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les champs pétroliers du sud en ébullition, la grogne gagne Arzew


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Algérie : les champs pétroliers du sud en ébullition, la grogne gagne Arzew

Par yasmine amara le 22/07/2008

 

 

 

La colère monte parmi les pétroliers du Sud. Depuis quelques jours, des mouvements de protestations sont observés un peu partout à travers les sites et installations de la société nationale des hydrocarbures Sonatrach particulièrement à Hassi R'mel ou des marches ont été observées hier, a appris toutsurlalgerie.com de source proche de la société.

 

Plus inquiétant, la grogne commence à gagner les complexes de la zone pétrochimique d'Arzew, près d’Oran, où des sit-in ont été observés par les travailleurs de Sonatrach. La cause ? Ils refusent les termes de l'accord passé entre la direction générale de la société et le syndicat national.

 

Un préavis de grève sera déposé le 31 juillet prochain, si les négociations avec la direction ne de donnent pas de résultats concrets et ne satisfont pas la plateforme de revendications des travailleurs. Selon la même source, le climat est tellement délétère entre les travailleurs et leurs "représentants" que des voix commencent à se faire entendre et n'hésitent même plus à brandir la menace de la création d'une nouvelle instance syndicale qui "défendra mieux les intérêts des travailleurs".

 

Cette grogne a été déclenchée par les nouvelles augmentations salariales allant de 10 à 30%, annoncées par la direction de Sonatrach. Elles sont jugées insuffisantes et en deçà des attentes du collectif des travailleurs qui estiment que l'entreprise enregistre une embellie financière jamais égalée depuis l'indépendance et engrange des profits astronomiques compte tenu du prix du baril. Envoyer à un ami | Soyez le premier à ráagir sur cet article

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Algérie : les champs pétroliers du sud en ébullition, la grogne gagne Arzew

Par yasmine amara le 22/07/2008

 

 

 

La colère monte parmi les pétroliers du Sud. Depuis quelques jours, des mouvements de protestations sont observés un peu partout à travers les sites et installations de la société nationale des hydrocarbures Sonatrach particulièrement à Hassi R'mel ou des marches ont été observées hier, a appris toutsurlalgerie.com de source proche de la société.

 

Plus inquiétant, la grogne commence à gagner les complexes de la zone pétrochimique d'Arzew, près d’Oran, où des sit-in ont été observés par les travailleurs de Sonatrach. La cause ? Ils refusent les termes de l'accord passé entre la direction générale de la société et le syndicat national.

 

Un préavis de grève sera déposé le 31 juillet prochain, si les négociations avec la direction ne de donnent pas de résultats concrets et ne satisfont pas la plateforme de revendications des travailleurs. Selon la même source, le climat est tellement délétère entre les travailleurs et leurs "représentants" que des voix commencent à se faire entendre et n'hésitent même plus à brandir la menace de la création d'une nouvelle instance syndicale qui "défendra mieux les intérêts des travailleurs".

 

Cette grogne a été déclenchée par les nouvelles augmentations salariales allant de 10 à 30%, annoncées par la direction de Sonatrach. Elles sont jugées insuffisantes et en deçà des attentes du collectif des travailleurs qui estiment que l'entreprise enregistre une embellie financière jamais égalée depuis l'indépendance et engrange des profits astronomiques compte tenu du prix du baril. Envoyer à un ami | Soyez le premier à ráagir sur cet article

 

On devrait remplacer

.... les petroliers

.... par des petroleuses

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Une manne pétrolière nommée Arctique

 

 

 

L'Arctique pourrait recéler près de 100 milliards de barils de pétrole. Cette information, relayée par le journal Le Figaro, émane du géologue américain Donald Gautier.

Une affirmation de bon augure vue la flambée du prix du baril de pétrole qui dépasse actuellement 140 dollars. Seul bémol : l'exploitation de cet or noir. L'Arctique est une région regroupant le Groenland, l'Alaska, la Laponie, une partie du Canada et de la Russie, ainsi que l'Océan Arctique. Plusieurs pays revendiquent le droit de mettre main basse sur cette région riche en ressources hydrocarbures. La Russie avait lancé les hostilités en 2007 en plantant un drapeau à 4 000 mètres de profondeur lors d'une mission océanographique, unique moyen de s'approprier le site.

Donald Gautier soutient également qu'il y a « 50% de chances qu'il y ait plus de 500 milliards de barils de pétrole conventionnels dans les gisements qui n'ont pas encore été découverts ».

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