Jump to content

L’Algérie prisonnière de la guerre de trois familles mafieuses.


Recommended Posts

Pour celui qui vit l’actualité sous le prisme de la démocratie, la guerre qui se livre en Algérie entre « les » et « contre » un quatrième mandat est celle qui oppose les aspirants à la démocratie et les tenants du pouvoir qui veulent s’y accrocher.

Il en est autrement dans un terrain ou la politique ne cache que le pouvoir pour ce qu’il a de plus mafieux, avec transcendance du politique et comme seule éthique celle du profit et de l’efficacité des affaires.

Au départ, il y avait les dignitaires du régime, les militaires rentrés des frontières qui après avoir fait main basse sut tout ce que le colon avait laissé, contrôlèrent par la suite toutes les importations du régime socialistes, en vivant en seigneurs sur le pays. C’est la première mafia installée, qui par ses services de sécurité nommait aux postes clés, fonctionnaires et Président de la République. En son sein, il y avait le ver des DAF, ces déserteurs de l’armée française qui avaient pour but d’abattre le socialisme et de favoriser la corruption pour libéraliser le pays et le placer dans le camp de l’occident face au bloc communiste.

L’arrêt du processus démocratique entrepris par la « démocratisation » est le retour de manivelle reçu par les apprentis sorciers qui avaient signé la mort du socialisme et du parti unique. Le FIS par l’engagement sincère et total de ses militants islamistes échappa au contrôle du laboratoire des services. La mafia refusa le vote des urnes et se lança dans la répression massive et l’instauration d’un régime d’exception qui lui permettait de faire main basse sur tous les monopoles d’importation dans le sacrifice des sociétés nationales pour des entreprises privées octroyées aux généraux. L’importance des affaires sous la montée du prix du baril, fit que l’entourage du Président de la République et des Ministres qui signaient les marchés, prit de l’importance et s’imposa comme seconde famille mafieuse face à celle des militaires et du DRS.

Deux familles qui se partagent la rente, d’un côté le DRS qui a son « Général médicament » –Ghenim – et en face la Présidence avec son « Ministre Travaux publics et autoroute » – Ghoul. D’où vient le déséquilibre ? De la montée d’un troisième clan celui des nouveaux milliardaires qui à la tête de sommes considérables placées sur des compte étrangers, possédaient encore plus en Algérie sous forme de liquidités qu’ils veulent blanchir,

en les investissant à l’étranger. Ils assurent leurs arrières face à une Algérie frondeuse tout en mettant en place un système de rente d’un rapport exceptionnel. Avec l’argent volé aux Algériens, ils achètent des usines à l’étranger dont la production serait écoulée en Algérie, dans un marché qui leur est acquis.

Cette nouvelle mafia ne craint ni le DRS ni l’armée pour avoir intégré dans ses rangs les officiers les plus riches, qui après avoir enterré l’œuvre de BOUMEDIENE, n’ont plus en tête que suivre leur nouveau gourou, REBRAB, l’Algérien reconnu comme l’homme le plus riche d’Afrique.

 

Quel avenir pour l’Algérie ? Le clan présidentiel insiste pour maintenir soutenir le quatrième mandat de BOUTEFLIKA. BENFLIS un de ses challengers qui avait été mis en selle en selle en politique par le Général BELKHEIR chef de file des DAF qui ont donné les plus grosses fortunes militaires, vient de faire connaître son programme. Ouverture totale vers la libéralisation, avec facilité accordées aux investisseurs étrangers – revoir la fameuse règle du 49/51 et lois permettant aux Algériens d’investir à l’étranger en bénéficiant de la convertibilité de leurs dinars algériens, selon des lois à définir. Et cela alors que le parrain de la mafia financière, REBRAB est en pourparler pour racheter FAGOR en France.

Le silence qui s’est établi autour de cette dernière transaction signe son gel en attente des élections Algériennes. Vu le programme de BENFLIS, il est le candidat de Paris.

Nous risquons d’assister à une farce. La momie BOUTEFLIKA maintenue comme lièvre, pour que BENFLIS soit élu au grand soulagement des Algériens, qui oublieront le programme économique qu’il leur destine, grisés par leur succès d’avoir imposé l’alternance et la démocratie.

