Le ministre Djamel Ould Abbas a fait des propositions indécentes aux jeunes harragas et autres scandales révélés par Wikileaks (2)

[AMAR001 10]

Selon un autre câble diplomatique révélé par Wikileaks, repris par Elwatan, monsieur Djamel Ould Abbas, l’actuel ministre de la Santé, a abusé de son pouvoir pour faire du chantage à de jeunes laissés-pour-compte et a essayé de monnayer l’aide de l’Etat. D’après le câble, ces faits se sont produits à Tiaret en 2007 quand Djamel Ould Abbas, médecin de formation, était ministre de la Solidarité.

 

Monsieur Tom Doughton, auteur du câble et numéro deux de l’Ambassade américaine au moment des faits, a rapporté qu’Ould Abbes s’était rapproché des jeunes chômeurs, représentants des candidats pour « elharga », pour leur soutirer honteusement une signature d’une déclaration de soutien pour le président Abdelaziz Bouteflika contre un chèque de 400 000 DA ! Indignés par cette condition indécente, les jeunes harragas avaient refusé le chantage et ont menacé de prendre le ministre en otage dans la résidence où il séjournait. Monsieur Doughton, a ajouté que l’ex-ministre de la Solidarité, avait été averti et avait pris la poudre d’escampette tôt le matin pour quitter la ville de Tiaret.

 

Ould Abbas, ministre de la Solidarité conditionnelle.

 

Le système de Bouteflika, pour compenser le déficit de légitimité démocratique, est notoirement connu pour son inclination à la subornation, au chantage, à la corruption et son recours aux prébendes pour rallier les clients potentiels, s’assurer les allégeances politiques et meubler les institutions croupion de l’Etat. Mais personne n’aurait soupçonné que ce système ira jusqu’à abuser de son pouvoir pour faire miroiter des liasses de billets de banque devant de jeunes chômeurs poussés par la misère à se transformer en nourriture pour poisson. Quand est-ce que les Algériens trouveront leur dignité et cesseront de devoir choisir entre les requins de la mer ou ceux de la terre pour être bouffés crus.

 

Quant au maître-chanteur Ould Abbas, devenu responsable de notre santé après la redistribution théâtrale des rôles des membres du gouvernement de Bouteflika, Wikileaks n’a pas encore révélé s’il a fait la même proposition indécente pour sa fille et son fils avant de les engager tendrement auprès de lui au ministère de la Santé publique.

[AMAR001 10]

ould abbes n’avais jamais une formation de médecin,il été manipulateur de RADIO ,demandez au véterant de aintemouchent et renseigner vous au maroc, donc de mouhafed ,député,ministre et actuellement sénateur,c’est bouteflika ,c’est le maroc etc ,etre marocain ou né au maroc pour avoir un poste de ministre ou a la tete des sénateur avec bouteflika

[karim1970 10]

Selon un autre câble diplomatique révélé par Wikileaks, repris par Elwatan, monsieur Djamel Ould Abbas, l’actuel ministre de la Santé, a abusé de son pouvoir pour faire du chantage à de jeunes laissés-pour-compte et a essayé de monnayer l’aide de l’Etat. D’après le câble, ces faits se sont produits à Tiaret en 2007 quand Djamel Ould Abbas, médecin de formation, était ministre de la Solidarité.

 

Monsieur Tom Doughton, auteur du câble et numéro deux de l’Ambassade américaine au moment des faits, a rapporté qu’Ould Abbes s’était rapproché des jeunes chômeurs, représentants des candidats pour « elharga », pour leur soutirer honteusement une signature d’une déclaration de soutien pour le président Abdelaziz Bouteflika contre un chèque de 400 000 DA ! Indignés par cette condition indécente, les jeunes harragas avaient refusé le chantage et ont menacé de prendre le ministre en otage dans la résidence où il séjournait. Monsieur Doughton, a ajouté que l’ex-ministre de la Solidarité, avait été averti et avait pris la poudre d’escampette tôt le matin pour quitter la ville de Tiaret.

 

Ould Abbas, ministre de la Solidarité conditionnelle.

