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L’ombre de Massinissa GUERMAH plane sur Ghardaïa


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En 2OOI, MEDIENE qui avait refusé l’invitation à démissionner du DRS conseillé par son parrain BELKHEIR s’était vu assigné à résidence à domicile . Des unités de commando sur instructions de Smain LAMARI avaient encerclé sa maison l’empêchant d’en sortir. Sitôt informés les DRSistes entrèrent en action. Le général commandant de la gendarmerie donna des instructions pour que le darak soit implacable devant la moindre infraction commise en Kabylie et que toute contestation y soit sévèrement réprimée. Un jeune lycéen de 18 ans sera ainsi fusillé par un gendarme lors d’une manifestation déclenchée par des provocateurs. La région entra en ébullition avec des risques de guerre civile. BELKHEIR fit marche arrière et ordonna la levée du siège. Le même chantage à la fitna nationale se déroule dans le Mzab. C’est le règne du DRS ou le chaos.

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Je pense qu ils y a de la jalousie de la part des algériens vue que les beni Mzab sont des bosseurs et qu ils réussissent économiquement, bon voila, ils faut se retrousser les manches. Au moins les beni Mzab n attendent rie du gouvernement, contrairement a nos bras cassés.

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Je pense qu ils y a de la jalousie de la part des algériens vue que les beni Mzab sont des bosseurs et qu ils réussissent économiquement, bon voila, ils faut se retrousser les manches. Au moins les beni Mzab n attendent rie du gouvernement, contrairement a nos bras cassés.

 

un gouvernement ... çà sert à quelque chose ... ou çà doit servir à quelque chose quand même ...

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En 2OOI, MEDIENE qui avait refusé l’invitation à démissionner du DRS conseillé par son parrain BELKHEIR s’était vu assigné à résidence à domicile . Des unités de commando sur instructions de Smain LAMARI avaient encerclé sa maison l’empêchant d’en sortir. Sitôt informés les DRSistes entrèrent en action. Le général commandant de la gendarmerie donna des instructions pour que le darak soit implacable devant la moindre infraction commise en Kabylie et que toute contestation y soit sévèrement réprimée. Un jeune lycéen de 18 ans sera ainsi fusillé par un gendarme lors d’une manifestation déclenchée par des provocateurs. La région entra en ébullition avec des risques de guerre civile. BELKHEIR fit marche arrière et ordonna la levée du siège. Le même chantage à la fitna nationale se déroule dans le Mzab. C’est le règne du DRS ou le chaos.

 

non mr tek , Guermah a été assassiné dans les locaux de la GN , après une soi-disant garde a vus, le jeune homme a été si ma mémoire est bonne interpelé après une plainte pour vol

 

pour revenir aux DRS et la kabylie , sache qu'a l'époque Toufik a éviter un carnage dans la région et je te laisse deviner la suite si c'était le cas , la Kabylie serait surement a l'heure ou je te parle sous protection de l'ONU ,

 

Bouteflika et son assassin Zerhouni voulaient faire sortir l'armée pour aider a "rétablir l'ordre" mais Toufik et son clan qui était encore solide avant que ce nain ne l'affaiblisse ont refusé ,

 

c'est dans le journal Le Matin de l'époque tu peux faire une petite recherche

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non mr tek , Guermah a été assassiné dans les locaux de GN , âpres une soi-disant garde a vus, le jeune homme a été si ma mémoire est bonne interpelé après une plainte pour vol

 

 

merci pour la rectification

 

c'est bien dans les locaux du Darak que le jeune GUERMAH a été assassiné

 

voilà de qu'en dit Wikipédia

 

Sept jours après la mort de Massinissa Guermah, les autorités militaires annoncent la mise sous mandat de dépôt de Mestari Merabet, le gendarme responsable du décès du jeune homme. Ce dernier est déféré devant le tribunaI militaire de Blida pour « infraction aux consignes et homicide involontaire ». Pourtant, le témoignage de Koceila Merakeb, qui a été arrêté avec Massinissa, est plus qu'éloquent :

 

 

 

« Le gendarme Mestari Merabet s'avance, son Kalachnikov sur l'épaule. C'est alors qu'une première rafale résonne comme un bruit de tonnerre dans la salle d'attente. Deux balles ricochent sur le sol alors que la troisième atteint au pied un gendarme se trouvant à proximité. Merabet dirige ensuite son arme sur Massinissa. Le doigt sur la détente, il lâche une seconde rafale.

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