Zoubir8 174 Posted May 11, 2014 Partager Posted May 11, 2014 La programmation de la lente agonie de la nation Algérie Par Le Matin | 10 5 2014 Dans un article daté du 05 mars 2014 publié par Mediapart, un journaliste évoque une menace de crise énergétique en Algérie et s’interroge sur l’avenir de la rente pétrolière "qui permet de contenir la contestation sociale". Dans le même ton, "le Financial Times" remet en cause la pérennité de la rente et "estime que ceux qui s’intéressent au profil de l’Algérie durant la prochaine décennie devraient s’inquiéter car le gaz nécessaire à la demande domestique fera pression sur les exportations". Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai quand il tire la sonnette d'alarme sur les réserves d'hydrocarbures. Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai quand il tire la sonnette d'alarme sur les réserves d'hydrocarbures. Sid Ahmed Ghozali est plus inquiet quant aux échéances, il déclare dans une interview accordée au JDD du 20 avril 2014, donc après sa rencontre avec John Kerry : "… Non, je ne vous parle pas de ce qui se passera dans vingt ans, mais dans moins de cinq ans…" Ces messages angoissants publiés outre-mer et éludés par les intellectuels et les médias algériens sont-ils crédibles ? Nous savons tous que nos réserves d’hydrocarbures sont estimées par des sociétés internationales et que ces données sont extrêmement confidentielles, seulement nous constatons que les institutions spécialisées publient des estimations de réserves jugées optimistes que des consultants reprennent allègrement pour nous faire croire que nous sommes à l’abri de toute pénurie d’hydrocarbures pour des décennies. La baisse continue de notre production et de bradage de nos réserves en hydrocarbures depuis plus de quinze ans, dans un environnement de gaspillage énergétique inouï, nous fait penser à une stratégiede déstabilisation qui a été appliquée avec succès à l’Egypte. La situation de l’Egypte est devenue un cas d’école pour celui qui fait le lien avec les fameuses confessions de l’américain John Perkins (voir sur le Web), c’est peut-être aussi ce qui nous attend et plus vite que l’on pense puisqu’aux dernières nouvelles, Sonatrach va lui "vendre" du GNL. Il est notoire que les exportations de gaz naturel sont en baisse régulière depuis dix ans et que l’Algérie a exporté, en 2013, 30% de moins par rapport à l’an 2000. L’amenuisement de la rente algérienne des hydrocarbures qui est déjà palpable va s’accélérer. Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai, cette situation va s’aggraver et atteindre un niveau dramatique dans moins de dix ans. Etant donné les échéances rapprochées du point de rupture, la problématique de la sécurité énergétique et son corollaire, celui de la diversification des filières de production d’électricité (aujourd’hui exclusivement à partir du gaz) et de l’approvisionnement en pétrole des raffineries (non conçues pour traiter du pétrole importé) se posent dès aujourd’hui, mais on a choisi d’ignorer ce débat. Le Conseil de l’Energie ne s’est jamais réuni sous les règnes successifs de Bouteflika, un moyen de cacher la vérité au peuple ? Les gouvernements successifs de Bouteflika brandissent comme parade la possibilité d’explorer et de développer les gisements potentiels de gaz de schiste en décidant de sous-estimer les délais et les contraintes liées aux coûts de fracturation,sans oublier la problématique de la pollution des réserves d’eau souterraines. A ce train, nous serons dans dix ans dans la même situation que l’Egypte d’aujourd’hui, mais cela, les gouvernements successifs de Bouteflika le savent depuis longtemps. Pourquoi donc cette fuite en avant au moment où il faut nous préparer à l’après-pétrole ? La "loi du silence" est l’essence même d’un milieu mafieux. En fait, nous subissons une approche économique suicidaire qui est dans le prolongement, et c’est le côté le plus inquiétant, d’une politique machiavélique de long terme visant à désarmer la société algérienne face à un après-pétrole incontournable, notamment en détruisant l’école, l’intégrité des institutions, l’agriculture, la production nationale etc.. Les instruments de