face un système judiciaire souvent taxé d'angélisme et dont le nombre de remises en liberté ne cesse de hérisser la base.

 

Pendant plus d'une heure et 24 minutes d'audition, ce général 4 étoiles, grand patron des opérations et de l'emploi à la Direction générale de la gendarmerie nationale, nommé le 28 novembre 2012 en Conseil des ministres, a brossé un tableau sans concessions. Évoquant en préambule de son propos la lourdeur des procédures «sur le plan juridique», qui complique le travail des gendarmes, le général Bertrand Soubelet lâche que «les délinquants le savent et profitent du système».

 

«L'insécurité et le sentiment d'insécurité ne cesseront d'augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée»

 

«Les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes», prévient le militaire, précisant qu'en 2013 il y a eu une hausse de 4% de personnes mises en cause par ses services tandis que le nombre de placements sous écrou «a diminué de 33%». «Évidemment, l'insécurité et le sentiment d'insécurité ne cesseront d'augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée», martèle-t-il. Le diagnostic de ce haut stratège est implacable: la réponse pénale est, selon lui, «en décalage». Sans détour, il enfonce le clou en assurant: «Les auteurs d'atteintes aux biens (cambriolages, vols...), les plus importantes numériquement, bénéficient d'un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités.» Si le mot «impunité» n'a pas été lâché, l'auditoire a dû y penser très fort. (...)

Link to post
Share on other sites

Cambriolages: la razzia des gangs de l'Est

 

 

03/09/2013 à 20:03

 

 

Obtenant visas et changeant d'identité, ces bandes montent en puissance et commettent plus de 30 % des vols.

 

À la manière de criquets s'abattant sur la récolte, un boulimique gang de voleurs de l'Est a écumé cet été à un rythme effréné la Vienne, les Deux-Sèvres, l'Indre-et-Loire ou encore le Loir-et-Cher en jetant en particulier son dévolu sur les campings. Ciblant les touristes étrangers, ces adeptes du cutter ont lacéré avec méthode les toiles de tente et éventré les auvents pour amasser un colossal butin. Ces stakhanovistes du cambriolage étaient culottés au point de passer à l'action pendant le sommeil des occupants. «Après des attaques sporadiques au début de l'été, le rythme s'est emballé pour atteindre jusqu'à quinze ou vingt vols par jour, rappelle le capitaine Sylvain Soula, de la compagnie de Châtellerault, qui a mené l'enquête. Ces raids nocturnes ont vite viré au cauchemar pour les Hollandais, Anglais et Allemands qui voyagent volontiers avec du matériel high-tech.» Aiguillonné par une déferlante de plaintes, les gendarmes ont mis sur pieds une équipe de lutte anti-cambriolages (Elac) qui, grâce à des «tuyaux» assez précis, a permis de remonter la piste jusqu'à un couple de Tsiganes retranché avec ses trois enfants dans un appartement de Châtellerault. En perquisition, les gendarmes ont mis la main sur un stock hétéroclite où se mêlent des tablettes numériques, une large gamme de smartphones dernier cri, mais aussi des ordinateurs, des appareils photo ou encore des liasses de dollars et de livres sterling. Un butin estimé à des dizaines de milliers d'euros. «Aujourd'hui, notre brigade ressemble un peu à un entrepôt d'Amazon», concède le capitaine Soula. Au total, le couple serait impliqué pour recel dans 200 vols encore non élucidés, sachant que les gendarmes ont déjà retrouvé une centaine de victimes ayant quitté la France après leur mésaventure. Le Tsigane appréhendé, âgé d'une trentaine d'années et jusqu'alors inconnu de la justice, a été écroué, alors que sa compagne a été placée sous contrôle judiciaire strict afin de subvenir aux besoins d'un nourrisson.