Link to post
Share on other sites
Pour celui qui vit l’actualité sous le prisme de la démocratie, la guerre qui se livre en Algérie entre « les » et « contre » un quatrième mandat est celle qui oppose les aspirants à la démocratie et les tenants du pouvoir qui veulent s’y accrocher.

Il en est autrement dans un terrain ou la politique ne cache que le pouvoir pour ce qu’il a de plus mafieux, avec transcendance du politique et comme seule éthique celle du profit et de l’efficacité des affaires.

Au départ, il y avait les dignitaires du régime, les militaires rentrés des frontières qui après avoir fait main basse sut tout ce que le colon avait laissé, contrôlèrent par la suite toutes les importations du régime socialistes, en vivant en seigneurs sur le pays. C’est la première mafia installée, qui par ses services de sécurité nommait aux postes clés, fonctionnaires et Président de la République. En son sein, il y avait le ver des DAF, ces déserteurs de l’armée française qui avaient pour but d’abattre le socialisme et de favoriser la corruption pour libéraliser le pays et le placer dans le camp de l’occident face au bloc communiste.

L’arrêt du processus démocratique entrepris par la « démocratisation » est le retour de manivelle reçu par les apprentis sorciers qui avaient signé la mort du socialisme et du parti unique. Le FIS par l’engagement sincère et total de ses militants islamistes échappa au contrôle du laboratoire des services. La mafia refusa le vote des urnes et se lança dans la répression massive et l’instauration d’un régime d’exception qui lui permettait de faire main basse sur tous les monopoles d’importation dans le sacrifice des sociétés nationales pour des entreprises privées octroyées aux généraux. L’importance des affaires sous la montée du prix du baril, fit que l’entourage du Président de la République et des Ministres qui signaient les marchés, prit de l’importance et s’imposa comme seconde famille mafieuse face à celle des militaires et du DRS.

Deux familles qui se partagent la rente, d’un côté le DRS qui a son « Général médicament » –Ghenim – et en face la Présidence avec son « Ministre Travaux publics et autoroute » – Ghoul. D’où vient le déséquilibre ? De la montée d’un troisième clan celui des nouveaux milliardaires qui à la tête de sommes considérables placées sur des compte étrangers, possédaient encore plus en Algérie sous forme de liquidités qu’ils veulent blanchir,

en les investissant à l’étranger. Ils assurent leurs arrières face à une Algérie frondeuse tout en mettant en place un système de rente d’un rapport exceptionnel. Avec l’argent volé aux Algériens, ils achètent des usines à l’étranger dont la production serait écoulée en Algérie, dans un marché qui leur est acquis.

Cette nouvelle mafia ne craint ni le DRS ni l’armée pour avoir intégré dans ses rangs les officiers les plus riches, qui après avoir enterré l’œuvre de BOUMEDIENE, n’ont plus en tête que suivre leur nouveau gourou, REBRAB, l’Algérien reconnu comme l’homme le plus riche d’Afrique.

 

Quel avenir pour l’Algérie ? Le clan présidentiel insiste pour maintenir soutenir le quatrième mandat de BOUTEFLIKA. BENFLIS un de ses challengers qui avait été mis en selle en selle en politique par le Général BELKHEIR chef de file des DAF qui ont donné les plus grosses fortunes militaires, vient de faire connaître son programme. Ouverture totale vers la libéralisation, avec facilité accordées aux investisseurs étrangers – revoir la fameuse règle du 49/51 et lois permettant aux Algériens d’investir à l’étranger en bénéficiant de la convertibilité de leurs dinars algériens, selon des lois à définir. Et cela alors que le parrain de la mafia financière, REBRAB est en pourparler pour racheter FAGOR en France.

Le silence qui s’est établi autour de cette dernière transaction signe son gel en attente des élections Algériennes. Vu le programme de BENFLIS, il est le candidat de Paris.

Nous risquons d’assister à une farce. La momie BOUTEFLIKA maintenue comme lièvre, pour que BENFLIS soit élu au grand soulagement des Algériens, qui oublieront le programme économique qu’il leur destine, grisés par leur succès d’avoir imposé l’alternance et la démocratie.

Salut ksentini! T'es dévoilé mon pote!

Link to post
Share on other sites
Pour celui qui vit l’actualité sous le prisme de la démocratie, la guerre qui se livre en Algérie entre « les » et « contre » un quatrième mandat est celle qui oppose les aspirants à la démocratie et les tenants du pouvoir qui veulent s’y accrocher.

