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AINSI ETAIT SELMAN AL FARISI.


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SALAM

 

 

Ainsi était Salman al Farisi

 

 

Salman al Farisi et le voyageur

 

 

 

Après la mort de l’Envoyé de Dieu , Salmân fut l’objet du respect et de la considération de tous les califes. Sous le califat de `Umar, on lui confia le poste de gouverneur d’Al-Madyan dans la province de Perse qu’il connaissait si bien, puisqu’il en était originaire. Mais cette fonction officielle n’était pas pour plaire à Salmân à qui le Messager de Dieu avait appris à mépriser ce bas monde et à ne pas se laisser tenter par ses ornements. Il refusa donc le poste.

 

 

 

Mais `Umar avait aussi ses raisons. Il ne voulait confier le poste de gouverneur qu’à ceux en qui il avait confiance, c'est-à-dire ceux qui étaient dignes. Il insista donc pour que Salmân accepte ce poste.

 

 

 

Hishâm Ibn Hassan rapporte que le salaire de Salmân était de cinq mille dirhams, mais celui-ci n’en prenait rien et préférait manger les fruits de son labeur. Mieux encore, il ajouta qu’on le voyait s’adresser à 30.000 personnes, assis sur la moitié d’un drap et portant l’autre comme habit. »

 

 

 

Notre compagnon parlait de lui-même en disant :

 

 

 

« J’achète pour un dirham des joncs, je les tresse, en fais des paniers puis les vends à trois dirhams. Je garde un seul dirham des ventes pour en acheter d’autres joncs, j’en donne un en aumône et je dépense le troisième pour subvenir aux besoins de ma famille. J’aurais toujours agi ainsi, si `Umar ne me l’avait pas interdit. »

 

 

 

Ainsi était Salmân et ainsi l’avait formé l’école du Prophète .

 

 

 

Un jour, alors qu’il était toujours gouverneur, il rencontra un voyageur venant de Damas qui portait des sacs contenant des figues et des dattes. Voyant l’aspect très modeste de Salmân, l’homme crut avoir affaire à un portefaix ou à un pauvre soucieux de gagner quelques pièces en portant des charges.

 

 

 

II appela donc Salmân et lui dit : « Porte-moi ceci.» Salmân s’exécuta sans rien dire. En cours de route, ils rencontrèrent des gens que Salmân connaissait. Il les salua et ceux-ci lui rendirent son salut en ces termes : « Que la paix soit sur toi ô émir. » Le voyageur crut à une plaisanterie, à une méprise ou à toute autre chose, sauf à ce que son porteur soit émir.

 

 

 

Mais au fur et à mesure que les gens saluaient Salmân en l’appelant émir, il sentit une certaine gène l’envahir et il devint tout confus. Il comprit alors qu’il avait affaire au gouverneur d’Al-Madyan en personne. Ne sachant comment s'excuser, il pria Salmân de le laisser reprendre sa charge mais celui-ci refusa et insista pour la porter à destination. La piété et l’ascétisme de cet homme étaient tels qu’il était difficile de le dissocier du plus modeste de ses administrés.

 

 

 

C’était un sage parmi les sages, car seuls ceux qui possèdent la sagesse peuvent résister à l’arrogance et à la condescendance qu’induit l’ivresse du pouvoir. `Umar qui avait une bonne connaissance de la nature humaine ne s’y trompa pas en lui confiant la responsabilité de la province d’Al-Madyan. Sous son gouvernement, cette ville nouvellement conquise prospéra et l’islam s’y propagea à une vitesse extraordinaire. Sa sagesse, sa justice et sa piété y étaient pour beaucoup dans la propagation de l’islam en Perse.