 

Le système de Bouteflika, pour compenser le déficit de légitimité démocratique, est notoirement connu pour son inclination à la subornation, au chantage, à la corruption et son recours aux prébendes pour rallier les clients potentiels, s’assurer les allégeances politiques et meubler les institutions croupion de l’Etat. Mais personne n’aurait soupçonné que ce système ira jusqu’à abuser de son pouvoir pour faire miroiter des liasses de billets de banque devant de jeunes chômeurs poussés par la misère à se transformer en nourriture pour poisson. Quand est-ce que les Algériens trouveront leur dignité et cesseront de devoir choisir entre les requins de la mer ou ceux de la terre pour être bouffés crus.

 

Quant au maître-chanteur Ould Abbas, devenu responsable de notre santé après la redistribution théâtrale des rôles des membres du gouvernement de Bouteflika, Wikileaks n’a pas encore révélé s’il a fait la même proposition indécente pour sa fille et son fils avant de les engager tendrement auprès de lui au ministère de la Santé publique.

 

...et tu as gobé ça facilement ? tu dois avoir l'œsophage d'un éléphant toi

[AMAR001 10]

avec ces ministres serpillières tout, est possible

[tewfikhouari 10]

ould abbes n’avais jamais une formation de médecin,il été manipulateur de RADIO ,demandez au véterant de aintemouchent et renseigner vous au maroc, donc de mouhafed ,député,ministre et actuellement sénateur,c’est bouteflika ,c’est le maroc etc ,etre marocain ou né au maroc pour avoir un poste de ministre ou a la tete des sénateur avec bouteflika

 

Matehchemch !!! tu balances n'importe quoi. Arretes tes conneries.

:ranting2::ranting2:

[tek.afiriste 10]

Matehchemch !!! tu balances n'importe quoi. Arretes tes conneries.

:ranting2::ranting2:

 

 

Le frère amar001 agit en matière de provocation, n’est pas faussaire, qualité qu’il attribue à DOA

 

Le médecin qui a le plus fait parler de lui ces quarante dernières années, a vu son CV repris le long de nombreux forums et figurer en bonne page, sur le site du Ministère de la Santé, alors qu’il en avait la charge.

 

La haine qui suit le toubib est due au mépris que celui-ci ainsi que tous les autres « professeurs sur décret » issus de l’ALN que leur témoignèrent d’emblée leurs confrères aliénés qui durent rester sur place, ne pouvant rejoindre le colon , et faute de courage baisser le nez devant les exigence de la révolution socialiste.

 

Revenir sur le cas ? Intéressant de revoir le rôle capital tenu par DOA dans la situation actuelle de la médecine, pour ce dont il est responsable et ce qui revient au clan des aliénés qui comme lui, une fois CHADLI éliminé, se sont mis au service des DAF.

DOA à ce titre est le fidèle soutien des BOUTEFLIKA dont la maladie, révélatrice des dysfonctionnements généraux qui affectent la société, alarme la population qui ne sait plus en quelle autorité croire.

 

Du temps de CHADLI , l’UMA dont DOA était Président , en même temps qu’il assurait des fonctions importantes au parlement , avait un Département d’Ethique et Déontologie qui fut chargé de rédiger le premier code de déontologie qui devait veiller sur l’image de marque de la médecine algérienne et s’assurer de l’exercice de la profession dans le cadre de la Constitution . Avec pour normes morales l’Islam et qui pour le rédacteur, membre d’une association sous l’égide du FLN, devait rester dans le sillon « des avant gardistes » gardiens des acquis de la révolution de Novembre.

 

Ce code, revu à la sauce des nombreuses associations médicales promues pour « démocratisation», imposée, a revu quelques articles en fonction de l’actualité internationale, mais pour la base essentielle qui traite du devoir du médecin algérien et de ses devoirs envers son patient et l’Etat a actuellement cours.

 

Le cas du malade BOUTEFLIKA, révélateur de nombreuses morbidités, doit à la lueur du code et des prérogatives des syndicats rassurer les Algériens et prendre la défense de leurs intérêts, tant dans le domaine santé physique et morale que matérielle.