Il en est autrement dans un terrain ou la politique ne cache que le pouvoir pour ce qu’il a de plus mafieux, avec transcendance du politique et comme seule éthique celle du profit et de l’efficacité des affaires.

Au départ, il y avait les dignitaires du régime, les militaires rentrés des frontières qui après avoir fait main basse sut tout ce que le colon avait laissé, contrôlèrent par la suite toutes les importations du régime socialistes, en vivant en seigneurs sur le pays. C’est la première mafia installée, qui par ses services de sécurité nommait aux postes clés, fonctionnaires et Président de la République. En son sein, il y avait le ver des DAF, ces déserteurs de l’armée française qui avaient pour but d’abattre le socialisme et de favoriser la corruption pour libéraliser le pays et le placer dans le camp de l’occident face au bloc communiste.

L’arrêt du processus démocratique entrepris par la « démocratisation » est le retour de manivelle reçu par les apprentis sorciers qui avaient signé la mort du socialisme et du parti unique. Le FIS par l’engagement sincère et total de ses militants islamistes échappa au contrôle du laboratoire des services. La mafia refusa le vote des urnes et se lança dans la répression massive et l’instauration d’un régime d’exception qui lui permettait de faire main basse sur tous les monopoles d’importation dans le sacrifice des sociétés nationales pour des entreprises privées octroyées aux généraux. L’importance des affaires sous la montée du prix du baril, fit que l’entourage du Président de la République et des Ministres qui signaient les marchés, prit de l’importance et s’imposa comme seconde famille mafieuse face à celle des militaires et du DRS.

Deux familles qui se partagent la rente, d’un côté le DRS qui a son « Général médicament » –Ghenim – et en face la Présidence avec son « Ministre Travaux publics et autoroute » – Ghoul. D’où vient le déséquilibre ? De la montée d’un troisième clan celui des nouveaux milliardaires qui à la tête de sommes considérables placées sur des compte étrangers, possédaient encore plus en Algérie sous forme de liquidités qu’ils veulent blanchir,

en les investissant à l’étranger. Ils assurent leurs arrières face à une Algérie frondeuse tout en mettant en place un système de rente d’un rapport exceptionnel. Avec l’argent volé aux Algériens, ils achètent des usines à l’étranger dont la production serait écoulée en Algérie, dans un marché qui leur est acquis.

Cette nouvelle mafia ne craint ni le DRS ni l’armée pour avoir intégré dans ses rangs les officiers les plus riches, qui après avoir enterré l’œuvre de BOUMEDIENE, n’ont plus en tête que suivre leur nouveau gourou, REBRAB, l’Algérien reconnu comme l’homme le plus riche d’Afrique.

 

Quel avenir pour l’Algérie ? Le clan présidentiel insiste pour maintenir soutenir le quatrième mandat de BOUTEFLIKA. BENFLIS un de ses challengers qui avait été mis en selle en selle en politique par le Général BELKHEIR chef de file des DAF qui ont donné les plus grosses fortunes militaires, vient de faire connaître son programme. Ouverture totale vers la libéralisation, avec facilité accordées aux investisseurs étrangers – revoir la fameuse règle du 49/51 et lois permettant aux Algériens d’investir à l’étranger en bénéficiant de la convertibilité de leurs dinars algériens, selon des lois à définir. Et cela alors que le parrain de la mafia financière, REBRAB est en pourparler pour racheter FAGOR en France.

Le silence qui s’est établi autour de cette dernière transaction signe son gel en attente des élections Algériennes. Vu le programme de BENFLIS, il est le candidat de Paris.

Nous risquons d’assister à une farce. La momie BOUTEFLIKA maintenue comme lièvre, pour que BENFLIS soit élu au grand soulagement des Algériens, qui oublieront le programme économique qu’il leur destine, grisés par leur succès d’avoir imposé l’alternance et la démocratie.

 

Deux énormités qui ternissent un diagnostic clinique correct .

Link to post
Share on other sites
Deux énormités qui ternissent un diagnostic clinique correct .