cette mafia sont nombreux. On citera le contrôle de la communication, la coercition ciblée sur certains opposants et toutes les actions de manipulation facilitées par la passivité de la population nourrie au biberon de la rente et par l’adhésion silencieuse des salafistes (qui attendent d’hériter du pays) à un programme de destruction planifiée Il est clair qu’on assistera durant ce 4e mandat à une accélération de la politique massive d’importation, avec des dépenses plus fastueuses, plus improductives et gonflées par une corruption généralisée et ostentatoire dans le seul but de précipiter notre pays dans les affres d’une crise financière dont les conséquences pourraient être aggravées en cas de baisse de prix du pétrole. Hélas, le constat sur l’existence d’un complot cohérent et actif depuis au moins deux décennies visant à plonger notre pays dans un chaos (où nous ont déjà précédé tous les pays nationalistes non alignés sur l’axe israélo-américano-wahhabite) n’a jamais été percé au grand jour par nos analystes. Seule une poignée d’algériens aborde publiquement ce sujet parmi lesquels l’ancien gouverneur de la Banque Centrale algérienne, M. Abderrahmane Hadj Nacer qui a déclaré récemment: «le chaos est programmé (…) nous sommes en fin de course de l’utilisation optimale de nos ressources du sous-sol». Il ajoute que "depuis 25 ans, c’est la mise en œuvre d’une planification qui est la précarisation de la société, “l’informellisation” et l’“écervélation” de la population". En deux phrases, M. Hadj Nacer a tout dit. Il existerait un complot, une sorte de feuille de route que le clan Bouteflika exécute depuis 25 ans et que personne ne dénonce. Les milieux intellectuels algériens se focalisent, pour la plupart,sur les affaires de corruption et ne voient donc que l’iceberg du mal algérien. On les comprend, ils se rassurent quelque peu en optant pour la piste maffieuse et en refusant de voir l’insoutenable vérité, celle de la haute trahison au sommet d’un Etat dirigé apparemment par des personnages ayant double ou triple nationalité, des marionnettes au service de l’Oncle Sam et de son exécutant, ancien colonisateur qui a une revanche à prendre, et tout cela sous le regard accommodant de ceux qu’on nommait les gardiens du temple. Tout le pouvoir de nature dictatoriale est apparemment entre les mains d’un Président d’origine marocaine qui, connaissant parfaitement la précarité qui attend l’Algérie, prête de l’argent au FMI, brade les richesses du sous-sol à ses associés arabes et espagnols, sous-traite à des intermédiaires ignares des pays du Golfe, en gré à gré, l’acquisition de technologies occidentales et s’offre le luxe de placer à la tête du FLN un voyou affairiste né en Tunisie, immatriculé comme résidant en France et suspectéen Algérie d’avoir détourné l’équivalent en dinars d’un demi-milliard de dollars. Cette politique arrogante et provocatrice qui, dans une situation normale, serait suicidaire, remporte paradoxalement beaucoup de succès non seulement parce qu’elle est portée par des parrains étrangers très puissants et mais surtout parce que les opposants «officiels» et les médias algériens évitent de s’étaler sur l’essentiel: l’acte de trahison. Aucun opposant politique n’a osé mettre en avant les actions de trahison et de planification du chaos algérien dont parlent Ghozali et Hadj Nacer, bien connues par la Nomenclature qui a déjà pris ses dispositions pour expatrier ses proches depuis une dizaine d’années. A l’échéance de chaque mandat présidentiel, l’Algérien lambda s’attend à un changement d’équipe sans trop d’illusions sur d’éventuelles réformes. Pourtant, la succession d’affaires scandaleuses et impunies à ce jour aurait dû éveiller ses soupçons. Cette impunité sous-tendait un principe fondamental, celui de la continuité au niveau de la gouvernance que le clan Bouteflika appelle stabilité. Le réseau des serviteurs complices ou manipulés est en place, du chef de daïra au wali, du PDG au Ministre de tutelle, sans oublier les députés affairistes, les responsables des institutions et les hommes d’affaires privés qui touchent leur part du gâteau. Personne ne fait le poids face à cette toile humaine