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L'impossible retour des Algériens de France


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L'impossible retour des Algériens de France

NIDAM ABDI 20 MARS 2002 À 22:39

 

La jeune nation ne leur offrait pas d'avenir.

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Bibliographie SÉRIE

«Pour les pieds-noirs, le 19 mars est un abandon» (3/3) Par Jean-Luc Allouche

 

 

Dans le salon de son appartement du XIIe arrondissement, où il vit depuis 1959, le vieux chanteur ouvrier Mohand Amouche aime faire écouter un témoignage. Le 19 mars 1962, il a enregistré sur son magnétophone à bande une interview sur Europe 1 d'Ahmed Boumendjel, l'un des négociateurs des accords d'Evian. Ce jour-là, Mohand Amouche se rappelle avoir visité, avec sa fille aînée de 8 ans, les cafés maghrébins de son arrondissement et de Belleville. «Tous les bistrots étaient en fête, on chantait partout. Le cabaret El-Djazaïr, à Saint-Michel, était décoré de drapeaux, et la musique durait toutes les nuits», se souvient le vénérable Kabyle, qui, il y a quelques mois, a perdu son épouse. Une Bretonne. Soudain, à la question du retour dans son pays fraîchement libre, il se raidit: «Durant la guerre, dans cet appartement, il y avait tout le temps des gens du FLN, mais, moi, j'étais "chargé" avec six enfants et j'avais un travail à l'usine RBV, une fabrique d'outillage. C'est uniquement les célibataires qui sont rentrés.»

Chanson sur le retour. De son portefeuille, il tire la carte d'identité algérienne qu'il s'est fait établir au bureau de la Fédération de France du FLN, rue de la Huchette. Amouche se souvient que beaucoup parmi ceux qui étaient rentrés au pays sont revenus rapidement en France. Lui-même, une année après le cessez-le-feu, a visité sa famille en Kabylie. «Mais la joie de l'indépendance avait déjà laissé place à la déception. On avait tué des gens, à l'exemple du colonel Khemisti.» Cette amertume n'a pas empêché Amouche de composer, il y a vingt ans, une chanson sur le retour. «Elle était destinée à monsieur Belhadad, ancien préfet de Constantine et descendant du saint Belhadad de mon village. Juste avant la mort de ce haut fonctionnaire musulman de la République française, qui ne pouvait revenir en Algérie, des membres de sa famille étaient venus me chercher pour que je la chante en sa présence.»

 

Saad Abssi, patron de l'Amicale des Algériens en Europe entre mai 1964 et juin 1965, confirme le témoignage de Mohand Amouche: «La population immigrée dans sa majorité n'est pas rentrée au pays, et la raison est simple. Analphabète et sans avenir dans la nouvelle administration algérienne, il était difficile pour le plus grand nombre d'espérer un meilleur avenir. Par contre, beaucoup d'ouvriers qualifiés, notamment de chez Renault et de chez General Motors, sont rentrés.» Le 19 mars 1962, il apprend la nouvelle du cessez-le-feu, alors qu'il est détenu à la prison Saint-Paul à Lyon. Venu en 1957 de son Sud-Est saharien natal, Saad Abssi sera affecté à Lyon pour y être l'un des responsables de la Fédération de France. Il sera arrêté le 29 mars 1961 et libéré une année après, jour pour jour. Pour Saad Abssi: «90 % de l'encadrement du FLN en France est rentré au lendemain de l'indépendance. Seuls deux hauts responsables sont restés, Tahar Arkoub et Abdelkader Benchenouf, pour diriger une fédération FLN de 60 000 membres.» Il faut y ajouter les 40 000 détenus dans les prisons en France, dont s'occupait le CSD (Comité de soutien des détenus). Rapidement, à Lyon comme dans le reste de la France, les comités de soutien du FLN se sont transformés en bureaux régionaux de l'Amicale des Algériens en Europe.

