Jump to content

Abdelaziz BOUTEFLIKA ou le symbole de la médiocrité Algérienne


Recommended Posts

Président de la république contesté par le peuple mais élu à 70% ?

 

Le paquet cadeau empoisonné offert par les généraux corrompus à la population algérienne pour la mettre au pas de l'injustice.

 

Un comportement arrogant avec la population, insultant avec les familles des victimes, malhonnête avec le peuple, tricheur et dictateur comme les plus grands despotes des pays de l'est du temps de la guerre froide.

 

La grande Algérie révolutionnaire, mérite mieux que ce guignol à sa tête, ce menteur invétéré, ce corrompu et ce malade qui gouverne tout en urinant dans ses couches culottes.

 

Un frere said, qui dit au joueur français marié a une espagnol Zidane, je sui a votre disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit.

Ce sont vraiment des poubelles.

Link to post
Share on other sites

Ce corrompu fut nommé Président de la République Algérienne par les corrompus du cabinet Noir

 

Ce manipulateur a ouvert les portes alégrienne à la Franc-maconnerie Française pour se protéger.

 

Décidement, les escrocs ont compris que le "bakchiche" ne suffit pas à leur sérénité et qu'il faut avoir un garde de fou pour ne pas être inquiété par la communauté internationale.

 

La solution adoptée par le voleur Hadj Mokhtar LOUHIBI (grand maître du grand Orient de France) a fait des émules en la personne de ce président corrompu.

 

Abdelaziz BOUTEFLIKA était inconnu des jeunes algériens de 20 ans lorsqu'il a été amené au pouvoir en 1999 comme paquet cadeau, par les généraux du cabinet noir.

 

Il a été installé sans aucun légitimité populaire sachant que si à la place de BOUTEFLIKA abdelaziz, les généraux avaient choisi un chien avec un tête d'homme pour le placer au pouvoir supprême, il n'y aurait eu aucunce différence.

 

Pour montrer une facade démocratique vis à vis de la communauté internationale, les urnes ont été bourrées pour le faire élire à plus de 90%.

 

Pourtant, Abdelaziz BOUTEFLIKA fut le premier homme politique algérien, a avoir ouvert la voie de la corruption en Algérie, au temps de la présidence de Houari BOUMEDIENNE.

 

Mis à mal par la venue du président Mohamed BOUDIAF qui a failli les emporter dans sa vague anti-corruption, les généraux du cabinet noir avait l'obligation de ramener un corrompu au pouvoir, pour être certain de poursuivre leurs magouilles en toute quiétude.

 

Voila comment efut placé à la présidence de la République Algérienne, cet homme qui, sans le sou en 1962, est devenu l'homme le plus riche d'Algérie en 2012.

 

Il est l'ami qui a placé à la tête de la SONATRACH, les corrompus et il a protégé le ministre du Pétrole, Chakib KHALIL, de la prison alors qu'un voleur de sac est directement incarcéré en algérie.

 

Il est le frère de Saïd BOUTEFLIKA, que l'avenir mettra au devant la scène pour des affaires pétillantes.

 

Beaucoup attendent pour régler leurs comptes avec celui qui dont l'arrogance en a humilie plus d'un.

 

"notre politique est couverte par des murs en verre ou tout le monde peut voir"

Link to post
Share on other sites

Ce guignol est téllement sûr de lui, de l'impunité de sa corruption, du soutien des militaires mais aussi de celui du Général Med MEDIENE qui le maintient sous surveillance, qu'il débite n'importe quoi.

 

Le départ de Abdelaziz BOUTEFLIKA est une certitude et le général TOUFIK s'oppose fermement à une succession monarchique.

 

Son parti est en marche pour que le futur président algérien soit issu de la DRS car le dictature occulte tire ses dernières cartouches car nous allons vers une dictature transparente.

