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Guest Prométhée

... One, two, three... merci Promé !

 

;)

Merci à toi, A fond Adzayer...Rabbi yahfadhom wa qaderhom.

 

L'Algérie flotte dans le ciel fière

Dans sa belle sa robe aux trois couleurs

Vert d'espoir de ses grands yeux ouverts

De son tronc mûri, ses feuilles chantantes

Rouge de ferveur et d'ardeur à être

Blanche de pudeur, de pureté, de foi

De sincérité des mères et des pères

Qui ont essuyé les maux de guerre.

Qui ont essuyé ses pleurs.

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

 

 

 

 

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Guest tayiba
Bien sûr que tu peux. Si mon espace t'inspire, viens y déposer tes mots habibti, dar darek.

 

j te remercie promé

j'ai fais un lien avec ton dernier poème(le poeme avt mon poeme:D) et les mots sont sortis et suivis ts seuls

comme quoi ton topic porte bien son nom "à suivre" :rolleyes:

t poèmes sont magnifiques :o

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Guest Prométhée

j te remercie promé

j'ai fais un lien avec ton dernier poème(le poeme avt mon poeme:D) et les mots sont sortis et suivis ts seuls

comme quoi ton topic porte bien son nom "à suivre" :rolleyes:

t poèmes sont magnifiques :o

 

A suivre alors et que nos mots soient agréables à qui veut bien nous lire. Merci beaucoup Tayiba.

 

Des vers, dans mes rêves,

Se composent sans trêve

Et courent dans mes veines ;

Ils absorbent mes peines

Et équilibrent mon tambour.

 

Ce sont des mots en perles

De tendresse s’emperlent

Au rythme du cœur qui bat

Des mots doux dits tout bas

Qui, d’essence font des tours

 

Sur mes vers de grain en grain

Poussent doux des petits poèmes

Des mots simples et si riches

Sur la terre défrichent

Labourent notre chemin de foi.

 

Écoute-moi bien, même si

Ne se croisent nos destins

Que dure est parfois la vie

J’écris la main sur le cœur

Tous Frères et Sœurs.

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

 

Saha f'tourkom, syam maqboul inchallah.

 

 

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Guest Prométhée

Il y a bien des images qu'on écoute

Et celles qu'on voit ou qu'on touche

L'enfant d'hier face à lui aujourd'hui

De son perchoir, il alerte son quartier

Un coin bien endormi sur ses lauriers

Fumant le vide et le pire dans la nuit .

Dis-moi, dis quelle école est donc la rue

Quand dans la nuit, elle prend l'innocent,

Quelle école est la rue pour l'enfant perdu,

Quel avenir et quelle emprise tais-tu ?

L'enfant d'hier hurle sur son perchoir

N'a-il pas été le fils du pauvre du gourbi

Sans terre nourri d'une soupe de pierre

Son père au maquis, seul avec les repères

Et le martinet, maître de la discipline

Lui inculquant à son corps défendant

La vie et ses codes, un bien salutaire ?

Éducation d'hier et celle d'aujourd'hui

La facilité entre la raison et la folie

Les rêves de rue au boulevard gratuit.

Le respect et la liberté font bon ménage

Quand l'un à l'autre cède le passage

A l'homme vieilli et le bébé qui dort

Au malade au combat d'une douleur

A la paix du soir après les labeurs !

Il n'est de fête sur les trottoirs, la nuit

Que pour les rats, les chiens et les chats.

Ceux qui leur ressemblent et les malfrats.

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

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Guest Prométhée

L'aurore a étendu son drap

La brise m'habille et me tend son bras

Qu'il est beau l'horizon sur mon tapis

Je me ressource ainsi s'en va l'ennui

Me voici priant dans la splendeur

Ainsi du jour se remplit mon cœur .

j'ai trouvé le sens de la vie à l'aube

A l'appel du coq comme une ode

Et la lumière dans sa dorure

a drapé la mer et ses murmures

Au creux du vent des matins purs

O terre de paix qui sur mes mains fond

Je te sens, enfin j'y pose mon front.

 

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

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Guest Prométhée

Un soudain coup de tristesse me prend

Quand je pense à Gaza et ses enfants

Par où passera ma soupe chorba

Quand comme un manteau de soie

Le mensonge couvre les plus forts

Laissant les autres seuls avec la mort

Comme un nœud, un chat à la gorge.

ll y a bien des images qu'on écoute

Et celles qu'on voit et qui touchent.

 

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

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Guest Prométhée

Un soudain coup de tristesse me prend

Quand je pense à Gaza et ses enfants

Par où passera ma soupe chorba

Quand comme un manteau de soie

Le mensonge couvre les plus forts

Laissant les autres seuls avec la mort

Comme un nœud, un chat à la gorge.

ll y a bien des images qu'on écoute

Et celles qu'on voit et qui touchent.

 

 

 

Pendant que l'on envoie ton esprit en vrille

Là-bas à Gaza, le soldat tue une petite fille

Le pied sur son ventre, il écrase le temps

Il arrache la terre des entrailles de l'enfant

Vois la folie des hommes qui se nourrit de chair

Une terre prise ne sera jamais une patrie fière

Qu'une image dans les yeux qui ne meurt

Femmes et enfants de Gaza sous ta dent

Ainsi ton pain en sera rouge de leur sang.

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

 

 

____________

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Guest Prométhée

Je ramasse mes lettres, ma valise est en fête

Me voici en partance, mon voyage s’apprête

Allons loin de ces cailloux, ce sont des coups

Qui sous mes pieds en terre creusent des trous

 

Par delà des chemins les rats assistent

Ils insistent pour se régaler de mes pas en piste.

 

 

Le pas et la raison ont le choix en commun

Le pas est une trace du choix en main

On se déçoit en son pas aussi bien qu'en son choix

Ainsi le pas et le choix ont au crédit la foi.

 

La foi dans le cœur et le cœur sur le pas

Le pas dans l'esprit, la raison sait et voit

Elle entend les sons du lointain rivage

Des maux en mots, ils forment l'image

 

L'image se reflète dans le murmure

Et la voix amère a fui des fissures

L'amer sort du cœur et l'amour cherche une voie

Et le manque a l'amer sur le pas et sur le choix

 

Par delà des chemins des regards incisent

Des mots font des tas sous tes pas en crise.

 

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

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Guest Prométhée

Je m'en vais rejoindre le silence de la nuit

Adieu espoir d'hier, tu meurs aujourd'hui

L'aube de ma prière au ciel te reconduit

Tu reviendras vers moi encore plus nourri

Demain me retiendra encore à la vie !

C'est sur la trace de chaque pas de l'orphelin

Qu'on apprend la vie, la mort et le destin,

Vivre humain, vivre avec ou sans les autres

Vivre solitaire, se remettre à Dieu, être l'hôte.

Je me garde de prendre le train de cette ligne

Passez donc, allez, je reste à ma place digne

Allez rire là où je ne veux rire du temps

Je m'en vais rejoindre le silence de la nuit

Adieu espoir d'hier, tu meurs aujourd'hui

Demain tu reviendras vers moi plus nourri.

 

 

 

La femme n'est pas à Adam ce qu'elle est à Dieu

 

Promé

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Guest D. ESSERHANE

Si on colle l'oreille à la porte des livres et aux portes de la nuit, si on fait bien attention, on peut entendre la conversation des poètes.

 

 

Mais que c'est triste de perdre un poète

c'est comme une bougie qui s'éteint

comme la lune qui se cache

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