 

Exil. L'entrée dans l'ère Boumediene, dès 1965, met fin à l'utopie du retour. C'est le scénario inverse qui se déroule alors, comme le relatent de nombreux témoins: des Algériens commencent de nouveau à immigrer vers la France. C'est le moment que choisit B. Idir pour arrêter de cotiser à l'Amicale des Algériens en Europe: «Par déception de ne rien voir avancer. Cela devenait trop bureaucratique pour moi.» La famille d'Idir est l'exemple de ces nombreux foyers que l'indépendance algérienne a fait éclater entre ceux qui se sont établis au pays et ceux qui ont fait le choix de l'exil. Mais B. Idir n'a pas attendu le 19 mars 1962 pour faire la fête. «Je me suis marié à 19 ans... le 17 mars à Meudon. Quelques semaines après, mes parents et deux de mes frères sont rentrés en Algérie. Trois mois après, je vois mon père revenir seul en France, faute de trouver un travail là-bas, et sans ma mère, qui ne supportait pas le froid et la misère en France.» Le fils et le père, tout deux ouvriers dans le textile à Montreuil, fréquenteront la même usine jusqu'à la retraite. «Il y a vingt ans, mon père est décédé six mois après ma mère. Elle là-bas et lui ici.».

 

ABDI Nidam

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bonjour Pmat

 

j'ai lu avec beaucoup d’intérêt l'article que tu as publié...Merci...

c'est assez tragique de constater que des femmes et des hommes ont sacrifié leur vie pour que leurs enfants vivent dans une nation libre, et que pratiquement tous les hommes de pouvoir qui se sont succédés depuis n'ont pas réussi à donner un avenir aux algériens et sont responsables de l'hémorragie de talents, de cerveaux, de savoir, de compétence , pourtant si indispensables au pays...

mais tu sais, il se passe une chose similaire en France en ce moment : des jeunes et des moins jeunes voire des familles entières quittent le pays pour se construire un avenir ailleurs...:)

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bonjour Pmat

 

j'ai lu avec beaucoup d’intérêt l'article que tu as publié...Merci...

c'est assez tragique de constater que des femmes et des hommes ont sacrifié leur vie pour que leurs enfants vivent dans une nation libre, de constater que pratiquement tous les hommes de pouvoir qui se sont succédés depuis n'ont pas réussi à donner un avenir aux algériens et sont responsables de l'hémorragie de talents, de cerveaux, de savoir, de compétence , pourtant si indispensables au pays...

mais tu sais, il se passe une chose similaire en France en ce moment : des jeunes et des moins jeunes voire des familles entières quittent le pays pour se construire un avenir ailleurs...:)

 

Bonjour Séphia

sache que tout le plaisir est pour moi

 

oui souvent je dis on est beaucoup dans l'attente du retour

 

sache qu'on ne s'est meubler que tres tardivement

la premier TELE on l'a eut (une ocasion) qu'en 1975

pour l'europe je partage totalement avec toi

j'ai des amis qui l'ont quitter cette france voila plus plus de 50 ans

certain oui onnt changer de ville

d'autre au CANADA parce qu'ils avaient de la famille d'autre partout en amerique

 

les fils sont partout dans le monde

beaucoup de français y se sont installer

 

un pour reussir deux pour sortir du stress que les francais subissent

 

QUAND ON A CERTAINS QUI SONT COMME HEUREUX

 

CAR ILS ONT PRIS LA PLACE DU FRANCAIS

 

je els comrend pas

 

mais je met ca sous le contentement du present

 

et ca leur paasera et bientot les syndicat seront indipensable

et je les verrais avec moi dans la rue revendiquer et manifester

 

CAR OUI SEPHIA LES ROUES CA TOURNE

 

et chacun sa peine et chaque peuple ses problèmes

 

il a ete dit que rien ne dure

 

NOUS LRES ALGERIEN

 

TOUT EST A FAIRE

 

donc on manquera pas de boulot

 

mais on sera lassé a force de voir le faineant

et l'incapable a proposé un programme

sociale

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LES DOUBLONS PAS MA FAUTE

bonjour Pmat

 

j'ai lu avec beaucoup d’intérêt l'article que tu as publié...Merci...

