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La convertibilité totale du Dinar : une option suicidaire


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Par B. Nouioua, ancien gouverneur de la Banque d'Algérie

10 mai 2014

 

La convertibilité totale du dinar est réclamée très souvent et certains pensent qu’il faudrait l’établir même si toutes les conditions ne sont pas réunies pour assurer le succès de l’opération.

 

Le niveau actuel des réserves de change, lesquelles approchent les 200 milliards de dollars, le permettrait dans une certaine mesure.

Rendre le dinar totalement convertible contribuerait, selon ce point de vue, à régler beaucoup de problèmes et à rétablir la confiance. Cela ferait notamment disparaître le marché parallèle de devises et pousserait les détenteurs de capitaux à l’étranger à les rapatrier.

Avec la convertibilité totale du dinar, les entreprises et les particuliers pourront certainement effectuer leurs transactions et leurs opérations avec l’étranger sans entraves. Outre l’importation des biens et services et le libre transfert de capitaux, il leur sera possible de faire, à l’étranger même, des achats et toute autre opération.

 

La convertibilité totale du dinar rendra sans doute de grands services aux uns et aux autres, mais peut-elle être engagée sans beaucoup de risques en l’absence de conditions nécessaires qui permettent son instauration. La référence aux conséquences de ce qui est appelé « la convertibilité courante du dinar », qui est appliquée à l’heure actuelle dans notre pays et qui concerne essentiellement le commerce extérieur de biens et services (facteurs et non facteurs), incite plutôt à la prudence.

 

Cette convertibilité permet à toute entreprise (individuelle ou collective) qui dispose d’un registre du commerce prévoyant l’import, de procéder au transfert des montants nécessaires pour couvrir ses importations. Cela était devenu possible avec la libération totale du commerce extérieur intervenue en 1997 et a pu être maintenu grâce à la hausse des prix des hydrocarbures, dont l’exportation engendre des ressources suffisantes en devises. Certes, cette mesure a permis de mettre fin aux pénuries fréquentes connues les années antérieures et de trouver maintenant sur le marché intérieur les marchandises nécessaires, aussi bien pour la consommation que pour les productions industrielle et agricole.

 

Cependant, la libération totale du commerce extérieur et la convertibilité courante du dinar, instaurées sans avoir au préalable assaini et renforcé les administrations et les institutions liées au commerce extérieur et sans avoir mis en place un cadre réglementaire clair et efficace pour protéger et encourager, du moins au début, la production nationale, ont eu des effets très néfastes. Elles ont provoqué la destruction du tissu industriel public et privé et ont favorisé le développement des activités souterraines, l’évasion fiscale et d’autres pratiques frauduleuses.

 

C’est ainsi, à titre d’exemple, que la production industrielle est tombée au-dessous de 5% du produit intérieur brut (PIB) et que l’Algérie est devenue un vaste marché où se déversent toutes sortes de produits importés, souvent de contrefaçon et de mauvaise qualité. En outre, certains importateurs, peu délicats, procèdent à des fuites colossales de capitaux au moyen de surfacturations, de fausses importations et d’autres procédés. L’importance des comptes ouverts par des Algériens auprès de banques à l’étranger, les achats de biens immobiliers en Espagne, à Paris, où le prix du mètre carré est exorbitant, ou ailleurs, indiquent l’ampleur des saignées que subit le pays.

 

Les devises qui servent à ces opérations sont prélevées sur les réserves de change où elles ne sont pas perçues pour contribuer à les accroître. Etablir la convertibilité totale du dinar, dans les circonstances actuelles, risque de favoriser davantage cette fuite de capitaux. Cela d’autant plus que les grosses fortunes se trouvent entre les mains d’une petite catégorie de citoyens, dont certains se sont enrichis en recourant à la spéculation, à la contrebande, à la fraude, à la corruption, etc. Ceux-là mêmes qui usent le plus souvent de tous les subterfuges pour mettre leurs avoirs à l’étranger.

 

Les sorties massives de capitaux entraînent inévitablement une forte diminution des réserves de change et pourraient, par conséquent, conduire les autorités à annuler la convertibilité totale du dinar.

