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Echec de l'alya des juifs de France.


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Echec de l'alya des juifs de France

 

Une certaine presse française veut faire croire que les juifs de France partent massivement vers Israel (voir l'article de l'Express ci dessous). En fait ces départ, malgré tous les efforts du gouvernement israélien pour essayer de peupler Israel, ne représentent que 1% des 600 000 français juifs.

Ceux-ci se sentent bien dans leur pays : la France. Cela est d'autant plus positif quand on connait les horreurs de la politique de la police française au temps de Vichy.

 

Et bien malgré cela, ils restent.

 

Quand on connait les sommes mises en jeu, c'est un échec retentissant pour le gouvernement israélien qui a peur de la natalité des Palestiniens vivant en Israel.

 

Dans les olim (ceux qui font leur alya), il y a un chiffre ultra-secret pour le gouvernement israélien: les yordim (ceux qui quittent Israel après avoir tenté une alya ou ceux qui sont nés en Israel). Il faut dire que la vie est dure là bas. Logement cher, chômage. Concurrence pour l'emploi. Ne peuvent réussir que ceux qui ont de bons diplômes (quand ils sont reconnus localement...).

Le phénomène est fort notamment chez les jeunes israéliens qui adorent les USA et la France comme la célèbre chanteuse Tal dont les parents ont quittés Israel et se sont installés à Paris.

Certains juifs français n'ont qu'un pas en Israel. Ils gardent leurs activités en France. C'est ce qu'on appelle l'Alya Boeing

(voir l'article plus bas).

 

 

Les juifs de France affluent en Israël

Par Marie de Vergès, publié le 10/01/2014

L'an dernier, plus de 3000 Français ont fait leur "alya" dans l'état hébreu. Le gouvernement israélien prépare un plan pour encourager cette vague d'immigration.

 

 

Tel Aviv. 3120 juifs de France ont choisi, en 2013 d'émigrer en Israël. Un chiffre en hausse de 63% par rapport à l'année précédente.

 

 

Emmanuel Schwab est un Israélien heureux. Impossible de déceler la moindre trace de regret ou de nostalgie chez ce Strasbourgeois d'origine quand il raconte sa décision de quitter la France pour vivre en Israël et en acquérir la citoyenneté. C'était il y a douze mois tout rond. "J'ai trouvé un pays en mouvement, où l'économie est dynamique et les gens osent se lancer", explique ce diplômé en économie et gestion de l'Ecole normale supérieure, aujourd'hui installé à Tel-Aviv. "Ici, j'ai l'esprit libre, je ne suis plus pollué par le climat souvent hostile qui règne en France à l'égard des juifs et d'Israël", poursuit le jeune homme de 26 ans qui s'afflige du dernier scandale provoqué par Dieudonné et son fameux geste de la "quenelle".

Un chiffre en hausse de 63% en 2013

 

Le nouvel arrivant fait partie des 3120 juifs de France qui ont choisi, en 2013, de faire leur "alya", autrement dit d'émigrer en Israël. Un chiffre en hausse de 63% par rapport à l'année précédente! Jamais, depuis 2005, l'immigration juive en provenance de France n'avait connu une telle vitalité. Et pour la première fois depuis de longues années, les Français fournissent un contingent plus important que les juifs en provenance des Etats-Unis (2680 personnes, en baisse de 13%).

 

Les experts s'accordent sur les causes de cette vague d'arrivées: d'un côté, il y a le malaise qui grandit dans l'Hexagone face à une série d'actes antisémites, dont la tuerie de Toulouse en mars 2012 a été le point d'orgue. De l'autre, la morosité économique d'une France où le chômage atteint des sommets. En face, Israël joue à plein sur sa réputation de "nation start up", jeune et innovante.

 

Cette poussée de l'immigration française n'a pas échappé au gouvernement de Benyamin Netanyahou. Un plan est en préparation pour la faciliter et l'encourager. Certains diplômes, aujourd'hui non reconnus par les professions médicales et paramédicales (opticiens, physiothérapeutes...), pourraient être acceptés, de même que le métier de conseiller fiscal. Les immigrants pourront aussi bénéficier d'aides financières pour la recherche de logement et d'emploi, et la vie familiale.