 

Abdelaziz BOUTEFLIKA est le poison des familles de victimes du terrorisme et il fait parti du clan de OUDJDA à savoir les traitres de la révolution algérienne.

 

Comment Bouteflika a fait piller l'Algérie :

 

Ce voleur a fait passé une loi pour légaliser la corruption et le pillage du pays. Le pilage se fait en toute transparence et sans souci...

 

Placé par BOUTEFLIKA, le ministre de l'énergie Chekib Khellil va donc mettre en œuvre en Algérie la fameuse ‘clause d'urgence' qu'il généralise dans tous les appels d'offres,(Centerblog).

 

Cette clause va constituer la colonne vertébrale et l'ossature du pillage du pays et la neutralisation voire l'asservissement de toutes les instances civiles et militaires du pays par Bouteflika.

 

Portée par des travaux d'infrastructures, opportunément pharaoniques , en particulier pour Sonatrach, Sonelgaz, les télécoms et le BTP, la clause d'urgence devient l'eldorado pour tous les experts de la surfacturation

Link to post
Share on other sites

Bouteflika n'est pas contesté par le peuple, je regrette, mais par des jeunes malintentionnés et qui ne disent pas el hamdoullah, bouteflika n'est pas dieu, le peuple l'aime car il a donné et a changé vers le meilleur, certe il y'a corruption comme ailleurs, mais c'est pas de sa faute, chaque voleur est responsable de lui meme

 

Bouteflika avec sa maladie et sa vieillesse est un symbome comme la Reine d'Angleterre

c'est ce que j'ai compris

Link to post
Share on other sites
Bouteflika n'est pas contesté par le peuple, je regrette, mais par des jeunes malintentionnés et qui ne disent pas el hamdoullah, bouteflika n'est pas dieu, le peuple l'aime car il a donné et a changé vers le meilleur, certe il y'a corruption comme ailleurs, mais c'est pas de sa faute, chaque voleur est responsable de lui meme

 

Bouteflika avec sa maladie et sa vieillesse est un symbome comme la Reine d'Angleterre

c'est ce que j'ai compris

:

 

C'est pathetique...peut etre qu'il faut instaurer le baise main pour honnorer cet amour de dieu vivant ?_

Link to post
Share on other sites

Algérie : la diplomatie américaine s'intéresse au frère de Bouteflika

 

(D’Alger) Pour Washington, cet homme demeure une énigme, un mystère. Secret mais puissant, effacé mais omniprésent, discret mais influent, Said Bouteflika, le jeune frère du président algérien, intrigue les Américains, comme en atteste un télégramme diplomatique révélé par Wikileaks.

 

Qui est-il ? Quel rôle joue-t-il auprès de son frère ? Quelles sont ses ambitions politiques ? Quel crédit accorder au parti politique dont on dit qu’il ambitionne de lancer ? Son frère Bouteflika nourrit-il l’espoir de lui assurer sa succession en lui confiant le poste de vice-président ?

 

Pour percer le mystère, le Département d’Etat a donc réclamé de ses diplomates en poste en Algérie, en Tunisie, en France et au Maroc des informations sur Said Bouteflika. Ils veulent dresser un portrait aussi détaillé que possible de celui qu’on considère comme l’œil du président.

 

Dans un câble envoyé mardi 8 décembre 2008 à Alger, Paris, Tunis et Rabat, le Département d’Etat américain transmet un questionnaire en huit points pour obtenir un véritable feedback sur Said Bouteflika.

 

Ses accointances au sein de l’armée, ses alliés politiques, ses ennemis, son éventuelle implication dans des affaires de corruption, ses liens avec le FLN, avec le RND, sa relation avec son frère président. Les Américains veulent tout savoir.

 

Mieux encore, des informations personnelles sur sa carrière, son éducation, ses habitudes, son statut marital, son tempérament, ses centres d’intérêts, sont également les bienvenues. Bref, tout sur Said Bouteflika.

 

Un successeur potentiel ?