 

De plus amples investigations permettront de dessiner les contours de ce commando de pilleurs, qui, comme de nombreux autres, façonnent le visage d'une criminalité organisée qui donne le tournis aux forces de l'ordre. «Tout le pays est miné par ces bandes venues de l'Est qui s'adonnent au cambriolage avec la même frénésie que le vol d'or, de cuivre ou de pots catalytiques recelant des métaux rares…», constate un officier spécialisé.

 

Sur le terrain, les forçats du pied-de-biche n'ont jamais été aussi actifs. Chiffres à l'appui, l'Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale (ONDRP) révèle que le nombre des vols commis aux domiciles des particuliers et dans les entrepôts a une nouvelle fois augmenté, de 7,2 %, en zone police en un an. Et que les cambriolages de résidences principales ont bondi de 11,3 % dans la même période dans les secteurs ruraux et périurbains contrôlés par la gendarmerie nationale. Soit, à l'échelon du territoire, 23.300 cambriolages de plus en douze mois!

 

Selon nos informations, les grandes razzias signées par les gangs balkaniques ou caucasiens sont désormais à l'origine de plus de 30 % du total des cambriolages. Outre quelques forceurs de coffres et casseurs de haute volée qui font équipe en fonction des circonstances et les redoutables «voleurs dans la loi» qui gangrènent le pays depuis quelques années (voir ci-dessous), cette forme spécifique de délinquance est le fait de clans familiaux roumains, croates ou serbes circulant sous couvert de visas européens obtenus sans peine et changeant d'identité par une simple demande en mairie de leur pays d'origine.

 

Achetant parfois de petites voleuses professionnelles jusqu'à 80.000 euros au mercato du banditisme international, ils font souvent appel à des adolescents de 13 à 16 ans pour mener de calamiteux raids nocturnes. «Au volant de voitures en bout de course achetées une bouchée de pain, ils couvrent des centaines de kilomètres en une journée pour cibler les zones pavillonnaires croisées en chemin, explique le colonel Patrice Bayard, chef de l'Office central de lutte contre la délinquance itinérante * (OCLDI). Ces jeunes voleurs raflent en priorité l'argent et les bijoux, délaissent les objets encombrants pour pas ne perdre de temps. La vitesse d'exécution est primordiale pour ces bandes furtives et très difficiles à remonter…»

 

Au printemps dernier, vingt-deux membres d'un réseau de cambrioleurs originaires de Serbie et de Roumanie avaient été interpellés lors d'un vaste coup de filet mené dans l'est et le sud-est de la France, ainsi qu'en Belgique et en région parisienne. Soupçonnés de 55 cambriolages commis en un temps record, les auteurs, dont le statut de mineurs offre une relative impunité, rayonnaient jusqu'en Allemagne. Les adultes donneurs d'ordre ont quant à eux été mis en examen pour vols en bande organisée mais aussi traite des êtres humains. Ils encourent vingt ans de réclusion criminelle. À la pointe de la lutte contre ce fléau, les experts de l'OCLDI ont noté la flambée des affaires de pillages en série. Entre 2010 et l'année dernière, celles-ci ont tout simplement doublé pour constituer 52 % de leur activité, avec une centaine d'affaires d'envergure mises au jour. À elle seule, cette unité a arrêté 324 gros délinquants itinérants en 2012, dont 60 % de cambrioleurs multirécidivistes.

215 «voleurs dans la loi» géorgiens derrière les barreaux

 

Les «Vory v zakone», les «voleurs dans la loi» géorgiens forment une nébuleuse criminelle parmi les plus venimeuses d'Europe et prenant racine dans l'Hexagone. Un bilan porté à la connaissance du Figaro révèle que 215 d'entre eux étaient incarcérés en France en juin dernier, contre «seulement» 80 en septembre 2010. Recrutant des cohortes entières de têtes brûlées venues de Tchétchénie, de Moldavie ou du Caucase, cette confrérie fermée, dont les rituels initiatiques remontent au régime tsariste, a longtemps prospéré à Tbilissi et ses environs jusqu'en 2007.

