Jump to content

Vengeance contre l'ex-garde de sceaux, Mohamed Charfi?


Guest D. ESSERHANE

Recommended Posts

Guest D. ESSERHANE

Représailles contre l'ex-garde de sceaux, Mohamed Charfi?

 

 

C'est presqu'une certitude: l'ex Ministre de la Justice, M Mohamed Charfi aurait été victime de sa droiture dans le traitement du dossier de corruption ayant entaché Sonatrach dont lequel il avait impliqué un ami du président de la république.

 

Et en émettant un mandat d’arrêt international contre Chakib Khalil, contre sa femme et ses enfants, l’ex garde des sceaux infortuné a fait sauter dangereusement une barrière et franchi une ligne rouge, en dépit des mise-en-gardes d’un Saadani sournois, un homme de circonstances, coopté spécialement pour des viles missions à risques comme celle de sauver la tête d’un ex ministre relevant du cercle présidentiel ou bien celle de rabaisser et d’embourber l’institution militaire dans son ensemble comme personne ne l’a fait auparavant.

 

Il ignorait que de telles aventures si périlleuses, allaient, tôt ou tard, le mettre au ban de la société jusqu’à la fin de ses jours. Il est et il restera pour le commun des algériens, l’homme conditionné aux basses manœuvres et des échecs cinglants autant que ses commanditaires tapis dans l'ombre du pouvoir

 

Charfi ira, comme nous le savons, jusqu’au bout de sa logique en accomplissant que ce lui dictait sa conscience professionnelle. Le mandat d’arrêt qu’il a émis contre le pétrolier fugitif, l’intouchable et l’ami du président allait lui ouvrir, comme il le savait, une porte vers de terribles représailles.

 

Blessé, mais visiblement serein, l’ex garde des sceaux, qui avait épargné jusqu’ici le président de la république, aurait promis d’autres révélations tonitruantes pour 'vider ce qu'il a sur son cœur' et éclairer l’opinion publique.

 

En attendant, on aimerait savoir qui avait mandaté Saadani pour corrompre le ministre. Si nous aurions cette réponse, nous saurions évidemment de qui venaient ces pratiques mafieuses dignes de la mafia napolitaine.

 

A bas les masques, alors!

 

D. Esserhane, lieutenant de police

 

3346_17_740248086.jpg&size=article_medium

Link to post
Share on other sites
Guest D. ESSERHANE
  Ladoz said:
Le Dr Ladoz pense qu'il se place plutôt en réserve de la république pour l'après-Bouteflika

 

Pourquoi pas?

 

C'est seul ministre de la Justice à avoir franchi le Rubicon en émettant un mandat d’arrêt contre son propre collègue. Je crois aussi qu'il est le seul aussi à n'avoir pas abdiquer aux menaces à peine voilées de Saadani.

 

Saadani lui avait proposé d'épargner Chakib Khelil s'il tenait à son poste.

 

J'aurai aimé que cet honorable commis de l'Etat fait de l'obligation de réserve le cadet de ses soucis et nous éclaire un peu plus sur ce système mafieux.

Link to post
Share on other sites
  D. ESSERHANE said:
Représailles contre l'ex-garde de sceaux, Mohamed Charfi?

 

 

C'est presqu'une certitude: l'ex Ministre de la Justice, M Mohamed Charfi aurait été victime de sa droiture dans le traitement du dossier de corruption ayant entaché Sonatrach dont lequel il avait impliqué un ami du président de la république.

 

Et en émettant un mandat d’arrêt international contre Chakib Khalil, contre sa femme et ses enfants, l’ex garde des sceaux infortuné a fait sauter dangereusement une barrière et franchi une ligne rouge, en dépit des mise-en-gardes d’un Saadani sournois, un homme de circonstances, coopté spécialement pour des viles missions à risques comme celle de sauver la tête d’un ex ministre relevant du cercle présidentiel ou bien celle de rabaisser et d’embourber l’institution militaire dans son ensemble comme personne ne l’a fait auparavant.

 

Il ignorait que de telles aventures si périlleuses, allaient, tôt ou tard, le mettre au ban de la société jusqu’à la fin de ses jours. Il est et il restera pour le commun des algériens, l’homme conditionné aux basses manœuvres et des échecs cinglants autant que ses commanditaires tapis dans l'ombre du pouvoir

 

Charfi ira, comme nous le savons, jusqu’au bout de sa logique en accomplissant que ce lui dictait sa conscience professionnelle. Le mandat d’arrêt qu’il a émis contre le pétrolier fugitif, l’intouchable et l’ami du président allait lui ouvrir, comme il le savait, une porte vers de terribles représailles.

 

Blessé, mais visiblement serein, l’ex garde des sceaux, qui avait épargné jusqu’ici le président de la république, aurait promis d’autres révélations tonitruantes pour 'vider ce qu'il a sur son cœur' et éclairer l’opinion publique.

 

En attendant, on aimerait savoir qui avait mandaté Saadani pour corrompre le ministre. Si nous aurions cette réponse, nous saurions évidemment de qui venaient ces pratiques mafieuses dignes de la mafia napolitaine.

 

A bas les masques, alors!

 

D. Esserhane, lieutenant de police

 

3346_17_740248086.jpg&size=article_medium

 

Comme quoi il y a des patriotes dans les institutions.

Il y a des hommes justes qui croient en l'Algérie.

Sachons faire preuve de discernement.

Link to post
Share on other sites
Guest D. ESSERHANE
  Zoubir8 said:
Comme quoi il y a des patriotes dans les institutions.

Il y a des hommes justes qui croient en l'Algérie.

Sachons faire preuve de discernement.

 

Je crois que là, tu exagères, mon ami

Dire que qu'il n'y a de patriotes de nos instituions est une erreur de jugement.

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...