 

pour le FIS qui a échappé au laboratoire du DRS

 

d'un vieux Wahrani au jeune que tu prétends être

 

Le vieil oranais était dans la salle de réunion de l'ex banque Barclay où impressionné par le charisme de MADANI et BENHADJ et conscient de l'échec du communisme algérien, il avais prédit devant une assemblée médusée, le futur succès du FIS et entrepris d'autres démarches afin que les résultats des urnes soient respectés

 

prend cela comme le témoignage d'un acteur de l'histoire

 

modestement pour ce que je dois à Wahrân , à tous les Oranais qui comme moi ont toujours lutté pour la Justice et la liberté et en mémoire de ce Grand Président qu'a été CHADLI et de ses autres bahris de Mers El Kévir dignes héritiers de BEN MEHIDI

 

pour le BENFLIS

pour sa mise en selle par BELKHEIR , je sais également de quoi je parle. Comme de sa fourberie. Qu'il soit en définitive retenu comme candidat , ne serait qu'un scénario à la Sénégalaise.

Link to post
Share on other sites
L'Algérie est prise dans un étau: mafioso et intégristes. Qui va la libérer?

 

tu n'as pas pris le temps de lire mon post

 

aussi je serai aussi bref que toi pour que le message passe

 

Non, le combat se déroule entre mafioso , dans des élections où les "intégristes" sont exclus.

Link to post
Share on other sites
pour le FIS qui a échappé au laboratoire du DRS

 

d'un vieux Wahrani au jeune que tu prétends être

 

Le vieil oranais était dans la salle de réunion de l'ex banque Barclay où impressionné par le charisme de MADANI et BENHADJ et conscient de l'échec du communisme algérien, il avais prédit devant une assemblée médusée, le futur succès du FIS et entrepris d'autres démarches afin que les résultats des urnes soient respectés

 

prend cela comme le témoignage d'un acteur de l'histoire

 

modestement pour ce que je dois à Wahrân , à tous les Oranais qui comme moi ont toujours lutté pour la Justice et la liberté et en mémoire de ce Grand Président qu'a été CHADLI et de ses autres bahris de Mers El Kévir dignes héritiers de BEN MEHIDI

 

pour le BENFLIS

pour sa mise en selle par BELKHEIR , je sais également de quoi je parle. Comme de sa fourberie. Qu'il soit en définitive retenu comme candidat , ne serait qu'un scénario à la Sénégalaise.

 

Difficile de te repondre quand chaque mot est synonyme de betise.

Link to post
Share on other sites
Pour celui qui vit l’actualité sous le prisme de la démocratie, la guerre qui se livre en Algérie entre « les » et « contre » un quatrième mandat est celle qui oppose les aspirants à la démocratie et les tenants du pouvoir qui veulent s’y accrocher.

Il en est autrement dans un terrain ou la politique ne cache que le pouvoir pour ce qu’il a de plus mafieux, avec transcendance du politique et comme seule éthique celle du profit et de l’efficacité des affaires.

Au départ, il y avait les dignitaires du régime, les militaires rentrés des frontières qui après avoir fait main basse sut tout ce que le colon avait laissé, contrôlèrent par la suite toutes les importations du régime socialistes, en vivant en seigneurs sur le pays. C’est la première mafia installée, qui par ses services de sécurité nommait aux postes clés, fonctionnaires et Président de la République. En son sein, il y avait le ver des DAF, ces déserteurs de l’armée française qui avaient pour but d’abattre le socialisme et de favoriser la corruption pour libéraliser le pays et le placer dans le camp de l’occident face au bloc communiste.

L’arrêt du processus démocratique entrepris par la « démocratisation » est le retour de manivelle reçu par les apprentis sorciers qui avaient signé la mort du socialisme et du parti unique. Le FIS par l’engagement sincère et total de ses militants islamistes échappa au contrôle du laboratoire des services. La mafia refusa le vote des urnes et se lança dans la répression massive et l’instauration d’un régime d’exception qui lui permettait de faire main basse sur tous les monopoles d’importation dans le sacrifice des sociétés nationales pour des entreprises privées octroyées aux généraux. L’importance des affaires sous la montée du prix du baril, fit que l’entourage du Président de la République et des Ministres qui signaient les marchés, prit de l’importance et s’imposa comme seconde famille mafieuse face à celle des militaires et du DRS.