 

Pourquoi ce déploiement de moyens? "Ces olim [immigrants en hébreu] représentent un vrai potentiel pour Israël, explique Mickael Bensadoun, directeur de l'association Gvahim qui aide les nouveaux arrivants dans leurs parcours professionnels. Ils sont souvent très diplômés et s'intègrent vite. Ils viennent par choix et non pour fuir une situation désespérée. La qualité de leur formation et leur savoir-faire sont appréciés." Surtout, avec près de 500 000 membres, la communauté juive française est la plus importante d'Europe - ils sont entre 5 et 6 millions aux Etat-Unis. L'Etat hébreu pense pouvoir attirer 40 000 d'entre eux d'ici à 2017. Un apport bienvenu alors que l'époque de l'alya de masse, alimentée par les juifs de l'ancienne Union soviétique, est bel et bien révolue.

 

Parallèlement, une nouvelle réalité s'impose: la perception d'Israël comme une terre d'émigration pas seulement religieuse et nationaliste, mais aussi économique. Les immigrants juifs ne sont pas seuls à vouloir en profiter comme en témoigne l'arrivée accrue d'Africains depuis quelques années. Mais ceux-là peinent à trouver leur place. Ces derniers jours, ils ont été des milliers à défiler dans les rues de Tel-Aviv contre la politique israélienne d'immigration.

 

2 ème article: L'ALYA BOEING

ISRAELVALLEY - Service emploi : La « Boeing Alya » constitue-t-elle une solution d'emploi ? 50% des immigrants francophones installés depuis le début 2000 ont adopté cette forme de vie et de travail.

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IsraelValley Desk | Jobs

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IsraelValley vous propose chaque jour des informations et des conseils pour trouver un emploi ou un stage en Israël. Extraits du guide de l’emploi et des stages rédigé en français par des spécialistes israéliens du marché du travail.

La « Boeing Alya » constitue-t-elle une solution d’emploi ?

 

Quand on est un travailleur indépendant, le patron d’une entreprise ou lorsque l’on exerce une profession libérale, intégrer le marché du travail en Israël n’est pas toujours aisé. Il faut rapidement maîtrise l’hébreu, parfois obtenir des équivalences de diplômes, voire repasser des examens. C’est pourquoi de plus en plus d’immigrants venant de France conservent leur activité professionnelle dans leur pays d’origine. Cela leur permet de vivre en Israël avec leur niveau de vie antérieur et sans être obliger de recommencer immédiatement une carrière professionnelle en Israël.

 

Cette « Boeing Alya » oblige l’immigrant à faire une navette fréquente entre Israël et son pays d’origine. Ce phénomène, qui est né parmi les immigrants anglophones, est en train de s’étendre chez les francophones. Parfois, l’utilisation d’Internet permet d’effectuer une partie du travail en Israël et de limiter les déplacements transatlantiques. Certains estiment que près de 50% des immigrants francophones installés en Israël depuis le début 2000 ont adopté cette forme de vie et de travail.

 

Malgré ses nombreux attraits pour le nouvel immigrant, La « Boeing Alya » présente, à long terme, de multiples inconvénients :

 

Elle ne permet pas une véritable intégration au mode de vie israélien : la séparation entre l’activité professionnelle et la vie familiale ralentit l’intégration à la société israélienne, la connaissance de l’hébreu restera approximative faute de pratique et l’immigrant restera en marge des réseaux de relation indispensables pour s’adapter à la culture et à la mentalité israéliennes.

 

La contribution de l’immigrant à la vie économique en Israël est quasiment nulle ; sa valeur ajoutée à la production nationale se limite à consommer et dépenser son revenu en Israël, ce qui n’est pas négligeable, mais ce qui ne permet pas à l’économie israélienne de profiter du potentiel professionnel de l’immigrant.

 

la vie de famille est perturbée par les absences répétées d’un des conjoints : la « Boeing Alya » exige une forme particulière d’organisation familiale qui peut porter préjudice à la scolarisation des enfants et aux relations à l’intérieur du couple.

 

La « Boeing Alya » peut cependant constituer une solution attractive à court terme, le temps pour le nouvel immigrant de s’insérer dans le milieu professionnel en Israël. Par exemple, un comptable français qui ne maîtrise pas l’hébreu et qui éprouve des difficultés à réussir aux examens d’équivalence de son diplôme, peut conserver une partie de son activité professionnelle en France et traiter les dossiers de ses clients aussi bien à partir d’Israël qu’en France. De même, le médecin français, qui hésite à se séparer de son cabinet pour cause d’alya, pourra regrouper ses rendez-vous sur un ou deux jours de la semaine et effectuer le déplacement pour recevoir ses patients ; il pourra aussi, à l’aide d’un secrétariat « délocalisé » en Israël, transférer ses appels téléphoniques en Israël et gérer ainsi ses rendez-vous à distance.

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  • 8 months later...

Alya… et retour ?

 

mercredi 28 janvier 2015

 

Israël annonce le nombre de juifs qui émigrent en Israël mais pas ceux qui en partent ! Mediapart publie quelques statistiques intéressantes sur le sujet.