Il y a lieu de préciser qu’il ne s’agit pas d’incriminer la libéralisation du commerce extérieur et la convertibilité courante du dinar. En fait, ce sont l’absence de volonté de mettre en place les conditions adéquates, le laxisme, parfois la complicité ou l’incompétence, le manque de moyens aussi, d’une part, la passivité et le laisser-faire devant les pratiques nuisibles, d’autre part, qui font que des politiques, conçues pour améliorer le fonctionnement de l’économie, produisent des effets contraires ou du moins n’atteignent pas les objectifs visés.

 

Ces raisons et d’autres expliquent que des mesures appliquées ailleurs réussissent mais échouent chez nous ou ne donnent pas tous les résultats escomptés. Cela étant, il reste que pour réaliser la convertibilité totale du dinar dans notre pays, une convertibilité qui rendrait les services attendus sans aggraver les pratiques préjudiciables existantes à l’heure actuelle et qui ait plus particulièrement un caractère durable, il est indispensable de créer à cet effet les conditions requises dont il convient de citer deux qui semblent les plus importantes : des entrées diversifiées et suffisantes de devises et la confiance des entreprises et des particuliers.

 

Les entrées diversifiées et suffisantes de devises

 

L’Algérie bénéficie depuis l’an 2000, grâce à la hausse du prix du pétrole brut, de recettes importantes en devises. Ces recettes ont varié durant la période allant de 2000 à 2013 entre 21,65 milliards de dollars et 78,65 milliards de dollars par an.

Le problème est qu’elles sont procurées par une seule source : l’exportation des hydrocarbures, dont les prix fluctuent d’une manière parfois très accentuée. En 1986, le prix du baril de pétrole brut est tombé à 10 et même 7 dollars. Si on prend une période plus récente, on constate qu’entre 1999 et 2013, ce prix, bien qu’il soit resté ces dernières années à un niveau relativement élevé, a fluctué entre 12 et 114 dollars.

 

Outre la fluctuation du prix du baril, les hydrocarbures sont des ressources naturelles non renouvelables, appelées à s’épuiser, leur production étant déjà en baisse constante depuis 8 ans. Comme les ressources provenant de l’exportation des hydrocarbures représentent plus de 97% des recettes commerciales en devises, et alimentent dans la proportion de 2/3 le budget de l’Etat, il en résulte une forte dépendance qui souligne la fragilité et la vulnérabilité de la situation de notre pays. De ce fait, malgré l’importance actuelle des recettes annuelles en devises et le niveau des réserves de change, il n’est pas possible d’établir la convertibilité totale du dinar. Pour que cela puisse se faire, il faut des entrées de ressources en devises régulières, suffisantes et surtout diversifiées.

 

Cette diversification peut être obtenue grâce à l’exportation de produits industriels et agricoles variés, des services également, tels que le transport et les études effectuées pour le compte de pays étrangers. Les transferts de devises faits par des nationaux vivant et travaillant dans d’autres pays, les investissements entrepris par des étrangers, les dépenses réalisées par des touristes y contribuent de leur côté. Il s’agit donc de créer un environnement propice qui encourage les investissements dans les secteurs productifs, de façon à disposer de produits de qualité et compétitifs susceptibles d’être exportés. Un environnement qui favorise également la multiplication des autres sources d’entrées de devises.

 

La confiance

 

Il faut d’abord la confiance dans la monnaie, ce qui implique que le dinar soit relativement stable et ne soit pas soumis à des fluctuations fréquentes et importantes. En outre, la confiance des entreprises et des particuliers vis-à-vis de l’Etat, de ses institutions et de ses politiques est nécessaire pour générer un climat favorable à l’instauration de la convertibilité totale du dinar.

 

En l’absence d’une telle confiance, la convertibilité risque d’entraîner des fuites considérables de capitaux et d’être remise en cause, même s’il y a une diversification des entrées de devises. Etablir ou rétablir la confiance n’est pas une tâche facile. Cela suppose des changements profonds qui introduisent plus de transparence, plus de rigueur dans la gestion des affaires publiques. Des changements qui tendent aussi à mettre le citoyen, sa sécurité, son bien-être présent et futur au centre des préoccupations des responsables à tous les niveaux et des politiques à mettre en œuvre.

