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URGENT!!!: ca y est! Toufik et 100 generaux mis à la retraite!


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Abdelaziz Bouteflika prépare la mise à la retraite du général Toufik, le patron du DRS

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Bouteflika prépare la mise à la retraite du général Toufik et épargne le chef de l'Etat-Major

La guerre larvée présidence-DRS entre dans une nouvelle étape, avec l’annonce de la mise à la retraite par le président Abdelaziz Bouteflika ministre de la Défense nationale, d’office de hauts cadres de l’armée nationale dont le puissant patron du DRS, le général Toufik, de son nom Mohamed Mediène, ainsi que le patron de la Gendarmerie nationale le général Ahmed Bousteila.

*

Dans son édition de ce jeudi, notre confrère El Khabar rapporte que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aurait actionné l’article 20 de la de l’Ordonnance n° 06-02 du 28 février 2006 portant statut général des personnels militaires qui lui permet de mettre à la retraite immédiatement une centaine d’officiers de l’Armée nationale populaire (ANP), de la Gendarmerie nationale et des Services secrets. Selon notre confrère qui cite des sources « fiables » à la présidence de la République, M. Bouteflika aurait toutefois décidé d’épargner le général major Gaïd Salah de cette mesure gelée depuis la date de sa promulgation. Le général de corps d'armée Gaïd Salah, un des soutiens de Bouteflika, occupe la fonction politique de vice-ministre de la Défense. Une réunion aurait été convoquée, selon El Khabar, le 14 janvier dernier au siège du Ministère de la Défense sous la présidence de M. Gaïd Salah, en présence du général Mediène, à l’effet d’informer les plus hauts gradés de l’ANP de la décision du président de la République également ministre de la Défense nationale.

 

Une mesure destinée spécialement au général Toufik

L’article 20 de l’Ordonnance n° 06-02 du 28 février 2006, fixe les limites d’âge et de durée des services applicables aux officiers supérieur de grade de* Général de corps d’armée à* 64 ans comme âge limite et 42 ans comme limite de durée de services. Pour les gradés Général Major, la loi fixe les limites d’âge et de durée des services respectivement à 60 ans et 38 ans et à 56 et 36 ans en ce qui concerne les officiers de grade de Général. Notre confrère allègue que cette mesure « vise » tout spécialement l’homme fort du DRS, Toufik, 74 ans et totalisant plus de 42 années de services, ce qui explique, selon lui, la virulente diatribe du SG du FLN, Amar Saïdani, contre le chef des services de renseignements algériens, DRS ( Département du renseignement et de la sécurité (DRS)* qu’il accuse d’être à l’origine des maux du pays.

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Le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika n’a pas tardé à s’impliquer dans le conflit larvé qui l’oppose aux services de renseignements et aux derniers espaces *où ils entretiennent encore des relations dans l’armée.

 

Selon le quotidien arabophone el Khabar, il a décidé, ce mercredi, de mettre à la retraite immédiate le général Toufik, responsable des services de sécurité depuis près d’un quart de siècle ainsi qu’une centaine d’officiers de l’armée, de la gendarmerie et du DRS. Seul son fidèle allié le général Gaid Salah qu’il a installé comme chef d'Etat major et vice-ministre de la défense échappe à ce qu’il faut bien appeler une purge.

 

Cette intervention est une première dans l’histoire de l’Algérie ; l’armée ayant jusque là pris les devants et imposé ses choix politiques et stratégiques aux politiques. Cette décision a été probablement précipitée par les réactions enclenchées par le DRS qui a mobilisé ses relais dans la presse, décidé de déposer plainte contre le secrétaire général du FLN, un proche de Bouteflika, et actionné les partis satellites qu’il contrôle encore pour organiser la riposte contre le clan présidentiel.

 

Sauf réaction violente et immédiate, la neutralisation des oppositions militaires potentielles au chef de l’Etat signe la défaite définitive des services de renseignements qui ont régné sans partage depuis 1957 sur la vie politique algérienne. Les prochains jours voire les prochaines heures devraient être suivies avec attention car l’Algérie vient de basculer, du fait d’une simple signature - et sans préjuger de la nature du pouvoir à venir - dans un ordre politique qui échappe pour la première fois depuis l’indépendance à l’emprise de l’armée.

