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Approvisionnement en blé, L’Algérie va importer 500 mille tonnes


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J'ai vu sur internet une nouvelle technique utilisée par les agriculteurs de Sétif. Ils ne labourent plus la terre. Cela fait des économies de gazoil, ça va plus vite à semer et ça donne de meilleurs rendements.

 

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car pendant la moisson il moissone en retard et le blé tombe et automatiquement ça repousse des les premières pluies et voila la raison

 

pendant la révolution certaine zone n'ont jamais été labouré et ont fait des rendement incroyable et surtout aprés l'indépendance et le retour des paysans a leurs terre ils ont découvert une récolte historique

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c'est vrais ce que tu dit mais malheureusement maintenant meme ci on semence notre blé d'origine il prendra la forme du blé importé renseignement pris auprés des agriculteurs algériens

 

On n'a même pas de chercheurs agronomes dignes de ce nom 50 ans après l'indépendance !

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Archives édition du 19/06/2012 Economie El Watan

 

Khaled Yacine Bachtarzi. Meilleur producteur céréalier à Guelma

«Je m’inspire beaucoup des techniques françaises»

 

 

le 19/06/2012

 

Khaled Yacine Bachtarzi a été retenu, cette année, parmi les rares céréaliculteurs qui ont produit jusqu’à 80 quintaux de blé à l’hectare. Il nous parle, dans cet entretien, de son expérience et des techniques qui lui ont permis de réaliser cette prouesse.

- Parlez-nous un peu des performances que vous avez réalisées…

 

Actuellement, je tourne autour de 70 à 80 quintaux à l’hectare en blé tendre, surtout pour la variété HD 1220. Je suis champion dans ma région et mes performances ont été progressives, passant de 39 à 42 q, puis 44 q avec des pics de 54 q à 58 q sur de petites parcelles. Cette année, je suis arrivé à plus de 70 q à l’hectare.

 

- Quel est le secret de cette performance ?

 

Il est beaucoup plus lié à la préparation du lit de semence, le savoir-faire, le désherbage d’appoint au moment opportun, sans oublier bien sûr le concours du bureau d’études Syngenta Algérie qui nous a accompagnés et a fait un travail de vulgarisation de l’utilisation de produits agricoles. L’utilisation préventive des fongicides pour le traitement des maladies est aussi pour beaucoup dans les performances que j’ai réalisées. Je dois aussi préciser que je m’inspire beaucoup des techniques françaises, en ce sens que la France demeure un modèle dans céréaliculture.

 

- Qu’en est-il du blé dur ?

 

En blé dur, j’exploite de petites surfaces de 10 ou 15 hectares seulement, où je réalise quelques pics de 50 q. Mais l’incitation des 1000 DA de différence entre le prix garanti pour le blé tendre et le blé dur à la collecte m’a poussé à reprendre la production du blé dur.

 

- Quel type d’irrigation utilisez-vous ?

 

Cela fait trois ans que j’utilise une irrigation d’appoint. Mais beaucoup plus en avril, lorsque la pluviométrie diminue.

 

- Quelles sont les conditions techniques pour améliorer les rendements ?

 

Nous avons actuellement une perte flagrante de production estimée à hauteur 30% qu’on peut récupérer bien sûr. Mais cela demande une bonne préparation des lits de semence avec un matériel un peu spécifique et des semoirs plus performants. C’est une affaire de densité au mètre carré. Pour réduire les pertes, en ce qui me concerne, je fais deux passages en désherbant et trois en fongicide, avec une rampe de pulvérisateurs de 12 mètres. Par contre, avec des pulvérisateurs de 24 mètres, on peut éviter l’empiétement des céréales. Mais les grandes pertes actuellement, estimées entre 10 et 15%, sont engendrées par les moissonneuses-batteuses qui sont conçues pour des récoles de 15 à 25 quintaux à l’hectare. Ce sont d’anciens modèles, alors que la norme aujourd’hui est à l’euro 3 et l’euro 4, disposant de secoueurs.

 

 

Lyès Mechti

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Exact, il faudrait augmenter les prix, mais augmenter les allocations familliales aux familles pauvres.

 

Tout à fait ...