c'est assez tragique de constater que des femmes et des hommes ont sacrifié leur vie pour que leurs enfants vivent dans une nation libre, de constater que pratiquement tous les hommes de pouvoir qui se sont succédés depuis n'ont pas réussi à donner un avenir aux algériens et sont responsables de l'hémorragie de talents, de cerveaux, de savoir, de compétence , pourtant si indispensables au pays...

mais tu sais, il se passe une chose similaire en France en ce moment : des jeunes et des moins jeunes voire des familles entières quittent le pays pour se construire un avenir ailleurs...:)

 

Bonjour Séphia

OUI BEAU SUJET ET TRÈS BIEN EXPLIQUE ET EXPRIMER

sache que tout le plaisir est pour moi

 

oui souvent je dis on est beaucoup dans l'attente du retour

 

sache qu'on ne s'est meubler que tres tardivement

la premier TELE on l'a eut (une ocasion) qu'en 1975

pour l'europe je partage totalement avec toi

j'ai des amis qui l'ont quitter cette france voila plus plus de 50 ans

certain oui onnt changer de ville

d'autre au CANADA parce qu'ils avaient de la famille d'autre partout en amerique

 

les fils sont partout dans le monde

beaucoup de français y se sont installer

 

un pour reussir deux pour sortir du stress que les francais subissent

 

QUAND ON A CERTAINS QUI SONT COMME HEUREUX

 

CAR ILS ONT PRIS LA PLACE DU FRANCAIS

 

je els comrend pas

 

mais je met ca sous le contentement du present

 

et ca leur paasera et bientot les syndicat seront indipensable

et je les verrais avec moi dans la rue revendiquer et manifester

 

CAR OUI SEPHIA LES ROUES CA TOURNE

 

et chacun sa peine et chaque peuple ses problèmes

 

il a ete dit que rien ne dure

 

NOUS LES ALGÉRIENs

 

TOUT EST A FAIRE

 

donc on manquera pas de boulot

 

mais on sera lassé a force de voir le faineant

et l'incapable a proposé un programme

sociale

POURTANT IL A VOULU LA PLACE ET IL EST A LA PLACE

 

ET IL EMPECHERA LA VENU DU PROFESSIONNELLE

LE VRAIS

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LES DOUBLES PAS MA FAUTE

bonjour Pmat

 

j'ai lu avec beaucoup d’intérêt l'article que tu as publié...Merci...

c'est assez tragique de constater que des femmes et des hommes ont sacrifié leur vie pour que leurs enfants vivent dans une nation libre, de constater que pratiquement tous les hommes de pouvoir qui se sont succédés depuis n'ont pas réussi à donner un avenir aux algériens et sont responsables de l'hémorragie de talents, de cerveaux, de savoir, de compétence , pourtant si indispensables au pays...

mais tu sais, il se passe une chose similaire en France en ce moment : des jeunes et des moins jeunes voire des familles entières quittent le pays pour se construire un avenir ailleurs...:)

 

Bonjour Séphia

 

OUI BEAU SUJET ET TRÈS BIEN EXPLIQUE ET EXPRIMER

sache que tout le plaisir est pour moi

 

oui souvent je dis on est beaucoup dans l'attente du retour

 

sache qu'on ne s'est meubler que tres tardivement

la premier TELE on l'a eut (une ocasion) qu'en 1975

pour l'europe je partage totalement avec toi

j'ai des amis qui l'ont quitter cette france voila plus plus de 50 ans

certain oui onnt changer de ville

d'autre au CANADA parce qu'ils avaient de la famille d'autre partout en amerique

 

les fils sont partout dans le monde

beaucoup de français y se sont installer

 

un pour reussir deux pour sortir du stress que les francais subissent

 

QUAND ON A CERTAINS QUI SONT COMME HEUREUX

 

CAR ILS ONT PRIS LA PLACE DU FRANCAIS

 

je els comrend pas

 

mais je met ca sous le contentement du present

 

et ca leur paasera et bientot les syndicat seront indipensable

et je les verrais avec moi dans la rue revendiquer et manifester

 

CAR OUI SEPHIA LES ROUES CA TOURNE

 

et chacun sa peine et chaque peuple ses problèmes

 

il a ete dit que rien ne dure

 