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c'est une bonne chose, le vieux renard, même sur son lit de mort, arrive encore à mordre. depuis le début, il a gardé une dent contre l'armée qui l'avait mis à l'écart après le décès de feu Boumedienne. il est rancunier et il fera tout pour casser le pouvoir des services avant sa mort. il est obnubiler par une seule chose, passer dans l'Histoire.

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Guest OsiriaS
c'est une bonne chose, le vieux renard, même sur son lit de mort, arrive encore à mordre. depuis le début, il a gardé une dent contre l'armée qui l'avait mis à l'écart après le décès de feu Boumedienne. il est rancunier et il fera tout pour casser le pouvoir des services avant sa mort. il est obnubiler par une seule chose, passer dans l'Histoire.

 

Comment est le nom de ce Toufik ? c'est lui qui s'était fait arrêté

à l'aéroport de Genève il y a 1 ou ans ??

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ZEROUAL aussi avait cru avoir écarté MEDIENE.

 

Donnons-nous quinze jours et attendons de savoir que Rab Dzair a quitté son bureau du MDN où il n’a plus accès pour croire que le clan BOUTEFLIKA est venu à bout de son géniteur.

 

Un SAIDANI, inconnu jusqu’alors qui surgit du néant, s’accapare du poste de Secrétaire Général du FLN et qui une horde du Comité Central aux trousses, s’en prend frontalement à l’homme le plus malfaisant et le plus puissant d’Algérie, cache une zone d’ombre.

MEDIENE plus malade que BOUTEFLIKA et hanté par les milliers d’Algériens qu’il a fait assassiner ou le poids des Français qui sont décidés à écarter un homme qui ne les a pas ménagés ?

 

Le peu crédible réside dans le calendrier même du coup de balai. A quelques mois des élections et d’une quatrième candidature de BOUTEFLIKA. Devons nous croire que le dictateur d’El Mouradia, au point où il est n’a plus rien à craindre des dossiers que MEDIENE a monté contre lui, mœurs, vols, corruption …Tout s’est relativisé dans un monde laïc gouverné par le troisième genre. En prime la famille BOUTEFLIKA, en écartant MEDIENE punirait le responsable de la décennie, redorerait la virginité de l’ANP et redonnerait leur indépendance aux Algériens. La démocratie y gagnerait-elle ? Pas dit. Un général aurait chassé un autre au profit d’un SAID dont le pouvoir frôlerait le zénith.

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ZEROUAL aussi avait cru avoir écarté MEDIENE.

 

Donnons-nous quinze jours et attendons de savoir que Rab Dzair a quitté son bureau du MDN où il n’a plus accès pour croire que le clan BOUTEFLIKA est venu à bout de son géniteur.

 

Un SAIDANI, inconnu jusqu’alors qui surgit du néant, s’accapare du poste de Secrétaire Général du FLN et qui une horde du Comité Central aux trousses, s’en prend frontalement à l’homme le plus malfaisant et le plus puissant d’Algérie, cache une zone d’ombre.

MEDIENE plus malade que BOUTEFLIKA et hanté par les milliers d’Algériens qu’il a fait assassiner ou le poids des Français qui sont décidés à écarter un homme qui ne les a pas ménagés ?

 

Le peu crédible réside dans le calendrier même du coup de balai. A quelques mois des élections et d’une quatrième candidature de BOUTEFLIKA. Devons nous croire que le dictateur d’El Mouradia, au point où il est n’a plus rien à craindre des dossiers que MEDIENE a monté contre lui, mœurs, vols, corruption …Tout s’est relativisé dans un monde laïc gouverné par le troisième genre. En prime la famille BOUTEFLIKA, en écartant MEDIENE punirait le responsable de la décennie, redorerait la virginité de l’ANP et redonnerait leur indépendance aux Algériens. La démocratie y gagnerait-elle ? Pas dit. Un général aurait chassé un autre au profit d’un SAID dont le pouvoir frôlerait le zénith.