 

"Avant même les attaques contre Charlie et le supermarché cachère de la porte de Vincennes, des responsables de l’Agence juive, qui organise l’émigration vers Israël, avaient déclaré qu’ils espéraient attirer 10 000 Français en 2015 et jusqu’à 40 000 en 2017. Pour soutenir ce mouvement, un lobby parlementaire vent d’être créé à la Knesset. Et des mesures d’incitation très convaincantes ont été adoptées par le gouvernement israélien.

 

Les « aides à l’intégration » recensées par l’Agence juive comprennent notamment la gratuité du billet d’avion aller, un pécule payable en 6 versements mensuels, de multiples réductions douanières et fiscales, des bourses d’études, un stage de formation professionnelle, des réductions d’impôts et dispenses de déclaration pour les revenus obtenus hors d’Israël pendant dix ans. Selon le ministère israélien de l’Immigration, plus de 90 000 Français juifs sont venus s’établir en Israël depuis la naissance de l’Etat juif en 1948. On évalue aujourd’hui à 150.000 le nombre de Franco-israéliens vivant en Israël.

 

Les nouveaux immigrants arrivés de France se dispersent pour la plupart autour de trois pôles principaux : la cité balnéaire de Netanya, à une trentaine de kilomètres au nord de Tel Aviv, pour les retraités, en particulier les plus fortunés ; la ville côtière d’Ashdod, à mi-chemin de Tel Aviv et Gaza, pour les immigrants aux revenus plus modestes et Jérusalem, pour les religieux.

 

A la sortie sud de Jérusalem, face à Bethléem, la colonie urbaine de Har Homa (Jebel Abou Ghneim, pour les Palestiniens), créée en 1997, sous le premier gouvernement de Benjamin Netanyahou, est devenue l’un des lieux de résidence préférés des immigrants francophones. Har Homa abrite actuellement une dizaine de milliers d’habitants mais, selon les experts de B’Tselem et La Paix maintenant, les extensions en cours devaient pouvoir en accueillir près de 40.000 dans les prochaines années.

 

Malgré les incitations et aides multiples offertes aux nouveaux arrivants (Français ou non) l’adaptation à la vie en Israël, l’obstacle de la langue franchi, n’est pas toujours simple. Le pays connait une grave pénurie de logements, qui s’accroit, ces dernières années avec l’arrivée des Français. En 2014, Les prix de l’immobilier ont augmenté de 4 à 10% selon les villes. Les professions libérales françaises ne sont pas reconnues en Israël et nombre de médecins, dentistes, kinés doivent passer des examens d’habilitation avant de pouvoir exercer. Certains choisissent d’ailleurs « l’émigration Boeing » en installant leur famille en Israël, en conservant une activité professionnelle en France et en faisant la navette le week-end.

 

L’adaptation des enfants à l’école israélienne pose aussi de sérieux problèmes.

 

L’Association Elem, qui aide les « jeunes dans la détresse » estime qu’à Netanya, près de 200 enfants arrivés de France qui sont sortis du système scolaire vivent en marge de la société et qu’ils seraient plusieurs centaines dans l’ensemble du pays à errer entre vagabondage et délinquance.

 

A cela s’ajoutent les mauvaises surprises des systèmes d’allocations familiales, de sécurité sociale et d’éducation israéliens, moins généreux que le système français. L’orthodontie, par exemple n’est pas remboursée en Israël alors qu’elle est en France.

 

« Au bout de trois ou quatre ans lorsque les aides de l’agence juive et du ministère de l’Intégration n’arrivent plus, les dettes s’accumulent, explique un Français de Jerusalem et il arrive que la question du retour se pose ». Les « déçus de l’alya » souhaitant rarement rendre leur décision publique, il n’existe pas de statistique indiscutable des retours en France. Un chiffre circule cependant avec insistance en Israël : 20 % des immigrants français reprendraient l’avion dans les cinq ans suivant leur arrivée. Une partie d’entre eux rentreraienten France. D’autres choisiraient de s’installer au Canada ou aux Etats-Unis.

 

« Les Français juifs qui sont inquiets pour leur sécurité feraient mieux d’émigrer au Canada, vient d’ailleurs de conseiller, dans une déclaration au Toronto Star, le rabbin Shmuel Herzfeld, responsable d’une synagogue de Washington. L’option israélienne n’est pas tellement attirante pour des gens qui ne parlent pas l’hébreu et qui n’ont pas envie de vivre dans un autre pays où le terrorisme est une inquiétude quotidienne ».