 

Il est totalement absurde que le milliardaire puisse bénéficier directement des subventions étatiques pour le pain ou ce qu'on appelle par le "lait en sachet"

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Archives édition du 19/06/2012 Economie El Watan

 

Khaled Yacine Bachtarzi. Meilleur producteur céréalier à Guelma

«Je m’inspire beaucoup des techniques françaises»

 

 

le 19/06/2012

 

Khaled Yacine Bachtarzi a été retenu, cette année, parmi les rares céréaliculteurs qui ont produit jusqu’à 80 quintaux de blé à l’hectare. Il nous parle, dans cet entretien, de son expérience et des techniques qui lui ont permis de réaliser cette prouesse.

- Parlez-nous un peu des performances que vous avez réalisées…

 

Actuellement, je tourne autour de 70 à 80 quintaux à l’hectare en blé tendre, surtout pour la variété HD 1220. Je suis champion dans ma région et mes performances ont été progressives, passant de 39 à 42 q, puis 44 q avec des pics de 54 q à 58 q sur de petites parcelles. Cette année, je suis arrivé à plus de 70 q à l’hectare.

 

- Quel est le secret de cette performance ?

 

Il est beaucoup plus lié à la préparation du lit de semence, le savoir-faire, le désherbage d’appoint au moment opportun, sans oublier bien sûr le concours du bureau d’études Syngenta Algérie qui nous a accompagnés et a fait un travail de vulgarisation de l’utilisation de produits agricoles. L’utilisation préventive des fongicides pour le traitement des maladies est aussi pour beaucoup dans les performances que j’ai réalisées. Je dois aussi préciser que je m’inspire beaucoup des techniques françaises, en ce sens que la France demeure un modèle dans céréaliculture.

 

- Qu’en est-il du blé dur ?

 

En blé dur, j’exploite de petites surfaces de 10 ou 15 hectares seulement, où je réalise quelques pics de 50 q. Mais l’incitation des 1000 DA de différence entre le prix garanti pour le blé tendre et le blé dur à la collecte m’a poussé à reprendre la production du blé dur.

 

- Quel type d’irrigation utilisez-vous ?

 

Cela fait trois ans que j’utilise une irrigation d’appoint. Mais beaucoup plus en avril, lorsque la pluviométrie diminue.

 

- Quelles sont les conditions techniques pour améliorer les rendements ?

 

Nous avons actuellement une perte flagrante de production estimée à hauteur 30% qu’on peut récupérer bien sûr. Mais cela demande une bonne préparation des lits de semence avec un matériel un peu spécifique et des semoirs plus performants. C’est une affaire de densité au mètre carré. Pour réduire les pertes, en ce qui me concerne, je fais deux passages en désherbant et trois en fongicide, avec une rampe de pulvérisateurs de 12 mètres. Par contre, avec des pulvérisateurs de 24 mètres, on peut éviter l’empiétement des céréales. Mais les grandes pertes actuellement, estimées entre 10 et 15%, sont engendrées par les moissonneuses-batteuses qui sont conçues pour des récoles de 15 à 25 quintaux à l’hectare. Ce sont d’anciens modèles, alors que la norme aujourd’hui est à l’euro 3 et l’euro 4, disposant de secoueurs.

 

 

Lyès Mechti

 

 

Si ce Mr dit vrai , l'état devra absolument penser à en faire un "guide suprême" de la céréaculture Algérienne .

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Faut remercier Boumédiène le bolchévique qui s'est pris pour Staline avec sa réforme agraire qui a totalement ruiné l'agriculture algérienne. Quand on pense qu'avant l'Algérie était le grenier de l'Europe c'est à se taper la tête contre les murs

 

Pfff quel niveau d'analyse!!!

- Boumèdiène a vu la pauvreté des masses paysannes (famines et désolation). Il ne faut pas que c'était un rural. Il s'est promis de remédier à cela.

 

- Il faut savoir que bcp de batons ont été mis dans les roues des coopératives agricoles,

 

- quant à grenier de l'Europe... Cela a existé quand la population algérienne était de 3 000 000 d'habitants. Nous somme 37 000 000 et nous voulons tous consommer de la viande ya djahel.

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Pfff quel niveau d'analyse!!!

- Boumèdiène a vu la pauvreté des masses paysannes (famines et désolation). Il ne faut pas que c'était un rural. Il s'est promis de remédier à cela.

