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Afflux massif des émirs braconniers du Golfe en Algérie


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Afflux massif des émirs braconniers du Golfe en Algérie

 

EL WATAN 03.01.2014

 

Il y a un afflux massif d’émirs du Golfe depuis quelques jours, ils sont venus braconner dans le Sud algérien. Ce sont les wilayas de Biskra, Laghouat et El Bayadh qui enregistrent les premiers campements.

 

Selon des sources sûres, les membres de la famille royale d’Arabie Saoudite vont rejoindre incessamment la région de Mouhiken, dans la wilaya de Laghouat. L’ancien émir du Qatar, cheikh Hamed Ben Khalifa Al Thani, accompagné de l’ancien ministre des Affaires étrangères qatari, Hamed Ben Djassem, est également annoncé. Il y a quelques jours, un avion qatari a atterri à l’aéroport de Hassi R’mel où il y a actuellement un mouvement inhabituel pour déposer du matériel. L’opération s’est effectuée sous haute surveillance. Selon des travailleurs de l’aéroport, tous les moyens ont été mis à la disposition de l’équipage pour leur faciliter la tâche. Des campements royaux, des 4x4 blindés et du matériel sophistiqué ont été débarqués.

 

Les émirs préfèrent atterrir dans de petits aéroports, à savoir celui de Biskra, Laghouat, Hassi R’mel ou Ghardaïa, pour ne pas attirer l’attention. Au total, sept grandes personnalités venues du Koweït, d’Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis ont, du moins pour le moment, choisi la destination Algérie pour passer leurs vacances d’hiver et pratiquer le braconnage. La destination Maroc n’est pas tellement prisée. Le climat algérien leur convient le mieux. Le flux massif est expliqué par l’insécurité enregistrée dans les pays voisins à cause des événements du Printemps arabe. Habituellement, en plus de l’Algérie, les émirs «braconniers» choisissaient la Libye, la Tunisie, la Mauritanie, le Mali et le Soudan. Ils viennent s’installer sous la bonne escorte des forces de sécurité. Selon des indiscrétions, ils sont considérés comme des «invités de la Présidence».

 

Des groupes d’intervention de la Gendarmerie nationale et des forces militaires sont mobilisés pour la surveillance de leurs campements et pour assurer leurs déplacements. La chasse à l’outarde (houbara) est très appréciée par les braconniers qui continuent de la convoiter. Ces derniers ont même insisté auprès des autorités algériennes afin de les autoriser à chasser cette espèce, ce que l’Algérie a fini par accepter après six ans d’interdiction. Il faut également dire que les émirs profitent de la complicité et des facilitations de leurs hôtes. Des hommes d’affaires, l’un de Djelfa et l’autre originaire de Ghardaïa, sont gavés de cadeaux de la part des braconniers. Selon nos sources, 200 passeports spéciaux pour hadj leur ont été délivrés de la part des autorités saoudiennes pour avoir des facilitations de trouver de la main-d’œuvre et d’aide sur place. Et pour que leur matériel soit en sécurité après leur départ.

Aziz M.

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L'Algérie : Princes et braconniers, Saoudiens chassant les outardes Viande considérée comme ayant des pouvoirs aphrodisiaques

 

la controverse

18.01.2014

 

Tous sont égaux devant la loi, ou devraient au moins l’être dans chaque pays dans le monde, mais les exceptions sont clairement faites pour les riches, ou plutôt les très riches. L'Algérie était par exemple toujours très stricte dans le domaine de la protection animale. Si vous êtes un citoyen algérien et que vous êtes attrapé braconnant avec un quelconque vieux fusil de chasse, vous pourriez finir en prison pendant plusieurs années.

Mais si vous êtes un cheikh saoudien et que vous aimez essayer l'art antique de la fauconnerie, alors tout change. Ceci se passe en fait à Dhayet Bellegwmiri, à 20 kilomètres de Hassi-Dellâa, où un camp énorme a été installé en un temps très court. Le camp bien équipé est occupé par un groupe de Saoudiens nobles qui aiment chasser avec leurs faucons. Leur proie favorite animale sont les outardes (les grands oiseaux migrateurs qui viennent en Afrique du Nord de l'Europe en hiver) et les gazelles.