 

Source :

Alya... et retour?

 

sources: CAPJPO-EuroPalestine

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Venir d'Ethiopie ou du Yémen et arriver en Israël ce n'est pas comme venir d'Europe et arriver en Israël.

Israël c'est comme le bled, il y a une grosse différence entre y aller en vacances et y vivre sur du long terme.

 

La grande majorité des juifs de France se rendent régulièrement en Israël pour les vacances, ne parlent pas hébreu et ne le comprennent que trop peu, ne se mélangent pas aux autres et restent entre eux. Ils sont dans leur bulle. Quand ils font alyah ils découvrent un monde qu'ils ne connaissaient pas parce qu'ils l'avaient fantasmé.

 

La vie à la française en Israël elle n'existe pas. Et une vie à la vérité si je mens non plus.

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  • 3 weeks later...

Israhel a lamentablement échoué, aprés avoir organisé les attentat de Ch H, le mossad échoué dans sa tentative de alya, natanyahu avait menacé toute la france auparavant car elle a reconnu l'état de palestine, peut on déduire que les attentats de ch h, fond suite aux menaces gravissimes de natanyahu contre le gouvernement et peuple français?!

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Israhel a lamentablement échoué, aprés avoir organisé les attentat de Ch H, le mossad échoué dans sa tentative de alya, natanyahu avait menacé toute la france auparavant car elle a reconnu l'état de palestine, peut on déduire que les attentats de ch h, fond suite aux menaces gravissimes de natanyahu contre le gouvernement et peuple français?!

 

Oulaaaa :D

Ci tri grav ti croa li conri com ça :mad:

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Natanyahu avait menacé la france et les français

vous reconnaissez l'état de palestine?! ok, vous allez voir les conséquence!!

 

Juste quelques jours ou semaines aprés, les services secrets et les sionistes du pays et fait leurs affaire et ont accusé les musulmans et il y'a une sorte de guerre idéologique en france

 

Je pense que c'est la conséquence des menaces de natanyahu

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Natanyahu avait menacé la france et les français

vous reconnaissez l'état de palestine?! ok, vous allez voir les conséquence!!

 

Juste quelques jours ou semaines aprés, les services secrets et les sionistes du pays et fait leurs affaire et ont accusé les musulmans et il y'a une sorte de guerre idéologique en france

 

Je pense que c'est la conséquence des menaces de natanyahu

 

Les Juifs français se sentent français

Déjà, EN 1962, les services israéliens avaient été étonnés.

Ils avaient envoyés des émissaires en Algérie.

Or,ils ont constaté que les Juifs Algériens voulaient aller en France et non pas en israel.

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Mister Banjamin saura les convaincre , la prochaine fois , avec une "attaque terroriste" de plus grande ampleur que DAEESH se verra , bien entendu , attribuer :mdr::mdr::mdr::mdr:

Il faut aussi dire que l'affaire Charlie Hebdo était si grossière que même les juifs de France n'y ont même pas cru :mdr::mdr:

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il n'y a pas que les juifs qui sont concernés...

 

Source:Le magazine « Dar al Islam » de l’Etat islamique...

 

Pourtant le Coran dit que la terre appartient à Dieu. Le muslim peut adorer Dieu là où il est. L'exil (hijra) n'est envisageable qu'en cas de persécution. Et si les Juifs font leur alyah c'est parce que le Judaïsme est une religion d'état, et n'appartient qu'aux Juifs et leurs descendants (c'est d'ailleurs pourquoi les juifs s’abstiennent de faire du prosélytisme et que la conversion au judaïsme est un processus compliqué). L'islam est une religion OUVERTE à TOUS les êtres humains.

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Natanyahu avait menacé la france et les français

vous reconnaissez l'état de palestine?! ok, vous allez voir les conséquence!!

 

Juste quelques jours ou semaines aprés, les services secrets et les sionistes du pays et fait leurs affaire et ont accusé les musulmans et il y'a une sorte de guerre idéologique en france

 

Je pense que c'est la conséquence des menaces de natanyahu

Il a tout as fait raison, c'est de bonne guerre, ca apprendra a la France , peut etre qu'ils feront attention la prochaine fois, et, si c'est Netanyahu qui a mis ses menaces a execution , nesta9raf bih, c'est un vrai radjel
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je pense rien de cela

depuis que les têtes juifs ont fréquenté les djinns ils sont tombés dans le piège satanique. car a ce niveau personne des humains ne sait qui est ce djinns si il est de la classe qui travaillent pour le compte des anges ou les enfants de Iblis..

je ne pense pas que le club qui est contrôle par Iblis ai une marge de manœuvre de libertés....

si les juifs doivent resté ou partir c'est selon l'ordre de Iblis..

ce problème était posé aussi pour les arabes musulmans, beaucoup de groupe musulmans étaient tenté de fixer des alliance avec des djinns afin de redevenir Riche et avoir le pouvoir..Des grand choyoukhs algerien justement refusaient d'entrer dans ce milieu sans contrôle...