Deux familles qui se partagent la rente, d’un côté le DRS qui a son « Général médicament » –Ghenim – et en face la Présidence avec son « Ministre Travaux publics et autoroute » – Ghoul. D’où vient le déséquilibre ? De la montée d’un troisième clan celui des nouveaux milliardaires qui à la tête de sommes considérables placées sur des compte étrangers, possédaient encore plus en Algérie sous forme de liquidités qu’ils veulent blanchir,

en les investissant à l’étranger. Ils assurent leurs arrières face à une Algérie frondeuse tout en mettant en place un système de rente d’un rapport exceptionnel. Avec l’argent volé aux Algériens, ils achètent des usines à l’étranger dont la production serait écoulée en Algérie, dans un marché qui leur est acquis.

Cette nouvelle mafia ne craint ni le DRS ni l’armée pour avoir intégré dans ses rangs les officiers les plus riches, qui après avoir enterré l’œuvre de BOUMEDIENE, n’ont plus en tête que suivre leur nouveau gourou, REBRAB, l’Algérien reconnu comme l’homme le plus riche d’Afrique.

 

Quel avenir pour l’Algérie ? Le clan présidentiel insiste pour maintenir soutenir le quatrième mandat de BOUTEFLIKA. BENFLIS un de ses challengers qui avait été mis en selle en selle en politique par le Général BELKHEIR chef de file des DAF qui ont donné les plus grosses fortunes militaires, vient de faire connaître son programme. Ouverture totale vers la libéralisation, avec facilité accordées aux investisseurs étrangers – revoir la fameuse règle du 49/51 et lois permettant aux Algériens d’investir à l’étranger en bénéficiant de la convertibilité de leurs dinars algériens, selon des lois à définir. Et cela alors que le parrain de la mafia financière, REBRAB est en pourparler pour racheter FAGOR en France.

Le silence qui s’est établi autour de cette dernière transaction signe son gel en attente des élections Algériennes. Vu le programme de BENFLIS, il est le candidat de Paris.

Nous risquons d’assister à une farce. La momie BOUTEFLIKA maintenue comme lièvre, pour que BENFLIS soit élu au grand soulagement des Algériens, qui oublieront le programme économique qu’il leur destine, grisés par leur succès d’avoir imposé l’alternance et la démocratie.

 

N'oubliez pas de rajouter que la plupart des dirigeants islamistes algériens se sont reconvertis dans l'import-import et le marché de gros...

Les d

Link to post
Share on other sites
Pour celui qui vit l’actualité sous le prisme de la démocratie, la guerre qui se livre en Algérie entre « les » et « contre » un quatrième mandat est celle qui oppose les aspirants à la démocratie et les tenants du pouvoir qui veulent s’y accrocher.

Il en est autrement dans un terrain ou la politique ne cache que le pouvoir pour ce qu’il a de plus mafieux, avec transcendance du politique et comme seule éthique celle du profit et de l’efficacité des affaires.

Au départ, il y avait les dignitaires du régime, les militaires rentrés des frontières qui après avoir fait main basse sut tout ce que le colon avait laissé, contrôlèrent par la suite toutes les importations du régime socialistes, en vivant en seigneurs sur le pays. C’est la première mafia installée, qui par ses services de sécurité nommait aux postes clés, fonctionnaires et Président de la République. En son sein, il y avait le ver des DAF, ces déserteurs de l’armée française qui avaient pour but d’abattre le socialisme et de favoriser la corruption pour libéraliser le pays et le placer dans le camp de l’occident face au bloc communiste.

L’arrêt du processus démocratique entrepris par la « démocratisation » est le retour de manivelle reçu par les apprentis sorciers qui avaient signé la mort du socialisme et du parti unique. Le FIS par l’engagement sincère et total de ses militants islamistes échappa au contrôle du laboratoire des services. La mafia refusa le vote des urnes et se lança dans la répression massive et l’instauration d’un régime d’exception qui lui permettait de faire main basse sur tous les monopoles d’importation dans le sacrifice des sociétés nationales pour des entreprises privées octroyées aux généraux. L’importance des affaires sous la montée du prix du baril, fit que l’entourage du Président de la République et des Ministres qui signaient les marchés, prit de l’importance et s’imposa comme seconde famille mafieuse face à celle des militaires et du DRS.