Bien que le médecin de par sa profession soit tenu à la discrétion et à la réserve, ses élus ont pour rôle d’être les intermédiaires entre le pouvoir et la peuple et de veiller aux respects de la loi.

 

Du rôle des syndicats.

 

Le code de déontologie , ne leur interdit pas de dénoncer le cas du citoyen BOUTEFLIKA et celui de la nomenklatura qui se font soigner à l’étranger tout en important une main d’œuvre étrangère pour faire tourner leurs cliniques privées alors que des milliers d’Algériens chôment.

 

Du rôle du CNDM

 

- de la Déontologie

Le Code lui impose de dénoncer les mêmes dérives, ce qu’a d’ailleurs le Président n’a pas hésité à faire, mais de façon partielle et politicienne. Le combat doit se mener en sensibilisant les médecins algériens, toutes spécialités et statuts confondus dans le cadre des institutions nationales, sans porter dans la rue les problèmes médicaux. C’est le corollaire de l’Ordre, vu par les Français, et raison pour laquelle, le Docteur NEKKACHE Premier Ministre de la Santé l’a interdit en Algérie, dès l’indépendance. Le code en la matière est une association corporatiste qui jouit de concessions judiciaires accordées par le politique, en parallèle des lois communes, pour défendre ses intérêts en fonction de ceux des gouvernants.

 

Le Président du CNDM a dénoncé en politicien, plus qu’en médecin, la pratique médicale des médecins étrangers, violant les règles du Code en se substituant aux rôles légal des syndicats.

 

- de l’Ethique

 

La matière traite des problèmes qui se posent à l’ensemble de la société et qui doivent être trouver solution en tenant compte de l’avis unanime de tous les spécialistes ou les représentants des associations citoyennes concernées par un événement ou phénomène qui s’imposent par un progrès technique ou comme dans notre cas une régression qui interpellent la société et inquiètent les citoyens en les laissant sans autorité morale à laquelle se référer pour se rassurer.

 

Le représentant des Médecins doit donc prendre position face aux mensonges éhontés du Ministre de l’Intérieur. Il doit saisir directement ce Ministre et lui demander des explications sur la véracité des faits et connaître le nom et la qualité du médecin prescripteur et s’assurer du respect du Code de Déontologie qui interdit tout certificat de complaisance et prévoit la comparution du fautif devant un conseil de discipline si le Ministre refuse , de la déontologie servile nous passons à l’Ethique médicale musulmane . Toutes les autorités concernées, religieuses et citoyennes sont appelées à se prononcer devant le cas et en collaboration avec les médecins dénoncer la dérive. S’il n’y a pas consensus, devant le danger que court la société, le Médecin est en droit de communiquer son point de vue au peuple pour lui expliquer la situation et lui rappeler ses droits.

[tewfikhouari 10]

Le frère amar001 agit en matière de provocation, n’est pas faussaire, qualité qu’il attribue à DOA

 

Le médecin qui a le plus fait parler de lui ces quarante dernières années, a vu son CV repris le long de nombreux forums et figurer en bonne page, sur le site du Ministère de la Santé, alors qu’il en avait la charge.

 

La haine qui suit le toubib est due au mépris que celui-ci ainsi que tous les autres « professeurs sur décret » issus de l’ALN que leur témoignèrent d’emblée leurs confrères aliénés qui durent rester sur place, ne pouvant rejoindre le colon , et faute de courage baisser le nez devant les exigence de la révolution socialiste.

 

Revenir sur le cas ? Intéressant de revoir le rôle capital tenu par DOA dans la situation actuelle de la médecine, pour ce dont il est responsable et ce qui revient au clan des aliénés qui comme lui, une fois CHADLI éliminé, se sont mis au service des DAF.

DOA à ce titre est le fidèle soutien des BOUTEFLIKA dont la maladie, révélatrice des dysfonctionnements généraux qui affectent la société, alarme la population qui ne sait plus en quelle autorité croire.