Et si les israeliens migrent en israel que va t'il se passer??

la tout va se compliquer pour les djinns en générale et pour le clan de iblis en particulier..Car ces clans utilisent la culture israelienne pour les manipuler et les contrôler et les maintenir dans une machine qui fonctionne pour Eux pour leurs compte pas pour le compte d’Israël d'arabe ou de chrétiens..

si les israéliens partent massivement pour israel ils va se manquer de mains d’œuvre qualifié sur laquelle ces groupes de djinns ont bâtie leurs royaume..si un autre courant rebelle comme les sionistes sortira parmi Israël il faut s'attendre a un chamboulement général....il ya chaque fois des sauts imprevus chez Israël contre leurs têtes liées et ligotés soit par des djinns ou par les bandits qui les utilisaient a des fins politiques.. si tu fréquente un bandit il finira par retourner son arme contre toi du fait qu'il est ''demandé '' par une prime.

D'un autre coté on ne sait pas aussi la position des Rois sur les djinns Haroute et Maroute...Iblis n'a pas le champs libre comme l;imagine certain..

si les israéliens se rétractent et jettent rejette le Royaume de Salomon et l’abandonner tout va s'effondrer....

 

c'est un grand coup a préparer ce n'est pas du tout facile

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Israhel a lamentablement échoué, aprés avoir organisé les attentat de Ch H, le mossad échoué dans sa tentative de alya, natanyahu avait menacé toute la france auparavant car elle a reconnu l'état de palestine, peut on déduire que les attentats de ch h, fond suite aux menaces gravissimes de natanyahu contre le gouvernement et peuple français?!

 

Khouya, djabli Rabbi, rak gheir taghlatt.

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je pense rien de cela

depuis que les têtes juifs ont fréquenté les djinns ils sont tombés dans le piège satanique. car a ce niveau personne des humains ne sait qui est ce djinns si il est de la classe qui travaillent pour le compte des anges ou les enfants de Iblis..

je ne pense pas que le club qui est contrôle par Iblis ai une marge de manœuvre de libertés....

si les juifs doivent resté ou partir c'est selon l'ordre de Iblis..

ce problème était posé aussi pour les arabes musulmans, beaucoup de groupe musulmans étaient tenté de fixer des alliance avec des djinns afin de redevenir Riche et avoir le pouvoir..Des grand choyoukhs algerien justement refusaient d'entrer dans ce milieu sans contrôle...

Et si les israeliens migrent en israel que va t'il se passer??

la tout va se compliquer pour les djinns en générale et pour le clan de iblis en particulier..Car ces clans utilisent la culture israelienne pour les manipuler et les contrôler et les maintenir dans une machine qui fonctionne pour Eux pour leurs compte pas pour le compte d’Israël d'arabe ou de chrétiens..

si les israéliens partent massivement pour israel ils va se manquer de mains d’œuvre qualifié sur laquelle ces groupes de djinns ont bâtie leurs royaume..si un autre courant rebelle comme les sionistes sortira parmi Israël il faut s'attendre a un chamboulement général....il ya chaque fois des sauts imprevus chez Israël contre leurs têtes liées et ligotés soit par des djinns ou par les bandits qui les utilisaient a des fins politiques.. si tu fréquente un bandit il finira par retourner son arme contre toi du fait qu'il est ''demandé '' par une prime.

D'un autre coté on ne sait pas aussi la position des Rois sur les djinns Haroute et Maroute...Iblis n'a pas le champs libre comme l;imagine certain..

si les israéliens se rétractent et jettent rejette le Royaume de Salomon et l’abandonner tout va s'effondrer....

 

c'est un grand coup a préparer ce n'est pas du tout facile

 

Ah oui khouya les "es djinns Haroute et Maroute", c'est exactement ça la question.

Wallah gheir klemec houma ssah.

Vous faites bien avancer le débat.

Barak Allah oufik.

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il n'y a pas que les juifs qui sont concernés...

 

la-Hijra-islamiste.jpg

 

Source:Le magazine « Dar al Islam » de l’Etat islamique...

 

La différence c'est qu'il n'existe aucun état musulman qui se prétend "état de l'islam et des musulmans ......... et des seuls musulmans" qui appelle au retour de ces musulmans en terre d'islam que cet état représente !!!