 

Leur équipement leur donne un vrai avantage sur leurs victimes possibles : des véhicules tout terrain capables de rouler vite sur le terrain sablonneux; GPS, télescopes et plus de technologie de pointe. Ils utilisent aussi des systèmes de communication sophistiqués et des cuisines roulantes, loin de la façon de chasser du peuple d'Algérie. Selon le quotidien Liberté, qui a dénoncé la situation citant ses propres sources, presque tous les assistants des princes saoudiens sont des ressortissants yéménites, tandis que les Saoudiens ont embauché les gens du pays qui connaissent bien les terrains de chasse afin de les guider à leurs proies.

 

Mais la nationalité des douzaines d’hommes armés qui protègent les princes saoudiens est peu claire. Les activistes algériens de protection des animaux ont souligné que l'on interdit absolument la chasse de l'espèce ciblée dans la zone, aussi bien que la chasse d'autres espèces dans la liste des animaux en danger. Mais les résidents locaux ont indiqué que la chasse sauvage des outardes a un motif "très humain". La viande de ce grand échassier, particulièrement son coeur et son foie, sont considérés comme étant fortement aphrodisiaques, autant que les pilules colorées célèbres.

 

Or les animaux poursuivis, comme l'outarde et beaucoup d'espèces de gazelle vivant en Algérie, sont protégés selon la législation algérienne. Mais « pecunia non olet » ("l'argent ne pue pas") et apparemment il est facile de fermer les yeux sur une activité qui braconne toujours, mais qui introduit beaucoup d'argent. (ANSAmed).

18.01.2014

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Non seulement, ils ne restent plus d 'outarde houbara dans la peninsule arabique ils ont aussi devasté l egipte, la tunisie, c est au tour maintenant de l Algerie, et le prochain c est le maroc.

J esperes qu il tueront un de leurs emirs du golf comme ça ils prendront leurs jambes a leur cou, vue qu ils ont un grand courage.

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Je deteste les pseudos nationalistes à zouj dourou!!!

 

 

Les premiers qui defendent l'algerie,ils sont les pires ennemis de ce pays!!!

 

Qui fait plus de mal à l'Algerie?

 

C'est pas l'Algerien lui meme?

 

On pleure pour deux oiseaux

 

On joue zaama les pseudos militants ecologique etc etc etc

 

Et on oublie le fond

 

 

Qui est le plus dangereux?

 

 

Celui qui affame l'algerie et place notre argent en Amerique ou celui qui veut chasser deux hmamettes insignifiantes

et que l'Algerien ignore l'exisetence

Tellement il est noyé ds ses problemes de la cherté du lait,logement,administration etc etc etc

 

 

El Watan a une haine envers les Arabes du moyen orient et il le cache pas

 

Mais faire semblant de denoncer deux bedouins et fermer les yeux sur un systeme corrompu,el watan manque de credebilité

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Les algériens ont vendu leur terre et leur dignité c'est normal que des gros porcs viennent chier en toute impunité

 

 

Je ne sais pas si t'as visité le parc zoologique à Alger?

 

 

Les pauvres animaux

Dommage qu'ils savent pas c'est quoi le suicide

Sinon ils vont tous se suicider:D:D

 

Galek les algeriens protegent l'espece animale:D

Je me demande qui va croire cette blague?

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Je ne sais pas si t'as visité le parc zoologique à Alger?

 

 

Les pauvres animaux

Dommage qu'ils savent pas c'est quoi le suicide

Sinon ils vont tous se suicider:D:D

 

Galek les algeriens protegent l'espece animale:D

Je me demande qui va croire cette blague?

 

Ce n'est pas une blague je l'ai vue

 

le probleme c'est qu'on a pas cette culture et on se contente d'imiter sans une connaissance acquise

 

bref c'est malheureux mais c'est la triste réalité

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Ce n'est pas une blague je l'ai vue

 

le probleme c'est qu'on a pas cette culture et on se contente d'imiter sans une connaissance acquise

 

bref c'est malheureux mais c'est la triste réalité

 

 

 

 

J'arrive pas à comprendre El Watan

 

 

L'ovin algerien est touché(la race de ouled jelal est menacée)

Nos cygnes menacés

Etc etc etc

Et El watan chaque année et fin janvier il nous sort sa compilation

zaamam il veut proteger les 4 ou 5 zawchs menacés par 10 emirs

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S'ils ramènent au pays des devises, c'est une bonne chose ce tourisme de luxe.

Maintenant quant aux espèces chassées, c'est aux services d'assurer des élevages pour le repeuplement.

Il ne faut pas en faire un plat.

Nous avons besoin du tourisme de luxe si cela crée de l'emploi.