au-dessus des lois. Un internaute a écrit avant les élections (Le Complot de Sid Kaci 06 avril 2014): «je crains que ce ne soit trop tard car les jeux sont faits. Je ne pense pas que la mafia politique et les pègres régnantes associées en Algérie cherchent à préserver et à protéger leurs intérêts qui durent et perdurent. A mon avis, l’objectif de ceux qui nous dirigent est de terminer leur mission qui consiste à détruire la nation algérienne. Les récents classements de l’Algérie confirment qu’ils sont prêts du but. Pour eux, la fin est proche et ils n’ont pas l’intention de finir leurs jours en Algérie." Les derniers masques sont tombés avec la réélection d’un homme très malade juste dans le but de passer la main à un futur président qui n’aurait pas pu être élu. Il est évident que Saadani va être chargé de "faire passer" rapidement la nouvelle constitution. Si vous êtes inquiets pour Saadani, au vu des révélations scandaleuses qui impliquent une démission immédiate, je vous rassure tout de suite, il est protégé par des parrains algériens et étrangers puissants, donc il ne craint rien car chez nous, la caravane passe quand les chiens aboient. C’est aussi, sans surprise, que les Hommes du Président ont été confirmés à des postes stratégiques autour de Sellal (S comme Said), malgré ses bourdes car c’est l’homme de confiance et le parfait fusible. Lui aussi, comme les autres, a pris ses dispositions pour vivre sous des cieux plus cléments et rejoindre sa famille à l’étranger. Les messages clairs de réactivation des affaires de corruption ont été lancés au premier jour de la réélection, comme pour rassurer les différents partenaires sur la puissance absolue du Clan et affirmer au grand jour que les affaires reprennent. Les signatures des contrats des 17 et 18 avril 2014 entre le secteur public et le secteur privé étranger sont des signaux très forts dont les premiers bénéficiaires sont bien sûr Sawiris et Villar Mir et ce, avant même la désignation du nouveau gouvernement, supposé donner son accord. Il faudra donc ajouter ces nouveaux accords à la collection des scandales qui ne seront jamais dévoilés liés à Djezzy, Sorfert, Bahwan et Fertial. On parle ici de préjudices se chiffrant par dizaines de milliards de dollars. (...) Citer Link to post Share on other sites
leparisien 10 Posted May 11, 2014 Partager Posted May 11, 2014 Un peuple handicapé a pu elire un handicapé Donc ce n'est plus question d'agonie. Mais plutôt la mort d'un peuple qui fait allegeance à un malade Citer Link to post Share on other sites
Wekillx 10 Posted May 18, 2014 Partager Posted May 18, 2014 La programmation de la lente agonie de la nation Algérie Par Le Matin | 10 5 2014 Dans un article daté du 05 mars 2014 publié par Mediapart, un journaliste évoque une menace de crise énergétique en Algérie et s’interroge sur l’avenir de la rente pétrolière "qui permet de contenir la contestation sociale". Dans le même ton, "le Financial Times" remet en cause la pérennité de la rente et "estime que ceux qui s’intéressent au profil de l’Algérie durant la prochaine décennie devraient s’inquiéter car le gaz nécessaire à la demande domestique fera pression sur les exportations". Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai quand il tire la sonnette d'alarme sur les réserves d'hydrocarbures. Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai quand il tire la sonnette d'alarme sur les réserves d'hydrocarbures. Sid Ahmed Ghozali est plus inquiet quant aux échéances, il déclare dans une interview accordée au JDD du 20 avril 2014, donc après sa rencontre avec John Kerry : "… Non, je ne vous parle pas de ce qui se passera dans vingt ans, mais dans moins de cinq ans…" Ces messages angoissants publiés outre-mer et éludés par les intellectuels et les médias algériens sont-ils crédibles ? Nous savons tous que nos réserves d’hydrocarbures sont estimées par des sociétés internationales et que ces données sont extrêmement confidentielles, seulement nous constatons que les institutions spécialisées publient des estimations de réserves jugées optimistes que des consultants reprennent allègrement pour nous faire croire que nous sommes à l’abri de toute