 

Les «Vor» y ont ensuite été chassés lors d'un changement de régime. «Ils ont essayé de s'installer en Russie, où ils se sont cognés à la mafia locale et à une impitoyable répression policière, explique un spécialiste. Ils se sont alors installés en Europe de l'Ouest, et notamment en France où les richesses sont plus accessibles et la riposte pénale fait sourire…» Exportant leurs «soldats» dans des régions où ils s'enracinent dans la plus grande discrétion, parfois avec le statut de demandeurs d'asile, ces bandes amassent jusqu'à 200.000 euros de butin par semaine.

Link to post
Share on other sites

Je te signale que ton président fait des patrouilles nocturnes en scooter...

l'appartement ou tu penses qu'il entretien une maitresse est en fait une planque hors de soupçon (vu qu'il appartient à un truand notoire( à partir de laquelle il espionne un réseau de tchetchene occupant l'appart d'en face

Link to post
Share on other sites

mes plus proches voisins se sont faits cambriolés avec violence... mon mari qui était sorti dans le jardin a vu la voisine sur son balcon, bâillonnée, les mains et les pieds liés, qui essayait d'attirer son attention en sautillant ..

une vraie scène de film, mon mari me crie d'appeler la police, il prend une échelle et escalade le mur d'enceinte, monte sur le balcon délivre la pauvre femme , vient le tour du mari qui lui est attaché sur la balustre de l'escalier, bâillonné à tel point qu'il suffoquait...tout ça à 8h du matin..nous n'avons rien entendu...Le Mistral soufflait très fort ce matin-là...

Les cambrioleurs ont raflés tous ce qui étaient bijoux, les objets de valeur et la superbe moto de L.....

Mes voisins vendent leur maison...incapables de continuer à vivre là ...:(

Link to post
Share on other sites

Tout cela était prévisible, avec l'ouverture des frontieres à l'est et une "recomposition " du tissus social francais qui était à peu prés simple, comme disait coluche à propos des chinois je crois ( déjà à l'epoque ) ils viennent manger le pain de NOS arabes

perso, j'étais choqué du changement en france, le jour ou j'ai lu que des boeufs et autres animaux ont été tués sauvagement sur place et découpé juste de bons morceaux de l'animal en s'enfuyant sans attendre la mort de l'animal

alors les babioles dans une maison franchement:cool::cool:

Link to post
Share on other sites

je ne souhaite à personne de se faire cambrioler et d'être parfois laissé pour mort....pour des babioles justement.

mais c'est vrai qu'il y a aussi des vols qu'on n'a pas vu depuis longtemps : fruits, légumes, ( dans les champs), poulaillers, bétails, tout y passe...

Link to post
Share on other sites
Je te signale que ton président fait des patrouilles nocturnes en scooter...

l'appartement ou tu penses qu'il entretien une maitresse est en fait une planque hors de soupçon (vu qu'il appartient à un truand notoire( à partir de laquelle il espionne un réseau de tchetchene occupant l'appart d'en face

 

en plus c est vrai

salut pax

 

<a href=3296708707.jpg' alt='3296708707.jpg'>

Link to post
Share on other sites

j'ai souvent l'habitude de voir sur tmc ou w9 enquête d'action ou les émission du genre , le réalisateur a toujours le soin de "mosaïquer" le visage des méchants mais on te laisse toujours un petit coin pour comprendre que ..soit c'est un blacks ou maghrébins sinon dans le meilleur des cas un gitan , les gentils Français comme uxoo ne font jamais de bêtises :confused:

Link to post
Share on other sites

je ne regarde quasiment pas la TV, alors je ne peut pas dire mais l'autre soir je suis tombé sur un reportage du genre au commissariat de Lens...l'affaire en question impliquaient des français...des petits cons pour être plus précis...

mais dit moi ...ça reflète peut être les proportions de la population carcérale...les couches les plus defavorisées de la population avec forte majorité d'immigrés..et montée en puissance des pays de l'Est pour rester dans le sujet

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...