 

 

El-Bayadh : Lâcher de 100 jeunes outardes dans la région de Zeboudj

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Mardi 10 septembre à 22:56

elmoudjahid.com

 

 

Une centaine de jeunes outardes ont été lâchées hier dans la région de Zeboudj, dans la commune de Brezina, wilaya d’El-Bayadh, a-t-on constaté. Troisième du genre, l’opération, qui s’inscrit dans le cadre de la coopération Algéro-Emiratie, vise, parmi ses objectifs, la protection de cette espèce d’avifaune menacée d’extinction, a indiqué le directeur général des forêts (DGF), M. Mohamed Seghir Noual. M. Noual a expliqué que ce lâcher s’inscrit au titre du programme de préservation des réserves naturelles, conformément au programme national du renouveau rural, qui a donné lieu, ces trois dernières années, au lâcher de 1.500 jeunes outardes, 700 en 2011 et 800 autres en 2012.

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Guest Damnée
S'ils ramènent au pays des devises, c'est une bonne chose ce tourisme de luxe.

Maintenant quant aux espèces chassées, c'est aux services d'assurer des élevages pour le repeuplement.

Il ne faut pas en faire un plat.

Nous avons besoin du tourisme de luxe si cela crée de l'emploi.

 

Ils viennent ici en catimini avec leur 4*4 en cercles fermés ça ne nous ramène ni devise ni emploi et nous n'avons pas besoin d'eux ou de ce genre de tourisme qui détruit la faune et espèce animal

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Ils viennent ici en catimini avec leur 4*4 en cercles fermés ça ne nous ramène ni devise ni emploi et nous n'avons pas besoin d'eux ou de ce genre de tourisme qui détruit la faune et espèce animal

 

Ya khouya, lazam n'halbouhoum. Il faut qu'on tire le maximum de devises et d'emploi de ces émirs.

C'est une chance et non une karitha.

A nous d'être imaginatif et de créer des élevages pour des lâchers comme cela se fait dans toute l'Europe pour la chasse.

 

polymiq02.jpg

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Guest Damnée
Ya khouya, lazam n'halbouhoum. Il faut qu'on tire le maximum de devises et d'emploi de ces émirs.

C'est une chance et non une karitha.

A nous d'être imaginatif.

 

En principe c'est ya okhti mais pas grave :)

 

moi je les digère pas ces émiratis c'est plus fort que moi :gun_smilie:

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En principe c'est ya okhti mais pas grave :)

 

moi je les digère pas ces émiratis c'est plus fort que moi :gun_smilie:

 

oups, désolé.

 

Moi aussi je ne les porte pas dans mon coeur.

Mais si ça crée de l'emploi pour nos jeunes, moi je dis c'est tout bénéf.

Quant aux espèces chassées, organisons des élevages de reproduction et des réserves protégées pour renouveler la ressource.

 

Il faut créer des circuits et inviter la classe moyenne émirati, elle est bourrée de fric. Créons de structures adéquates.

 

accueil_voliere_faisans.jpg

Volière à faisans (France).

 

Lacher d'outardes à Brezina.

 

20 sept. 2011 - Ajouté par 32elbayadh

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Guest Damnée
oups, désolé.

 

Moi aussi je ne les porte pas dans mon coeur.

Mais si ça crée de l'emploi pour nos jeunes, moi je dis c'est tout bénéf.

Quant aux espèces chassées, organisons des élevages de reproduction et des réserves protégées pour renouveler la ressource.

 

Il faut créer des circuits et inviter la classe moyenne émirati, elle est bourrée de fric. Créons de structures adéquates.

 

accueil_voliere_faisans.jpg

Volière à faisans (France).

 

Lacher d'outardes à Brezina.

 

20 sept. 2011 - Ajouté par 32elbayadh

 

Vous avez probablement raison mais je ne suis pas sure que ça se passe de cette manière en ce moment...et puis l'idée de travailler pour eux ne m'inspire toujours pas...mais reste je respecte votre avis

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L'outarde canepetière n'est pas tirée d'affaire

 

Passionnée par l’outarde canepetière, Carole Attié essaie de sauver depuis dix ans cet oiseau migrateur proche de l’extinction en élevant des jeunes nés en captivité.