 

 

 

Et les jours passèrent, notre pieux compagnon, devenu un vénérable vieillard aux cheveux et à la barbe blanchis par le temps, s’apprêtait à rejoindre le bien-aimé Muhammad et ses compagnons dont l’absence lui pesait. Et pourtant, le voilà qu’il pleurait sur son lit de mort. À Sa`d qui lui demandait les raisons de son chagrin, alors que le Messager de Dieu est mort satisfait à son égard, il répondit :

 

 

 

« Par Dieu, je ne pleure pas parce que je crains la mort ou parce que j’aime la vie. Mais je me suis souvenu de ce que le Messager nous a dit : "Que chacun de vous prenne de la vie ce que prend un voyageur comme provisions." Or, me voilà entouré de toutes ces richesses. »

 

 

 

Sa`d dira : « Je regardai autour de moi et je ne vis qu’une grande écuelle et un récipient pour les ablutions. » Le jour de sa mort, il appela son épouse et lui dit : « Apporte-moi le dépôt que je t’ai confié. » Il s’agissait d’un sac contenant du musc qu’il gardait précieusement depuis de nombreuses années avec l’intention d’en être lavé le jour de sa mort. Elle le lui apporta ainsi qu’un verre d’eau selon ses dernières volontés. Il prit le musc le versa dans le verre d’eau et le mélangea avec son doigt. Ensuite, il tendit le verre à son épouse en lui disant : « Répands le musc autour de moi car je vais recevoir des créatures de Dieu qui ne mangent pas de nourriture mais aiment le parfum. » À la fin, il la pria de fermer la porte et de le laisser seul. À son retour, il était déjà mort. La quête passionnée de cette âme venait de trouver son aboutissement final après un long parcours fait de privations et de sacrifices en ce bas monde.

 

 

 

{ Ô toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée.

 

Entre donc parmi Mes serviteurs, et entre dans mon paradis. **

 

[ Sourate 90 - Versets 27 à 30 ]

 

 

 

_____________

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SALAM

 

La récit de Salmân Le Perse .. pour tout chercheur de la vérité !!

 

 

 

Son nom et sa généalogie

 

 

Salman le Perse.

 

 

Son père en Perse, était "douhqân" (maire) du village et Salman alimentait le feu des mages.

 

 

 

 

Sa naissance

 

 

Salmân Al-Fârisî naquit dans un village nommé Jiyân qui se trouva à Ispahan, ville située entre Téhéran et Chirâz à la République actuelle d'Iran.

 

 

 

 

Son enfance

 

 

Salmân raconta sa vie en ces termes : "J'étais un jeune persan et j'habitais Ispahan dans un village dit (Jiyân) dont mon père fut le chef et le concitoyen le plus riche occupant le rang le plus distingué. Dès ma venue au monde, il me vouait un amour extraordinaire. Cette affection paternelle s'était accrue considérablement de jour en jour, jusqu'à ce que mon père décida de m'enfermer à la maison par crainte pour moi, tel que l'on faisait exactement avec les jeunes filles.

 

 

Je faisais des progrès dans le mazdéisme au point de devenir seul responsable d'entretenir le feu que nous adorions et de ranimer sa flamme pour qu'elle demeurât ardente du jour comme de nuit.

 

 

Mon père possédait un grand domaine qui nous rapportait une récolte abondante et dont il prenait constamment soin et faisait la cueillette. Un jour, ayant été retenu par quelque affaire, il fut dans l'impossibilité de s'y rendre et s'adressa à moi en disant : "Ô mon fils! Comme tu le vois, je suis tout à fait absorbé et je ne peux pas m'occuper aujourd'hui du domaine. Vas-y donc et prends-en soin à ma place". Je partis alors pour cette destination.

 

 

Sur ma route, je passai par l'un de ces édifices consacrés au culte des chrétiens et j'entendis leurs voix qui en émanaient pendant la célébration de la prière. Ceci retint mon attention tant que je ne savais rien sur la foi chrétienne ou sur les autres religions, comme j'étais pendant longtemps tenu éloigné du commerce des gens par mon père.

 

Ayant entendu leurs voix, je pénétrai dans leur église pour voir ce qu'ils étaient en train de faire. Les ayant contemplés, j'admirai leurs prières et eut une grande aptitude à embrasser leur religion. Je me dis : "Certes, cette foi est meilleure que la nôtre". Je restais auprès d'eux jusqu'au coucher du soleil en transgressant l'ordre paternel. Je leur posai alors la question : "Quelle est l'origine de cette religion?".