 

 

Il vous en prie :crazy::crazy:

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Il a tout as fait raison, c'est de bonne guerre, ca apprendra a la France , peut etre qu'ils feront attention la prochaine fois, et, si c'est Netanyahu qui a mis ses menaces a execution , nesta9raf bih, c'est un vrai radjel

 

Comment natanyahu ose menacer le peuple français? c'est un radjel? je crois pas

c'est un judéo franc maçon leader des méchants, ils intimident et agressent autrui, conduite de madamat

Errdjal machi haka désolé

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keyboard, les musulmans se sentent bien chez eux en France

Pas question de faire la hidjra, beaucoup aiment l'occident, pour lui exposer l'islam

l'europe veut se débarasser de l'islam et des musulmans mais ne sait pas comment y procéder dans des dégats catastrophiques!!!

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  • 1 year later...

Retour en France après l’« alya »

 

LE MONDE | 18.07.2016

 

Elle raconte son arrivée en Israël comme d’autres, une passion amoureuse : « J’ai eu un coup de foudre. Je me suis dit “c’est chez moi, ici”. » Attablée à une terrasse parisienne, Joëlle Roubine, 52 ans, tire sur sa cigarette avant de poursuivre son récit.

 

Fille de juifs tunisiens, cette employée d’un musée parisien a fait son alya (émigration vers Israël) en 2006. Un « voyage identitaire », dit-elle aujourd’hui. Le départ devait être définitif. Joëlle est pourtant revenue six ans plus tard, plombée par des difficultés économiques et assaillie par la nostalgie. « Je n’avais plus un sou, Paris me manquait, et le poids religieux de Jérusalem commençait à me peser. »

 

Comme elle, de nombreux Français de confession juive reviennent chaque année dans l’Hexagone après avoir fait leur alya, la « montée » des juifs en Terre sainte, constitutive du sionisme et visant à renforcer l’Etat juif. Mais rares sont ceux à accepter d’en parler, tant le sujet dérange. « La question du retour [ou « yerida », « descente » en hébreu] soulève un double tabou : pour la communauté juive, qui voit cela comme un échec, et pour Israël lui-même, puisque c’est la preuve qu’il ne parvient pas à bien intégrer ses nouveaux arrivants », explique l’historienne Frédérique Schillo, spécialiste d’Israël et des relations internationales.

 

 

Pas de statistique officielle

 

Selon elle, l’Etat hébreu a été « pris de court par l’ampleur de la vague migratoire française », sans précédent depuis 2013, l’année qui a suivi le massacre perpétré par Mohammed Merah dans une école juive à Toulouse.

 

Les juifs de France, première communauté juive d’Europe et troisième au monde, sont aujourd’hui les plus nombreux à s’installer en Israël. Une immigration favorisée par la hausse des actes antisémites dans l’Hexagone, et encouragée par le premier ministre israélien lui-même, au grand dam des autorités françaises.

 

Lors de sa visite à Paris, fin juin, Natan Sharansky, le président de l’Agence juive pour Israël – l’organisme semi-gouvernemental israélien chargé de l’immigration des juifs dans le pays, et l’interlocuteur incontournable des candidats à l’alya – a, à son tour, battu le rappel, allant jusqu’à déclarer qu’il n’y avait « pas d’avenir pour les juifs en France ».

 

En 2015, pas moins de 7 829 Français ont immigré dans l’Etat hébreu, contre 1 919 trois ans plus tôt. Un record. Le chiffre devrait toutefois baisser à 6 000 en 2016, selon une source proche de l’Agence.

 

Combien reviennent chaque année ? Les estimations qui circulent vont de 15 % à 30 %, mais aucune statistique officielle n’existe. « C’est politique, analyse Frédérique Schillo. Israël est un refuge pour les juifs du monde entier. Si on apprend que la formidable émigration française de ces dernières années se traduit par un échec, que dira-t-on ? L’Agence juive pour Israël n’a aucun intérêt à en parler. »

 

Cette dernière s’en défend. Ygal Palmor, porte-parole de l’Agence à Jérusalem, soutient qu’« il n’y a pas de statistique fiable parce que ceux qui repartent ne se manifestent pas, ils rentrent de façon individuelle ». Il précise, en revanche, avoir identifié trois profils parmi eux : « Ceux qui n’ont pas réussi à trouver du travail », à cause notamment de la barrière de la langue ou le manque de reconnaissance des diplômes ; « ceux qui n’ont pas eu le feeling » ; et « ceux qui considèrent que les aides sociales – très loin de ce qu’elles sont dans l’Hexagone – ne sont pas suffisantes. Il y a un véritable problème français là-dessus ».

