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L'euro casse les 160 DINARS !


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178 DA pour 1 eur.a ne rien comprendre.aussi spectaculaire y'en a pas.

 

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y a t il beaucoup de transactions a ce cours la ou c'est negligeable ?

 

le cours ne serait vraiment celui la que si en face il y a des barons qui achetent les euros sans hesiter ...ce qui signifie que ce n'est pas une manip pour stopper les sorties de devises...parce que le petrole vaut a peu pres la meme chose qu'en janvier 2015 et on etait pas a 178 dinars.

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vous avez lu ça dans la reponse de ferhat mehnni a ouyaya !!! si il dit vrai l'algerie ne sera pas en faillite ,elle l'est deja !

 

"Il serait temps que chaque citoyen se demande ce que sont devenus les 200 milliards de dollars supposés, il y a encore un an, être les réserves de change du pays ! Du jour au lendemain on annonce que les caisses sont vides ! Je ne les ai quand même pas volés depuis mon exil !!!"

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Ce matin a l'agence CPA de tizi ouzou beaucoups de gens affolés se sont rués recuperer leurs maigres euro.mais niet de la part du caissier qui leur a dit que l'agence n'est pas alimenté en devises depuis 1 mois de cela.devant les clients qui ralent l'agent leur a proposé d'aller voir le directeur pour s' en convaincre.

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peut etre qu'ils se preparent un decret pour payer en dinars les retraités! si l'etat veut des devises c'est la solution pour combler un peu le deficit...c'est tout a fait possible et cela pourrait expliquer l'envolée de l'euro- sans oublier les difficultés du secteur de la surfacturation des importateurs de moins en moins nombreux avec les restrictions .

 

en tout cas ça n'a pas l'air d'affoler les gens ! quand un truc comme ça se produit en europe sur une monnaie ,cela fait la une des journaux -les algeriens s'en fichent .

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peut etre qu'ils se preparent un decret pour payer en dinars les retraités! si l'etat veut des devises c'est la solution pour combler un peu le deficit...c'est tout a fait possible et cela pourrait expliquer l'envolée de l'euro- sans oublier les difficultés du secteur de la surfacturation des importateurs de moins en moins nombreux avec les restrictions .

 

en tout cas ça n'a pas l'air d'affoler les gens ! quand un truc comme ça se produit en europe sur une monnaie ,cela fait la une des journaux -les algeriens s'en fichent .

Ya pas de monnaie en algerie les eleveurs de betail sont partout

Dans lètat. Ils font la politique des mawalas el 3alf subventionè

et lorsquil veux du sucre et thè il va trainè 100 tête aux frontiière

Fait le shoping de lannè et revient paitre a zeralda tu trouves des chevres

entrain de bronzè sur la plage et son enfant qui habite la ville il va paitre les

Les voiturz avec sa matraque...lol

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Ya pas de monnaie en algerie les eleveurs de betail sont partout

Dans lètat. Ils font la politique des mawalas el 3alf subventionè

et lorsquil veux du sucre et thè il va trainè 100 tête aux frontiière

Fait le shoping de lannè et revient paitre a zeralda tu trouves des chevres

entrain de bronzè sur la plage et son enfant qui habite la ville il va paitre les

Les voiturz avec sa matraque...lol

 

Ce que tu racontes doit surement être intéressant,si tu faisais un petit effort d'être compris de nous tous ;;;

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sur l'evolution des cours ,si on regarde bien les courbes du passé on remarque que plus les algeriens sont riches en dinars plus l'euro monte -avec des phases de hausse lente mais la tendance reste en hausse depuis plusieurs années...l'acceleration de la hausse de la devise par rapport au dinar a correspondu aux rappels des salaires versés aux fonctionnaires depuis 2008...meme lorsque le petrole etait a 140 dollars le baril-le dinar n'a pas repris de force .La hausse de l'euro est donc liée a la richesse des algeriens et donc a la demande ...si les liquidités en dinars venaient a se faire moins presentes,il est possible que malgré la situation economique du pays catastrophique ,l'euro ne grimpe plus face au dinar.

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Les fruits et les légumes flambent, les produits importés de plus en plus rares

 

Les fruits et les légumes flambent, les produits importés de plus en plus rares

15:26 jeudi 22 octobre 2015 | Par Nadia Mellal | Actualité

Marché fruits et légumes Alger - TSA Algérie

 

À deux jours de la fête d’El Achoura, les prix continuent de flamber. Dès qu’on pénètre au marché Réda Houhou, à Alger, la hausse des prix des fruits et surtout des légumes saute aux yeux : le chou-fleur, le poivron, les carottes, la tomate, la courgette sont à 100 dinars le kilo ; les haricots verts, le citron et la laitue à 150 DA, le piment et le poivron à 120 DA.

