Guest L'étrangère Posted June 21, 2014 Partager Posted June 21, 2014 C'est ridicule de dire El boulayda au lieu de Blida.... Tamaghasst au lieu de tamanrasset ... tilimssane au lieu de Tlemçen .... c'est con et c'est ridicule même de la part de tous ceux qui approuvent cette merdique initiative ! Quant à la dabaptisation des lieux qui portaient les noms de criminels comme Saint Arnaud, De Bourmont etc, n'est pas le fait de ce tas d'idiots mais de véritables patriotes qui ont participé dans la libération du pays ! En fusha on est obligé de dire el boulayda au lieu de Blida, non ? La place Maurice Audin a gardé son nom. Au journal, selon les révélations du général de l'époque, il est encore en Algérie et c'est l'armée Fr qui l'aurait tué. Pour en revenir au Clos, il y avait des cités de transit pour les indigènes, Nador, les acacias, diars el qarmoud. Je ne trouve pas grand chose et c'est ce qui m'intéresse le plus car là qu'habitaient les indigènes. Citer Link to post Share on other sites
Bourourou 11 Posted June 21, 2014 Partager Posted June 21, 2014 En fusha on est obligé de dire el boulayda au lieu de Blida, non ? La place Maurice Audin a gardé son nom. Au journal, selon les révélations du général de l'époque, il est encore en Algérie et c'est l'armée Fr qui l'aurait tué. Pour en revenir au Clos, il y avait des cités de transit pour les indigènes, Nador, les acacias, diars el qarmoud. Je ne trouve pas grand chose et c'est ce qui m'intéresse le plus car là qu'habitaient les indigènes. De plus, moi je suis pour l'algérianisation pas pour l'arabisation ! Les crétins veulent arabiser et chasser notre culture du pays alors, ils font exprès de mettre la débaptisation et arabisation dans le même sac pour faire une vente concomitante !!! Tu fais des recherches sur cette région ? Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted June 21, 2014 Partager Posted June 21, 2014 De plus, moi je suis pour l'algérianisation pas pour l'arabisation ! Les crétins veulent arabiser et chasser notre culture du pays alors, ils font exprès de mettre la débaptisation et arabisation dans le même sac pour faire une vente concomitante !!! Tu fais des recherches sur cette région ? aïe yay yay, vous savez que l'algérianisation n'existe pas, tout simplement parce que la langue algérienne n'existe pas, c'est l'Arabe ( pour combattre cette langue). L'Arabisation est en opposition à la colonisation, l'Algérie reprend son identité. L'Arabe fait partie de l'Algérienne. Vous parlez Breton ? Juste le clos. Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 :mdr: tahrab tedjri Toudkhoul binikab...tekhroj bikini top less:mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
AnoNimos 12 455 Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 aïe yay yay, vous savez que l'algérianisation n'existe pas, tout simplement parce que la langue algérienne n'existe pas, c'est l'Arabe ( pour combattre cette langue). L'Arabisation est en opposition à la colonisation, l'Algérie reprend son identité. L'Arabe fait partie de l'Algérienne. Vous parlez Breton ? Juste le clos. :mdr::mdr::mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 ALGER Diar El Mahçoul 1953-1954 film_nouen_fotos Fernand Pouillon architecte, ses réalisations à Alger Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 ALGER Diar El Mahçoul 1953-1954 film_nouen_fotos Fernand Pouillon architecte, ses réalisations à Alger Merci Ma Kayen Walou Je ne trouve pratiquement rien sur les cités de transit pour les indigènes, slimani a marqué.. Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 Merci Ma Kayen Walou Je ne trouve pratiquement rien sur les cités de transit pour les indigènes, slimani a marqué.. si j'ai bien compris, c'est dans le plan de Constantine ils ont construit des citées dortoirs "supposées être transitoires" pour les ouvriers de chantiers afin de construire de nouvelles citées dans la capital mais ensuite ces citées sont restées la (climat de France a oued koriche aussi) Bourourou a peut être plus d'information le site "de Fernand Pouillon apparemment c'est lui l'architecte" est plein de photos mais tu dois cliquer par années Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 si j'ai bien compris, c'est dans le plan de Constantine ils ont construit des citées dortoirs "supposées être transitoires" pour les ouvriers de chantiers afin de construire de nouvelles citées dans la capital mais ensuite ces citées sont restées la (climat de France a oued koriche aussi) Bourourou a peut être plus d'information le site "de Fernand Pouillon apparemment c'est lui l'architecte" est plein de photos mais tu dois cliquer par années Je n'ai pas lu que c'était pour les ouvriers mais biens pour les familles algériennes, venues d'autres villes et villages. Je vais en mettre un peu plus sur ça in shaa Allah. Citer Link to post Share on other sites
