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Une page d'histoire à l'attention des KDS


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ET AUSSI POUR D'AUTRES.

 

Ali Yahia Abdennour n’est plus à présenter. De son parcours au PPA-MTLD puis au FLN, jusqu’à la création de la ligue des droits de l’homme, en passant par son engagement dans le mouvement berbère des années 1980, c’est un homme qui, âgé aujourd’hui de 93 ans, représente une précieuse source de mémoire. En tant qu’acteur de premier plan dans la lutte pour l’indépendance, Ali Yahia Abdennour choisit de témoigner, à travers un livre récemment paru chez Barzakh, sur la crise dite berbériste. Lors de cette rencontre, il commence par une mise en contexte car, insiste-t-il, « il faut aborder la question en se référant aux années 1930 et pas avec un état d’esprit de 2013 ».

 

En 1936 donc, Messali Hadj, leader de l’Étoile nord-africaine, déclare « cette Algérie sera éternellement algérienne ». Mais dix ans plus tard, « il change radicalement de position et affirme que l’Algérie sera arabe ». Ce revirement est dû, selon Ali Yahia, à la rencontre du zaïm avec Azzam Bacha et Chekib Arslane à Paris. L’intervenant explique : « Après la Seconde Guerre mondiale, le PPA s’oriente totalement vers le Moyen-Orient et cela va s’accentuer avec l’arrivée de Jamel Abdennacer en 1952. Le parti n’emploie plus le terme d’Afrique du Nord mais du Maghreb arabe ». La crise dite berbériste est donc issue d’un ensemble de dérapages idéologiques et de raccourcis pris sans la moindre réflexion, toujours selon Ali Yahia qui rappelle un mémorandum du bureau politique du PPA déclarant l’Algérie comme « une nation arabe et musulmane à partir du VIIe siècle ». Or, poursuit-il, les militants kabyles perçoivent cela comme un déni d’une Algérie qui a bel et bien existé avant l’occupation arabe.

 

C’est ainsi que Ouali Bennaï, responsable régional du PPA, « va faire appel aux lycéens, non seulement pour rejoindre le mouvement national, mais aussi pour réhabiliter la notion de Nation algérienne. Les Pères blancs ont également participé à cette prise de conscience en enseignant l’histoire anté-islamique de l’Algérie ». Le déclenchement des hostilités est donc inévitable. Les « berbéristes » sont mis à l’écart, puis ils sont arrêtés avec d’autres membres du PPA, par la police française. Cependant, les retombées tragiques de la crise se feront jour après le déclenchement de la guerre de Libération nationale. Ali Yahia Abdennour révèle que le Congrès de la Soummam a mis sur un pied d’égalité les messalistes, antirévolutionnaires qui venaient de créer un contre-maquis, et les acteurs de la crise de 1949 alors que ces derniers ont répondu à l’appel du 1er novembre. « Un tribunal de l’ALN a donc condamné à mort les berbéristes alors qu’ils s’étaient pleinement engagés dans la révolution.

 

Les membres de ce tribunal furent Krim Belkacem, Mohammedi Said, Ouamrane et Amar Cheikh. Ils ont ordonné l’exécution des deux militants Ouali Bennai et Amar Ould Hammouda ». Ali Yahia Abdennour était, à l’époque, directeur de l’UGTA. Il fut convoqué par le bureau politique et mis au courant de la condamnation à mort de ses deux amis. Plus tard, lorsqu’il rencontrera Abane Ramdane chez Mme. Belouizdad, il lui transmettra la réaction de Ouali Bennaï à cette condamnation : « En creusant ma tombe, tu creuses aussi la tienne ». Selon Ali Yahia Abdennour, on retrouve la même crise berbère dans l’Algérie indépendante. « Lorsque Ben Bela a déclaré en 1962 que l’Algérie était trois fois arabe, il a également dit que nous étions 10 millions d’Arabes. Or, nous étions neuf millions d’Algériens et un million d’Européens, lesquels n’avaient pas encore quitté le pays ! ». Il ajoute que la même problématique posée par la crise de 1949 demeure jusqu’à aujourd’hui.

 

S. H.

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haw haw haw la kabylie, haw haw haw les kabyles ..

 

votre seul et unique sujet,

 

ya sahbi, si vous n'êtes pas algérien, ne venez pas sur ce site.

 

un algérien n'est pas centré uniquement sur sa région et obsédé par elle, tout le pays l'intéresse, et il compte 48 wilayas.

 

à part vous les Makistes, je ne vois personne d'autre ici parler uniquement de sa région, on parle de notre pays au sens large.

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haw haw haw la kabylie, haw haw haw les kabyles ..

 

votre seul et unique sujet,

 

ya sahbi, si vous n'êtes pas algérien, ne venez pas sur ce site.

 

un algérien n'est pas centré uniquement sur sa région et obsédé par elle, tout le pays l'intéresse, et il compte 48 wilayas.

 

à part vous les Makistes, je ne vois personne d'autre ici parler uniquement de sa région, on parle de notre pays au sens large.

 

Pauvre idiot,t'as vu à qui s'adresse en priorité le sujet...