 

Conclusion :

 

En 1991, l’adoption de la convertibilité totale du dinar a été envisagée pour la première fois. En relation avec « l’accord de confirmation » signé en avril 1991 avec le FMI, il est indiqué dans la « lettre d’intention » adressée au directeur général de cette institution, que les politiques économique et financière, que le gouvernement algérien entendait mettre en œuvre en 1991, « visent à accélérer la réforme profonde de l’économie nationale…, en vue de parvenir pleinement et rapidement à une véritable économie de marché fondée sur une monnaie stable et convertible ».

 

Or, en 1990 et 1991, la dette extérieure était respectivement de 26,7 milliards et 27 milliards de dollars et le service de cette dette représentait 66,4% et 74,0% des recettes d’exportations. Quant aux réserves de change, elles s’élevaient, les deux années en question, à 0,77 milliard et à 1,61 milliard de dollars et correspondaient à 0,8 mois et à 2 mois d’importations, lesquelles ne sont pourtant que de 9,77 milliards et 7,77 milliards de dollars. Les exportations des hydrocarbures procuraient annuellement 96% des recettes en devises, en l’absence d’autres produits exportables.

 

La situation économique et financière s’est détériorée davantage par la suite, et il a fallu de nouveau faire appel au FMI en 1994 et accepter ses programmes de restructuration et de rééchelonnement de la dette extérieure. En fait, il n’y avait aucune chance, compte tenu de la situation difficile prévalant à l’époque, d’établir la convertibilité totale du dinar.

 

A partir de l’an 2000, la situation financière s’est considérablement améliorée grâce à la hausse du prix du baril de pétrole comme cela a été indiqué plus haut. Toutefois, en dehors des importants programmes d’infrastructures économiques et sociales, il n’y a pas eu une action sérieuse destinée à développer et à diversifier la production nationale en vue d’avoir des produits variés et de qualité qu’il est possible d’exporter. Cette même action a fait défaut pour créer un climat des affaires transparent et sain qui stimule les activités susceptibles de générer des entrées diversifiées de devises. Ces temps-ci, la question de la convertibilité totale du dinar n’est ni abordée ni évoquée au niveau des responsables, lesquels hésitent encore à assouplir seulement le contrôle des changes ne serait-ce que pour limiter le recours des citoyens honnêtes au marché parallèle de devises.

 

Il ne faut pas perdre de vue, cependant, que compte tenu des potentialités économiques que recèle notre pays, la convertibilité totale du dinar reste à notre portée. Elle peut être réalisée si elle devient un objectif déclaré et si les mesures appropriées pour l’atteindre sont arrêtées et appliquées.

 

Source : Message - El Watan...

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Il y a les POUR et il y a les CONTRE .

 

Il faut néanmoins tenir compte du fait que l'Algérie c'est seulement 40 millions de personnes (comme marché ) et 1.5 milliard d'exportations hors-hydrocarbures ainsi qu'un sous-développement endémique .

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la convertibilité d'une monnaie peut se faire lorsque le dinar devient lui meme rare. c'est cela la notion d'une devise. une devise c'est une monnaie rare que tout le monde cherche.

 

une fois les ménages auront engagé tout leurs argents dans les prêts bancaire y'aura plus de dinars en circulation donc meme si tu pose par terre des devises personne ne les achetera parce que tout bonnement y'a pas d’argent chez les particuliers. en europe y' pas un européen qui a 100 euro en poche..

d'un autre coté la demande des deveise va dimlinuer a cause de la saturation du marché en bien. avant les gens cherchaient les devises pour acheter un véhicule de l'etranger maintenant le véhicule et devant sa porte..meme si tu donne 1 milliars en devise a un besness il va les refuser tout bonnement il ne pourra jamais écouler sa marchandise.