Deux familles qui se partagent la rente, d’un côté le DRS qui a son « Général médicament » –Ghenim – et en face la Présidence avec son « Ministre Travaux publics et autoroute » – Ghoul. D’où vient le déséquilibre ? De la montée d’un troisième clan celui des nouveaux milliardaires qui à la tête de sommes considérables placées sur des compte étrangers, possédaient encore plus en Algérie sous forme de liquidités qu’ils veulent blanchir,

en les investissant à l’étranger. Ils assurent leurs arrières face à une Algérie frondeuse tout en mettant en place un système de rente d’un rapport exceptionnel. Avec l’argent volé aux Algériens, ils achètent des usines à l’étranger dont la production serait écoulée en Algérie, dans un marché qui leur est acquis.

Cette nouvelle mafia ne craint ni le DRS ni l’armée pour avoir intégré dans ses rangs les officiers les plus riches, qui après avoir enterré l’œuvre de BOUMEDIENE, n’ont plus en tête que suivre leur nouveau gourou, REBRAB, l’Algérien reconnu comme l’homme le plus riche d’Afrique.

 

Quel avenir pour l’Algérie ? Le clan présidentiel insiste pour maintenir soutenir le quatrième mandat de BOUTEFLIKA. BENFLIS un de ses challengers qui avait été mis en selle en selle en politique par le Général BELKHEIR chef de file des DAF qui ont donné les plus grosses fortunes militaires, vient de faire connaître son programme. Ouverture totale vers la libéralisation, avec facilité accordées aux investisseurs étrangers – revoir la fameuse règle du 49/51 et lois permettant aux Algériens d’investir à l’étranger en bénéficiant de la convertibilité de leurs dinars algériens, selon des lois à définir. Et cela alors que le parrain de la mafia financière, REBRAB est en pourparler pour racheter FAGOR en France.

Le silence qui s’est établi autour de cette dernière transaction signe son gel en attente des élections Algériennes. Vu le programme de BENFLIS, il est le candidat de Paris.

Nous risquons d’assister à une farce. La momie BOUTEFLIKA maintenue comme lièvre, pour que BENFLIS soit élu au grand soulagement des Algériens, qui oublieront le programme économique qu’il leur destine, grisés par leur succès d’avoir imposé l’alternance et la démocratie.

 

Un mélange de préchi précha où le vrai se mèle au faux.

 

Khouya, heureusement que face aux islamistes terroristes notre brave ANP veille au grain:

Un 5e terroriste éliminé dans l’opération militaire d’Azeffoun ( Tizi Ouzou) :gun_bandana:

 

Un cinquième terroriste a été éliminé, ce mardi, 18 mars, dans l’opération de ratissage enclenchée par les forces de securité, depuis mardi dernier, dans la région d’Azeffoun, à 50 kilomètres à l’est de Tizi Ouzou.

Link to post
Share on other sites
N'oubliez pas de rajouter que la plupart des dirigeants islamistes algériens se sont reconvertis dans l'import-import et le marché de gros...

Les d

 

 

pourquoi les Juifs sont-ils devenus banquiers ?

 

parce que jusqu'au moyen âge, l'Eglise interdisait aux catholiques tout commerce d'argent et usure.

 

pourquoi les dirigeants du Fis se sont reconvertis dans le commerce ?

pour continuer à vivre libre et ne pas rejoindre l'administration du TAGHOUT.

Link to post
Share on other sites
pourquoi les Juifs sont-ils devenus banquiers ?

 

parce que jusqu'au moyen âge, l'Eglise interdisait aux catholiques tout commerce d'argent et usure.

 

pourquoi les dirigeants du Fis se sont reconvertis dans le commerce ?

pour continuer à vivre libre et ne pas rejoindre l'administration du TAGHOUT.

 

Pas mal de dirigeants du FIS sont aujourd'hui des grossistes qui brassent des millions d'euros.

 

Il ne faut pas le cacher khouya.

Ces grossistes baignent dans le Riba'.

Link to post
Share on other sites
Un mélange de préchi précha où le vrai se mèle au faux.

 

Khouya, heureusement que face aux islamistes terroristes notre brave ANP veille au grain:

Un 5e terroriste éliminé dans l’opération militaire d’Azeffoun ( Tizi Ouzou) :gun_bandana:

 

Un cinquième terroriste a été éliminé, ce mardi, 18 mars, dans l’opération de ratissage enclenchée par les forces de securité, depuis mardi dernier, dans la région d’Azeffoun, à 50 kilomètres à l’est de Tizi Ouzou.