 

- Il faut savoir que bcp de batons ont été mis dans les roues des coopératives agricoles,

 

- quant à grenier de l'Europe... Cela a existé quand la population algérienne était de 3 000 000 d'habitants. Nous somme 37 000 000 et nous voulons tous consommer de la viande ya djahel.

 

Faut toujours tout t'expliquer le simplet, Boumédiène a sacrifié des centaines des milliers d'hectares pour développer une industrie lourde inefficace qui a ruiné toute une classe sociale. Résultat ni agriculture et ni industries

 

Ca faisait juste 2 000 ans que c'était le cas et ça été anéanti en 10 ans

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Faut toujours tout t'expliquer le simplet, Boumédiène a sacrifié des centaines des milliers d'hectares pour développer une industrie lourde inefficace qui a ruiné toute une classe sociale. Résultat ni agriculture et ni industries

 

Ca faisait juste 2 000 ans que c'était le cas et ça été anéanti en 10 ans

 

Ya zine, c'est grâce à l'industrie lourde que les agriculteurs ont des des engrais, des tracteurs, des charrues et des moissonneuses batteuses.

 

On ne développe pas un pays en produisant que du batikh.:mdr:

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Ya zine, c'est grâce à l'industrie lourde que les agriculteurs ont des des engrais, des tracteurs, des charrues et des moissonneuses batteuses.

 

On ne développe pas un pays en produisant que du batikh.:mdr:

 

Tu le fais exprès ma parole, pourquoi l'Algérie alors passée d'exportateur à importateur tête de nave ?

 

On ne produit rien pour un pays le plus grand d'Afrique et ça coûte chaque d'année des centaines de millions en importations

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Tu le fais exprès ma parole, pourquoi l'Algérie alors passée d'exportateur à importateur tête de nave ?

 

On ne produit rien pour un pays le plus grand d'Afrique et ça coûte chaque d'année des centaines de millions en importations

 

Vous semblez oublier que ces exportations ont pu se faire car les colons exportaient du blé aux dépends de la population algérienne qui connaissait la famine.

 

Il suffit de taper "famine Algérie" sur google pour être informé.

 

La famine de 1866-1868 : anatomie... - Revue d'histoire du XIXe siècle

http://www.revues.org › Revue d'histoire du XIXe siècle › 41 › Articles‎

de B Taithe - ‎Autres articles

30 déc. 2013 - Cet article montre comment une crise sanitaire et alimentaire en Algérie, entre 1866 et 1868, est perçue comme une « famine » et construite ...

Conquête de l'Algérie par la France — Wikipédia

fr.wikipedia.org/wiki/Conquête_de_l'Algérie_par_la_France‎

Cette conquête se conclut par l'annexion de l'Algérie à la République française, via la ...... Sauterelles, tremblement de terre, choléra, famine, Alger, 1869.

La famine n'est pas la conséquence d'un manque de nourriture c'est ...

http://www.forum-algerie.com/economie/www.realinfos.wordpress.com/.../la-famine-n’est-pas-la-consequence-d’un-ma...‎

16 juin 2011 - Pour l'histoire, l'Algérie connut aussi plusieurs famines, celle de 1868 fut particulièrement atroce, la population algérienne, d'environ 3 millions ...

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Faut remercier Boumédiène le bolchévique qui s'est pris pour Staline avec sa réforme agraire qui a totalement ruiné l'agriculture algérienne. Quand on pense qu'avant l'Algérie était le grenier de l'Europe c'est à se taper la tête contre les murs

 

Mr Aynazppr75, vous êtes un ignare.

Vous ne connaissez pas l'histoire de votre propre pays.

Si la France exportait du blé, l'une des conséquences a été la famine de la population algérienne

Lisez ces description des effets de la dépossession de la paysannerie algérienne (loi du Senatus consult):

La famine de 1866-1868 : anatomie... - Revue d'histoire du XIXe siècle

rh19.revues.org › Revue d'histoire du XIXe siècle › 41 › Articles‎

 

 