 

la seul segment qui va poser problème a l'algerie et qui va créer une petite saigné supportable c'est le tourisme et les soins a l’étranger....donc l’Algérie doit développer sa flotte aérienne car elle en vendant des billet d'avion elle pourra supporter la fuite des devise...tu lui donne 1000 euro pour 1 voyage..il va payer 500 euro pour 1 billet...donc tu n'as donner que 500 euro en espèce...les autres 500 tu les as retenu dans le billet d'avion...

1 avion c'est du kérosène par unité de km...si l'amortissement de l'appareil coute chère il vaut mieux louer des appareils..

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donc ni suicidaire ni khourti

les gens font dans l’alarmisme en se croyant dans les années 70...du socialisme pas de café pas de thé pas de cacaouette..

 

une fois le crédit relancer la monnaie va devenir introuvable.

 

tu propose 150m² a la vente pour construction. l’état va le vendre a 100 millions a raison de 1000 da/m²..le type pour contruire va contracter un pret bancaire..la banque lui donne 100.000da/M² pour construire..sa paye est entre les mains du banqieurs..sur 20 ans de remboursement le type n'aura rien dans la poche..il habite une villa qui appartient a la banque..

pour meubler 150m² ca va lui couté les yeux de la tête car il va y avoir de la concurrence entre les gen,s si lui a acheté un sallon turque moi je vais le dépasser en achetant un sallon scandinave, si madame a acheté une cuisinière LG madame d'en face elle va la doublé en achetant une cuisinière scandinave etc...après 20 ans le type va mourir et la banque aura le droit de mettre cette villa en vente. elle rembourse les héritiers et elle attrape un autre par un autre prêt bancaire et ainsi de suite jusqu'a la fin du monde..

 

l'epoque du socilaime et de la penurie est révolu..maintenant pour faire de l'argent il etre au top sinon t'es foutu c'est ce que craint la nomenclature du FLN un simple comptable comme rabrabi qui deviens un grand Patron..ça ne se fait pas dans le monde capitaliste..

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tes explications zaki sont justes mais tu oublies juste de dire aussi que la production locale est quasi nulle , le café ,les cacaouhettes et le thé viennent de l'etranger , les pieces detachées pour les voitures ,l'essence ect -tout vient de dehors 55 milliards en 2013 d'importations et on exporte environ 70 milliards mais avec un petrole a 110 dollars -si ça descend a 50 on est deficitaire -si tu rends le dinar convertible les prix en algerie se rapprocheront des prix en europe dans l'alimentation la baguette de pain ira a 100 dinars ...je pense qu'avant d'envisager la convertibilité ,il faut passer par l'autosuffisance alimentaire -je parle pas des exportations mais de ce que nous mangeons chaque annee.

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tes explications zaki sont justes mais tu oublies juste de dire aussi que la production locale est quasi nulle , le café ,les cacaouhettes et le thé viennent de l'etranger , les pieces detachées pour les voitures ,l'essence ect -tout vient de dehors 55 milliards en 2013 d'importations et on exporte environ 70 milliards mais avec un petrole a 110 dollars -si ça descend a 50 on est deficitaire -si tu rends le dinar convertible les prix en algerie se rapprocheront des prix en europe dans l'alimentation la baguette de pain ira a 100 dinars ...je pense qu'avant d'envisager la convertibilité ,il faut passer par l'autosuffisance alimentaire -je parle pas des exportations mais de ce que nous mangeons chaque annee.

 

Raisonnement pertinent

Rien à rajouter

Bravo Segelas

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Segalas

 

L'avantage de la convertibilité du dianrs sera sur le plan salaire, si tu enleve les suventions le prix sera aligné a l'international tu coup les salaires vont etre ajusté a ceux des travilleurs a l'etranger.

Les subvention avaient pour but de dévaloriser le produit algerien du coup le travail est aussi dévalorisé si le blé etait au prix internationa le pain sera aussi sur le prix international et salaire sera aussi proche de l'international. A cause de ce soutient des prix le gouvernelent depuis 62 a voulu tuer le privé algerien car il a choisi le socialisme.

Maintenant qu'il a prie toutes kes terres et presque aneanti les privé akgerien il veut retourner au prix reel. Il vavendre son blé au prix international.

Je ne sais pas ou va déboucher ce plan?

