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pourquoi l algerie vise le gigantisme ?


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Le premier projet du genre à Tindouf : 30 millions de dollars pour une centrale éolienne

L’énergie éolienne -« une énergie propre et renouvelable » comme se plaisent à le répéter ses nouveaux adeptes- pour produire de l’électricité est sans conteste, à côté de l’énergie solaire, l’une des solutions la mieux adaptée aux régions du grand Sud algérien non rattachées au réseau électrique national.

 

 

 

 

Une évidence qui a poussé notre société nationale d’électricité et du gaz (Sonelgaz) à recourir à ce créneau puisque la première centrale du genre à l’échelle nationale qui sera implantée à Tindouf, se trouve actuellement à la phase d’appel à la concurrence. « Un projet de 30 millions de dollars financé à 100% par la Sonelgaz », déclare le directeur des mines et de l’industrie (DMI) de Tindouf. Le site retenu pour son implantation se trouve à 5 kilomètres de la sortie nord de la ville, sur le côté gauche de la RN 50. Plusieurs raisons d’ordre technique ont édicté ce choix, selon ce même responsable. C’est une vaste zone plate, complètement dégagée et perpétuellement sous l’influence des vents. « De plus, ajoute le DMI, le site se trouve près du réseau électrique, ce qui facilite l’injection de l’énergie produite ». Une énergie de 10 MW qui sera fournie par dix mats aérogénérateurs et qui vendront s’ajouter au 30 MW disponibles. Après un avis d’appel d’offres infructueux en 2007, et un deuxième en janvier 2008, le projet semble intéresser pour le moment les Français (Vergnet) et les Canadiens (RSW Interntional) qui se sont déjà manifestés par une visite du site. Par ailleurs, au niveau des petites bourgades isolées comme Hassi Mounir et Ghar Djebilet, on recourt à l’énergie solaire depuis quelques années. Des projets d’extension ont été lancés récemment pour porter la production à 21 KW (achevé à 70%) pour la première et complètement achevé à 33 KW pour la seconde.

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Le premier projet du genre à Tindouf : 30 millions de dollars pour une centrale éolienne

L’énergie éolienne -« une énergie propre et renouvelable » comme se plaisent à le répéter ses nouveaux adeptes- pour produire de l’électricité est sans conteste, à côté de l’énergie solaire, l’une des solutions la mieux adaptée aux régions du grand Sud algérien non rattachées au réseau électrique national.

 

 

 

 

Une évidence qui a poussé notre société nationale d’électricité et du gaz (Sonelgaz) à recourir à ce créneau puisque la première centrale du genre à l’échelle nationale qui sera implantée à Tindouf, se trouve actuellement à la phase d’appel à la concurrence. « Un projet de 30 millions de dollars financé à 100% par la Sonelgaz », déclare le directeur des mines et de l’industrie (DMI) de Tindouf. Le site retenu pour son implantation se trouve à 5 kilomètres de la sortie nord de la ville, sur le côté gauche de la RN 50. Plusieurs raisons d’ordre technique ont édicté ce choix, selon ce même responsable. C’est une vaste zone plate, complètement dégagée et perpétuellement sous l’influence des vents. « De plus, ajoute le DMI, le site se trouve près du réseau électrique, ce qui facilite l’injection de l’énergie produite ». Une énergie de 10 MW qui sera fournie par dix mats aérogénérateurs et qui vendront s’ajouter au 30 MW disponibles. Après un avis d’appel d’offres infructueux en 2007, et un deuxième en janvier 2008, le projet semble intéresser pour le moment les Français (Vergnet) et les Canadiens (RSW Interntional) qui se sont déjà manifestés par une visite du site. Par ailleurs, au niveau des petites bourgades isolées comme Hassi Mounir et Ghar Djebilet, on recourt à l’énergie solaire depuis quelques années. Des projets d’extension ont été lancés récemment pour porter la production à 21 KW (achevé à 70%) pour la première et complètement achevé à 33 KW pour la seconde.

On dit bien

... "Plus c'est grand plus c'est c o n"

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On dit bien

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......Justement , tout comme le fameux barrage vert a été bouffé par les chèvres des hauts plateaux , les éoliennes seront démontées et vendues au kg sur le marché juteux de l'exportation de feraille ! :D

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......Justement , tout comme le fameux barrage vert a été bouffé par les chèvres des hauts plateaux , les éoliennes seront démontées et vendues au kg sur le marché juteux de l'exportation de feraille ! :D

 

Le probleme

.... et c'est etonnant

.... c'est que Boutef qui est

.... un c o n noitoirement connu

.... est tout petit

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Gigantisme? Vous n'avez jamais entendu parlez des champs éoliennes en Europe dans ce cas là:mdr: Non mais sérieux, ce projet est tout à fait honorable et n'a rien de géant, pour une fois qu'on place intelligemment l'argent ça devrait être fêté et non critiqué...J'imagine que si l'État n'investissait pas dans l'éolienne ont trouveraient à dire qu'il n'est pas prévoyant...