"À la fin des années 1860, sans que l’on puisse encore parler de sciences de la nutrition, une perception relativement fine des besoins alimentaires émerge pour certaines populations, notamment militaires. Cette forme de savoir reste cependant peu répandue19. Il demeure donc difficile pour un administrateur colonial de connaître les besoins de ses administrés, et de juger quand ces besoins inassouvis font basculer une population entière dans une catastrophe démographique. L’administration coloniale en Algérie ne perçoit pas le risque de famine parce qu’elle ne se soucie pas de l’alimentation indigène et n’est pas en mesure de saisir le moment où une sécheresse devient famine. Les liens de causalité entre les deux phénomènes sont d’autant plus difficiles à établir que l’Algérie, tout comme l’Irlande une génération plus tôt, continue d’exporter des produits que sa population n’a pas les moyens de se procurer20. La complexité de la crise alimentaire de 1866-1868 résulte ainsi à la fois d’un manque immédiat de récoltes, de stocks en silos limités, de l’absence de numéraire et de l’intégration asymétrique de l’agriculture vivrière et du pastoralisme traditionnel à une nouvelle économie agricole tournée vers l’exportation. L’ampleur même du désastre ne devient évidente que par recoupement détaillé d’informations sur une longue période ou par l’irruption soudaine de miséreux dans les faubourgs des communes françaises".

 

Et Boumédiène connaissant cette histoire, il a essayé de restituer les terres à la paysannerie algérienne spoliée.

 

Wallah 3ib a3lik de vouloir salir sa mémoire.

Non seulement vous êtes inculte concernant l'histoire de la colonisation, mais aussi vous n'hésitez pas à attaquer des morts qui ne peuvent se défendre.

Heureusement qu'il y a eu dans ce pays des hommes qui ont voulu rendre à la paysannerie algérienne sa dignité.

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Voyez comment le système colonial a engendré la famine et tué des algériens.

Et certains sont fiers des exportations de blé.

 

 

André Nouschi estime la perte démographique nette à 25 % de la population du Constantinois33. Les variations sont considérables entre les différentes régions. Autour de Ténès, les pertes des Béni Ména s’élèveraient à 41,5 % et celles des Béni Zentis à 58,5 %. À Bougie, elles seraient inférieures à 20 % alors qu’à Tébessa, elles approcheraient 40 %. Le démographe algérien Djilali Sari, montrant les limites de la science de la population en Algérie à cette époque, révise à la hausse la population au moment de la conquête à cinq millions et réévalue parallèlement les conséquences de la crise. Il porte ainsi à 820 000 le nombre de morts liés à la « famine », sur une populationqu’il estime à 4,2 million en 1866. Entre les chiffres de l’historiographie algérienne et ceux, somme toute impressionnistes, de l’administration française, c’est entre 10 % et un tiers de la population qui meurt.

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Ce discours de l’abject atteint son paroxysme dans la lettre du 20 février 1868 lue en chaire dans divers évêchés : « Les colons de mon village, m’écrit le Curé de Mahelma [l’un des villages emblématique de la colonisation militaire de Bugeaud], viennent d’être les témoins du fait suivant : une voiture chargée de fumier était en marche pour se rendre aux champs et des Arabes en arrachaient les débris de feuilles de choux et de pelures de navets, qu’ils secouaient et dévoraient avidement », et les femmes ramasseraient « ces grains non digérés qui se trouvent dans le crottin de cheval »55.

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Ya zine, c'est grâce à l'industrie lourde que les agriculteurs ont des des engrais, des tracteurs, des charrues et des moissonneuses batteuses.

 

On ne développe pas un pays en produisant que du batikh.:mdr:

 

a quel prix ces moissoneuses bateuse pour un simple paysan qui ne pourra jamais s'acquérir et un tracteur a quel prix ?

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a quel prix ces moissoneuses bateuse pour un simple paysan qui ne pourra jamais s'acquérir et un tracteur a quel prix ?

 

Cela coûte très cher, j'en conviens.

Achtarkou ou achriw tractor oua l'machina.

 

Il faut s'associer à plusieurs.

 

Pour être rentable une moissonneuse-batteuse ne doit pas travailler chez un seul agriculteur et être remisée au garage.

 

Achtarkou khouya, achtarkou.

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Cela coûte très cher, j'en conviens.

Achtarkou ou achriw tractor oua l'machina.

 

Il faut s'associer à plusieurs.

 

Pour être rentable une moissonneuse-batteuse ne doit pas travailler chez un seul agriculteur et être remisée au garage.

 

Achtarkou khouya, achtarkou.

minimum cinquante paysans pour acheté un tracteur et pour une moisoineuse batteuse peut etre cent paysans
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Mr Aynazppr75, vous êtes un ignare.

