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Sexe, jeunes et politique en Algérie


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Rabah vient d’achever un master 2 de mathématiques à l’université de Batna. Il a 23 ans et, comme la plupart des jeunes de son âge que nous avons rencontrés et interrogés sur la sexualité, il parle de religion dès les cinq premières minutes d’entretien. Ce qui le préoccupe tout particulièrement, c’est le calcul entre hassanate (les bons points récoltés au cours de la vie grâce aux bonnes actions effectuées) et syiate (les mauvais points). De la différence entre les deux chiffres dépendra son accès au paradis. « Je prie à la mosquée cinq fois par jour. Parce qu’à la mosquée, ça te rapporte vingt-sept fois plus de hassanate qu’à la maison. »

 

Rabah a déjà eu trois copines. La dernière s’appelait Dhikra. « Je suis sortie avec elle un an et demi. Elle était très jolie, et son père était riche. Mais je ne l’ai jamais embrassée sur la bouche ! Que sur la main ou sur la joue. Ça fait un an qu’on n’est plus ensemble. J’ai appris qu’elle avait un nouveau copain, et qu’elle l’avait embrassé sur la bouche. Pour moi, maintenant, c’est une p....! » Coucher avec une femme avant de se marier est pour lui « complètement impensable », car criminel aux yeux de Dieu. Par contre, il se masturbe « tous les jours ». « Je sais que c’est haram [interdit], mais c’est la pression. Et au moins, avec la masturbation, tu reçois moins de syiate que si tu te fais caresser par une fille. »

 

Bien sûr, rien ne nous assure que Rabah dise toute la vérité. Cependant, non seulement parler à un journaliste étranger permet de se confier sans risquer le jugement de ses concitoyens (tous les prénoms ont été changés), mais les propos du jeune Chaoui (Berbère des Aurès) correspondent en tout point à la cinquantaine de témoignages recueillis à travers le pays. Avec certes quelques variantes. Noureddine, 26 ans, étudiant en cinquième année à Ouargla, vit une relation très sérieuse avec Sarah, étudiante en deuxième année. « Ça fait six ans que nous sommes (...)

Sexe, jeunes et politique en Algérie, par Pierre Daum (Le Monde diplomatique, aot 2014)

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Article pourri.....

 

La société Algerienne est bien pire que cela dans le domaine des soucis liés á la sexualité/frustration Vs New Muslim du week end...

 

Les résultats se verront dans une dizaine d'années...une débauche qui dit pas son nom...sous les aire hypocrite de religion et morale

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Rabah vient d’achever un master 2 de mathématiques à l’université de Batna. Il a 23 ans et, comme la plupart des jeunes de son âge que nous avons rencontrés et interrogés sur la sexualité, il parle de religion dès les cinq premières minutes d’entretien. Ce qui le préoccupe tout particulièrement, c’est le calcul entre hassanate (les bons points récoltés au cours de la vie grâce aux bonnes actions effectuées) et syiate (les mauvais points). De la différence entre les deux chiffres dépendra son accès au paradis. « Je prie à la mosquée cinq fois par jour. Parce qu’à la mosquée, ça te rapporte vingt-sept fois plus de hassanate qu’à la maison. »

 

Rabah a déjà eu trois copines. La dernière s’appelait Dhikra. « Je suis sortie avec elle un an et demi. Elle était très jolie, et son père était riche. Mais je ne l’ai jamais embrassée sur la bouche ! Que sur la main ou sur la joue. Ça fait un an qu’on n’est plus ensemble. J’ai appris qu’elle avait un nouveau copain, et qu’elle l’avait embrassé sur la bouche. Pour moi, maintenant, c’est une p....! » Coucher avec une femme avant de se marier est pour lui « complètement impensable », car criminel aux yeux de Dieu. Par contre, il se masturbe « tous les jours ». « Je sais que c’est haram [interdit], mais c’est la pression. Et au moins, avec la masturbation, tu reçois moins de syiate que si tu te fais caresser par une fille. »

