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Plus grosses fortunes au Maghreb.


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Le marocain Aziz Akhanouch, un ministre dans le classement Forbes de grosses fortunes

 

Merouane Korso 7 mars 2014 Maghreb Emergent

 

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Aziz AkhanouchAziz Akhanouch, ministre marocain de l'agriculture

 

Des africains dans la liste des grandes fortunes de Forbes, cela est devenu banal. Mais jusque-là, aucun ministre n’y figurait. En 2014, Aziz Akhanouch, ministre marocain de l'agriculture et de la pêche maritime, y fait son entrée. Il est désormaus le seul ministre en Afrique à être présent dans le « happy few » de Forbes.

 

 

 

Aziz Akhanouch était connu pour être une des plus grandes fortunes du Maroc. Il fait son entrée dans le classement 2014 Forbes des grosses fortunes et devient, du même coup, le seul ministre africain à en faire partie. Non classée en 2013, la fortune de Aziz Akhanouch, le seul ministre marocain qui se déplace à l'intérieur du pays avec son ''hélico'', et particulièrement lorsqu'il se déplace avec des homologues étranger, est estimée en 2014 à 1,4 milliards de dollars. Avec Othmane Benjelloun (3,1 mds de dollars), Miloud Chaabi (1,9 md de dollars) et Anas Sefrioui (1,25 md de dollars), il est classé à la troisième position des quatre premières fortunes du Maroc. Un classement qui ne tient pas compte du fait que la première fortune du pays reste celle du Roi Mohamed VI. Né en 1961 dans le sud du Maroc, à Tafraoute (près d'Agadir), il est pratiquement à la tête du premier distributeur marocain de produits pétroliers, Afriquia, et des gaz industriels (Oxygène). Le patrimoine qu'il détient avec des membres de sa famille est vaste.

 

Les hydrocarbures, les médias, la distribution...

 

Outre les hydrocarbures, il dirige le groupe Caractères qui détient les plus importants titres de la presse spécialisée marocaine avec La Vie Économique, Femmes du Maroc, Maisons de Maroc ou Nissaa Min Al Maghrib. Dans la téléphonie, il est dans le capital du second opérateur marocain, Meditélécom, avec le groupe Finances.com du magnat de la finance marocaine, Othmane Benjelloun. Avec sa femme, il détient également le Marocco Mall de Casablanca, second plus grand Mall d’Afrique, et le groupe de la distribution Akwa et des filiales innombrables. Très proche du Roi, il est nommé en 2007 ministre de l'agriculture et de la pêche maritime dans le gouvernement Istiqlalien de Abbas el Fassi. Il a été reconduit en 2011 dans celui d’Abdelilah Benkirane. Dans le sud du Maroc, dans le Souss, la famille Akhanouche est du reste à la tête de milliers d'hectares exploités pour une production de primeurs et fruits exclusivement pour l'exportation.

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Issad Rebrab joins the Forbes Billionaires list

 

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Issad Rebrab joins the Forbes Billionaires list this year thanks to his thriving $3.5 billion (sales) food business, Cevital, a producer of sugar, vegetable oil and margarine. An accountant by training, one of his clients talked him into investing in the client's metal company in 1971. By 1995 Rebrab had expanded into food, founding Cevital three years later. His five children work at the company. His success is unusual in a country with socialist policies hostile to entrepreneurs and he is Algeria's first-ever billionaire. "Today we [entrepreneurs] are accepted, but not encouraged," he said in a French TV interview. He is the son of militants who fought for Algeria's independence from France.

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Forbes: Akhannouch fait son entrée chez les milliardaires

 

 

 

h24info.ma / Publié le 04/03/2014

 

Aziz Akhannouch

 

En affaires comme dans la gestion de la chose publique, tout sourit à Aziz Akhannouch. Le secret? De bonnes idées, beaucoup de travail et... de bons soutiens.©DR

 

L’actuel ministre de l’Agriculture et par ailleurs patron du groupe Akwa représente désormais la 1210e fortune mondiale, dans le classement établi par Forbes. Il n'y a cependant pas fait son entrée "seul", mais avec son épouse Salwa Idrissi Akhannouch...