pénurie d’hydrocarbures pour des décennies. La baisse continue de notre production et de bradage de nos réserves en hydrocarbures depuis plus de quinze ans, dans un environnement de gaspillage énergétique inouï, nous fait penser à une stratégiede déstabilisation qui a été appliquée avec succès à l’Egypte. La situation de l’Egypte est devenue un cas d’école pour celui qui fait le lien avec les fameuses confessions de l’américain John Perkins (voir sur le Web), c’est peut-être aussi ce qui nous attend et plus vite que l’on pense puisqu’aux dernières nouvelles, Sonatrach va lui "vendre" du GNL. Il est notoire que les exportations de gaz naturel sont en baisse régulière depuis dix ans et que l’Algérie a exporté, en 2013, 30% de moins par rapport à l’an 2000. L’amenuisement de la rente algérienne des hydrocarbures qui est déjà palpable va s’accélérer. Sid Ahmed Ghozali est dans le vrai, cette situation va s’aggraver et atteindre un niveau dramatique dans moins de dix ans. Etant donné les échéances rapprochées du point de rupture, la problématique de la sécurité énergétique et son corollaire, celui de la diversification des filières de production d’électricité (aujourd’hui exclusivement à partir du gaz) et de l’approvisionnement en pétrole des raffineries (non conçues pour traiter du pétrole importé) se posent dès aujourd’hui, mais on a choisi d’ignorer ce débat. Le Conseil de l’Energie ne s’est jamais réuni sous les règnes successifs de Bouteflika, un moyen de cacher la vérité au peuple ? Les gouvernements successifs de Bouteflika brandissent comme parade la possibilité d’explorer et de développer les gisements potentiels de gaz de schiste en décidant de sous-estimer les délais et les contraintes liées aux coûts de fracturation,sans oublier la problématique de la pollution des réserves d’eau souterraines. A ce train, nous serons dans dix ans dans la même situation que l’Egypte d’aujourd’hui, mais cela, les gouvernements successifs de Bouteflika le savent depuis longtemps. Pourquoi donc cette fuite en avant au moment où il faut nous préparer à l’après-pétrole ? La "loi du silence" est l’essence même d’un milieu mafieux. En fait, nous subissons une approche économique suicidaire qui est dans le prolongement, et c’est le côté le plus inquiétant, d’une politique machiavélique de long terme visant à désarmer la société algérienne face à un après-pétrole incontournable, notamment en détruisant l’école, l’intégrité des institutions, l’agriculture, la production nationale etc.. Les instruments de cette mafia sont nombreux. On citera le contrôle de la communication, la coercition ciblée sur certains opposants et toutes les actions de manipulation facilitées par la passivité de la population nourrie au biberon de la rente et par l’adhésion silencieuse des salafistes (qui attendent d’hériter du pays) à un programme de destruction planifiée Il est clair qu’on assistera durant ce 4e mandat à une accélération de la politique massive d’importation, avec des dépenses plus fastueuses, plus improductives et gonflées par une corruption généralisée et ostentatoire dans le seul but de précipiter notre pays dans les affres d’une crise financière dont les conséquences pourraient être aggravées en cas de baisse de prix du pétrole. Hélas, le constat sur l’existence d’un complot cohérent et actif depuis au moins deux décennies visant à plonger notre pays dans un chaos (où nous ont déjà précédé tous les pays nationalistes non alignés sur l’axe israélo-américano-wahhabite) n’a jamais été percé au grand jour par nos analystes. Seule une poignée d’algériens aborde publiquement ce sujet parmi lesquels l’ancien gouverneur de la Banque Centrale algérienne, M. Abderrahmane Hadj Nacer qui a déclaré récemment: «le chaos est programmé (…) nous sommes en fin de course de l’utilisation optimale de nos ressources du sous-sol». Il ajoute que "depuis 25 ans, c’est la mise en œuvre d’une planification qui est la précarisation de la société, “l’informellisation” et l’“écervélation” de la population". En deux phrases, M. Hadj Nacer a tout dit. Il existerait un complot, une sorte de feuille de route que le clan Bouteflika exécute depuis 25 ans et que