 

Comment les juifs de France vivent-ils leur retour dans ce pays qu’ils pensaient avoir quitté pour toujours ? Qu’a changé cette expérience sur le regard qu’ils portent sur la France ? Que signifie pour eux être Français et juif, à l’aune de cette expérience ?

 

« Une défaite »

 

Plus l’adhésion au projet sioniste est forte, plus le sentiment d’échec domine. Pour Jacqueline, le retour n’est rien de moins qu’une « défaite ». En mai 2015, cette retraitée en invalidité a tout vendu pour aller rejoindre « la terre de [ses] ancêtres et vivre au soleil. Je me suis fait traiter de sale juive six mois avant mon départ, ça a joué, aussi. Je me suis dit que je n’étais plus chez moi en France ». Elle a pourtant fait demi-tour sept mois plus tard. « Impossible de trouver un logement, c’était inabordable, et je ne supportais pas la chaleur. »

 

« J’ai peut-être mal préparé mon alya, regrette-t-elle… Je suis sioniste et j’aime Israël, mais pas pour y vivre. C’est trop dur à 60 ans de tout quitter et de repartir à zéro. Car tout est différent, tant sur le plan social que médical. » La France ? « Je me suis rendu compte que c’était un pays d’assistés. Ici, je ne paye pas mes médicaments. »

 

A son arrivée dans l’Etat hébreu, elle s’était autorisée à ressortir son étoile de David, qui dormait dans un placard depuis dix ans. Depuis son retour à Paris, elle l’a de nouveau rangée.

 

« L’avenir nous paraît incertain »

 

Tous ceux qui sont revenus observent avec crainte la dernière poussée des violences antisémites – elles ont doublé en 2014 avec 851 actes déclarés (contre 423 en 2013), et 808 en 2015, selon le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), qui confronte ses données avec celles du ministère de l’intérieur.

 

Mais, à la différence des juifs tentés par l’alya pour y échapper, eux ont déjà fait ce chemin. Dès lors, rester en France malgré tout ressemble à une bataille, contre les préjugés, et contre leur propre peur.

 

Rebecca, partie à Jérusalem fin 2005 avec son mari et son bébé, se sentait « chez elle » en Israël. En France aussi. A la différence qu’« ici, c’est un peu bancal, un peu provisoire ». Les attaques visant des juifs finissent par la faire vaciller. « A chaque fois, on se dit “pourquoi on est revenu ?” La vie là-bas n’était pas facile, les salaires sont très bas et rien n’est remboursé. Mais l’avenir nous paraît incertain en tant que juifs en 2016 en France. On vit au jour le jour. »

 

La famille était rentrée depuis un an lorsque l’affaire Merah a éclaté. « Pendant trois jours, je n’ai pas emmené mes enfants à l’école », se souvient la jeune femme. Depuis, elle s’habitue à voir des militaires devant les grilles, et « évite de montrer des signes extérieurs de judaïsme ». Son mari, qui portait la kippa avant de partir en Israël, y a renoncé.

 

Karine, elle, a balayé une fois pour toutes l’idée de vivre en Israël. « Plutôt que d’essayer de fuir, j’ai le sentiment qu’il faut se battre contre ça ici, en France. » Cette avocate a fait son alya en 2003. Elle est revenue trois ans plus tard avec son mari, un Israélien rencontré là-bas, et leurs enfants.

 

A ses yeux, lutter contre l’antisémitisme en France « fait partie de [son] combat en tant que française. Ça fait aussi partie de mon identité juive, ajoute-t-elle. Le Talmud dit : “La loi de ton pays est ta loi.” On doit respecter et défendre le pays auquel on appartient. Or, attaquer les juifs c’est attaquer la France ».

 

L’attachement à la France

 

Ses années passées en Israël ont servi de révélateur. « J’ai vécu la guerre de 2006 contre le Hezbollah libanais. J’ai réalisé que j’avais grandi dans un pays en paix », explique Karine. L’irruption de la menace terroriste en France avec les attentats n’a pas ébranlé sa décision de rester. Même après le 13 novembre 2015, quand son mari a réchappé par miracle à l’attaque du Bataclan. « Il était au bar. Le fait d’être israélien l’a sans doute sauvé : il a tout de suite reconnu l’odeur de la poudre, et a pu s’échapper rapidement », raconte-t-elle.

 

Son attachement à la France reste le plus fort. « En Israël, la République, la méritocratie et le principe d’égalité me manquaient. J’ai compris que j’aime beaucoup la France et les principes qui la guident. Les Français sont englués dans leur réalité, ils ne se rendent pas compte de leur chance », juge-t-elle.