 

Après être (déjà) entré dans le top 50 des fortunes africaines de Forbes en novembre 2013, Aziz Akhannouch fait son entrée dans le classement mondial des milliardaires établi chaque année par le magazine économique américain.

 

L’actuel ministre de l’Agriculture et par ailleurs patron du groupe Akwa pèse désormais quelque 1,4 milliard de dollars et représente la 1210e fortune mondiale, sur un total de 1.645 milliardaires. Il dépasse même un grand habitué marocain du classement, Anas Sefrioui (Addoha) dont la fortune est estimée à "seulement" 1,2 milliard de dollars (1356).

 

Une affaire de famille

Mais Aziz Akhannouch n'est pas entré "seul" dans le célébrissime classement. Forbes mentionne que son rang (et sa fortune) est celui de sa "famille": c'est à dire son épouse Salwa Idrissi Akhannouch (Aksal), celle à qui on doit l'installation d'une pléiade de franchises étrangères au Maroc et des projets de l'envergure du Morocco Mall.

 

Othman Benjelloun, en baisse mais toujours en tête

Au sommet de la liste "marocaine", on retrouve Othman Benjelloun, qui avec 2,8 milliards de dollars, reste devant Miloud Chaabi (1,9 milliard de dollars) pour la deuxième année consécutive. Constat majeur, l’omnipotent patron de financeCom est sorti du top 500 dans lequel il s'était hissé l'année dernière: il doit cette année se contenter de la 609e place.

 

Et pour cause, l’activité de sa holding, bien que toujours porteuse, réalise des profits plus limités. Pour BMCE Bank, le résultat net en 2012 était de +8,6%, crise oblige et dans un contexte où l’effort de provisionnement a dépassé le milliard de dirhams. Résultat, le groupe bancaire n'a dégagé "que" 923 millions de dirhams de bénéfice alors que ses profits auraient pu atteindre 1,2 milliard de dirhams…

 

Autre élément d'explication: le nombre et la fortune des plus fortunés à l'échelle mondiale continuent de progresser à une vitesse astronomique. Cette année, 268 nouvelles fortunes mondiales qui ont atteint 1 milliard et plus de dollars ont fait leur entrée dans le classement...

 

Loin derrière Othman Benjelloun, mais toujours dans le top 1.000 mondial, on retrouve donc Miloud Chaâbi (931e place). Le self-made man survit non seulement aux aléas de la conjoncture, mais aussi aux rumeurs le voulant en phase de cessions de ses biens et entreprises. Enfin, bon -et riche- dernier, arrive Anas Sefrioui.

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En attendant Said Bouteflika

 

Y a t-il des photos de ses possessions?

 

Au delà du 4ème mandat cet article fait le point sur qlq grosses fortunes...

ps: s'il faut encourager le BTP made in Algeria, il faut aussi réserver des marchés publics à des PME et TPE algériennes.

Les patrons qui financent Bouteflika 4 ne cachent plus leur connexion

 

Ali Haddad, Laid Benamor, Ridha Kouninef, Mohamed Baïri, les centres de profits de ces chefs d’entreprises et leurs métiers sont dissemblables. Ils ont un point commun, ils sont mobilisés pour faire durer Bouteflika. Et mettent le FCE sous pression.

 

 

 

Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) connait une situation des plus embarrassantes avec des pressions exercées par des patrons de « poids » pour amener l’organisation à se prononcer en faveur d’un quatrième mandat pour Abdelaziz Bouteflika. Mais, une fois n’est pas coutume, des résistances s’expriment au sein de l’organisation contre un positionnement politique sur une candidature devenue un sujet national de controverse. Une assemblée générale prévue en février pour se prononcer sur la question n’a pu se tenir faute de quorum. Des patrons ont choisi délibérément de s’absenter pour ne pas avoir à subir des pressions. Et ceux qui se sont portés absents ont été très nombreux puisque seul 44 membres ont fait acte de présence alors que le quorum est de 134 membres. Une autre assemblée avait été convoquée pour le début mars mais elle a été reportée, à nouveau, au jeudi13 mars.

