lamara 10 Posted July 22, 2008 Partager Posted July 22, 2008 la terre des homme si nous coyons que la machine abime lhomme cest que peut ètre nous monquons un peu de recul ou civisme pour juger les éffets de tronsformation aussi rapides que celles que nous subies que son les cent années de lhistoire de la machine en regard des deux cent mille années de lhistoire de lhomme cest à peine si nous installon dans ce paysage de mines et decentrales électrique cest à peine si nous commoncons dhabiter cette maison nouvelle que nous navons mème pas achevé de bàtir tout à changé si vite autour de nous ..rapports humains condition de travaille coutumes culture e.c.t. notre psychologié elle mème été bousculée dans ses bus les plus intimes les notions de séparation dabsence de distance de retour si les mots sant demeures les mème ne cantiennent plus les mème réalité pour saisir le monde daujourd huit nous aisons dun langage qui fut établi pour le monde dhiére et la vie du passé nous semble mieux repondre à notre nature pour la seule raison quelle répond mieux à notre langage nous usans dun langaga qui fut établi pas ce qui les construit le mal dhiére et nous fais oublies le passes dans an et fière chaque progrés nous à chasses un peu plus loin hors dabitudes que nous avions à peine acquises et nous somme véritablement des étrangé dans notre propre pays qui nont pas fandé encore leur patrie notre naisonse fera sans doute peu à peu plus humain la machine elle mème plus elle se perfectionne plus elle sefface derrière son role il semble de vieille sur les épures naboutissemt comme signes visibles qua la seule simplicité comme sil fallait lexpérience de plusieurs génération pour dégager peu à peu le courbe dune colonne dune carene ou dun fuselage davian jusqua leur rendre la pureté élementaire de la courbe dun sein ou dune epaule il semble que le travail des ingénieurs des dessinateurs des calculateurs du bureau détude ne soit ainsi en apparence que de palir et déffacer dalléger ce reccord déquilibrer cette aide jusqua ce quon ne la remarque plus jusqua ce quil ny ait plus une aile accrochée à un fuselage nais une forme parfaitement épanouie enfin dégagé de sa gangue une sorte densenbles spontané mystérieusement lié et de la mème qualité que celle du poème il semble que la perfection soit atteinte non quand il na plus rien a ajouter mais quand il nya plus rien à retrancher au terme de son évolution la machine se dissimule la perfection de linvention confine ainsi à labsence dinvention et de mème que dans linstrument toute mécanique apparente sest peu éffacoé et quil nous est livré un objet aussi naturel quun galet poli par la mer il est également admirable que dans san usage mème la machine peu à peu se fasse oublier nous étions aujourd hui en contact avec une anoisier campriquée mais aujourd huit nous oublion qun moteur tourne il répand enfin à sa fanction qui est de tourner comme un coeur bat et nous ne prètons point non plus àttention à notre coeur cette attention nest plus absorbée par loutil ou de la deloutil et a traver lui cest la vieille nature que nous retrouvon celle de jardinier du navigateur ou du poète lamara Citer Link to post Share on other sites
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