 

 

- "Elle provient d'Ach-Châm", répondirent-ils.

 

 

A la nuit tombante, je rentrai chez moi. Et mon père de me demander ce que j'avais fait.

 

 

- "Ô mon père! J'ai passé par des gens en train de prier dans leur église et j'ai été fasciné par leur religion. Je suis resté, en effet, chez eux jusqu'au coucher du soleil".

Affolé, mon père me dit : "Ô mon fils! Ta religion qui est celle des tes ancêtres est beaucoup meilleure que cette foi qui ne comporte aucun bien".

 

 

- "Non, leur religion prévaut certainement contre la nôtre".

 

 

Mes paroles effrayèrent mon père qui eut peur que je n'abjure ma religion. Sur ces entrefaites, il me cloîtra à la maison tout en m'enchaînant les pieds.

 

 

 

 

 

Son séjour à Ach-Châm et sa recherche de la vérité

 

 

Je saisis une occurrence pour transmettre ce aux nazaréens : "Quand une caravane en destination pour Ach-Châm passait par vous, veuillez m'en tenir au courant". Peu de temps après, l'occasion devint propice. Je pus alors me délivrer de mes chaînes et je sortis en leur compagnie après m'être déguisé.

Une fois arrivant à Ach-Châm, je demanda : "Qui est l'homme le plus calé dans cette religion?".

- "L'archevêque placé à la tête de l'église", dirent-ils.

 

 

J'allai le trouver et lui dis : "Je désire embrasser le christianisme et je voudrais bien rester auprès de vous à votre service pour que vous m'instruisiez dans la religion et que je fasse les prières, étant guidé par vous".

 

 

Il consentit à ma proposition et je me suis mis alors à son service.

 

 

Cependant, je ne tardai pas à constater qu'il était un mauvais homme. Il exhortait ses adeptes à la charité en leur faisant valoir sa rétribution immense. Et dès qu'ils lui faisaient l'aumône pour qu'il la dépense dans la voie de Allah, il s'en accaparait sans rien donner ni aux pauvres ni aux indigents, jusqu'à ce qu'il eût amassé de l'or à emplir sept jarres. Par conséquent, je l'exécrais de tout mon cœur. Peu de temps après, il meurt et quand les nazaréens s'étaient réunis pour procéder à son enterrement, je leur dis : "Cet homme était méchant. Il vous ordonnait vivement de faire l'aumône et vous incitait incessamment à la charité et quand vous la lui faisiez, il la thésaurisait sans rien donner aux pauvres".

 

 

- "Comment vous le savez?!", dirent-ils.

 

 

- "Je vais vous montrer le lieu où il a enfoui son trésor", dis-je.

 

 

- "Oui, montre-le-nous", répliquèrent-ils.

 

 

Je leur désignai son emplacement d'où ils purent extraire sept jarres emplies d'or et d'argent. Les ayant vu, ils dirent : "Par Dieu! Nous ne l'enterrerons pas". Ils le crucifièrent et se mirent à lapider son cadavre.

 

 

Puis, ils désignèrent à son poste un autre homme auquel je m'attachais. Je n'ai jamais vu un homme plus ascète que lui, renonçant aux choses de ce monde et ne désirant que celles de l'au-delà. Il s'adonnait avec zèle aux dévotions jour et nuit. Je lui vouais donc un profond amour et je demeurais à ses côtés pendant une longue période.

Dans son lit de mort, je lui dis : "Ô untel! A qui me recommandez-vous? Veuillez me conseiller. A qui devrais-je m'attacher après ton décès?".

 

 

- "Ô mon fils! Je ne savais personne qui était de même discipline qu'un homme vivant à Mossoul qui s'appelait untel et qui n'avait jamais interpolé. Allez donc le rejoindre".

A la mort de mon compagnon, j'allai rejoindre l'homme du Mossoul, à qui je racontai mon histoire. L'ayant terminée, je lui dis : "Mon compagnon untel m'a conseillé, avant de mourir, de vous rejoindre et m'a informé que vous étiez encore attaché à la discipline vraie qu'il confessait".