Salut ksentini...t'as bu ton atheï à la menthe aujourd'hui?

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Si ça se fait vraiment, toutes les théories comme quoi Bouteflika est un pantin de l'armée tomberont à l'eau. Il faudra trouver de qui il est le pantin alors. Sauf s'il n'est le pantin de personne, et que les responsables de notre déchéance c'est bien nous-même avec bien sûr la contribution de fakhamatouh (mais un président qui ne vole pas, n'existe pas aujourd’hui)

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Sauf réaction violente et immédiate, la neutralisation des oppositions militaires potentielles au chef de l’Etat signe la défaite définitive des services de renseignements qui ont régné sans partage depuis 1957 sur la vie politique algérienne. Les prochains jours voire les prochaines heures devraient être suivies avec attention car l’Algérie vient de basculer, du fait d’une simple signature - et sans préjuger de la nature du pouvoir à venir - dans un ordre politique qui échappe pour la première fois depuis l’indépendance à l’emprise de l’armée.

 

 

faut pas avoir bu son athei matinal pour croire qu'une simple signature va débarrasser les Algériens de l'emprise de l'armée.

 

MEDIENE est un politicien de premier rang qui ne réagit jamais à chaud devant une situation. Il prend le temps d'analyser , disséquer et de rameuter tous ses jokers avant de frapper.

 

la suite dans 15 jours

 

à la place de SAIDANI je dormirai en attendant à El Mouradia au chevet de l'illustre malade .

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faut pas avoir bu son athei matinal pour croire qu'une simple signature va débarrasser les Algériens de l'emprise de l'armée.

 

MEDIENE est un politicien de premier rang qui ne réagit jamais à chaud devant une situation. Il prend le temps d'analyser , disséquer et de rameuter tous ses jokers avant de frapper.

 

la suite dans 15 jours

 

à la place de SAIDANI je dormirai en attendant à El Mouradia au chevet de l'illustre malade .

 

Saidani n'est rien, la bataille est par personne et service interposé, avez vous déjà vu ou lu que Toufik à dit ou écrit ça ou cela, non, on fait intervenir des sous-fifres, Bouteflika à pendant 14 ans, promu à des poste stratégique bon nombre d'officiers qui lui sont fidèles. il ne faut pas oublier que l'armée en grande parti déteste le DRS, presque tous les adjoints important de Toufik on été limogé dès le retour de Bouteflika lors de son premier séjour médical.

si il a lancé une telle offensive sur les services, c'est qu'il a reçu des assurances d'une neutralité ou peut être même un soutien implicite des chef de régions, l'homme à abattre est le chef des services, pas les services eux mêmes, si il réussi (l'autre n'a pas dit son dernier mot), d'autres personnes seront mises à la tête de ces services.

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Abdelaziz Bouteflika a obtenu ce qu'il voulait: une élection au premier tour et un score supérieur à celui de son prédécesseur démissionnaire. "Ma crédibilité vaut plus que celle d'un Zeroual, auquel ils ont donné 62% en 1995", aurait-il tonné quelques semaines avant le scrutin du 15 avril. La veille encore, il menaçait de se retirer si le vote en sa faveur n'était pas "substantiel". Les résultats officiels lui ont assuré 73,79% des suffrages exprimés par 60,25% des inscrits.

 

Tous les témoignages sur la participation, fort modeste, s'inscrivent en faux. Certains leaders politiques affirment qu'a peine 20% des électeurs se sont dérangés. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie de Saïd Sadi, qui a fait campagne pour le boycott, estimant que des garanties minimales de transparence n'étaient pas réunies, parle de 30%. Epaulés par une agence spécialisée, les services du ministère de l'Intérieur auraient réalisé, fin 1998, trois sondages, dont les résultats, relégués dans un tiroir, traduisaient déjà, selon la lettre Algérie Confidentiel, un malaise profond des électeurs: de 28 à 39% seulement se disaient prêts à se rendre dans l'isoloir.