Ce qui est sure par contre reaction le consollateur va s'adapter en changeant son mode alimentaire. Beaucoup de calculs seront remis en question.

L'etre humain est une creation a part il finira pas d'etonner les siit disant faseur de plan polico economico bolchevique, tu ne peux appliquer les donné recuillis sur l'elevage du betail sur l'homme. Le berger bolchevique marxiste n'a que s'occuper de ces moutons car il a tout perdu sur le plan politique et économique

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Segalas

 

L'avantage de la convertibilité du dianrs sera sur le plan salaire, si tu enleve les suventions le prix sera aligné a l'international tu coup les salaires vont etre ajusté a ceux des travilleurs a l'etranger.

Les subvention avaient pour but de dévaloriser le produit algerien du coup le travail est aussi dévalorisé si le blé etait au prix internationa le pain sera aussi sur le prix international et salaire sera aussi proche de l'international. A cause de ce soutient des prix le gouvernelent depuis 62 a voulu tuer le privé algerien car il a choisi le socialisme.

Maintenant qu'il a prie toutes kes terres et presque aneanti les privé akgerien il veut retourner au prix reel. Il vavendre son blé au prix international.

Je ne sais pas ou va déboucher ce plan?

Ce qui est sure par contre reaction le consollateur va s'adapter en changeant son mode alimentaire. Beaucoup de calculs seront remis en question.

L'etre humain est une creation a part il finira pas d'etonner les siit disant faseur de plan polico economico bolchevique, tu ne peux appliquer les donné recuillis sur l'elevage du betail sur l'homme. Le berger bolchevique marxiste n'a que s'occuper de ces moutons car il a tout perdu sur le plan politique et économique

 

Ce n'est pas aussi simple que ça ...

 

Le Dr était pour la convertibilité totale du Dinar mais l'est beaucoup moins à l'heure actuelle (seuls les imbéciles ne changent jamais d'avis après tout :crazy::crazy: ) .

 

Les salaires (et leurs niveaux) dépendent de plusieurs facteurs dont la productivité , la masse monétaire , le niveau de recouvrement fiscal hors-salaires , la politique sociale en place ........

Ils ne peuvent être relevés d'une baguette magique même s'il est évident qu'ils sont relativement bas .

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Segalas

 

L'avantage de la convertibilité du dianrs sera sur le plan salaire, si tu enleve les suventions le prix sera aligné a l'international tu coup les salaires vont etre ajusté a ceux des travilleurs a l'etranger.

Les subvention avaient pour but de dévaloriser le produit algerien du coup le travail est aussi dévalorisé si le blé etait au prix internationa le pain sera aussi sur le prix international et salaire sera aussi proche de l'international. A cause de ce soutient des prix le gouvernelent depuis 62 a voulu tuer le privé algerien car il a choisi le socialisme.

Maintenant qu'il a prie toutes kes terres et presque aneanti les privé akgerien il veut retourner au prix reel. Il vavendre son blé au prix international.

Je ne sais pas ou va déboucher ce plan?

Ce qui est sure par contre reaction le consollateur va s'adapter en changeant son mode alimentaire. Beaucoup de calculs seront remis en question.

L'etre humain est une creation a part il finira pas d'etonner les siit disant faseur de plan polico economico bolchevique, tu ne peux appliquer les donné recuillis sur l'elevage du betail sur l'homme. Le berger bolchevique marxiste n'a que s'occuper de ces moutons car il a tout perdu sur le plan politique et économique

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tu veux faire monter les salaires en algerie mais c'est exactement l'inverse qu'il faut faire pour etre competitif face a la productivité des autres pays :

 

 

je vais te raconter une anecdote ,une fois j'avais vu un reportage sur la plantation des ananas je crois que c'etait au bresil :un seul gars plantait manuellement 5000 plants d'ananas en 8h ou 10h -il travaillait comme un robot - cela m'avais rire parce j'ai essayé d'imaginer la scene en algerie -si le gars parvient a te planter 250 a 500 dans la journee tu peux lui monter un monument de chahid !....et pour combien le gars faisait ca au bresil quelques euros par mois .Nous le salaire est deja a 180 voir beaucoup plus jusqu'a 400/500 euros et notre productivité est nullissime !...quand le bresilien te prdouit 1 tonne d'ananas ,l'algerien sera a peine a 10kg comment tu veux vendre tes ananas , a quel prix ?