 

 

- "Restez donc chez moi", telle fut sa réponse. Je me séjournai chez lui et je constatai qu'il était un homme parfait.

 

 

Mais, peu après, il rendit le dernier soupir. A l'article de la mort, je lui demandai : "Ô untel! Par l'état que vous êtes par l'ordre de Allah, vous avez une parfaite connaissance de mon état. A qui vous me recommandez ? Et qui m'ordonnez-vous d'aller rejoindre?".

 

 

 

- "Ô mon fils! Par Dieu! Je ne savais personne qui était de même discipline que nous, excepté un homme vivant à Nasybîn qui s'appelait untel. Allez donc à sa rencontre".

 

 

Une fois qu'on fit enterrer l'homme, j'allai à la rencontre de l'homme de Nasybîn, à qui je racontai mon histoire et ce qui mon ex-ami m'avait commandé de faire.

 

 

- "Restez donc chez nous", dit-il. Je m'arrêtai donc chez lui et je découvris qu'il emboîtait le pas à ses autres ex-amis qui furent de conduite parfaite. Mais, il cessa de vivre peu de temps après et au moment de son agonie, je lui dis : "Vous savez toute mon histoire, à qui vous me recommandez donc?".

 

 

- "Ô mon fils! Par Dieu! Je ne savais personne qui professait encore la même discipline que nous, sauf un homme vivant à 'Amûriyya et qui s'appelait untel. Allez donc le rejoindre". Je m'acheminai donc vers celui-ci et je lui racontai mon histoire.

 

 

- "Restez donc chez moi", dit-il. Je me séjournai chez lui et je vis qu'il était homme de bien tels ses défunts compagnons. Chez lui, je pus faire fortune et j'eus quelques vaches et du butin.

 

 

 

 

Le moine conseillant à Salmân de suivre le Prophète

 

 

Un certain laps de temps s'écoula et vint le moment de sa mort, je lui dis alors : "Vous savez toute mon histoire, à qui vous me recommandez donc et qu'est-ce que vous me commandez de faire?".

 

 

- "Ô Mon fils! Je ne connais absolument personne sur cette terre qui se trouvait encore à cheval sur notre discipline. Mais c'est bien le temps de l'avènement d'un Prophète qui va apparaître au territoire arabe. Il professera la religion d'Abraham et s'expatriera en émigration vers un terrain peuplé de palmiers, situé entre deux terres arides. Il sera reconnu à des signes incontestables : il mange du cadeau qu'on lui offre, ne touche jamais à ce qui est destiné à l'aumône et entre ses épaules, il y a le cachet de la prophétie. Tâchez-vous donc de partir pour ce pays". Puis, il rendit le dernier soupir. Quant à moi, je demeurais pendant quelques temps à 'Amûriyya.

 

 

 

 

 

Son arrivée dans la péninsule arabique

 

 

Un jour, un groupe de marchands arabes issus de la tribu (Kalb) passait par 'Amûriyya, je leur préposai alors de m'emmener avec eux aux pays des Arabes, en échange de ma vache et de ma part du butin. Ils consentirent et moi de leur faire don de mes possessions. Une fois arrivés à Wâdî Al-Qura, ils me trahirent et me vendirent à un juif et j'entrai donc en son service. Peu après, l'un de ses cousins, issu des Banû Quraytha, ayant venu lui rendre visite, m'acheta et m'emmena avec lui à Yathrîb où je vis les palmeraies dont m'avait parlé mon compagnon de 'Amûriyya et je connus alors Médine -en me référant à la description déjà faite par ce dernier-. Je m'y installai donc en compagnie de mon maître.

 

 

A cette époque, le Prophète (paix et bénédiction sur lui) était en train de prêcher l'islam parmi ses compatriotes mecquois. Toutefois, je n'entendais rien de ses nouvelles, parce que j'étais tellement absorbé par mes charges d'esclave.