 

Bouteflika s'est retrouvé seul en lice, les six autres candidats ayant décidé en bloc, le 14 avril, de se retirer de la compétition, au vu des premiers signes de fraude constatés dans les bureaux itinérants et les bureaux spéciaux où votent militaires, policiers, gendarmes... Cette décision, sans précédent en Algérie, a fait l'effet d'un séisme politique un rien tardif et d'autant plus dramatisé. L'islamo-conservateur Ahmed Taleb Ibrahimi et le réformateur Mouloud Hamrouche avaient sans doute plus à y perdre que d'autres. Les six "salopards" - le terme est utilisé d'abondance, au soir du 15 avril, dans l'une des permanences de Bouteflika - auraient attendu, selon Ahmed Djeddaï, l'un des responsables du Front des forces socialistes (FFS), que l'ensemble de la presse internationale soit sur place pour agir. A tort ou à raison, les mauvaises langues insinuent que Aït Ahmed, poussé à se présenter par l'Internationale socialiste, aurait cherché d'une manière ou d'une autre à esquiver le verdict des urnes.

 

Une dizaine de jours avant le vote, à l'issue d'une très longue réunion - d'au moins vingt-quatre heures - du Conseil de défense, une élection "normale" à deux tours semblait à portée de main. Cet organisme rassemble une douzaine de hauts responsables étoilés, dont le seul général de corps d'armée d'Algérie, le tout-puissant Mohammed Lamari, chef d'état-major; les trois commandants des forces terrestres, navales et aériennes; ceux des cinq régions militaires; Mohammed Mediene, dit "Toufik", à la tête de la Direction recherche et sécurité (DRS), héritière de l'ancienne Sécurité militaire; son adjoint, Smaïn Lamari, directeur du contre-espionnage, un second qui rêve d'être premier; le chef de la gendarmerie nationale, Tayeb Derradji, surnommé "Turbo Diesel", qui passe dans ce cénacle pour le représentant du courant islamo-conservateur; le président Liamine Zeroual, qui fait office de ministre de la Défense... Depuis l'indépendance, tous les chefs de l'Etat algérien ont été désignés ausein de ce Conseil, jusqu'à Zeroual lui-même.

 

Au fil des jours, les dissensions s'aggravent au sein de la hiérarchie. Le flottement est tel qu'un nouveau conseil est convoqué. Rien ne filtre, sinon que Zeroual serait sorti en claquant la porte. Certains partisans de Bouteflika, peu soucieux d'un second tour susceptible de placer le "candidat du consensus" en fâcheuse posture, auraient imposé leur point de vue.

 

De leur côté, les six passent à l'offensive, exigeant une entrevue avec le chef de l'Etat. Le 13 au soir, un partisan de Bouteflika, Mohammed-Cherif Abbas, secrétaire général de l'Organisation nationale des moudjahidine, elle- même restée neutre, rend visite à Mokdad Sifi, ancien Premier ministre et candidat indépendant, le maillon le plus vulnérable du groupe des six. Pour lui demander de se désolidariser des autres. Le lendemain matin, Sifi a rendez-vous avec Smaïl Hamdani, l'actuel chef du gouvernement. Une rencontre, paraît-il, programmée auparavant. Dans la matinée, la présidence annonce que Liamine Zeroual ne recevra pas les six mousquetaires de la fronde anti-fraude. En début d'après midi, ce mercredi 14 avril, au siège du FFS, on attend Sifi. Pendant dix minutes, on craint qu'il n'ait cédé aux pressions. Ce n'est qu'un retard. Il fera part aux autres candidats du contenu de sa discussion avec Hamdani. Trois heures plus tard, c'est le retrait général. Sifi, pourtant, ne s'associera pas à la marche de protestation qui aurait dû avoir lieu le 16 avril si le pouvoir ne l'avait interdite, verrouillant le centre d'Alger à l'aide de plus de 7 000 policiers.