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salam,

 

encore cava , 30 millions de dollars machi bezzaf :D

 

ana ce qui m'intrigue, c'est que il ya des gens qui vivent avec moins de 10000 DA par mois , et notre chere président veut construire la 3ème plus grande mosqué du monde a 1 milliards d'euros .

quand je lis ca , n'hab nekhbet rassi 3al hitt murFrape

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salam,

 

encore cava , 30 millions de dollars machi bezzaf :D

 

ana ce qui m'intrigue, c'est que il ya des gens qui vivent avec moins de 10000 DA par mois , et notre chere président veut construire la 3ème plus grande mosqué du monde a 1 milliards d'euros .

quand je lis ca , n'hab nekhbet rassi 3al hitt murFrape

 

et tu veux qu il fasse quoi :crazy:

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  • 3 weeks later...

Des voitures iraniennes «made in Algeria»?

 

Abdelaziz Bouteflika à Téhéran

 

 

 

Les négociations sont bien avancées, semble-t-il, et un consortium de sociétés iraniennes serait prêt à signer l’accord-cadre dans le domaine du montage de véhicules.C’est là l’une des plus importantes informations caractérisant la visite de deux jours en Iran du chef de l’Etat, entamée hier, à l’invitation de son homologue, le président Ahmedinedjad.

 

 

La visite d’Etat de M. Bouteflika, accompa-gné d’une forte délé- gation comprenant, entre autres, MM. Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères et Chakib Khelil, ministre de l’Energie et des mines, s’inscrit dans le cadre du rapprochement entre Alger et Téhéran, autant sur le plan politique que celui de la coopération bilatérale.

 

 

 

 

Au plan des questions d’intérêt commun d’abord, l’ordre du jour des entretiens qu’auront les deux chefs d’Etat tournera autour des récentes évolutions de la situation en Mauritanie, de la situation en Irak, de la paix au Moyen-Orient, mais surtout du dossier du nucléaire civil iranien. Face aux pressions subies par Téhéran, et à ce propos, la diplomatie algérienne a de tout temps exprimé son plein soutien aux Etats de disposer librement de la technologie nucléaire civil afin d’assurer leur développement et de subvenir à leurs besoins énergétiques. Téhéran a d’ailleurs trouvé un soutien de premier choix dans la position algérienne, d’autant que l’Algérie était, il y a peu, membre non permanent du Conseil de sécurité et demeure l’une des figures de proue de l’expression africaine à travers l’initiative du Nepad.

Le rapprochement entre les deux pays a été inauguré par l’avènement du président Bouteflika, après une rupture des relations diplomatiques qui date des années 1990, d’autant que les deux Etats sont des membres très influents au sein de l’Organisation de la conférence islamique (OCI). Ce réchauffement a donné lieu à une rapide reprise des relations économiques et commerciales qui a vu le volume de la balance commerciale se hisser rapidement à un niveau supérieur à celui des échanges avec certains de nos voisins directs. L’ouverture de dossiers sensibles, comme la coopération dans le nucléaire civil proposée par Téhéran ou l’idée d’une Opep du gaz, démontre que la confiance a été ainsi retrouvée.

Dans le cadre de cette visite officielle du chef d’Etat algérien en Iran, les dossiers de la coopération bilatérale porteront sur la possibilité d’installation d’investissements iraniens dans plusieurs créneaux industriels. L’on cite, en premier chef, la perspective d’une usine de montage de voitures iraniennes ainsi que l’émergence de deux laboratoires de production et de commercialisation de produits pharmaceutiques. Les négociations sont bien avancées, semble-t-il, à ce sujet et un consortium de sociétés iraniennes serait prêt à signer l’accord-cadre dans le domaine du montage de véhicules. Les Algériens ont déjà eu à faire connaissance avec l’industrie mécanique iranienne, notamment la série de la nouvelle Renault 5 relookée qui, sans être du haut de gamme, a été une très bonne affaire pour de nombreux pères de familles et beaucoup de jeunes aussi. On en saura davantage à l’issue de cette visite entamée hier.

Auparavant, M. Abdelaziz Bouteflika s’était rendu en Chine pour assister à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Pékin et a eu des entretiens avec les dirigeants chinois et des chefs d’Etat d’autres pays. Dans une interview accordée à la chaîne de télévision CCTV, le président algérien na pas manqué de souligner l’excellence des relations entre Alger et Pékin, depuis le soutien de la Chine à la Guerre de Libération nationale, il y a 50 ans bientôt, à ce jour. Il a trouvé que le niveau des échanges, évalué à plus de 13 milliards de dollars, était un signe évident de la bonne santé des relations bilatérales. Le chef de l’Etat a également quitté la Chine en adressant au peuple chinois un message de félicitations à l’occasion de l’ouverture des Jeux olympiques dans leur pays et à l’accueil qui lui a été réservé.

 

Amine B.

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Naftal va introduire des prestations "non fioul" dans ses stations-services

ALGER- L'entreprise nationale de commercialisation et de distribution des produits pétroliers et dérivés, Naftal, est en discussion actuellement avec des sociétés étrangères pour développer des partenariats en matière de prestations "non fioul" dans ses stations-services, a appris l'APS auprès de responsables de cette entreprise. Les activités "non fioul" qu'elle compte introduire dans ses stations portent notamment sur les services restauration, motels (hôtels à bord des routes à grande circulation), boutiques et l'entretien mécanique rapide des véhicules, selon la même source.

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Centrale solaire...

 

Sincérement ça me fait rire cette histoire de centrale solaire pour une ville qui n'a que le nom. Pour moi qui connait cette bourgade qu'est Tindouf je ne me risquerai pas à inverstir un sou. Comment s'aventurer à engloutir 30 millions $ dans un poulailler pareil ? Au fait, qu'appelle t-on une ville en Algérie ?

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