 

Du temps de CHADLI , l’UMA dont DOA était Président , en même temps qu’il assurait des fonctions importantes au parlement , avait un Département d’Ethique et Déontologie qui fut chargé de rédiger le premier code de déontologie qui devait veiller sur l’image de marque de la médecine algérienne et s’assurer de l’exercice de la profession dans le cadre de la Constitution . Avec pour normes morales l’Islam et qui pour le rédacteur, membre d’une association sous l’égide du FLN, devait rester dans le sillon « des avant gardistes » gardiens des acquis de la révolution de Novembre.

 

Ce code, revu à la sauce des nombreuses associations médicales promues pour « démocratisation», imposée, a revu quelques articles en fonction de l’actualité internationale, mais pour la base essentielle qui traite du devoir du médecin algérien et de ses devoirs envers son patient et l’Etat a actuellement cours.

 

Le cas du malade BOUTEFLIKA, révélateur de nombreuses morbidités, doit à la lueur du code et des prérogatives des syndicats rassurer les Algériens et prendre la défense de leurs intérêts, tant dans le domaine santé physique et morale que matérielle.

Bien que le médecin de par sa profession soit tenu à la discrétion et à la réserve, ses élus ont pour rôle d’être les intermédiaires entre le pouvoir et la peuple et de veiller aux respects de la loi.

 

Du rôle des syndicats.

 

Le code de déontologie , ne leur interdit pas de dénoncer le cas du citoyen BOUTEFLIKA et celui de la nomenklatura qui se font soigner à l’étranger tout en important une main d’œuvre étrangère pour faire tourner leurs cliniques privées alors que des milliers d’Algériens chôment.

 

Du rôle du CNDM

 

- de la Déontologie

Le Code lui impose de dénoncer les mêmes dérives, ce qu’a d’ailleurs le Président n’a pas hésité à faire, mais de façon partielle et politicienne. Le combat doit se mener en sensibilisant les médecins algériens, toutes spécialités et statuts confondus dans le cadre des institutions nationales, sans porter dans la rue les problèmes médicaux. C’est le corollaire de l’Ordre, vu par les Français, et raison pour laquelle, le Docteur NEKKACHE Premier Ministre de la Santé l’a interdit en Algérie, dès l’indépendance. Le code en la matière est une association corporatiste qui jouit de concessions judiciaires accordées par le politique, en parallèle des lois communes, pour défendre ses intérêts en fonction de ceux des gouvernants.

 

Le Président du CNDM a dénoncé en politicien, plus qu’en médecin, la pratique médicale des médecins étrangers, violant les règles du Code en se substituant aux rôles légal des syndicats.

 

- de l’Ethique

 

La matière traite des problèmes qui se posent à l’ensemble de la société et qui doivent être trouver solution en tenant compte de l’avis unanime de tous les spécialistes ou les représentants des associations citoyennes concernées par un événement ou phénomène qui s’imposent par un progrès technique ou comme dans notre cas une régression qui interpellent la société et inquiètent les citoyens en les laissant sans autorité morale à laquelle se référer pour se rassurer.

 

Le représentant des Médecins doit donc prendre position face aux mensonges éhontés du Ministre de l’Intérieur. Il doit saisir directement ce Ministre et lui demander des explications sur la véracité des faits et connaître le nom et la qualité du médecin prescripteur et s’assurer du respect du Code de Déontologie qui interdit tout certificat de complaisance et prévoit la comparution du fautif devant un conseil de discipline si le Ministre refuse , de la déontologie servile nous passons à l’Ethique médicale musulmane . Toutes les autorités concernées, religieuses et citoyennes sont appelées à se prononcer devant le cas et en collaboration avec les médecins dénoncer la dérive. S’il n’y a pas consensus, devant le danger que court la société, le Médecin est en droit de communiquer son point de vue au peuple pour lui expliquer la situation et lui rappeler ses droits.

 

Tres bon raisonnement....Ce docteur fait partie du clan et fidele serviteur de Bouteflika...J'ai juste rappeler à amar001 de ne pas faire de la desinformation quant a la nationalité et le lieu de naissance de DOA...Merci tek.afiriste