 

Cette présidentielle fin de siècle a gâché le moment historique d'en finir avec un système qui a survécu à l'ouverture pluraliste par la manipulation des urnes. Pour la première fois, l'institution militaire ne poussait pas l'un des siens au pouvoir. Mieux, elle était divisée. Le général Mohammed Lamari, dès septembre 1998, appelle l'armée à se mobiliser, dans le strict cadre des "lois de la République", pour une élection "libre et transparente" - tout en contournant soigneusement le terme "neutralité". En février dernier, El Djeich ("l'Armée"), la revue de la Défense, réitère le message. Mais Toufik et Smaïn, les chefs de la DRS, soutiennent ouvertement Bouteflika. Leurs services soignent son image. Tâche difficile: l'intéressé accumule les provocations. Le général Khaled Nezzar, ex-homme fort du régime, aujourd'hui à la retraite, cautionne "Boutef" après l'avoir traité de "canasson" et de "pin's de Boumediene". Lamari, réticent, joue les généraux "éclairés". Zeroual perd l'occasion de sortir de scène dans l'honneur.

 

Dans cette confusion, nombre d'observateurs "bien informés" mettent en avant la puissance d'un réseau qui aurait décidé, depuis des mois, d'imposer Bouteflika - celui des anciens du MALG, le ministère de l'Armement et des Liaisons générales, ancêtre de la Sécurité militaire, fondé pendant la guerre de libération par Abdelhafidh Boussouf. Certains de ses membres appartiennent toujours aux "services", tandis que d'autres, recyclés dans les affaires, ont géré en Algérie les commissions sur les marchés d'Etat, privatisant ensuite à leur compte les monopoles du négoce, et surtout les grands secteurs d'importation. Selon un haut responsable de l'époque héroïque, là est "le noyau dur de la corruption, là se trouvent les copains de Bouteflika". Il en est qui ont fait fortune aux Etats-Unis, en Europe ou au Moyen-Orient, au point de pouvoir mobiliser ensemble plusieurs dizaines de milliards de dollars. "Le ??deal'' que leur propose Boutef est clair: rapatriez vos fonds en Algérie, on ne vous posera aucune question sur leur provenance."

 

Au soir du vote, un membre du staff de campagne de Bouteflika se demandait à haute voix si l'Algérie n'aurait "pas besoin d'une dictature à la Franco". Une chape de plomb est tombée depuis sur la Maison de la presse où les journalistes des médias indépendants, traités de "commères de hammam" par Bouteflika, se sentent déjà dans la ligne de mire.

 

 

 

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En savoir plus sur Algérie : Qui est derrière Bouteflika? - L'EXPRESS

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Attention à ne par porter préjudice à notre ANP.

Comme dans les autres institutions, il y a des hommes intègres qui veillent sur la sécurité de l'Algérie.

Sachons aider ces patriotes et ne pas leur porter tort.

 

Merci pour votre analyse de grande classe, la voix de la raison et de la sagesse :) vous etes des vrais musulmans et des vrais patriotes

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Finalement cet article n'est que des rumeurs

Pour vouloir affronter le politique et le militaire en Algerie

 

Vous voulez ya les criminels un scenario comme en Egypte

le militaire face au politique et animer la guerre entre eux, vous ne reussirez pas

Malheur à vous, ya ceux qui complotent contre l'Algerie

Ma terreb'hou ni ici bas, ni en haut

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Le flou politique persiste à deux mois de la présidentielle

Décryptage d’une semaine agitée

Par : Souhila Hamadi

 

La confusion entoure, de nouveau, la présidentielle d’avril prochain. Il devient clair que Bouteflika n’est pas le candidat du consensus qu’il a été durant les trois mandats précédents. C’est ce qui explique, peut-être, le maillage institutionnel tissé par le clan présidentiel, pour avoir un meilleur contrôle sur le scrutin, au lieu de miser uniquement sur la force politique sous forme d’une alliance.

 

Il y a encore quelques jours, l’opinion publique nationale admettait le quatrième mandat comme une évidence, malgré les contraintes qui s’opposaient objectivement à la réalisation d’un tel projet dont principalement la maladie et l’âge avancé du président de la République.