personne ne dénonce. Les milieux intellectuels algériens se focalisent, pour la plupart,sur les affaires de corruption et ne voient donc que l’iceberg du mal algérien. On les comprend, ils se rassurent quelque peu en optant pour la piste maffieuse et en refusant de voir l’insoutenable vérité, celle de la haute trahison au sommet d’un Etat dirigé apparemment par des personnages ayant double ou triple nationalité, des marionnettes au service de l’Oncle Sam et de son exécutant, ancien colonisateur qui a une revanche à prendre, et tout cela sous le regard accommodant de ceux qu’on nommait les gardiens du temple. Tout le pouvoir de nature dictatoriale est apparemment entre les mains d’un Président d’origine marocaine qui, connaissant parfaitement la précarité qui attend l’Algérie, prête de l’argent au FMI, brade les richesses du sous-sol à ses associés arabes et espagnols, sous-traite à des intermédiaires ignares des pays du Golfe, en gré à gré, l’acquisition de technologies occidentales et s’offre le luxe de placer à la tête du FLN un voyou affairiste né en Tunisie, immatriculé comme résidant en France et suspectéen Algérie d’avoir détourné l’équivalent en dinars d’un demi-milliard de dollars. Cette politique arrogante et provocatrice qui, dans une situation normale, serait suicidaire, remporte paradoxalement beaucoup de succès non seulement parce qu’elle est portée par des parrains étrangers très puissants et mais surtout parce que les opposants «officiels» et les médias algériens évitent de s’étaler sur l’essentiel: l’acte de trahison. Aucun opposant politique n’a osé mettre en avant les actions de trahison et de planification du chaos algérien dont parlent Ghozali et Hadj Nacer, bien connues par la Nomenclature qui a déjà pris ses dispositions pour expatrier ses proches depuis une dizaine d’années. A l’échéance de chaque mandat présidentiel, l’Algérien lambda s’attend à un changement d’équipe sans trop d’illusions sur d’éventuelles réformes. Pourtant, la succession d’affaires scandaleuses et impunies à ce jour aurait dû éveiller ses soupçons. Cette impunité sous-tendait un principe fondamental, celui de la continuité au niveau de la gouvernance que le clan Bouteflika appelle stabilité. Le réseau des serviteurs complices ou manipulés est en place, du chef de daïra au wali, du PDG au Ministre de tutelle, sans oublier les députés affairistes, les responsables des institutions et les hommes d’affaires privés qui touchent leur part du gâteau. Personne ne fait le poids face à cette toile humaine au-dessus des lois. Un internaute a écrit avant les élections (Le Complot de Sid Kaci 06 avril 2014): «je crains que ce ne soit trop tard car les jeux sont faits. Je ne pense pas que la mafia politique et les pègres régnantes associées en Algérie cherchent à préserver et à protéger leurs intérêts qui durent et perdurent. A mon avis, l’objectif de ceux qui nous dirigent est de terminer leur mission qui consiste à détruire la nation algérienne. Les récents classements de l’Algérie confirment qu’ils sont prêts du but. Pour eux, la fin est proche et ils n’ont pas l’intention de finir leurs jours en Algérie." Les derniers masques sont tombés avec la réélection d’un homme très malade juste dans le but de passer la main à un futur président qui n’aurait pas pu être élu. Il est évident que Saadani va être chargé de "faire passer" rapidement la nouvelle constitution. Si vous êtes inquiets pour Saadani, au vu des révélations scandaleuses qui impliquent une démission immédiate, je vous rassure tout de suite, il est protégé par des parrains algériens et étrangers puissants, donc il ne craint rien car chez nous, la caravane passe quand les chiens aboient. C’est aussi, sans surprise, que les Hommes du Président ont été confirmés à des postes stratégiques autour de Sellal (S comme Said), malgré ses bourdes car c’est l’homme de confiance et le parfait fusible. Lui aussi, comme les autres, a pris ses dispositions pour vivre sous des cieux plus cléments et rejoindre sa famille à l’étranger. Les messages clairs de réactivation des affaires de corruption ont été lancés au premier jour de la réélection, comme pour rassurer les différents partenaires