 

« Hier, j’ai vendu la courgette à 70 DA et aujourd’hui je la vends à 100 DA », reconnaît un marchand. Pourquoi une telle hausse ? « On est à la veille d’El Achoura, tous les prix des légumes ont augmenté », tente-t-il d’expliquer. Mais un autre marchand admet ne pas avoir d’explication à cette flambée des prix : « Les prix des légumes ont augmenté cela fait un mois, avant même l’Aïd-El-Adha et je ne sais même pas pourquoi. Je suis simple citoyen comme vous, je n’y comprends rien ».

 

 

Les prix des fruits ne semblent obéir à aucune logique : la poire oscille entre 100 DA et 180 DA, selon les marchands, le raisin entre 100 DA et 220 DA et les pommes vont de 130 à 180 DA.

 

 

Les étals des produits importés vides

 

Le problème ne concerne pas uniquement les produits frais. Au supermarché du Sacré-cœur d’Alger, on est frappé par le vide des étals réservés aux produits importés : « Ils sont vides parce que les produits importés ne rentrent plus comme avant », explique une responsable du magasin. « Ce que vous pouvez voir ici comme produits importés proviennent des anciens stocks. Actuellement, les importateurs ne nous ramènent plus de produits », dit-elle.

 

La raison ? « Depuis que la campagne en faveur de la consommation du produit national a été annoncée, les importations ont considérablement chuté, se réduisant petit à petit pour presque disparaître totalement », nous explique un employé qui nous montre d’un geste de la main l’état du rayon réservé aux biscuits importés : « Regardez par vous-même, il n’y a plus de biscuits importés, l’étal est totalement vide ».

 

Lorsque les produits sont disponibles, ils sont hors de prix. Exemple : 540 DA pour le chocolat Lindt création et 720 DA le Lindt maxiplaisir. « C’est un ancien stock », souligne un employé de rayon qui précise que « le prix à quelque peu augmenté à cause de la hausse de l’euro ». Depuis quelques jours, l’euro flambe sur le marché parallèle, à près de 180 dinars.

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c'est le debut de l'ere glaciaire pour le pays ...des barons qui ne font plus confiance au dinars et mettent leurs avoirs a l'abri a l'etranger ou au pays mais en monnaie etrangere...des importateurs qui ne veulent plus importer car les prix en algerie convertie en dinars deviennent inaccessibles...une production nationale touchée de plein fouet par la rente petroliere et les subventions qui ont produit des bras cassés ...une economie de revente de produits importés sans produits importés c'est la faillite qui l'attend et meme la famine.

 

et pourtant avec 800 milliards de rentrées de devises depuis 1999 ,le pays devrait etre intouchable aujourd'hui mais tout est parti en 4X4 et en feux d'artifices.

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voici une info qui va vous parler :

 

En Algérie, les boulangeries ferment les unes après les autres

 

En cinq ans, près de 3 000 boulangeries algériennes ont fermé boutique sur un total de 20 000. Rien qu'à Alger, il n'y a plus que 910 boulangeries, alors qu'il en faudrait 1 500 pour répondre à la demande. Résultat : des files d'attente au moment des fêtes, comme pour l'Aïd, fin septembre, et des clients qui achètent à l'avance des dizaines de baguettes, ce qui accélère évidemment la pénurie.

 

 

 

Cette hécatombe est le résultat du blocage des prix du pain. En Algérie, le prix de la baguette est fixé par l'Etat : 7,5 dinars pour le pain normal. Or le prix de revient d'une baguette est de 13 à 14 dinars. Le calcul est vite fait : les boulangers perdent de l'argent. Comment font-ils pour s'en sortir ? Ils réduisent le poids de la baguette, ils la vendent sous le manteau plus cher : 10 dinars. Mais même comme ça, ils n'arrivent pas à s'en sortir.

 

 

 

Le problème, en fait, est dans la farine. Car la farine aussi est subventionnée. Encore faut-il qu'elle arrive chez les boulangers. La farine subventionnée est détournée par les grossistes avant même d'arriver chez les boulangers pour fournir les fabricants de biscuits tunisiens ou marocains qui profitent ainsi de prix imbattables.

 

 

 

Pour résoudre le problème, le gouvernement algérien a eu l'idée d'importer une farine qui ne peut servir qu'à faire du pain, la 3SF. Une farine mixte avec du son et de la semoule. Hurlement des boulangers : c'est une farine pour le bétail ou pour fabriquer de la colle ! En fait, pour acheter la paix sociale, l'Algérie subventionne les produits de 1ère nécessité, dont le pain. Ca fait plusieurs années qu'il n'a pas été revu à la hausse, ruinant les boulangers qui ferment boutique.