 

 

 

 

Sa conversion à l'Islam

 

 

Quand le Prophète (paix et bénédiction sur lui) pénétra dans Yathrîb, je me trouvais en haut de l'un des palmiers de mon maître, en train d'y effectuer quelque besogne. Alors que mon maître était assis au pied duquel, l'un de ses cousins, vint lui dire : "Que Dieu fasse périr les Banû Qîla! Ils sont à Qîbâ', entourant un homme qui vient d'arriver aujourd'hui de La Mecque et qui prétend être un Prophète".

 

 

Aussitôt que ses paroles parvinrent à mes oreilles, je me sentis fiévreux et je fus tellement agité au point de craindre de perdre mon équilibre et de tomber sur mon maître. Je descendis donc du palmier, en disant à l'homme : "Qu'est-ce que vous êtes en train de dire. Veuillez me répéter cette nouvelle". Mon maître, pris d'un accès de colère, me donna un coup de poing en hurlant : "Pourquoi t'immisces-tu dans ce qui ne te regarde pas ? Vas-y occupe-toi de ton boulot".

 

 

Sur le soir, je pris quelques dattes de ce que j'avais cueillies et je me dirigeai vers le lieu où l'on donnait l'hospitalité au Prophète (paix et bénédiction sur lui). Je lui dis : "J'ai entendu dire que vous étiez un homme pieux et que vous aviez des compagnons étrangers et besogneux. Voilà quelque chose que je réservais pour en faire l'aumône. Je vois donc que vous le méritez". Après que je les leur donnai, il dit à ses compagnons : "Mangez!". Tandis qu'il s'abstint à y goûter. Je me dis : "Voici l'un des signes (de la prophétie)".

 

 

Je partis, ensuite, et me mis à ramasser quelques dattes. Quand le Prophète (paix et bénédiction sur lui) quitta Qibâ' et alla s'installer à Médine, je vins lui dire : "J'ai remarqué que vous ne goûtez pas à l'aumône, et vous voici un cadeau que je vous offre avec tout mon respect". Il en mangea et invita ses compagnons de le partager avec lui. Je me dis : "Voici le second (des signes de la prophétie)".

 

 

Je vins, un jour, trouver le Prophète (paix et bénédiction sur lui) pendant qu'il fut à Baqî' Al-Gharqad en train d'enterrer l'un de ses compagnons. Je le vis assis, étant vêtu d'une pèlerine. Je le saluai, puis je retournai pour regarder son dos, en essayant de voir le cachet déjà décrit par mon compagnon de 'Amûriyya. Quand le Prophète (paix et bénédiction sur lui) m'aperçut en train de fixer son dos, il comprit mon intention. Sur ce, il ôta sa pèlerine en me dénudant son dos. Aussitôt que j'eus connu le cachet de la prophétie, je me jetai sur lui en l'embrassant tout en pleurant. Le Prophète (paix et bénédiction sur lui) dit alors : "Qu'est-ce que vous prend donc?!". Je me mis à lui raconter mon histoire qu'il admira. Il m'ordonna avec joie de la répéter par moi-même à ses compagnons qui s'en étonnèrent et s'en réjouirent.

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  • 2 weeks later...

merci pour cette fabuleuse histoire d'un des plus nobles compagnons de notre saint prophète ( psbl ) que faut il en conclure ?

- que les voies d'Allah a amener une des ses créatures vers la félécité peut s'averer tortueuses, mais que par sa bénédicition il sauve celui qu'il veut.

- que lorsque une créature d'Allah veut la recherche de la vérité, Allah dans sa grande miséricorde l'absout et lui montre la voie vraie

- que celui qui recherche la vie de l'au-delà , Allah lui facilite celle d'ici bas.

 

En conclusion, Salman le persan, était pour son époque l'un des plus honnête et sincère homme de sa génération, c'est pour cette raison que Allah à fait de lui l'un des compagnons de notre saint prophète ( psbl ).

 

Prenez exemple sur lui si vous voulez le pardon d'Allah et la réussite dans ce bas monde et dans l'au delà....

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