Guest L'étrangère Posted June 22, 2014 Partager Posted June 22, 2014 En 1936, année marquée par les mauvaises récoltes, commence à apparaître dans Alger un peuplement nouveau issu de l'exode des paysans de l'intérieur. Les arrivants s'entassent d'abord dans les quartiers existants, puis commencent à construire à l'abri des regards des petites baraques en planches. Le Clos Salembier n'est pas touché. Il reste le quartier aéré, propre, agréable avec ses boutiques, ses maisons sans étage et ses bouquets d'arbres. Mais en 1942, la situation change brusquement. De Kabylie, du Titteri, de l'Orléansvillois, les gens du bled arrivent en masse. La guerre coupe l'Algérie de la Métropole. Les cartes de rationnement entrent en vigueur. La misère grandit dans le bled où naissent toujours autant d'enfants. Genèse des bidonvilles. La ville devient le seul espoir. Et le grand exode commencent. Tous les quartiers d'Alger et les bidonvilles déjà existants sont rapidement saturés. Les nouveaux immigrants, à la recherche d'un toit, envahissent le Clos Salembier. Les pièces les plus exiguës abritent des familles entières. Les caves les plus malsaines se transforment en habitations ; les maisonnettes se surélèvent d'un étage où les nouvelles pièces sont louées à un taux prohibitif. La misère vite exploitée fait son entrée au Clos Salembier. Mais tout ce qui était disponible dans le quartier ne suffit pas à abriter les immigrants qui de 1942 à 1945 arrivent de toutes parts. Le quartier éclate donnant naissance à de nombreux bidonvilles. L'arrivée des troupes alliées provoque une augmentation des prix accentuée par la rareté des produits. Le marché noir se développe, un véritable trafic de cartes de ravitaillement se crée. Mais les habitants déshérités des bidonvilles savent tirer profit de cette situation qui leur permet de se procurer de l'argent sans trop d'efforts. C'est pourquoi il n'est pas surprenant de trouver encore aujourd'hui dans les bidonvilles des hommes peu aptes à un travail régulier. La paix revenue, les mouvements migratoires continuent mais à un rythme atténué. Les événements de 1954 vont les amplifier de nouveau. Des zones cultivées deviennent zones interdites ; les jeunes cultivateurs sont à tout instant susceptibles d'être enlevés et transformés en moussebilines. L'impôt déjà levé par l'Administration l'est aussi par les rebelles. Aussi, la plupart de ceux qui ont un membre de leur famille à Alger s'empressent de le rejoindre. Le problème devient crucial, aucune solution apportée. En 1954 sont construits les grands ensembles de Diar El Mahçoul et de Diar Es Saada totalisant 2.282 logements. Mais ces constructions nouvelles ne diminuent en rien le volume des bidonvilles dont les occupants ne jouissent pas de revenus fixes. Quelques centaines d'habitants seulement sont recasés par l'Administration dans des baraques plus salubres, mais offrant des conditions de vie encore précaires. En 1956, la bataille d'Alger limite le courant des migrations et l'on note même un très léger reflux sur les campagnes En effet, tous ceux qui, compromis dans la rébellion avaient trouvé refuge dans les incontrôlables bidonvilles, s'inquiètent à nouveau et quittent la ville. A la même époque est décidée l'implantation des Sections administratives urbaines (S.A.U.) qui aussitôt entreprennent un travail de recensement, de contrôle et d'organisation des populations. De 1956 à 1960, la population des bidonvilles du Clos Salembier n'a pratiquement pas varié. On note même une légère régression provoquée par un contrôle très strict des immigrants et par la démolition de plusieurs centaines de baraques dont les habitants sont relogés dans des immeubles récemment construits. Le Clos Salembier qui, en 1900, sur ses 117 hectares, ne comprenait que six familles européennes compte en 1960, 42.000 habitants dont 15.000 résident en bidonvilles. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted December 28, 2016 Partager Posted December 28, 2016 Salembi est dite la ville des shouhada. Citer Link to post Share on other sites
Aghabie 20 060 Posted December 28, 2016 Partager Posted December 28, 2016 [ATTACH]3671[/ATTACH] Citer Link to post Share on other sites
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