 

Les années sont peut-être comptées pour l’outarde canepetière. Cet oiseau discret des plaines céréalières, qui chaque année fait l’aller-retour entre l’Espagne et la France, est de plus en plus rare dans les régions qui l’accueillent encore d’avril à fin octobre. À la fin des années 70, en Poitou-Charentes, la population était estimée à plus de 6500 mâles chanteurs. Entre 1978 et 2004, l’effectif a chuté de 95 %. Il y subsisterait 600 individus, dont 300 mâles. La région Centre ne comptabiliserait plus qu’une trentaine de mâles. Dans le Sud (Languedoc, Provence, plaine de Crau) une population forte de quelques milliers d’individus non migrateurs réside à l’année. L’effectif français d’outardes canepetières serait de l’ordre de 3000 individus.

LES RAISONS DU DÉCLIN

 

Pour Carole Attié, de la ligue de protection des oiseaux (LPO), les raisons du déclin sont multiples. Elles sont toutes liées à des pratiques agricoles intensives défavorables : perte de la mosaïque des cultures, réduction des surfaces en jachère et des terrains avec une couverture végétale de type herbacé, agrandissement des parcelles, raréfaction des ressources alimentaires et fauchage des prairies au moment de la reproduction. Selon le centre d’études biologiques CNRS de Chizé (79), tout cela se concrétise par un taux de reproduction naturelle d’environ un demi-jeune envolé par femelle et par an, alors qu’avec un jeune par an, la population pourrait être stabilisée. Carole Attié est la coordonnatrice du second programme européen Life qui consacré à la réalisation de l’élevage des outardes à des fins de repeuplement. Son but était de compenser la baisse de la productivité naturelle et de reconstituer un stock. Depuis cinq ans, d’avril à octobre, le rythme de vie de Carole Attié s’est calqué sur le cycle de reproduction de l’outarde.

RÉCUPÉRER DES OEUFS DANS LA NATURE

 

La biologiste-éleveuse a commencé par incuber des oeufs prélevés dans la nature, issus de nids détruits accidentellement par les travaux agricoles ou collectés par des ornithologues. « C’était un travail de fourmi souligne Carole Attié. En quatre mois, à six personnes, on n’a pas pu repérer plus de trente nids dans les zones connues pour abriter des outardes! » Mais c’était une étape incontournable pour constituer un cheptel de reproducteurs élevés en captivité. La piste des outardes espagnoles, beaucoup plus nombreuses qu’en France, a été testée mais abandonnée : une fois lâchées, celles-ci ne migraient pas et disparaissaient l’hiver, faute de nourriture. Depuis deux ans, une vingtaine de couples nés et élevés en captivité est installée dans des volières du parc animalier de la Haute- Touche (Indre), propriété du muséum d’histoire naturelle de Paris et partenaire du projet. Les oeufs issus de ponte en captivité sont expédiés au centre d’élevage de Villiers-en-Bois. Celui-ci est situé près de zones à outardes et à proximité du CNRS de Chizé où travaillait précédemment Carole Attié. Le centre d’élevage abrite également cinq couples de reproducteurs. Une bonne reproduction en captivité repose sur une imprégnation suffisante. Pour fournir des oeufs fertiles, les oiseaux ne doivent pas craindre l’homme. « Durant l’automne et l’hiver, je vais régulièrement dans les volières. Faute de quoi, les reproducteurs sont stressés au moment des pontes », assure la coordinatrice. S’ajoute le maintien des couples, fidèles d’une saison à l’autre. Dans ces conditions, les taux d’éclosion atteignent facilement les 80 %. Au total, 180 oeufs ont été récoltés cette année. Une couvée atteint normalement quatre ou cinq oeufs. Pour ne pas épuiser la femelle, une seule ponte est prélevée par saison. En cas de nouvelle, celle-ci est laissée sous la mère. Pour Carole, même si c’est techniquement plus efficace, il n’était pas question de pratiquer l’insémination artificielle et l’élevage en cage individuelle, comme c’est le cas au Maroc pour les outardes houbara.

Les oeufs vert olive pondus au sol se confondent avec la végétation printanière, d’où la difficulté à repérer les nids.

 

Les oeufs vert olive pondus au sol se confondent avec la végétation printanière, d’où la difficulté à repérer les nids. - © P. Le Douarin

DES HEURES À NOURRIR LES OISILLONS

 

L’incubation naturelle dure 21 à 22 jours. Après l’éclosion dans les incubateurs du centre de Villiers-en-Bois, la phase la plus cruciale commence. Les oisillons sont incapables de se nourrir seuls. Les trois premiers jours sont primordiaux. Bien qu’elle soit secondée par trois soigneurs, de 7 heures du matin à 10 heures du soir, week-end compris, Carole Attié passe ses journées d’été à nourrir ses oisillons. Toutes les heures, on leur présente des vers de farine et des criquets un par un, comme le ferait leur mère. En pic de démarrage, jusqu’à 15000 criquets sont distribués par semaine. « Les oisillons sont facilement stressés. Si le soigneur s’impatiente, ils le sentent et arrêtent de manger, donc ils s’affaiblissent. » En quelques jours, le rythme passe à un repas toutes les deux heures.Vers 20 jours les poussins sont sortis de la salle de démarrage vers une volière.Dés lors, ils seront nourris plusieurs fois par jour d’un mélange de granulés, de coquilles d’huitre et de vers de farine.

