Jump to content

Hommage à Amel assassinée en 97


Recommended Posts

641073amelllllllllllllllllllllllllllllllllll.jpg

 

Elle s’appelle Amel Zenoune Zouani. Elle fut une jeune fille pleine d’espoir et elle avait tout l’avenir devant elle. Et au moment où son pays, l’Algérie, était à feu et à sang, cette jeune femme avait refusé de se plier au diktat des groupes terroristes qui faisaient régner la terreur au centre du pays notamment sur la plaine de la Mitidja où des populations civiles furent massacrées et assassinées.

 

Parce qu’elle avait voulu continuer ses études et jouir de ses droits de citoyenne à part entière, elle fut égorgée par des terroristes assoiffés de haine et de fanatisme le 26 janvier 1997 tout près de Sidi Moussa, plus exactement sur la route de Benidja alors qu’elle revenait par bus de son université. Ce crime barbare a été perpétré en plein Ramadan, le 17e jour, un mois sacré de pitié et piété. La jeune femme fut donc sauvagement assassinée, ce qui n’a pas manqué de susciter à l’époque une grande émoi au sein de l’opinion publique algérienne.

 

Et aujourd’hui encore, l’indignation et la consternation ne se sont pas estompées puisque ce crime demeure presque impuni, comme de nombreux autres crimes commis durant la décennie noire.

 

[B]Et pour ne pas oublier cette martyre qui a résisté courageusement à l’obscurantisme que tentait d’imposer des groupes armés, un collectif citoyen a organisé le 26 janvier dernier sur les lieux de ce crime abject à Sidi Moussa. Une dizaine de citoyens ont mis en terre un plant de jasmin et ont allumé 17 bougies rouges en hommage à cette jeune femme algérienne, quelque part le symbole de la féminité meurtrie des Algériennes pendant cette sinistre période. Une minute de silence a été également observée par ces citoyens en mémoire d’Amel et toutes les victimes du terrorisme qui a endeuillé des milliers de familles algériennes à travers tout le pays. La famille de la défunt victime a participé également à cette cérémonie, l’une des rares initiatives organisées en Algérie où les victimes de la décennie noire sont souvent, pour ne pas dire presque toujours, tombés dan*/blog/2014/01/hommage-a-la-jeune-as l’oubli.

Link to post
Share on other sites
641073amelllllllllllllllllllllllllllllllllll.jpg

 

Elle s’appelle Amel Zenoune Zouani. Elle fut une jeune fille pleine d’espoir et elle avait tout l’avenir devant elle. Et au moment où son pays, l’Algérie, était à feu et à sang, cette jeune femme avait refusé de se plier au diktat des groupes terroristes qui faisaient régner la terreur au centre du pays notamment sur la plaine de la Mitidja où des populations civiles furent massacrées et assassinées.

 

Parce qu’elle avait voulu continuer ses études et jouir de ses droits de citoyenne à part entière, elle fut égorgée par des terroristes assoiffés de haine et de fanatisme le 26 janvier 1997 tout près de Sidi Moussa, plus exactement sur la route de Benidja alors qu’elle revenait par bus de son université. Ce crime barbare a été perpétré en plein Ramadan, le 17e jour, un mois sacré de pitié et piété. La jeune femme fut donc sauvagement assassinée, ce qui n’a pas manqué de susciter à l’époque une grande émoi au sein de l’opinion publique algérienne.

 

Et aujourd’hui encore, l’indignation et la consternation ne se sont pas estompées puisque ce crime demeure presque impuni, comme de nombreux autres crimes commis durant la décennie noire.

 

[B]Et pour ne pas oublier cette martyre qui a résisté courageusement à l’obscurantisme que tentait d’imposer des groupes armés, un collectif citoyen a organisé le 26 janvier dernier sur les lieux de ce crime abject à Sidi Moussa. Une dizaine de citoyens ont mis en terre un plant de jasmin et ont allumé 17 bougies rouges en hommage à cette jeune femme algérienne, quelque part le symbole de la féminité meurtrie des Algériennes pendant cette sinistre période. Une minute de silence a été également observée par ces citoyens en mémoire d’Amel et toutes les victimes du terrorisme qui a endeuillé des milliers de familles algériennes à travers tout le pays. La famille de la défunt victime a participé également à cette cérémonie, l’une des rares initiatives organisées en Algérie où les victimes de la décennie noire sont souvent, pour ne pas dire presque toujours, tombés dan*/blog/2014/01/hommage-a-la-jeune-as l’oubli.

 

c'était l'époque des seringues plein d'acide que les barbus injecter sur les habilles des jeunes femmes qui n'étaient pas en hidjab

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...