 

Le FCE qui s’est déjà régulièrement prononcé en faveur de Bouteflika pour les trois précédents mandats est aujourd’hui très divisé. Si en 1999, le FCE n’existait pas encore, le soutien des patrons algériens était « acquis » pour le « candidat du consensus ». Le Forum des chefs d’entreprises (FCE) qui a été créé en octobre 2000 en tant « qu’association à caractère économique » connaitra sa première présidentielle en 2004. Il appellera, comme les autres organisations à soutenir Bouteflika. Mais cela ne se passe pas en toute tranquillité, l’organisation patronale enregistrant à l’occasion sa première grosse défection. Le patron de Cevital, le groupe privé algérien le plus en vue, Issad Rebrab, a en effet claqué la porte de l’organisation en refusant de s’inscrire dans les «enjeux politiques ». Le patron de Cevital montrait, déjà, que son groupe avait suffisamment de poids pour défendre une certaine autonomie à l’égard du pouvoir politique. Ses défenseurs laissent entendre aussi que les entraves rencontrées par la suite dans la réalisation de certains grands projets en Algérie, dont celui de la sidérurgie, sont liées à son refus de « s’aligner ». Rebrab donnera sa propre explication en soulignant qu’il n’était pas spécialement contre un autre mandat d’Abdelaziz Bouteflika mais qu’il refusait de voir l’organisation patronale se mêler de politique. Le patron de Cevital qui était alors vice-président du FCE a fait valoir que le règlement intérieur de l’organisation « interdisait clairement de se mêler à la politique ». « C’est une position de principe qui n'a aucune relation avec un appui ou une opposition aux projets politiques ou électoraux de quiconque” avait-il expliqué dénonçant une « déformation » de ses propos par d’autres patrons dans le but de nuire aux intérêts de son groupe.

 

A mains levées

 

En 2009, la révision de la constitution pour supprimer la limitation des mandats ayant eu déjà lieu en 2008, les intentions du pouvoir étaient claires. Le FCE n’a même pas attendu de connaître les noms des candidats pour soutenir, Abdelaziz Bouteflika. Le 29 janvier 2009, une assemblée générale tenue à l’Aurassi a voté à « main levée », et « à l'unanimité de ses membres son soutien total” à la candidature de Bouteflika. Une réunion expédiée en deux heures par des patrons pressés de passer à autre chose. En 2014, le soutien routinier au « candidat du système » fait face à une vraie résistance au FCE. Réda Hamiani était dans cette optique « routinière » encore au début février où il évoquait la possibilité pour le FCE « d’inviter le Président à se représenter en lui souhaitant une bonne santé ». Le patron du FCE finira par nuancer sa position devant les grosses réticences exprimées par des membres de l’organisation. Slim Othmani, patron de NCA Rouiba, a révélé l’ampleur des tensions en évoquant des tentatives « d’imposer des choses à des chefs d’entreprise par la force, par la contrainte et la menace ? (… certains d’entre nous commencent sérieusement à avoir peur... ». Mais des patrons favorables à Bouteflika, il n’en manque pas et ils mettent fortement les pressions sur le FCE pour faire le « bon choix » et l’amener à un 4ème soutien à Bouteflika ?

 

Qui sont-ils ?

 