T'es sur ce forum depuis 2011,t'as pas ouvert un seul sujet...

quant à être ou pas Algerien,moi je ne l'ai pas choisi,le jour ou j'aurai le choix chez moi,je te laisse deviner,crétin...

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Pauvre idiot,t'as vu à qui s'adresse en priorité le sujet...

T'es sur ce forum depuis 2011,t'as pas ouvert un seul sujet...

quant à être ou pas Algerien,moi je ne l'ai pas choisi,le jour ou j'aurai le choix chez moi,je te laisse deviner,crétin...

 

il est vrai qu'on ne choisit pas sa nationalité à la naissance, mais après, soit on l'intériorise, on s'y identifie, et on en devient fier ..

 

soit on en a honte et on la rejette ..

 

et vous les Makistes vous êtes tous dans ce deuxième cas, vous rejetez votre nationalité algérienne, vous rejetez l'Algérie, et vous êtes obsédés par votre petite région, dans un esprit purement local/tribal .. le reste du pays n'existe pas pour vous.

 

après, concernant votre ancienneté sur le site, vous êtes peut-être là depuis plus longtemps que moi, ou vous avez écrit plus de messages, mais ça ne vous a pas rendu mieux éduqué, plus respectueux ou plus démocrate ...

 

votre politique c'est toujours d'insulter tous ceux qui ne partagent pas votre point de vue, c'est la démocratie selon les gens mal éduqués comme vous, des dictateurs en puissance.

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il est vrai qu'on ne choisit pas sa nationalité à la naissance.

 

et vous les Makistes vous êtes tous dans ce deuxième cas, vous rejetez votre nationalité algérienne, vous rejetez l'Algérie, et vous êtes obsédés par votre petite région, dans un esprit purement local/tribal .. le reste du pays n'existe pas pour vous.

 

.

 

Tu vois ,on va finir par tomber d'accord tous les deux,alors t’arrêtes de me gonfler avec ton forum pour algérien,le forum est public,et perso. partout ou je pourrais trouver des concitoyens kabyles à convaincre,j'irai...

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[/b]

 

Tu vois ,on va finir par tomber d'accord tous les deux,alors t’arrêtes de me gonfler avec ton forum pour algérien,le forum est public,et perso. partout ou je pourrais trouver des concitoyens kabyles à convaincre,j'irai...

 

les convaincre de devenir séparatistes depuis la France ?

 

allez y sur le terrain, si vous avez des convictions, au lieu de venir squatter ici au milieu de sites d'un pays que vous détestez.

 

quant à la notion de concitoyens kabyles, ça ne veut rien dire, puisqu'il n'existe pas de citoyenneté kabyle.

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les convaincre de devenir séparatistes depuis la France ?

 

allez y sur le terrain, si vous avez des convictions, au lieu de venir squatter ici au milieu de sites d'un pays que vous détestez.

 

quant à la notion de concitoyens kabyles, ça ne veut rien dire, puisqu'il n'existe pas de citoyenneté kabyle.

 

Les convaincre de devenir libre...

 

ça viendra,plus vite que tu ne crois,tu verras,quant à la notion de concitoyen c'est dans le cœur,et pas en faisant du cinéma comme vous faites,et dés que cela vous est possible vous vous mettez à voler,y'a qu'à voir l'état de ce qu'est devenu ce pauvre pays,tout le monde se fout de votre gueule.

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Les convaincre de devenir libre...

 

ça viendra,plus vite que tu ne crois,tu verras,quant à la notion de concitoyen c'est dans le cœur,et pas en faisant du cinéma comme vous faites,et dés que cela vous est possible vous vous mettez à voler,y'a qu'à voir l'état de ce qu'est devenu ce pauvre pays,tout le monde se fout de votre gueule.

 

1) libre, c'est à dire ? avec des gens comme vous qui règnent sur la kabylie ça sera une démocratie ?

 

2) l'indépendance de la kabylie est une chimère et elle n'aura jamais lieu avec 90% des Makistes installés en France.

 

3) vous me qualifiez de voleur sans me connaitre, vous êtes quelqu'un de vraiment pas éduqué.

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1) libre, c'est à dire ? avec des gens comme vous qui règnent sur la kabylie ça sera une démocratie ?

 

2) l'indépendance de la kabylie est une chimère et elle n'aura jamais lieu avec 90% des Makistes installés en France.

 

3) vous me qualifiez de voleur sans me connaitre, vous êtes quelqu'un de vraiment pas éduqué.

 

(1)Être libre de vivre notre vie comme on l'entend,de pratiquer et étudier dans notre langue Kabyle,et se faisant être débarrasser des boulets que vous êtes.

 

'2)Toi tu n’arrêtes pas de me gonfler avec ton soit disant pays,alors que t'es surement un de ces traînes savates en Europe,sur laquelle Europe vous n’arrêtez pas de cracher en passant.

 

(3) Voleurs c'est votre deuxième nature,c'est bien connu.

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ET AUSSI POUR D'AUTRES.

