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VALLS A ENCORE SON MOT A DIRE SVP


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Je suis musulman et je dis qu'il a raison sur toute la ligne !

Actuellement, quand tu vois comment ces "musulmans" des banlieues sont noyautés et manipulés par les salafistes recruteurs de chair à canon pour la Syrie, moi je dis qu'il a raison et que l'Etat doit prendre des mesures pour arrêter cette hémorragie.

 

PS: ton collier est très jolie et tu sembles ravissante.

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LETTRE OUVERTE A MONSIEUR MANUEL VALLS MINISTRE DE L’INTÉRIEUR DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.

 

patrick.seignon 24/01/2014 - 08h31

 

(LETTRE OUVERTE A MONSIEUR MANUEL VALLS MINISTRE DE L’INTÉRIEUR DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.) Monsieur le Ministre, Je ne suis qu’un français moyen, de ceux que vous prenez semble-t-il pour des demeurés, auxquels il conviendrait de prescrire la conscience qu’ils doivent avoir, vu qu’ils sont probablement, à votre sens, privés de libre arbitre. Et c’est en tout premier sur ce point que je souhaite vous démentir. Mon père fut dans la résistance, la vraie, active et combattante, officier FTPF. Je n’ai pas eu besoin d’attendre la prescription de Stéphane Hessel pour m’indigner. Il m’avait transmis, pour seul héritage, mais oh combien précieux, l’aptitude à la désobéissance et à la révolte. J’ai eu pour institutrice, dans ma petite enfance, une militante communiste, elle aussi m’a transmis des valeurs républicaines que vous semblez ignorer : le refus de l’arbitraire, le secours au faible ou au persécuté, le devoir d’insurrection. Mon institutrice avait des amis céramistes et artistes polyvalents, des juifs. La dame, romancière aussi, avait écrit un livre intitulé « Tournée 34 », dont s’était le sujet, J’ai appris très tôt ce que fut la chasse aux juifs durant la période de l’occupation, les lois antijuives, le régime de « l’Etat Français » du Maréchal Pétain, l’étoile jaune, la déportation, mais aussi l’aide héroïque de certains français aux juifs pourchassés, les camps de la morts, la solution finale, mais aussi, pour horrible qu’est été cette page, qu’elle n’était tout de même qu’une page du grand livre aux multiples volumes des horreurs de l’histoire, qu’une page même de l’histoire de la seconde guerre mondiale et des souffrances multiformes imposées à de nombreux peuples. Je n’ai pas eu besoin de « lois mémorielles » pour structurer ma mémoire, ni de « criminalisation de l’antisémitisme » pour le honnir. Je n’ai pas attendu non plus un certain monsieur Valls pour savoir, et savoir ce que je devais en penser et, ce que devait-être ma conscience. L’écrasante majorité des français est comme moi. Vos prétentions de lui dicter sa conscience à l’aune de votre interprétation personnelle et restrictives de l’histoire, l'agace et l'offense. Non monsieur Valls, « les valeurs de la République » dont vous faites grands bruit, ne se résument pas au respect de la loi et de l’ordre. Je serai même tenté de dire que plus que « valeur », la première des vertus républicaine et celle de l’indignation contre l’arbitraire et l’injustice. Et cela sans vous attendre je l’ai ressenti dès mon plus jeune âge. J’étais Juif quand j’étais petit. Dans ces années là les séquelles de la période précédente se faisaient encore sentir dans les attitudes d’une frange non encore complexée de la population. L’antisémitisme, le vrai celui-là, suintait souvent dans l’éducation des potaches. Deux garçons de mon collège en étaient victimes, rejetés, marginalisés, en souffrance. C’est vers ceux-là que le plus naturellement du monde s’orienta ma compassion, et pour eux que je conçue de l’amitié. Ils se souviennent de moi j’en suis sûr, l’un s’appelait Hénoch et l’autre Jacob. Je ne supportai pas l’injustice et l’arbitraire et cela me donnait déjà une propension à voler au secours des victimes et à réconforter les persécutés, fusse au prix d’être écarté et persécuté moi-même. Eh bien, Monsieur Valls, c’est cette même prédisposition qui a forgée mon caractère, qui me commande à présent encore, de manière irrépressible, de voler au secours de Monsieur Dieudonné M’bala M’bala, la victime de vos « tracasseries » et de votre zèle obstiné et méchant. L’acharnement personnel que vous mettez à nuire à ce garçon est indigne d’un ministre de la République. Il ne vous fait pas honneur. Il y a de l’insalubrité dans votre conduite. Vous avez apporté votre contribution active, de premier plan à une campagne de diabolisation inique et honteuse. Vous avez adressé une circulaire aux préfets dont l’objet était de dévoyer jusqu’à l’absurde la notion de « trouble à l’ordre public ». Vous aviez gardé exprès sous le coude, le conseil constitutionnel à votre disposition afin d’émettre, en urgence, par l’autorité de celui-ci une jurisprudence liberticide contrevenant à toutes les jurisprudences antérieures sur le même sujet. Vous avez ainsi réussit à faire capoter la tournée de représentations en province de Monsieur M’bala