 

 

L’intérêt pour Said, 54 ans, ancien universitaire, est d’autant plus important que les Américains manquent cruellement de données sur cet homme qu’on présentait alors -et qu’on présente encore-, comme un successeur potentiel du président Bouteflika.

 

Si Said est aussi discret qu’un moine reclus, s’il fuit les lumières préférant le confort de l’ombre, il n’est pas moins craint pour les pouvoirs réels ou supposés que lui confèrent son nom - Bouteflika- et sa proximité avec son frère chef de l’Etat.

 

De lui, on dit tout. Mais de lui on sait vraiment peu. Avant l’élection d’Abdelaziz Bouteflika en avril 1999, Said exerçait les fonctions de professeur d’informatique à l’université de Bab-Ezzouar. A l’époque, il fut membre du CNES, le syndicat des enseignants, et fréquentait même les cercles de l’extrême gauche.

 

Depuis l’intronisation d’Abdelaziz, Said est officiellement conseiller à la présidence, nommé par décret non publiable.

 

Et ces onze années passées au cœur du pouvoir ont fait de lui un autre homme. Un vizir qui fait et défait les carrières, un personnage qui aurait jeté ses tentacules sur divers secteurs d’affaires, un homme qui fraye avec industriels, importateurs et businessmen de tous acabits, un intriguant qui agit derrière le grand frère.

 

C’est que sa discrétion autant que celle de ces autres frères contribue à alimenter la légende.

 

Ce câble de l’ambassade US à Paris, émis le 16 décembre 2009, et révélé par le site Wikileaks, dresse un portrait toutes en nuances de Said Bouteflika.

 

S’il ne perce par les mystères qui entourent le frère, ce mémo permet néanmoins de saisir la température ambiante en Algérie un mois après la révision de la constitution de novembre 2008 qui autorise Bouteflika à briguer un troisième mandat.

 

 

 

Document : le câble de l’ambassade US à Paris sur Said Bouteflika

 

« Résumé : Les Français ont peu d’informations sur la vie privée, les opinions personnelles et les ambitions politiques de Said Bouteflika, selon Anne-Claire Legendre, chef de bureau Algérie au ministère français des Affaires étrangères.

 

Néanmoins, Legendre a déclaré à Poloff [diplomate américain à Paris, ndlr] le 14 décembre, sur la base de sources et d’analyses françaises, qu’elle croit savoir que Said a commencé a jouer un rôle significativement important dans la vie politique algérienne, culminant dans son rôle décisif dans la gestion de la compagne 2008 pour la réélection de son frère, le président Bouteflika.

 

Comme directeur de champagne, Said a travaillé étroitement avec les dirigeants du RND, a rapporté Legendre : elle a décrit le groupe avec lequel il a collaboré comme “ des technocrates laïques et des businessmen ”, et s’est demandé si cette relation étroite pouvait donner un aperçu sur la vision du monde de Said.

 

Plus loin, Legendre s’est demandée si les frères Bouteflika ne dissimulent pas leurs plans pour la succession pour bâtir un soutien parmi l’élite algérienne, qui demeure défiante à toute tentative de “ personnaliser ” la présidence à travers la création d’une dynastie familiale.

 

Elle a également abordé l’opposition parmi cette élite à la création d’un nouveau parti politique par Said, et les tentatives supposées de Abdelaziz en 2008 de créer pour Said un poste de vice-président.

 

Secret et discret

 

Anne Claire Legendre a dit que les tentatives françaises pour percer ses plans pour la succession se sont heurtées au secret qui entoure le président Bouteflika. Les frères Bouteflika ont remarquablement réussi à limiter l’accès du public aux informations relatives à leurs vies privées ainsi qu’à leurs accointances politiques, a fait observer Legendre. Conséquemment aux secrets qui entourent les Bouteflika, le gouvernement français a peu d’informations sur la santé des deux frères, a affirmé Legendre, quoi, a-t-elle remarqué, Abdelaziz maintient un agenda régulier et soutenu.