Le plus en vue reste Ali Haddad, patron de l’ETRHB. Dans la journée qui a suivi le dépôt de candidature d’Abdelaziz Bouteflika au Conseil Constitutionnel, il a réuni à l’hôtel Aurassi des membres influents du FCE. Il s’agissait de préparer l’assemblée générale du 13 mars et aussi de lever des fonds pour la campagne du président. Les patrons étaient invités à des engagements « écrits », selon un membre du FCE, variant entre « 500.000 et 50 millions de DA » pour financer la campagne de Bouteflika. L’ETRHB, groupe créé à la fin des années 80 a connu un essor fulgurant depuis l’avènement d’Abdelaziz Bouteflika. Le groupe des frères Haddad a en effet bénéficié d'un "plan de charge" de 200 milliards de DA au titre des programmes successifs d'infrastructures, soit près de 2,5 milliards de dollars. De la commande publique qui lui permet de se hisser au statut de premier groupe de travaux publics du pays. Ses deux usines de fabrication de tuyaux en BPAT (Hellouane dans la commune d’Ighzer Amokrane à Béjaia, et à Fornaka, à Mostaganem), installées pour accompagner la réalisation des grands projets de transfert d’eau des barrages vers les agglomérations et les centres urbains du pays lui ont permis d'engranger d'importants revenus. Les cahiers de charges exigeaient le type de "buses" sortant de ses deux usines et la plupart des entreprises engagées dans la réalisation de ces transferts, nationales et étrangères, s'approvisionnaient chez cette filiale.

 

Les pro-Bouteflika se recrutent dans toutes les filières …

 

Entre Ridha Kouninef, patron du Groupe KOUGC et les Bouteflika une vieille amitié familiale. Le groupe réalise une croissance annuelle à deux chiffres (10 %). La moyenne entreprise d’il y a une décennie rivalise aujourd'hui avec les majors mondiaux au sud. Le groupe est lié au opère dans les domaines de l'hydraulique, le bâtiment, l'électricité, les travaux publics et le génie civil pétrolier. Il est le principal partenaire de Sonelgaz pour les grands projets de transport et de transformation d’énergie électrique avec laquelle il a réalisé des centaines kilomètres de lignes électriques sur l’ensemble du territoire national. Il est également le principal partenaire du ministère des ressources en eau sur plusieurs projets de transferts. Au Sud, il a réalisé la base de vie KGCI Hassi Messaoud, les voies routières normalisées des champs pétroliers de HBNS sur 46 Km pour le compte de l'association Sonatrach /Anadarko, les réseaux Routiers normalisés des champs pétroliers Rouhd El-Khrouf (64 km), d’Ohanet (60 km), TFT (72 km) et Bir-Birkine (35 km) en plus de deux aérodromes de classes D et C, pour ne citer que ces projets. Mais si les intérêts d’Ali Haddad sont directement rattachés à l’attribution des marchés publics, ceux de Taib Ezzraimi Abdelkader et Laid Benamor paraissent l’être beaucoup moins. Ils sont pourtant en première ligne en faveur du 4e mandat. Le patron du groupe SIM (Semoulerie Industrielle de la Mitidja) s’est diversifié avec des filiales qui émergent dans la promotion immobilière, la santé (clinique Amina), l'enseignement et la formation professionnelle. Le capital social de la SIM a été multiplié par 500 entre 1996 et 2013, passant de 8,2 millions de DA (105 000 USD environ) à 3,9 milliards de DA (51 millions USD environ). TaibEzzraimi Abdelkader est aussi le président du comité d'affaires algéro-russe.

 

Le patron du groupe agroalimentaire Laid Benamor lui est une nouvelle puissance financière qui émerge avec une forte exposition médiatique. Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 258 millions de dollars en 2012. Il a acquis en 2013 les minoteries publiques d'Eriad en 2013 à hauteur de 60 % des actions avec un engagement, d'investir 100 millions de dollars sur les cinq ans à venir. Une privatisation négociée dans la discrétion qui a été annoncée par les pouvoirs publics comme un prélude à la relance du processus de privatisation à l'arrêt depuis 2007. Laid Benamor a rejoint durant la même année le club très restreint des sponsors de la Fédération algérienne de football (FAF) en prévision du mondial du Brésil 2014. Abderrahmane Benhamadi DG du groupe Condor, et frère de Moussa, l’ancien ministre FLN des PTIC, est également engagé en faveur du 4e mandat. Diversifié et opérant dans de nombreux secteurs, le groupe compte 9 filiales et a réalisé un chiffre d'affaires de 31 milliards de DA en 2012 (400 millions USD environ).