NOUS LES ALGÉRIENs

 

TOUT EST A FAIRE

 

donc on manquera pas de boulot

 

mais on sera lassé a force de voir le faineant

et l'incapable a proposé un programme

sociale

POURTANT IL A VOULU LA PLACE ET IL EST A LA PLACE

 

ET IL EMPÊCHERA LA VENU DU PROFESSIONNELLE

LE VRAIS

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Guest L'étrangère
et que pratiquement tous les hommes de pouvoir qui se sont succédés depuis n'ont pas réussi à donner un avenir aux algériens et sont responsables de l'hémorragie de talents, de cerveaux, de savoir, de compétence , pourtant si indispensables au pays...

 

Le problème n'est absolument pas là.

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j'ai lu ton premier message avec interet ça me fait mal au coeur et pourtant ça dure jusqu'a ce jour (haraga etc...)

 

SALAM Le sage des sages

Merci pour ta lecture et ta contribution

mais voila la realité

que nous portons alors que d'autre se lamente sur nous comme si c'est fais d'un claquement des doigt

 

non nous soufront

pour nous meme et pour notre peuple

et pour nous tous car on a pas un autre pays ni un autre peuple

 

NOUS ON A ATTENDU LE RETOUR

POUR FAIRE LE RETOUR

 

IL FAUT UN LOGEMENT

 

CHOSE QUE L'ALGERIE A MANQUER

 

ET AUSSI LE TRAVAIL

 

en 1973

 

un policier un enseignant toucaient 40 DA

un enseignat ARABISANT touchait 30 DA

 

en france on touchait plus 2500 FR

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Il est plus chère de se loger dans certaines villes d'Algérie que de se loger très bien et dans des quartiers chics à Paris à Londres même à Honolulu ou a Los Angeles

 

C'est juste une faillite totale alors que l'on peut même créer de nouvelles villes si la volonté était là il y mille manières de résoudre ce problème qui bloque tout les algériens, surtout les jeunes !

 

L'ONU elle même avait tirée le signal d'alarme mais mais mais mais mais il y a mieux à faire pour les responsables ...

 

on m'a dit que les prix augmentent tout les jour

 

un jeune m'a dit il avait un studio qu'il avait acheté 30000€, 5 ans après il l'a vendu 130000€

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Il est plus chère de se loger dans certaines villes d'Algérie que de se loger très bien et dans des quartiers chics à Paris à Londres même à Honolulu ou a Los Angeles

 

C'est juste une faillite totale alors que l'on peut même créer de nouvelles villes si la volonté était là il y mille manières de résoudre ce problème qui bloque tout les algériens, surtout les jeunes !

 

L'ONU elle même avait tirée le signal d'alarme mais mais mais mais mais il y a mieux à faire pour les responsables ...

 

on m'a dit que les prix augmentent tout les jour

 

un jeune m'a dit il avait un studio qu'il avait acheté 30000€, 5 ans après il l'a vendu 130000€

C'est vrais

et il y a depuis quelques temps

de nouveaux milliardaires qui vont empêcher de tourner en rond

et l'état et le peuple

LES AFFAIRISTES S SONT OCCUPER

DONC PAS DE SOLUTION POUR L'INSTANT

SI NON LE MÊME SORT QUE CELUI

DE BOUDIAF

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Il est plus chère de se loger dans certaines villes d'Algérie que de se loger très bien et dans des quartiers chics à Paris à Londres même à Honolulu ou a Los Angeles

 

C'est juste une faillite totale alors que l'on peut même créer de nouvelles villes si la volonté était là il y mille manières de résoudre ce problème qui bloque tout les algériens, surtout les jeunes !

 

L'ONU elle même avait tirée le signal d'alarme mais mais mais mais mais il y a mieux à faire pour les responsables ...

 

on m'a dit que les prix augmentent tout les jour

 

un jeune m'a dit il avait un studio qu'il avait acheté 30000€, 5 ans après il l'a vendu 130000€

C'est vrais

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DE BOUDIAF

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