ma kayen walou 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 Ya juste a regarder les messages sur les autres pages , je peux pas les citer mon ipad veut pas les prendre en compte ^^ je parlais de cette discussion, c'est toi qui a mentionné le manque de sérieux et d'irrespect des juifs alors je me disait c'est ou? d’où ma question si t’étais juif? Citer Link to post Share on other sites
Karthus 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 avant de parler de leur éparpillement il faudrait deja les retrouver dans l'ancienne Égypte? car au temps ou la civilisation égyptienne rayonnée le judaïsme "religion" n’était pas encore né -2150 : fin de l'age d'or de l'egypte antique -2500 : Premiere apparition des juifs decrite par les mesopotamiens Citer Link to post Share on other sites
Karthus 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 je parlais de cette discussion, c'est toi qui a mentionné le manque de sérieux et d'irrespect des juifs alors je me disait c'est ou? d’où ma question si t’étais juif? Pour les crimes de quelques juifś ont haïs tous les juifs. Imaginons qu'on commence a vous haïr pour les massacres des chretiens en irak .. Citer Link to post Share on other sites
Guest Serena1 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 C'est drôle vous accusez des juifs de soutenir d'autres juifs...!!!! En quoi cela te concerne? Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 -2150 : fin de l'age d'or de l'egypte antique -2500 : Premiere apparition des juifs decrite par les mesopotamiens -2150 c'est la fin de l'ancien empire et non la fin de l'age d'or de l’Égypte antique -2500 le judaïsme n'avait aucune existence ni même les hébreux "historiquement et/ou archéologiquement" Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 Pour les crimes de quelques juifś ont haïs tous les juifs. Imaginons qu'on commence a vous haïr pour les massacres des chretiens en irak .. les gens dénoncent les juifs sionistes qui massacrent enfants, femmes et vieillards et non des juifs Citer Link to post Share on other sites
Guest George Bish Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 au delà des 2600 ans il n'existe aucune trace historique et/ou archéologique du judaïsme "dans le sens religieux ou monothéisme" en Palestine archéologiquement parlant, je suis tout à fait d'accord avec vous. mais historiquement; j'ai des doutes. avant de parler de leur éparpillement il faudrait deja les retrouver dans l'ancienne Égypte? car au temps ou la civilisation égyptienne rayonnée le judaïsme "religion" n’était pas encore né le peuple juif (fils d'israel ) etait opprimé par les egyptiens. ils étaient les esclaves d(une dynastie egyptienne. l'Une des grandes étapes fut la sortie d'Égypte sous la conduite de Moïse qui, dans le désert du Sinaï, reçut de Dieu les tables de la Loi. C'est le début de la confession juive. Citer Link to post Share on other sites
ma kayen walou 10 Posted August 9, 2014 Partager Posted August 9, 2014 archéologiquement parlant, je suis tout à fait d'accord avec vous. mais historiquement; j'ai des doutes. mise a part la bible, existe-t'il une quelconque preuve historique de l'existence du judaïsme avant l'exil babylonien? par exemple, est-ce que les royaumes de Samarie et de Judée étaient monothéistes? le peuple juif (fils d'israel ) etait opprimé par les egyptiens. ils étaient les esclaves d(une dynastie egyptienne. l'Une des grandes étapes fut la sortie d'Égypte sous la conduite de Moïse qui, dans le désert du Sinaï, reçut de Dieu les tables de la Loi. C'est le début de la confession juive. je parle pas de la bible mais d'histoire et d’archéologie ou et quand les juifs ont vécu en Égypte avant le 6eme siècle? qui étaient-ils deja? par exemple il existe des correspondances retrouvées a tel-3amarna capital du roi Akhenaton, qui étaient les juifs a son époque? et ou vivaient-ils? Citer Link to post Share on other sites
Guest George Bish Posted August 10, 2014 Partager Posted August 10, 2014 mise a part la bible, existe-t'il une quelconque preuve historique de l'existence du judaïsme avant l'exil babylonien? non, il n'en existe pas. par exemple, est-ce que les royaumes de Samarie et de Judée étaient monothéistes? tu trouveras peut etre la réponse içi : Yahweh ? Wikipédia je parle pas de la bible mais d'histoire et d’archéologie ou et quand les juifs ont vécu en Égypte avant le 6eme siècle? qui étaient-ils deja? par exemple il existe des correspondances retrouvées a tel-3amarna capital du roi Akhenaton, qui étaient les juifs a son époque? et ou vivaient-ils? t'as surement du lire le livre de Shlomo sand " comment le peuple juif fut inventé" ;) la « nouvelle archéologie » contredis la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. je t'en apporte un extrait: Le judaïsme, religion prosélyte Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales. La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Egypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale. Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger. Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif. L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple. Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2). A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite. Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet. La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe. La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4). Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale. Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ». Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés. Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ». Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles. Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement. Citer Link to post Share on other sites
Guest sofeden Posted August 11, 2014 Partager Posted August 11, 2014 Regardez bien sa tête vs avez pas l impression que cet homme est possédé comme son ami BHL Citer Link to post Share on other sites
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