Aujourd’hui, il est nettement plus difficile de s’avancer, avec assurance, sur l’identité du prétendant qui sera plébiscité à la magistrature suprême à l’issue du scrutin du printemps 2014. D’autant qu’il apparaît de plus en plus clairement un manque de consensus dans les hautes sphères de décision, sur une énième mandature d’Abdelaziz Bouteflika. D’ailleurs, l’ancien cadre du RCD et député, Tarik Mira, l’a bien exprimé dans une déclaration rendue publique hier au nom de l’IRD (Initiative pour la refondation démocratique). “L’absence de consensus est sur deux points : la réforme constitutionnelle annoncée à cor et à cri durant deux ans et depuis sans cesse différée et quel candidat à adouber pour la succession. Elle crée publiquement des tensions et, concomitamment, amplifie les contradictions internes.”

Dans le sens de cette analyse, les attaques du secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, contre le DRS et surtout son homme fort, le général Mohamed Mediène, ne doivent certainement pas être perçues comme un écart de langage convulsif, mais plutôt comme une séquence d’une mise en scène réglée dans son timing et dans le partage des rôles entre ses personnages principaux et les figurants. Il est néanmoins utile de savoir pour qui roule le patron de l’ex-parti unique. œuvre-t-il réellement pour l’accomplissement du quatrième mandat, ou agit-il contre son camp qu’il aurait infiltré comme un cheval de Troie ? Au-delà de la légende racontée dans l’Illiade d’Homère, le cheval de Troie est, en informatique, un programme caché dans un autre qui exécute des commandes sournoises et nuisibles. Au demeurant, Amar Saâdani n’est certainement pas assez puissant pour tenter une bravade contre le DRS et se mettre même sous le coup de la loi sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, sans avoir eu, au préalable de la tempête qu’il a provoquée à deux mois de la présidentielle, la garantie qu’il ne risquait pas personnellement des représailles.

D’ailleurs, l’on parle d’une plainte déposée, contre lui, par le DRS, mais l’ANP, qu’il a visée par ses invectives, n’a pas réagi pareillement.

Le parquet ne s’est pas non plus, jusqu’alors, autosaisi sur l’instrumentalisation de la tragédie nationale à des fins politiciennes tel que prescrit par la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Au demeurant, au moment où la succession de Bouteflika à lui-même devenait presque acquise, Amar Saâdani ébranle les certitudes. Consciemment ou à son corps défendant, il a dévoilé les divergences des décideurs autour de cette question. Dès lors, des recoupements montrent que les désaccords sont antérieures peut-être même à l’AVC du président de la République, survenu en avril 2013. Il y a eu d’abord la restructuration des services de sécurité, la mise à la retraite de certains généraux influents… puis le placement des hommes du Président aux départements ministériels et institutions stratégiques en perspective de la présidentielle. Mourad Medelci est nommé président du Conseil constitutionnel, Slimane Boudi, président de la Commission des magistrats de supervision des élections législatives de mai 2012, à la tête de la Cour suprême, Tayeb Belaïz au ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales et Tayeb Louh au département de la Justice. Ce maillage institutionnel, tissé en un court intervalle dès le retour du chef de l’État de l’hôpital parisien du Val-de-Grâce après une convalescence de plusieurs semaines, dénote de la promptitude du clan présidentiel à s’appuyer quasi exclusivement sur l’administration et sur l’impact des médias lourds mis en service de la candidature de Bouteflika pour contrôler le résultat du scrutin, plutôt que de miser fortement sur les forces politiques conglomérées autour d’une alliance présidentielle, comme ce fut le cas pour les trois mandats précédents. Il est dit que trente partis politiques soutiennent la candidature de Bouteflika à la prochaine présidentielle.

Ce soutien est, néanmoins, exprimé dans une ambiance cacophonique qui ne sert pas nécessairement les intérêts du candidat adoubé. Le remuant Amar Saâdani accapare l’actualité nationale par ses difficultés à maîtriser les rênes de son parti, mais aussi ses déclarations plus hallucinantes les unes que les autres. Au contraire, Abdelkader Bensalah, SG du RND, fait preuve d’une pondération exagérée en s’astreignant à cautionner le quatrième mandat tout en laissant une brèche, dans son discours, à un éventuel retournement de la situation. Amar Ghoul, président de Taj, a été sévèrement remis à l’ordre par le ministre de l’Intérieur qui lui a apporté un démenti cinglant quant au retrait de formulaires au profit de Abdelaziz Bouteflika. Les autres formations, microscopiques, peinent à faire entendre leur voix, bien que partisanes.

