Représailles contre TSA

[Guest D. ESSERHANE]

 

D Esserhane

 

Contrairement à Algérie1 qui, comme nous l'avions constaté, avait affiché et continue d'afficher une allure d'à-plat-ventrisme et de surenchère politique, Tsa (tout sur l'Algérie) avait brillé par son professionnalisme et son sens élevé de pragmatisme, commence à récolter le prix de sa rectitude durant la campagne électorale, non de gratitude, mais de mépris et de représailles de la part de ceux qui sont sensés nous gouverner encore cinq ans de plus.

 

Des pratiques mafieuses qu'on devrait combattre avec la dernière énergie pour les bannir une fois pour toute de notre pays afin préserver ce qui nous reste comme liberté chèrement acquise.

 

Je vous expose le texte intégral paru aujourd'hui sur les colonnes de Tsa

 

COMMUNIQUÉ. À deux reprises, hier et aujourd’hui, notre journaliste Hadjer Guenanfa a été empêchée par Abdeslam Bouchouareb, directeur de la communication du candidat Bouteflika, d’effectuer son travail. M. Bouchouareb n’a pas fourni d’explication.

 

Mais son entourage a expliqué à notre journaliste que cette décision est liée à la couverture par TSA de la campagne et du scrutin présidentiel, jugée défavorable au staff du candidat Bouteflika.

 

Ils nous reprochent notamment l’entretien publié avec Mohcine Belabès, président du RCD.

 

TSA dénonce cette entrave et ces pressions sur nos journalistes qui ne font qu’accomplir leur mission en toute indépendance. Elles viennent s’ajouter aux autres entraves que subit notre média de la part des autorités.

 

 

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[Guest tayiba]

pourtant tsa a publié les spots de campagne électorale de bouteflika :confused:

[Guest D. ESSERHANE]

pourtant tsa a publié les spots de campagne électorale de bouteflika :confused:

 

C'était un signe de sa rectitude. Il était réaliste et impartiale tout au long de la campagne électorale dans le traitement de l'information. Il a refusé la prostitution dont sont distingués Algérie1 et un degré plus, Ennahar.

[Bourourou 11]

C'était un signe de sa rectitude. Il était réaliste et impartiale tout au long de la campagne électorale dans le traitement de l'information. Il a refusé la prostitution dont sont distingués Algérie1 et un degré plus, Ennahar.

 

un degré x 1000 !!!

[Guest D. ESSERHANE]

un degré x 1000 !!!

 

Quand on nous révèle que son directeur est un enfant de harki nait d'un adultère, cela ne nous surprend pas - Il n'a aucune fierté, pourtant, un certain temps, il était un farouche opposant à ce système.

[Bourourou 11]

Quand on nous révèle que son directeur est un enfant de harki nait d'un adultère, cela ne nous surprend pas - Il n'a aucune fierté, pourtant, un certain temps, il était un farouche opposant à ce système.

 

..... c'était avant que sa femme ne change de concubin !!!!

[Guest D. ESSERHANE]

extrait de l'interview de H Aboud

 

..... c'était avant que sa femme ne change de concubin !!!!

 

 

Anis rahmani (le directeur d'Ennahar) explique son refus de porter le nom de Mokadem par le fait que cet homme qui s’appelle Mokadem Slimane est un harki qui a échappé au lynchage à El-Bayadh grâce à sa mère.

 

D’ailleurs, cet individu (le directeur d'Ennahar) né d’un adultère commis par sa mère a fait la même chose avec une femme mariée et mère d’enfants. Après une longue période de vie secrète il a monté une cabale contre le mari de la bonne femme pour l’obliger, par le chantage, à la divorcer.

 

Cruel comme il est, il l’oblige à abandonner ses enfants comme il l’a fait de son côté avec les siens. Tout à pour réaliser un mariage d’affaires avec celle qui est devenue son associée dans le torchon qu’il dirige, la nommé Souad Azzouz.