 

Ali Yahia Abdennour n’est plus à présenter. De son parcours au PPA-MTLD puis au FLN, jusqu’à la création de la ligue des droits de l’homme, en passant par son engagement dans le mouvement berbère des années 1980, c’est un homme qui, âgé aujourd’hui de 93 ans, représente une précieuse source de mémoire. En tant qu’acteur de premier plan dans la lutte pour l’indépendance, Ali Yahia Abdennour choisit de témoigner, à travers un livre récemment paru chez Barzakh, sur la crise dite berbériste. Lors de cette rencontre, il commence par une mise en contexte car, insiste-t-il, « il faut aborder la question en se référant aux années 1930 et pas avec un état d’esprit de 2013 ».

 

En 1936 donc, Messali Hadj, leader de l’Étoile nord-africaine, déclare « cette Algérie sera éternellement algérienne ». Mais dix ans plus tard, « il change radicalement de position et affirme que l’Algérie sera arabe ». Ce revirement est dû, selon Ali Yahia, à la rencontre du zaïm avec Azzam Bacha et Chekib Arslane à Paris. L’intervenant explique : « Après la Seconde Guerre mondiale, le PPA s’oriente totalement vers le Moyen-Orient et cela va s’accentuer avec l’arrivée de Jamel Abdennacer en 1952. Le parti n’emploie plus le terme d’Afrique du Nord mais du Maghreb arabe ». La crise dite berbériste est donc issue d’un ensemble de dérapages idéologiques et de raccourcis pris sans la moindre réflexion, toujours selon Ali Yahia qui rappelle un mémorandum du bureau politique du PPA déclarant l’Algérie comme « une nation arabe et musulmane à partir du VIIe siècle ». Or, poursuit-il, les militants kabyles perçoivent cela comme un déni d’une Algérie qui a bel et bien existé avant l’occupation arabe.

 

C’est ainsi que Ouali Bennaï, responsable régional du PPA, « va faire appel aux lycéens, non seulement pour rejoindre le mouvement national, mais aussi pour réhabiliter la notion de Nation algérienne. Les Pères blancs ont également participé à cette prise de conscience en enseignant l’histoire anté-islamique de l’Algérie ». Le déclenchement des hostilités est donc inévitable. Les « berbéristes » sont mis à l’écart, puis ils sont arrêtés avec d’autres membres du PPA, par la police française. Cependant, les retombées tragiques de la crise se feront jour après le déclenchement de la guerre de Libération nationale. Ali Yahia Abdennour révèle que le Congrès de la Soummam a mis sur un pied d’égalité les messalistes, antirévolutionnaires qui venaient de créer un contre-maquis, et les acteurs de la crise de 1949 alors que ces derniers ont répondu à l’appel du 1er novembre. « Un tribunal de l’ALN a donc condamné à mort les berbéristes alors qu’ils s’étaient pleinement engagés dans la révolution.

 

Les membres de ce tribunal furent Krim Belkacem, Mohammedi Said, Ouamrane et Amar Cheikh. Ils ont ordonné l’exécution des deux militants Ouali Bennai et Amar Ould Hammouda ». Ali Yahia Abdennour était, à l’époque, directeur de l’UGTA. Il fut convoqué par le bureau politique et mis au courant de la condamnation à mort de ses deux amis. Plus tard, lorsqu’il rencontrera Abane Ramdane chez Mme. Belouizdad, il lui transmettra la réaction de Ouali Bennaï à cette condamnation : « En creusant ma tombe, tu creuses aussi la tienne ». Selon Ali Yahia Abdennour, on retrouve la même crise berbère dans l’Algérie indépendante. « Lorsque Ben Bela a déclaré en 1962 que l’Algérie était trois fois arabe, il a également dit que nous étions 10 millions d’Arabes. Or, nous étions neuf millions d’Algériens et un million d’Européens, lesquels n’avaient pas encore quitté le pays ! ». Il ajoute que la même problématique posée par la crise de 1949 demeure jusqu’à aujourd’hui.

 

S. H.

 

Mieux vaut tard que jamais .Il faut, dans un premier combat, à écrire toute l'histoire. Que l'algerien sache qui et qui et qui a fait quoi.une sorte de mise à nu.

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(1)Être libre de vivre notre vie comme on l'entend,de pratiquer et étudier dans notre langue Kabyle,et se faisant être débarrasser des boulets que vous êtes.

 

'2)Toi tu n’arrêtes pas de me gonfler avec ton soit disant pays,alors que t'es surement un de ces traînes savates en Europe,sur laquelle Europe vous n’arrêtez pas de cracher en passant.

 

(3) Voleurs c'est votre deuxième nature,c'est bien connu.

 

c'est qui "vous" ?

 

que connaissez vous sur moi pour me qualifier de voleur ?

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c'est qui "vous" ?

 

que connaissez vous sur moi pour me qualifier de voleur ?

 

Quand tu t'adresses à moi tu dis vous,et tu sous entends Makistes.

Et moi quand je m'adresse à toi je dis vous et sous entend,bédouins,si en plus de ça tu n'est pas bédouins,mais Kabyles arabaisés,là c'est le bouquet.

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