 

Joëlle Roubine, elle, a vécu son retour comme un rêve éveillé. « C’était un ravissement ! Je m’émerveillais devant les boulangeries, les fromages, les pâtisseries… » Au-delà de la carte postale, son regard sur la France a changé. « Je l’aime encore plus qu’avant. Je lui suis extrêmement reconnaissante de tout ce qu’elle m’a donné : l’école, la cantine, des vêtements. On était d’un milieu très défavorisé. Mes premières vacances au ski, c’est grâce à l’école. » Alors si elle a décidé de travailler dans le service public, c’est « pour rendre un peu de ce qu’on [lui] a donné ».

 

Un tournant identitaire et religieux

 

Pour beaucoup, l’expérience israélienne a marqué un tournant identitaire et religieux. « J’ai pris conscience en Israël que j’étais française avant tout, alors qu’avant j’avais l’impression d’être d’abord juive, puisque c’est ce qu’on me renvoyait tout le temps », explique Karine. De son côté, Joëlle a « découvert [son] identité juive. Je suis partie française, je suis revenue juive de France. » A l’inverse, Alexandre (le prénom a été modifié), « très religieux avant de partir », est revenu « complètement athée », par rejet envers « la politisation de la religion » et « le développement d’un discours mystique et messianique absurde » auquel ce médecin « n’adhérait plus du tout ».

 

La pratique religieuse a parfois évolué en même temps. Karine, qui se définit comme une « fille de la laïcité », ne fait plus shabbat. « J’ai revu mes exigences à la baisse pour pouvoir vivre sereinement en France et avoir une vie sociale normale, explique-t-elle. C’est comme ça que j’ai trouvé un compromis. »

 

Comment parlent-ils de leur retour autour d’eux ? L’évoquer est plus ou moins facile selon les raisons pour lesquelles ils sont revenus. « Quand on a quitté Israël pour des raisons économiques, les gens comprennent plus facilement », assure Rebecca. A l’inverse, l’exercice s’avère plus périlleux « si c’est parce qu’on n’a pas aimé la vie là-bas ».

 

Alexandre en a fait l’expérience. Après un an passé à Haïfa en 2007, il est revenu fâché contre « la propagande de la droite israélienne », « la défiance envers les Arabes » et l’atmosphère de « complotisme généralisé » qui régnait, selon lui, dans le pays. Son regard critique a fini par l’éloigner de ses amis issus de la communauté juive. « Quand on parle d’Israël ensemble, je ne peux pas m’empêcher de dire ma façon de voir les choses. C’est très mal perçu, donc je suis exclu. »

 

La rupture n’est pas consommée pour autant. « A chaque fois que je me sens menacé en tant que juif, je me réfugie vers ces amis. Cette ambivalence n’est pas facile à gérer mais je m’en accommode », confie-t-il.

 

Repartir ?

 

Quand la crainte est trop forte, Israël va jusqu’à renaître comme une alternative possible. Alexandre se souvient de son désarroi quand des cris « mort aux juifs » ont été proférés à Paris à l’été 2014. Il s’était renseigné sur la possibilité de travailler en Israël, « au cas où on vivrait une deuxième Nuit de cristal ».

 

Ceux qui retentent l’expérience ne sont pas rares. « On a toujours des gens qui font une deuxième alya. Parfois ils font un essai, mais ce n’est pas au bon moment, alors ils reviennent », explique Daniel Heffes, responsable à l’association Alya et meilleure intégration (AMI). « Ce n’est jamais complètement fini, cette affaire, renchérit David Chemla, ex-président de l’association La Paix maintenant. On vient, on repart, on retente… D’autant qu’il ne s’agit plus des grands départs comme autrefois. Aujourd’hui, avec la mondialisation, c’est plus facile. » D’autres encore optent pour une solution intermédiaire, surnommée « l’alya Boeing » : ils travaillent en France la semaine, et rejoignent leur famille en Israël le week-end.

 

Depuis son retour en France en 2011, l’idée de retourner dans l’Etat hébreu berce Rebecca. « On regrette toujours cet idéal », confie la jeune femme. Ses amis, eux, « pensent au Canada ou à l’Amérique comme solution alternative, parce que c’est compliqué d’aller en Israël. Mais rester ici, dans ce contexte, ce n’est pas satisfaisant non plus. » Emigrer ailleurs encore, loin de la France et d’Israël. Comme si une troisième voie était devenue vitale.

 

Faustine Vincent

 

 

 

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/articl...s5lmAGsPp5B.99

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