 

Elle a décrit l’absence de rapports sur les Bouteflikas comme particulièrement remarquable quand on les compare aux critiques souvent véhémentes du système politique algérien lancées par des journalistes à l’intérieur et l’extérieur du pays.

 

Elle a noté qu’Abdelaziz n’a jamais été photographié avec une femme. Il semble, selon elle, que les journalistes algériens aient adopté une forme d’ “ auto-censure” en s’abstenant d’écrire sur “le clan Bouteflika. ”

 

D’éventuelles raisons pour différer les plans de succession

 

En plus de leur fort penchant pour le secret et la discrétion, les frères Bouteflika pourraient avoir une autre motivation pour dissimuler leurs plans de succession : un désir d’obtenir l’appui des élites algériennes, qui restent réfractaire à toute tentative de “personnaliser” la présidence, selon Legendre.

 

Elle a dit que les Algériens perçoivent leur pays comme ayant un héritage révolutionnaire plutôt que dynastique, - une présidence basée sur un “culte de la personnalité ” est étranger à la tradition de la politique algérienne, a fait valoir Legendre

 

À cet égard, a-t-elle dit, les Algériens se considèrent en quelque sorte supérieur à leurs voisins d’Afrique du Nord, y compris le Maroc, la Libye, la Tunisie et même l’Égypte, dont les dirigeants semblent tous déterminés à assurer à un parent la succession à la tête de l’Etat. Ainsi, lorsque Abdelaziz a poussé le Parlement à réformer la Constitution en novembre 2008 pour lui permettre de briguer un troisième mandat, les Algériens étaient “ choqués ” par ce qu’ils perçoivent comme la “personnalisation” de la présidence.

Link to post
Share on other sites

DETROMPEZ-VOUS !!!

 

Président de la république contesté par le peuple mais élu à 70% ?

 

Le paquet cadeau empoisonné offert par les généraux corrompus à la population algérienne pour la mettre au pas de l'injustice.

 

Un comportement arrogant avec la population, insultant avec les familles des victimes, malhonnête avec le peuple, tricheur et dictateur comme les plus grands despotes des pays de l'est du temps de la guerre froide.

 

La grande Algérie révolutionnaire, mérite mieux que ce guignol à sa tête, ce menteur invétéré, ce corrompu et ce malade qui gouverne tout en urinant dans ses couches culottes.

 

Un frere said, qui dit au joueur français marié a une espagnol Zidane, je sui a votre disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit.

Ce sont vraiment des poubelles.

 

Qui vous a dit que le président Bouteflika est contesté par le peuple ?

De quel peuple vous parlez ?

Des abonnées des grands salons de la capitale ?

Détrompez-vous le président Bouteflika a toujours été et est, encore malgré sa maladie, estimé et respecté par le PEUPLE, le vrai PEUPLE de l'Est à l'Ouest et du Nord au Sud du pays !!!

Ce n'est pas le présidents Bouteflika qui pose problème à l'Algérie ce sont vos semblables, ces ingrats régionalistes qui ne cessent de colporter de fausses rumeurs sur toutes les personnalités nationales mortes ou vives qui constituent le vrai problème.

Link to post
Share on other sites
Bouteflika et ses freres n ont jamais aimé l Algerie, ce sont desopportunistes et des voleurs, merci la rente petroliere sinon y aurait pas de programmes de construction de logement, donc bla mzia ya sid rais.

 

Qu'on sais tu? c'est toi qui n'aime pas l'Algerie et qui vole surement, ils te dérangent car tu ne peux pas voler avec eux, s'il n y'a pas de pétrole, c'est pas la faute de bouteflika, lui et ses frères gerent une Algerie dépendantes du Gaz et du pétrole, si le peuple ne produit pas c'est pas la faute du rais

Link to post
Share on other sites
  • 1 month later...

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...