 

… et surtout dans la concession automobile

 

 

 

Les autres soutiens actifs de Bouteflika au sein du FCE se comptent parmi les concessionnaires automobiles. Il s'agit des patrons des groupes IVAL, Mohamed Bairi, SOVAC, Mourad Oulmi, MahieddineTahkout, et Ahmed Mazouz. SOVAC, distributeur de plusieurs marques automobiles, notamment Volkswagen et Audi a réalisé a réalisé une partie conséquente de ses 40 milliards de DA de chiffre d'affaires en 2011 (450 millions de dollars environ) grâce aux commandes publiques.MahieddineTahkout, qui détient la concession automobile multimarque Cima Motors, est aujourd'hui à la tête de l'un des plus grands groupes en Algérie assis sur un quasi monopole dans le transport universitaire. Ahmed Mazouz qui commercialise, lui aussi, plusieurs marques d'automobiles a acquis récemment l'entreprise de conserves N'Gaous, une ancienne entreprise publique cédée par l'Etat à un autre privé avant d’être «renationalisée ». Il se place ainsi, parmi les plus importants groupes de l'agroalimentaire en Algérie. Selon une source proche du FCE, ces quatre concessionnaires se chargent de la levée des fonds pour Bouteflika 4 au sein de la distribution automobile. Proche des Bairi, Mazouz et Tahkout, Mohamed Djemai n'est, lui, pas membre du FCE mais, c'est de loin, le plus iconoclaste des soutiens financier de Bouteflika 4. Associé dans un groupe familial, EssalamElectronics en l'occurrence, il a été deux fois député. Après sa séparation avec son partenaire sud-coréen en 2010, EssalamElectronics a lancé sa marque Starlight qui fait son petit bonhomme de chemin dans le secteur de l'électroménager. Dans les couloirs de l'Assemblée populaire nationale (APN), on lui attribue l’introduction dans la LFC 2011 d’un amendement autorisant l’importation de la friperie, prohibée depuis 2008.

 

Les plus « anciens » sont les plus prudents

 

Tous les chefs d’entreprise importants du FCE ne sont pas des zélés du 4e mandat. A commencer par son président qui semble ajuster ses positions à la température générale de l’organisation. Ancien ministre délégué chargée de la petite et moyenne entreprise (1992-PME), Réda Hamiani a été le fondateur de l'une des premières organisations patronales, la Confédération algérienne du patronat. Il est copropriétaire d'une poignée de petites entreprises familiales activant dans le textile, commerce d'automobiles, agroalimentaire et systèmes de climatisation. La plus importante est la Sarl Redman qui commercialise l'habillement pour hommes de la marque portant le même nom de l'entreprise. Originaire de Mostaganem, 70 ans, président du FCE depuis 2006, Réda Hamiani n’est pas « personnellement » hostile à un soutien au 4ème mandat. Mais au fil des jours et des tensions, il s’est retrouvé obligé de tenir compte des réticences qui s’expriment au sein de l’organisation. Sa dernière déclaration publique à ce sujet penche clairement pour un « non-positionnement » de l’organisation sur l’élection présidentielle. Omar Ramdane son prédécesseur à la tête du FCE est également prudent même c’est par lui que le FCE s’est « engagé » en politique. Originaire de l'Ouarsenis, Officier de la wilaya IV historique, Omar Ramdane, aujourd’hui président d'honneur du FCE, jouit au sein de l'organisation d'une autorité que lui confère son parcours combattant. Il est le patron de la Sarl au capital social de 1,5 milliard de DA (20 millions USD environ) Modern Ceramics qui fabrique des produits de briqueterie et de tuilerie. Omar Ramdane, selon nos sources, pensait sur la base « d’informations sûres » que le président Bouteflika ne se présenterait pas pour un 4ème mandat. Il aurait de ce fait œuvré à éviter une prise de position par l’assemblée générale. Mais une fois cette candidature acquise, il est devenue partisan d’une prise de position du FCE en faveur de Bouteflika. Le 13 mars prochain, les patrons voteront. A bulletin secret cette fois. Pas à mains levées.

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