 

UN APPRENTISSAGE PERMANENT

 

Les volières d’élevage comprennent les oiseaux destinés à devenir des reproducteurs et ceux qui seront relâchés à la fin de l’été. Bien que ces derniers aient encore besoin d’apprendre quelle nourriture naturelle leur convient, les soigneurs veillent à limiter les contacts avec ces oiseaux. C’est pourquoi le lâcher final est précédé d’une quinzaine de jours passés dans une volière de pré-lâcher implantée à proximité d’une bande d’outardes sauvages. « C’est indispensable, afin que ces jeunes puissent intégrer un groupe constitué, qu’ils continuent à apprendre comment se débrouiller, qu’ils découvrent aussi où se trouvent les autres bandes et le chemin du retour », résume la biologiste. Carole Attié va chaque jour alimenter les deux volières installées. Cette année, elle compte lâcher une cinquantaine d’outardes, autant qu’en 2008. Un chiffre à comparer aux 600 individus sauvages comptabilisés dans la région. Un certain soir d’octobre —« on ne sait jamais lequel et pourquoi celui là » — les outardes se rassemblent et partent pour l’Espagne et le Portugal. Chaque année, Carole Attié attend de retrouver les jeunes bagués de la saison précédente. Elle espère qu’ils pourront survivre dans un milieu naturel de plus en plus hostile.

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Wallah, les Marocains sont plus digourdis que les Algériens.

Nous on pleure sur l'outarde.

Les marocains développent l'élevage intensif qui ramène des pétro-dollars et crée de l'emploi.

 

Emirats : Transfer de 5270 outardes houbara depuis le Maroc

C’est un imposant Boeing C17, transporteur de chars de l’armée de l’air émiratie qui a atterrit au Maroc pour prendre à son bord des passagers pas comme les autres : 5270 Outardes Houbara partant pour les émirats arabes unis, afin de s'y reproduire et se faire lâcher en pleine nature formant gibiers pour les autochtones dont le principale hobbie est la chasse au faucons.

 

Sur 6000 Km par haute altitude et dans un climat pressurisé, les outardes houbara marocaines élevées au Centre des Émirats pour la propagation de la faune (ECWP) au Maroc ont voyagé.

 

L’opération chapeautée par le Fonds international pour la conservation Outarde Houbara (IFHC) est fruit de plusieurs années de préparation, indique le vice président de l’IFHC, les outardes, leur voyage terminé, éliront domicile au centre Cheikh Khalifa d'élevage des houbara au Saih Al Salam.

 

A noter qu’un tourisme de la chasse au Houbara au Maroc s’est développé de maniére élargie dans les régions du Souss, du Tafilalet et du Sahara, ou chaque année des dizaines de dignitaires du moyen orient dont des rois et princes, se déplacent avec leurs larges suites pour y donner la chasse à l’outarde Houbara qui est une espèce menacée.

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Il faut faire comme les Marocains, faire des élevages massifs d'outardes.

 

Naissance des cailleteaux dans une couveuse

 

 

Les Algeriens ne se cassent pas la tete

Comme ils importent tout

Ils s'en foutent royalement de ces outardes

mais les chasseurs sont du moyen orient le larbin d'el watan fait son exces de zele

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Les Algeriens ne se cassent pas la tete, Comme ils importent tout

Ils s'en foutent royalement de ces outardes

mais les chasseurs sont du moyen orient le larbin d'el watan fait son exces de zele

 

Qu'est ce que tu proposes?

A mon avis, en Algerie les gens ne sont pas suffisement instruit et meme s'ils le sont on a pas encore la culture de prendre des initiatives, je veux dire les gens veulent un petit boulot (bureau de préférance) et une paye et tout le reste tiiit ça ne les interesse pas directement, leurs quartiers meme, ils s'en occupent pas, pour eux c'est les autorités, le pallier à coté... c'est un peuple qui réclament trop et ne donnent pas beaucoup

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