sur la puissance absolue du Clan et affirmer au grand jour que les affaires reprennent. Les signatures des contrats des 17 et 18 avril 2014 entre le secteur public et le secteur privé étranger sont des signaux très forts dont les premiers bénéficiaires sont bien sûr Sawiris et Villar Mir et ce, avant même la désignation du nouveau gouvernement, supposé donner son accord. Il faudra donc ajouter ces nouveaux accords à la collection des scandales qui ne seront jamais dévoilés liés à Djezzy, Sorfert, Bahwan et Fertial. On parle ici de préjudices se chiffrant par dizaines de milliards de dollars. (...)Zoubir8: Il y a du "vrai" dans ce que vous dites!la "corruption généralisée" ne date pas d'hier..hélas!qui n'est pas un "modèle" pour le peuple qui entre "trafics" et, "système D"...tente de trouver un "chemin" ! Citer Link to post Share on other sites
segalas 10 Posted May 18, 2014 Partager Posted May 18, 2014 que faire ? : vendez la golf et la audi achetez un tracteur - vendez les apparts sur leshauteurs d'alger et prenez des concessions agricoles dans 10 ans on va transporter le blé ,les carottes et les pommes de terre sous escort de l'armee ! Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted May 18, 2014 Author Partager Posted May 18, 2014 que faire ? : vendez la golf et la audi achetez un tracteur - vendez les apparts sur leshauteurs d'alger et prenez des concessions agricoles dans 10 ans on va transporter le blé ,les carottes et les pommes de terre sous escort de l'armee ! c'est ce qui reste à faire et à Alger, plantez un arbre fruitier au pied de votre immeuble! Citer Link to post Share on other sites
Asdurbal 10 Posted May 18, 2014 Partager Posted May 18, 2014 El khir finna,echarr finna.d'apres Boudiaf allah irahmou. Donc le probléme c'est nous.on n'a rien fait pour que ca change. Citer Link to post Share on other sites
nordinateur 10 Posted May 19, 2014 Partager Posted May 19, 2014 oui la véritable question c'est : pourquoi bouteflika ,l'armée ,le drs n'ont t-il rien fait pour stoper la trahison a grande échelles des khelil,saadani,ghoul et compagnie ??? s'ils n'ont pas actionné la justice qui est pourtant entre leur mains c'est qu'ils n'y ont pas intêret tout simplement. c'est comme demander a un boss de la mafia de saisir la justice car un de ses sbires trafique de la drogue. c'est un non sens. les principaux responsables sont les algériens eux mêmes car ils ont laissé faire.dans 10 ou 20 ans quand l'algérie sera a feu et a sang, vous ne pourrez pas dire " je ne savais pas" brid char Citer Link to post Share on other sites
nordinateur 10 Posted May 19, 2014 Partager Posted May 19, 2014 j'ai critiqué bouteflika ce matin devant un couple de vieux de l'est algérien et ils se sont énervé et m'ont répondu : " bouteflika nous a donné du sucre, de l'huile,des routes !" alors que ses prédécesseurs n'ont rien donné ... je leur ai répondu que l'argent du pétrole ne lui appartenait pas et que c'était facile d'importer des chinois pour construire des routes avec cet argent. on ne voit jamais d'algériens sur ces chantiers.comment peut on être fier de cela ?? ils sont parti très énervé... Citer Link to post Share on other sites
Wekillx 10 Posted May 21, 2014 Partager Posted May 21, 2014 j'ai critiqué bouteflika ce matin devant un couple de vieux de l'est algérien et ils se sont énervé et m'ont répondu : " bouteflika nous a donné du sucre, de l'huile,des routes !" alors que ses prédécesseurs n'ont rien donné ... je leur ai répondu que l'argent du pétrole ne lui appartenait pas et que c'était facile d'importer des chinois pour construire des routes avec cet argent. on ne voit jamais d'algériens sur ces chantiers.comment peut on être fier de cela ?? ils sont parti très énervé... Vous avez raison..c'est facile de donner avec l'argent du pétrole..mais, de faire confiance à sa "jeunesse" qui désespère .et, qui regarde de l'autre coté de la Méditerranée ...oblige à travailler d'expédients,trafics en "tout genre"...comme on dit :Il faut un "vice" pour "vivre" dans ce "monde injuste"..ce n'est pas "normal"...HOGRA BLEDNA ! Citer Link to post Share on other sites
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