 

Or, en Algérie, le pain c'est sacré. La tradition veut qu'on l'embrasse avant de le jeter. C'est tout le paradoxe de cette situation ubuesque : comme le pain est bon marché, les Algériens en achètent trop en une fois et en jettent énormément après.

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c'est la catastrophe ou va l algerie

C'est le pauvre ouvrier qui va payer les potes cassé

il faut que notre gouvernement réagis pour une augmentation des salaires

avec un minimum de 30 000 DZA

vue l inflation de chaque année de plus de 4.5%

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surtout pas! il faut de l'austerité ,une devaluation du dinar et une liberalisation de l'economie pour les investisseurs etrangers et nationaux et un blocage des salaires sur une periode definie pour attirer les investisseurs...evidemment il faut plus de securité et le respect des engagements et l'aneantissement des blocages administratifs et de la corruption.

 

augmenter les salaires n'a jamais crée des richesses ou des produits! il faut produire et vendre avant de degager de quoi payer des salaires - en algerie on fait le contraire.

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sur el watan.

 

La confiance fout le camp !

 

le 27.10.15 | 10h00

 

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Tout ou presque indique qu’une grande méfiance s’est emparée de la plupart des Algériens. Une méfiance sur fond d’inquiétude persistante, surtout ces derniers mois.

 

 

Depuis qu’il s’avère que la situation économique, loin de connaître une amélioration, laisse apparaître des perspectives difficiles au regard de la conjoncture internationale morose et des marchés pétroliers internationaux plutôt déprimés dans la durée. Tout cela éloigne encore plus l’espoir d’une reprise et, par-là même, l’arrêt de l’érosion de nos ressources financières externes qui fondent comme neige au Sahara.

 

Les répercussions directes sur la monnaie nationale, qui a perdu un quart de sa valeur en quelques semaines, augurent d’un proche avenir incertain.

 

D’ores et déjà, avant janvier 2016 et l’entrée en vigueur de nombre de mesures fiscales qui affecteront les prix de certains produits et services à la hausse, relançant ainsi une inflation sans doute de manière inédite dans le pays, certains indices dans le secteur de l’informel, qui accapare plus de la moitié de la masse monétaire en circulation au niveau national, laissent apparaître un certain affolement. C’est le cas du marché non officiel de la devise où les monnaies étrangères ont bondi à la hausse de manière spectaculaire, accompagné d’une raréfaction jamais connue auparavant.

 

Devenu par la force des choses un baromètre «informel» de l’activité économique et commerciale, en l’absence d’un instrument fiable d’appréciation du climat des affaires et des investissements dans le pays, il n’en est pas moins révélateur d’une situation marquée par le manque de confiance des opérateurs économiques, formels ou non, et le désintérêt à l’égard d’activités pérennes au regard du risque encore plus élevé qu’elles représentent actuellement ou dans un futur proche…

 

Tout cela pousse, peut-être, les détenteurs de capitaux à bouder une monnaie nationale qui perd de sa valeur au jour le jour, courant ainsi le risque de «s’appauvrir» plus vite qu’ils ne pourraient l’imaginer.

Apparemment, même l’immobilier, la «pierre» ou l’or, considérés traditionnellement comme valeurs refuges face aux incertitudes des marchés de l’offre et de la demande, n’ont plus la «cote» chez ces détenteurs de capitaux, qui leur préfèrent, sans doute la «sécurité» et la stabilité que représentent les monnaies étrangères.

 

D’autant que les comportements d’un pouvoir autoritaire et ses atermoiements à faire face à ces contraintes économiques les éloignent encore plus de l’effort de développement national.

 

L’immobilisme dont fait preuve le régime de Bouteflika depuis une quinzaine d’années, dans le domaine économique et dans l’amélioration du climat des affaires, les détourne de tout projet national au profit de cieux étrangers plus sûrs et accentue son incapacité à rassurer opérateurs et partenaires sociaux.

 

Reda Bekkat

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pas touche a l'immobilier algerien ,une enorme bulle va exploser dans les prochains mois -sauf si la bna injecte des liquidités comme la fed ou la bce l'ont fait aux usa et en europe - mais si elle fait ça ,le dinar va s'effondrer face aux autres monnaies...attention au piege qui consiste a penser que si le dinar chute l'immobilier va compenser par l'inflation des prix parce que l'immobilier ne monte que si il y a des acheteurs solvables ...on se fout de la demande ,le plus important c'est la solvabilité or celle ci va diminuer gravement dans les prochains mois.

