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Consommation : Comment expliquer des hausses de prix de plus de 100% ?


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A la lecture des statistiques du ministère du Commerce concernant les prix de détail des produits de large consommation, il ressort que la tendance à la hausse s'est poursuivie en décembre dernier en raison de la flambée des prix des légumes frais. Le ministère du Commerce précise que cette tendance pour cette catégorie de produits est effective depuis trois mois pour atteindre un taux alarmant de 104% durant le dernier mois de 2013. Il est noté que les prix moyens de la courgette (230 DA/kg) et de la tomate (109 DA/kg) ont connu durant la période indiquée les hausses les plus fortes respectivement 104% et 69% en raison d'une baisse de l'offre. Ce qui n'est pas le cas de la pomme de terre, un produit référence, dont le prix moyen a enregistré une hausse de 13% pour des prix oscillant entre 39 et 45 DA le kg, en dépit d'une bonne récolte. Idem pour l'oignon sec cédé en moyenne de 30 DA le kilo avec néanmoins une hausse trimestrielle de 7%. En revanche, la carotte et l'ail ont connu une baisse respectivement de 3% et 2% pour des prix au détail de 60 DA et 280 DA le kg. S'agissant des fruits de saison, si les prix des oranges ont enregistré une baisse de 2%, ceux des dattes et des pommes ont grimpé respectivement de 14 et 7%, pour des prix moyens trimestriels de 335 et 135 DA. Cependant, le document du ministère du Commerce explique que « les prix des fruits et légumes frais sont très variables d'une saison à une autre et d'un produit à l'autre ». Ainsi, hors saison, ils sont forcément plus chers et le consommateur ayant perdu ces repères saisonniers n'est plus habitué aux variations brutales des prix.

 

Quant aux légumes secs, notamment les haricots et les lentilles, les prix de détail ont atteint une moyenne de 280 DA pour le premier et 112 DA pour le second, enregistrant ainsi une hausse estimée respectivement de 6% et 1%. Le ministère du Commerce justifie cette hausse d'une part par le fait que leurs prix sont libres et de l'autre par les fluctuations du marché mondial. Concernant les viandes rouges durant le mois de décembre, les prix ont connu une légère hausse par rapport au mois précédent. Au détail, le prix de la viande ovine locale a atteint 1.300 DA le kilo, soit une hausse de 1%. Il en est de même pour les prix du poulet qui ont enregistré une hausse de 3% pour des prix au détail variant entre 264 et 272 DA le kg. A ce titre, il est à rappeler que les mesures prises par les pouvoirs publics en matière d'exonération de la TVA au profit des producteurs d'aliments dans le but de permettre à la filière avicole de mieux respirer et ramener les prix à hauteur de 160 DA demeurent pratiquement sans gros effets jusqu'à maintenant. Durant les périodes de forte demande, comme cela a été le cas de Achoura ou bien Yennayer, les prix pratiqués ont atteint des pics inexplicables pour redescendre brutalement quelques jours plus tard. Les statistiques du ministère du Commerce font également ressortir que les prix des produits d'épicerie (café, riz et pâtes alimentaires) ainsi que de la semoule et de la farine sont restés relativement stables durant le mois de décembre comparativement au mois de novembre.

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mais ou va l'argent de l'ansej censé aider les algeriens a produire plus! ou sont les serres financées par l'ansej -ou sont les tracteurs? qui habitent dans les logements ruraux aidés par l'etat des citadins ou des paysans ? ...les prix suivent la courbe de la faineantise , ils montent .

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mais ou va l'argent de l'ansej censé aider les algeriens a produire plus! ou sont les serres financées par l'ansej -ou sont les tracteurs? qui habitent dans les logements ruraux aidés par l'etat des citadins ou des paysans ? ...les prix suivent la courbe de la faineantise , ils montent .

bjr

LE PROBLÈME LA FAINÉANTISE

les paysans font du blé ou des zitounes souvent dans l ouest

peu de travail

ils sont partisans parfois du gagner bcp et travailler peu

ou y sont contraints a cause de la difficulté de trouver des ouvriers agricoles

la culture maréchalerie nécessite bcp de personnel...

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bjr

LE PROBLÈME LA FAINÉANTISE

les paysans font du blé ou des zitounes souvent dans l ouest

peu de travail

ils sont partisans parfois du gagner bcp et travailler peu

ou y sont contraints a cause de la difficulté de trouver des ouvriers agricoles

la culture maréchalerie nécessite bcp de personnel...

 

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c'est vrai ! mais alors dans ce cas faut arreter de s'etonner et de trouver ça anormal - mange ou creve quelque soit le prix !...quand on produit rien il faut s'attendre a payer le prix de l'offre -si demain ils ne veulent plus des dinars mais des diamans contre les courgettes et bien va falloir aller chercher les diamans ! faut pas se plaindre ... de plus qui se plaint meme avec des courgettes a 300 dinars , tu vas a l'epicerie ,y en a plus donc c'est pas cher .

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c'est vrai ! mais alors dans ce cas faut arreter de s'etonner et de trouver ça anormal - mange ou creve quelque soit le prix !...quand on produit rien il faut s'attendre a payer le prix de l'offre -si demain ils ne veulent plus des dinars mais des diamans contre les courgettes et bien va falloir aller chercher les diamans ! faut pas se plaindre ... de plus qui se plaint meme avec des courgettes a 300 dinars , tu vas a l'epicerie ,y en a plus donc c'est pas cher .

 

en france dans les villes les gens cultivent dans des jardins ouvriers

je ne crois pas que bcp d algeriens le feraient

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avant dans les villages en algerie il y avait des chevres pour le lait , une vache par ci par la pour lben - il y avait des poules pour les oeufs et des poulets pour la viande -des lapins , des canards , des perdrix d'elevages - des moutons dans presque toutes les maisons ...les gens se debrouillaient comme ça avec moins de materiel technique que maintenant ou en algerie on dispose de tracteurs , de moissonneusses batteuses ect - et bien si tu vas dans ces village aujourd'hui ,il y a des maisons vides , des jeunes desoeuvrés qui fument zetla et revent de conduire un boeing avec un niveau d'etude proche de celui du grand pere ...ils ont tous des dinars qui viennent de je ne sais ou sans bosser et apres ils se plaignent que ceux qui se salissent les mains demandent un juste prix ! -c'est l'offre qui conditionne les prix pas la demande -si des revendeurs indondaient les marchés avec des legumes ,les prix baisseraient mecaniquement si il n'y a qu'un gars qui vient avec 2 cageots pour nourrir alger ,il est normal que les prix grimpent au ciel - et si on attend que le paysan français nous nourrisse alors il faut le payer en euro et en mgasin cette semaine la tomate est a pres de 2€ soit 280 dinars le kg en algerie -or elle ne depasse pas 150 dinars donc c'est pas cher .

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mais ou va l'argent de l'ansej censé aider les algeriens a produire plus! ou sont les serres financées par l'ansej -ou sont les tracteurs? qui habitent dans les logements ruraux aidés par l'etat des citadins ou des paysans ? ...les prix suivent la courbe de la faineantise , ils montent .

 

Il s'est transformé en voiture dernier cri et billets d'entrée aux cabarets.

Il s'est transformé en barque trans-méditerranée.

Il s'est transformé en... tout sauf ce à quoi il devait servir.

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