Vous ne connaissez pas l'histoire de votre propre pays.

Si la France exportait du blé, l'une des conséquences a été la famine de la population algérienne

Lisez ces description des effets de la dépossession de la paysannerie algérienne (loi du Senatus consult):

La famine de 1866-1868 : anatomie... - Revue d'histoire du XIXe siècle

rh19.revues.org › Revue d'histoire du XIXe siècle › 41 › Articles‎

 

 

"À la fin des années 1860, sans que l’on puisse encore parler de sciences de la nutrition, une perception relativement fine des besoins alimentaires émerge pour certaines populations, notamment militaires. Cette forme de savoir reste cependant peu répandue19. Il demeure donc difficile pour un administrateur colonial de connaître les besoins de ses administrés, et de juger quand ces besoins inassouvis font basculer une population entière dans une catastrophe démographique. L’administration coloniale en Algérie ne perçoit pas le risque de famine parce qu’elle ne se soucie pas de l’alimentation indigène et n’est pas en mesure de saisir le moment où une sécheresse devient famine. Les liens de causalité entre les deux phénomènes sont d’autant plus difficiles à établir que l’Algérie, tout comme l’Irlande une génération plus tôt, continue d’exporter des produits que sa population n’a pas les moyens de se procurer20. La complexité de la crise alimentaire de 1866-1868 résulte ainsi à la fois d’un manque immédiat de récoltes, de stocks en silos limités, de l’absence de numéraire et de l’intégration asymétrique de l’agriculture vivrière et du pastoralisme traditionnel à une nouvelle économie agricole tournée vers l’exportation. L’ampleur même du désastre ne devient évidente que par recoupement détaillé d’informations sur une longue période ou par l’irruption soudaine de miséreux dans les faubourgs des communes françaises".

 

Et Boumédiène connaissant cette histoire, il a essayé de restituer les terres à la paysannerie algérienne spoliée.

 

Wallah 3ib a3lik de vouloir salir sa mémoire.

Non seulement vous êtes inculte concernant l'histoire de la colonisation, mais aussi vous n'hésitez pas à attaquer des morts qui ne peuvent se défendre.

Heureusement qu'il y a eu dans ce pays des hommes qui ont voulu rendre à la paysannerie algérienne sa dignité.

 

Tu es non seulement stupide mais en plus ignorant à en manger du foin. Je vais te faire un rapide cours d'histoire, sous Carthage et Rome l'Algérie actuelle fournissait déjà l'Empire ton bolchévique à la mode arabe a ruiné toutes les bonnes terres et a créé une pénurie alimentaire dont on voit encore les stigmates avec une dépendance alimentaire totale. A l'époque les algériens étaient même soumis à un rationnement de 2 000 kal par jour

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Tu es non seulement stupide mais en plus ignorant à en manger du foin. Je vais te faire un rapide cours d'histoire, sous Carthage et Rome l'Algérie actuelle fournissait déjà l'Empire ton bolchévique à la mode arabe a ruiné toutes les bonnes terres et a créé une pénurie alimentaire dont on voit encore les stigmates avec une dépendance alimentaire totale. A l'époque les algériens étaient même soumis à un rationnement de 2 000 kal par jour

la révolution agraire avait ses bons cotés positifs, ceux de la ta3aouniya pouvaient passer toute la journée à jouer aux cartes et aux dominos, alors que les terres que l’état leur avait fournis pour les exploiter, ils les louaient aux particuliers.......le système qui avait ruiné la Russie, une cinquantaine d'années auparavant, on pouvait le refaire sans crainte, le pétrole couvrait toutes les pertes...

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la révolution agraire avait ses bons cotés positifs, ceux de la ta3aouniya pouvaient passer toute la journée à jouer aux cartes et aux dominos, alors que les terres que l’état leur avait fournis pour les exploiter, ils les louaient aux particuliers.......le système qui avait ruiné la Russie, une cinquantaine d'années auparavant, on pouvait le refaire sans crainte, le pétrole couvrait toutes les pertes...

 

Merci la rente pétrolière c'est sûr, 22 milliards foutus en l'air en 13 ans ... sans parle de toutes les initiatives privées saccagées par les nationalisations de mes 2

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