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tu veux faire monter les salaires en algerie mais c'est exactement l'inverse qu'il faut faire pour etre competitif face a la productivité des autres pays :

 

 

je vais te raconter une anecdote ,une fois j'avais vu un reportage sur la plantation des ananas je crois que c'etait au bresil :un seul gars plantait manuellement 5000 plants d'ananas en 8h ou 10h -il travaillait comme un robot - cela m'avais rire parce j'ai essayé d'imaginer la scene en algerie -si le gars parvient a te planter 250 a 500 dans la journee tu peux lui monter un monument de chahid !....et pour combien le gars faisait ca au bresil quelques euros par mois .Nous le salaire est deja a 180 voir beaucoup plus jusqu'a 400/500 euros et notre productivité est nullissime !...quand le bresilien te prdouit 1 tonne d'ananas ,l'algerien sera a peine a 10kg comment tu veux vendre tes ananas , a quel prix ?

Segals

La monnaie tu peux la voir de differente maniére. Le danger de la monnaie c'est lorsqu'elle perd son role de mesure, la monnaie n'existe et s'emplifit que lorsque les services augmente. Si tu enleve les villes t'aura plus de monnaie.

La monnaie va ensuite devenir un produit lorsque la ville se referme et devient une prison. La monnaie devient un objet qu'on cherche.

Ce que font les etas actuelemnt ils vendent de la monnaie pour faire vivre les villes.

Une fois que tout le monde migrera vers les ville y aura plus de monnaie ou suproduction de monnaie qui n'a aucuune valeur.

Le service sera gratuit..la femme ne pourra plus te faire un massage :mdr:

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je ne pense pas qu'on puisse devenir autosuffisant un jour , c'est impossible de l'être pour le café on sera toujours dépendant a 100% idem le thé ,les cachuètes, les bananes, ananas, mangues etc aucun pays au monde ne peut 'être en 2014.

 

essayons déja de réduire notre dépendance a 40% ca serait déja un exploit. pour cela il faudrait booster notre production agricole.

l'algérie a un potentiel formidable dans certains secteurs mais on en profite pas.

 

il faudra attendre la fin du pétrole et la fin du règne des dinosaures pour enfin travailler.

 

un exemple frappant: l'algerie dispose d'un des revenus par habitant des plus bas de tous les pays méditerranéens .normalement on aurait du attirer des milliers d'entreprises étrangères voulant profiter des bas revenus pour exporter juste en face a moins de 1000 km en europe.

mais même dans ce cas la on arrive a rien, les entreprises étrangères fuient notre pays car nos lois sont trop rigides et changent toutes les semaines.

si vous ajoutez a cela la corruption,l'administration soviètique etc c'est la cata.

 

sinon concernant le dinar, je suis pour sa disparition. il nous a crée que des malheurs.c'est une monnaie de singe .

 

pourquoi ne pas créer une nouvelle monnaie 1 pièces dz = 1 euro.puis on laisse faire le marché.

 

étant donné qu'on exporte rien, autant avoir une monnaie qui vaut quelques chose.

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il faut d'abord le réevalué avant de pensé a la convertibilité

:crazy::crazy:

 

Oui bien sur ........

 

 

Pour se retrouver avec 5 voitures , 3 climatiseurs et 10 postes TV par foyer :mdr::mdr::mdr:

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la seule reevaluation possible c'est un regroupement de billet par 10 par exemple le billet de 100 dinars deviendrait un billet de 1 ND (nouveau dinars )- y aura moins d'argent dans les rues mais ca ne changera rien a la valeur du dinars par rapport aux autres monnaies qui evidemment s'adapteront on aura TOUJOURS 1€=15ND et la voiture a 800.000 dinars sera a 8000 ND -mecaniquement ,il y a moins de monnaie mais pas plus de valeur -par contre cela renforcerait un peu la confiance ,on aura des billets plus jdid et moins chiffons- mais le risque c'est de voir la spirale de devaluation reprendre a nouveau pour revenir au depart ...mais bien entendu il ne faut pas rendre convertible car pas d'entrée d'argent ,pas de travail ,pas d'exportation donc pas de convertibilité sauf si vous voulez qu'on termine les reserves de changes en 6 mois lol!... pour avoir de l'argent ,du vrai ,il faut bosser soit pour exporter et avoir des devises soit pour eviter d'acheter des produits a l'exterieur et la tu peux decider de la valeur de ta monnaie si tu es autosuffisant ,au moins partiellement ...mais il ne faut pas prendre l'agriculteur français ou espâgnol pour un con , tu lui files des billets de 200 dinars dechirés et il te livre des tomates et du felfel alors que tu bronzes sur les plages de Tipaza !! non ils sont pas aussi cons quand meme !...

 

LA ON VA IMPORTER 30.000.000 DE kg de viandes rouges pour le ramadhan , il faut des euros ou des dollars pour payer -les billets roses de 1000 dinars ils en veulent pas en inde ...si on revalue le dinar -l'algerien au lieu de bouffer 1kg de viande dans le mois va griller des steacks tout le mois et il mangera 10 kg - et oui le dinar a de la valeur face aux autres monnaies donc il peut se le permettre - le probleme c'est ou on va trouver les vaches - on cherche a l'interieur du pays , non ca ne les interesse pas l'elevage ,ils font tous locations de voitures -alors on telephone aux indiens et on commande 10 fois plus 300.000.000 de kg de viandes et bien sur on va payer la facture fois 10 ...et comme le steak se mange avec du pain pareil sur le blé ,les tomates ,les oignons ,les carottes ,loubia ,felfel ahr , et felfel doux , les feves,les lentilles ,les petits poids ect ect ect + la piece detachée auto + les poulets +le lait ect ect je peux continuer pendant des heures ....lol il faut comprendre que l'argent c'est que du papier si y a rien derriere pour montrer sa valeur c'est que du chiffon .

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Entre une convertibilité totale et pas de convertibilité du tout y a un juste milieu, prenez des cours d'éco sérieux ça fait peine à voir

Tu es qui toi l'inculte et ignare de service pour parler de ce genre de sujets ???? :mdr::mdr:

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Vas y parle nous des stratégies sur le Forex à adopter et des taux interbancaires qu'on se marre un coup l'idiot du village

 

Au lieu de piquer des expressions "sophistiquées" sur Google occupe toi à compter les sous des aides sociales que t'accorde le gouvernement judéo-maçon de Paris c'est mieux !!!!!!!!!!!

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Entre une convertibilité totale et pas de convertibilité du tout y a un juste milieu, prenez des cours d'éco sérieux ça fait peine à voir

 

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tu parles de quoi de l'allocation touristiques a augmenter - ça ce serait possible avec une limitation a un montant annuel par exemple 1500 euros -on peut meme financer ca en creant un change minimal pour les touristes (emigré en venant en algerie ) par exemple 100/200 euros par personne et 300€ par famille et davantage pour les etrangers ...mais la convertibilité commercial existe deja par la lettre de credit pour les importateurs.

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Au lieu de piquer des expressions "sophistiquées" sur Google occupe toi à compter les sous des aides sociales que t'accorde le gouvernement judéo-maçon de Paris c'est mieux !!!!!!!!!!!

 

 

Ferme là et relis mes posts de haut niveau en éco et si y a un mot que tu ne comprends pas tu demandes

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tu parles de quoi de l'allocation touristiques a augmenter - ça ce serait possible avec une limitation a un montant annuel par exemple 1500 euros -on peut meme financer ca en creant un change minimal pour les touristes (emigré en venant en algerie ) par exemple 100/200 euros par personne et 300€ par famille et davantage pour les etrangers ...mais la convertibilité commercial existe deja par la lettre de credit pour les importateurs.

 

Pas du tout du tout mon garçon, qu'une monnaie voit son taux qui fluctue pratiquement de jour en jour ça décourage tous les investisseurs, rien que pour ça c'est une belle connerie.

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