M’bala. Vous avez criminalisé la gestuelle humoristique de la quenelle et voulez édicter « une loi » contre son usage. Vous avez encouragées les poursuites de toute sorte contre l’humoriste, vous l’avez outragé, injurié publiquement, vous avez animé les services fiscaux afin de le rechercher pour « organisation d’insolvabilité », vous avez fait pression sur le propriétaire du théâtre de « La main d’or » à telle fin de le faire expulser, vous lui faites envoyer des huissiers, montez contre lui des provocations abracadabrantes, l’humiliez en lui faisant subir des « gardes à vues », lui interdisez le droit d’expression sur internet, faites fermer son compte « Facebook », usez de procédés d’intimidation en annonçant que vous alliez enquêter sur tous ceux qui l’ont soutenus. Ne trouvez-vous pas Mr Valls que cela commence à faire beaucoup ? Ne vous a-t-on pas appris dans les écoles « savantes » qui vous ont formaté, qu’il advient parfois qu’à trop vouloir prouver on finisse par faire la démonstration inverse ? Et la démonstration que vous faites en effet monsieur le ministre de l’intérieur, est celle de votre acharnement psychotique contre un homme. La manière dont ils disposent du pouvoir est un des critères sûr, à l’aune duquel on évalue les hommes d’état. Les intelligents sont ceux qui en usent avec modération. De toute évidence vous n’en êtes pas. Avec des mots, vous prétendez encenser les valeurs de la République, mais avec les actes, par votre conduite, par votre action comme ministre de l’intérieur, vous insultez « la Gauche » à laquelle vous prétendez vous situer, le mot même de « socialisme » que n-a pas encore effacé de sa « raison sociale » le parti dont vous êtes, et la République elle-même. Républicain vous ? Oui, à la mode de Pompée. Défenseur des valeurs de la République ? Vous apparaissez bien plutôt et de plus en plus comme un harceleur, un maniaque obsessionnel, vous êtes le « Torquemada de la laïcité », le « tourmenteur des libertés et de la République. Je vous l’ai dit, je suis juif quand les juifs sont persécutés. Je suis un ami et un soutien de Dieudonné, et si je ne l’étais pas je le serai devenu à l’instant où vous le molestiez. Lâchez-le ! Je vous le dit, laissez vivre et travailler en paix Dieudonné M’bala M’bala. C’est l’exigence qui monte du pays toujours plus vaste et impérative et que vous auriez tort de ne pas vouloir entendre. Bien entendu monsieur, j’ai compris que le pouvoir exorbitant que donne à celui qui l’exerce la fonction de premier flic de France, vous a enflée la tête. Je suis parfaitement conscient qu’en formulant la présente exigence et en vous adressant ce courrier, je vais égratigner votre égo hypertrophique et provoquer votre ire dévastatrice. Vous allez me poursuivre à mon tour, de vos assiduités. Mais comme je ne suis pas un personnage public connu à l’instar de Dieudonné, vous allez faire cela en silence dans l’ombre feutré de l’anonymat. Vous allez faire écouter mes communications, capter mes « courriels », diligenter une enquête sur ma personne et mes activités et ma vie privée, faire attaquer mon Site web ou le faire fermer, et me faire des tracasseries de toutes sortes si vous trouvez la moindre faille. Ai-je peur ? Bien sûr j’ai peur de votre pouvoir de nuisance. J’ai peur et pourtant sachez le bien, vous ne me ferez pas taire. Je sais qu’il n’y a rien à attendre, ni remords, ni compassion ni sursaut de la raison, chez un homme tel que vous. Campé dans vos certitudes empesées vous ne connaissez véritablement qu’un moyen d’assouvir votre soif de puissance, celui de briser ceux qui vous résiste. Eh bien, que ce soit dit, j’entends vous résister tout de même… Brisez-moi ! C’est vous qui prenez peur à présent, je le sais. Car la seule chose que redoutent vraiment les tyrans, c’est le défi de la raison. Ils savent que l’heure de rendre des comptes approche quand ceux qui ont peur se redresse quand même et leur font face. Le défi du dominé c’est l’hallali du despote. Jeudi 23 janvier 2014.

A diffuser partout autour de soi.

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Valls pousse à la guerre civile c'est flagrant, et en meme temps, il profite pour limiter les libertés puisque bientot, les gens seront enfin tentés par de vraies révoltes, la france ne doit pas se priver de cette mode universelle

boubourou a raison, les pseudos islamistes des banlieues francaises sont manipulés à souhait, hélas, c'est par ce que aussi ils le veulent bien

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S'il avait dit les Islamistes ok, mais pas les musulmans

Sinon ceux qui combattent les autres perderont, les agresseurs ne vainqueront jamais

S'il combat les pauvres de france il sera perdant à tout les coup, s'il combat les musulmans aussi il perdant

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Il raconte que de la m.erde les gars ne lui trouvez pas des excuses !!

 

Et a ses petits jeunes "beurs" perdues des cités certes ils sont cons mais en leur a pas donné de quoi se cultiver pour être plus futfut !

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