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pas touche a l'immobilier algerien ,une enorme bulle va exploser dans les prochains mois -sauf si la bna injecte des liquidités comme la fed ou la bce l'ont fait aux usa et en europe - mais si elle fait ça ,le dinar va s'effondrer face aux autres monnaies...attention au piege qui consiste a penser que si le dinar chute l'immobilier va compenser par l'inflation des prix parce que l'immobilier ne monte que si il y a des acheteurs solvables ...on se fout de la demande ,le plus important c'est la solvabilité or celle ci va diminuer gravement dans les prochains mois.

 

 

 

Merci Segalas,excellente analyse !!! La Palice...

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Doing business 2016 : l’Algérie paye le prix de son immobilisme

30 octobre 2015 à 09h48

Par Chloé Rondeleux - à Alger

 

 

L’Algérie continue de reculer dans le classement Doing Business de la Banque Mondiale et perd deux places supplémentaires par rapport à l’an dernier rejoignant le groupe des derniers pays du tableau.

 

 

Le résultat est sans appel. L’Algérie, à la 163e place sur 189 pays du Doing Business 2016 (un classement mondial réalisé sur la base de questionnaires et de rencontres avec des experts locaux dont des consultants, des avocats, des administrations, etc), demeure un pays très difficile pour faire des affaires : deux de ses voisins, la Tunisie et le Maroc, se classent respectivement au 74e et 75e rang.

 

L’Algérie stagne ou recule dans presque tous les critères déterminants du classement. Les baisses les plus importantes concernent le raccordement à l’électricité où l’Algérie perd cinq places (130e), le transfert de propriété et l’obtention de prêt où le pays recule de trois places pour se classer respectivement à la 163 et 174e place. Seul domaine d’amélioration parmi les dix critères de sélection établis par la Banque Mondiale : l’obtention des permis de construire dans lequel l’Algérie gagne deux places (122e).

 

À LIRE AUSSI :Un rang derrière la Tunisie, le Maroc peut encore mieux faire

Ces piètres performances doivent cependant être relativisées, soulignent les commentateurs qui mettent en avant « la dynamique du classement ». « L’Algérie n’a pas avancé mais elle n’a pas forcément reculé », relève Liès Kerrar, PDG du cabinet de conseil en ingénierie financière Humilis. « La plupart des pays ont progressé plus vite que l’Algérie qui, comparativement, a donc régressé au niveau mondial ».

 

Timides réformes

 

La Banque Mondiale note ainsi quelques améliorations par rapport à 2014, telles que la simplification des procédures et des formalités de créations d’entreprises, avec notamment la suppression du casier judiciaire parmi les documents requis, la facilitation d’octroi du permis de construire, avec l’élimination de l’obligation de fournir une copie certifiée de l’acte de propriété, ou encore l’amélioration du commerce extérieur grâce aux travaux de modernisation du port d’Alger.

 

Seul un ambitieux programme de réformes économiques sera capable d’améliorer sensiblement le climat des affaires, plaide les chefs d’entreprises, et d’enrayer enfin la chute du pays dans le classement Doing Business, passé de la 132e à la 163e place entre 2008 (classement Doing Business 2009) et 2015. « Jusqu’à cette année, l’Algérie n’a pas fait beaucoup d’efforts », commente pour JA Slim Othmani, dirigeant de l’entreprise de jus de fruits NCA Rouiba, « mais maintenant, avec la chute du baril de pétrole, elle n’a plus d’autres choix ».

 

L’Etat est déjà au travail a d’ailleurs commenté le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, au lendemain de la publication du rapport de la Banque Mondiale. « L’Algérie s’est dotée d’un comité Doing Business qui réunit le gouvernement, le patronat et le partenaire social pour travailler ensemble à améliorer les conditions d’exercice des affaires », a-t-il déclaré en reconnaissant que le rapport « devrait aider l’Algérie à améliorer son climat des affaires ».

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plus les annees passent plus le pays recule ! il est clair maintenant que depuis 15 ANS l'algerie n'a fait que profiter du petrole et que rien n'a ete fait pour preparer l'avenir et surtout pas un avenir sans petrole .

 

Tic tac tic tac dans 3 ANS la famine c'est sur maintenant!

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plus les annees passent plus le pays recule ! il est clair maintenant que depuis 15 ANS l'algerie n'a fait que profiter du petrole et que rien n'a ete fait pour preparer l'avenir et surtout pas un avenir sans petrole .

 

Tic tac tic tac dans 3 ANS la famine c'est sur maintenant!

 

La famine pas pour tous le monde

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La famine pas pour tous le monde

 

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peut etre pas pour tout le monde oui mais vivre dans un pays ou regne une insecurité permanente et une criminalité alimentaire c'est pas l'ideal meme pour cresus...ceux qui ramassent l'euro avec ces taux la ont compris ce qui va se produire avant les masses.

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