 

je déduis que tu es un grand patriote et QUE tu es au courant de tout ce qui se passe au pays, alors je voudrais connaitre ces mères et épouses de disparus qui manifestent toutes les semaines tu les classes où.

Link to post
Share on other sites
pour le FIS qui a échappé au laboratoire du DRS

 

d'un vieux Wahrani au jeune que tu prétends être

 

D'un vieux oranais à un vieux Wahrani : Pendant 130 longues années d'occupation la France n'a pu coloniser que le matériel ( notre terre et nos corps), mais hélas après 50 ans d'indépendance une bonne partie de notre peuple, particulièrement sur la toile, sont devenus des demi-occidentalisés ou plutôt des sous occidentalisés.

 

Est-il possible à un sous-occidentalisé de comprendre les problèmes que vit le peuple algériens ?

Link to post
Share on other sites

très belle analyse ya tek.afiriste, faut continuer a dénoncer ces crapules de généraux, car ce ils sont en train de vouloir déclencher un printemps arabe, c est adire une guerre civile en Algérie, ils ont trop volé, ils sont peu d'être jugés par la cour pénal international.

Link to post
Share on other sites
pour le FIS qui a échappé au laboratoire du DRS

 

d'un vieux Wahrani au jeune que tu prétends être

 

Le vieil oranais était dans la salle de réunion de l'ex banque Barclay où impressionné par le charisme de MADANI et BENHADJ et conscient de l'échec du communisme algérien, il avais prédit devant une assemblée médusée, le futur succès du FIS et entrepris d'autres démarches afin que les résultats des urnes soient respectés

 

prend cela comme le témoignage d'un acteur de l'histoire

 

modestement pour ce que je dois à Wahrân , à tous les Oranais qui comme moi ont toujours lutté pour la Justice et la liberté et en mémoire de ce Grand Président qu'a été CHADLI et de ses autres bahris de Mers El Kévir dignes héritiers de BEN MEHIDI

 

pour le BENFLIS

pour sa mise en selle par BELKHEIR , je sais également de quoi je parle. Comme de sa fourberie. Qu'il soit en définitive retenu comme candidat , ne serait qu'un scénario à la Sénégalaise.

 

Ces scélérats n'ont jamais prétendu faire dans le communisme , au contraire, ils les avaient liquidé pendant la guerre, c'est du shoushouk "made in fln des faussaires" : Personne n'a jamais vraiment compris leur orientations idéologique . Les islamistes faisant constamment dans la politique "d'ou l'emploi nécessaire du suffixe" ils ont eu le temps de conditionné leurs ouailles à leurs causes . :stuart::worthy:

 

 

.

Link to post
Share on other sites
Pas mal de dirigeants du FIS sont aujourd'hui des grossistes qui brassent des millions d'euros.

 

Il ne faut pas le cacher khouya.

Ces grossistes baignent dans le Riba'.

 

mon frère je te pose quelques questions ci tu peut me répondre

 

1 qui a créer le fis ?

2 l'origine de ces dirigeants ?

3 qui a financé le fis ?

4 qui a fait rentré ces dirigeants du maquis ci ce n'étais pas leurs fournisseurs (aprés dix ans de maquis ils quittent aussi facilement leurs armes) ?

 

j'attend une réponse de ta part pour m'éclairer et merçi d'avance

Link to post
Share on other sites
pour le FIS qui a échappé au laboratoire du DRS

 

d'un vieux Wahrani au jeune que tu prétends être

 

D'un vieux oranais à un vieux Wahrani : Pendant 130 longues années d'occupation la France n'a pu coloniser que le matériel ( notre terre et nos corps), mais hélas après 50 ans d'indépendance une bonne partie de notre peuple, particulièrement sur la toile, sont devenus des demi-occidentalisés ou plutôt des sous occidentalisés.

 

Est-il possible à un sous-occidentalisé de comprendre les problèmes que vit le peuple algériens ?

 

Toujours le complexe de l'occident ! Vous avez beau essayer de le coller aux autres , c'est vous qui en souffrez le plus ! :D

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...