 

S. H

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Foutage de gueules

 

Bonne lecture !

 

Quand le DRS dérange les agents d’influence de l’étranger

7. FÉVRIER 2014 - 13:52

Les Algériens ont suivi les publications de l’attaque du secrétaire général du parti FLN contre le Département du renseignement et de la sécurité (DRS). Jamais de mémoire un responsable politique dans le monde ne s’est attaqué directement aux services secrets de son pays, comme il est le cas aujourd’hui avec un homme sorti de l’ombre pour se mettre sous les feux de la rampe. Certains ont pris des références, d’autres se sont contentés d’apprendre la nouvelle bouleversante. Cette attaque, qui peut être considérée comme une action subversive, a surtout un but didactique. Il s’agit moins de relater des faits nouveaux que d’une lecture qui fait le lien entre des événements souvent connus, spectaculaires ou non, qui paraissent plutôt disparates et conjoncturels mais derrière lesquels se profilent toujours des motivations de géostratégie politique et de raison d’Etat. L’Algérie n’a jamais depuis le recouvrement de sa souveraineté été à l’abri des destructeurs, des services de renseignement de puissance étrangers, en particulier des services français et du Mossad. Si l’ancienne génération avait appris en quelque sorte des événements survenus durant les années soixante, soixante-dix et quatre-vingt, celle d’aujourd’hui, vu l’absence des repères d’histoire et des publications sur ces événements, est dans une ignorance totale. ....................................

Cette Sécurité militaire qui devient DRS (Département du renseignement et de la sécurité (DRS)) n’est qu’un service qui protège le pays et la nation, à l’instar des autres services de sécurité et les patriotes de ce pays. Certains individus sans scrupule frappés par la nostalgie du colonialisme continuent à le désigner de tous les noms comme si c’était un «ghoul». Que ceux qui sont frappés d’amnésie jettent un regard vers la CIA, la NSA, la DGSE, le Mossad et les services marocains et égyptiens, pour connaître et surtout apprendre que le DRS Algérien n’a rien de commun avec ces services sanguinaires.

A. B.

 

Ici le lien vers l'article au complet.

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  • 1 year later...

l'algerie est un terrain tres diificle car les 3 tenors de la religion sont ici et n'ont jamais quité l'algerie les arabes les israeliens et les chretiens..

meme les israleins sont divisés et les vraie israeliens d'algerie n'ont jamais permis la dominance des juifs venue d'ailleurs meme fort avec leurs armement et leurs argent..au sommet de l'etat il ya un certain equilibre...et tout le monde descendent vers la base pour chercher soutient et rester sur la scene...

la finance c'est le pouvoir c'est pourquoi le gouvernement tente de recuperer l'argent de l'informel mais impossible..

et puis l'algerie a été toujours une terre d'asile ou l'antisemistisme vis a vis des de l'entrangers en genral n'existe pas..il n'ya eu jamais de monarchie chez nous qui diffuse et etablie ''le sens de la famille élus'' c'est pourquoi les juifs et chretiens fuyant l'instabilité en moyen orient et l'euorpe se dirigent vers l'algerie

c'est pourquoi ils ne lache jamais seuta et melilia ay maroc et ne permetront jamaos a la monarchie marocviane d'entrer vers le nords du maroc..cela est une lecture strategique en cas de replis..mem la scandinavie et le bresil sont considéré comme un replis..

les israeliens et arabes d'algerie n'ont pas peur du riche armés comme l'americain ou le russe mais ont peur de Satan et son armé d'infiltration..une fois installé avec ces bares ces boite de nuits ces bordels il fera beaucoup d'argent et commencent a recruter dans la pauvreté retournant aisni contre lesbanou israel et chretien et arabe d'algerie..

satan espoere entrée et installé sa machine et les religieux sont en face de leurs destiné toute defaite devant cette machine va porter les monothesite vers un Nieme aushthwiz..

Satan traque tout le monde il ne differencie pas entre juif arabe et français et anglais et suedois et russe et chinois ou jamponais pour lui tous sont des chiens et singe a abbatre

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