 

Bien sûr, rien ne nous assure que Rabah dise toute la vérité. Cependant, non seulement parler à un journaliste étranger permet de se confier sans risquer le jugement de ses concitoyens (tous les prénoms ont été changés), mais les propos du jeune Chaoui (Berbère des Aurès) correspondent en tout point à la cinquantaine de témoignages recueillis à travers le pays. Avec certes quelques variantes. Noureddine, 26 ans, étudiant en cinquième année à Ouargla, vit une relation très sérieuse avec Sarah, étudiante en deuxième année. « Ça fait six ans que nous sommes (...)

Sexe, jeunes et politique en Algérie, par Pierre Daum (Le Monde diplomatique, aot 2014)

 

 

la suite tres longue est réservé aux abonnés ...

 

j'ai pris la peine de la recupéré hier ...

 

il suffit de demander ...et je la poste ...elle est tres longue ..

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... Toutes les filles que je connais ont des copains ....

Onne connait pas la même Algérie... tu dois connaitre les filles des quartiers de l'ouest d'Alger ou d'une grande ville comme Oran et encore ça dépend des quartiers...Ne me dis pas que ça existe à Timimoun, Sebdou, Tissemsilt, Berrouaghia, Kherrata, Taher, Azzaba, etc...

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Onne connait pas la même Algérie... tu dois connaitre les filles des quartiers de l'ouest d'Alger ou d'une grande ville comme Oran...Ne me dis pas que ça existe à Timimoun, Sebdou, Tissemsilt, Berrouaghia, Kherrata, Taher, Azzaba, etc...

 

Je tassure que dans la wilaya de Rélizane elles ont toutes des copains même plusieurs et même à la campagne mais la plupart du temps c pas des relations sérieuses

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Je tassure que dans la wilaya de Rélizane elles ont toutes des copains même plusieurs et même à la campagne mais la plupart du temps c pas des relations sérieuses

Tu as choisi l'exemple qu'il fallait pas ... qui connait le diction ? "Ghilizane... "Ess...a" bel mizane

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Tabous et transgressions

Sexe, jeunes et politique en Algérie

De nombreuses sociétés traditionnelles et religieuses proscrivent les rapports sexuels avant le mariage. Cet interdit est en général transgressé, avec plus ou moins d’hypocrisie. En Algérie, la tension est d’autant plus vive, parfois douloureuse, que l’immigration et Internet ont généralisé la connaissance de pratiques amoureuses jugées répréhensibles.

 

Originaire de Tifelfel, au cœur du massif des Aurès, Rabah vient d’achever un master 2 de mathématiques à l’université de Batna. Il a 23 ans et, comme la plupart des jeunes de son âge que nous avons rencontrés et interrogés sur la sexualité, il parle de religion dès les cinq premières minutes d’entretien. Ce qui le préoccupe tout particulièrement, c’est le calcul entre hassanate (les bons points récoltés au cours de la vie grâce aux bonnes actions effectuées) et syiate (les mauvais points). De la différence entre les deux chiffres dépendra son accès au paradis. « Je prie à la mosquée cinq fois par jour. Parce qu’à la mosquée, ça te rapporte vingt-sept fois plus de hassanate qu’à la maison. »

 

Rabah a déjà eu trois copines. La dernière s’appelait Dhikra. « Je suis sortie avec elle un an et demi. Elle était très jolie, et son père était riche. Mais je ne l’ai jamais embrassée sur la bouche ! Que sur la main ou sur la joue. Ça fait un an qu’on n’est plus ensemble. J’ai appris qu’elle avait un nouveau copain, et qu’elle l’avait embrassé sur la bouche. Pour moi, maintenant, c’est une **** ! » Coucher avec une femme avant de se marier est pour lui « complètement impensable », car criminel aux yeux de Dieu. Par contre, il se masturbe « tous les jours ». « Je sais que c’est haram [interdit], mais c’est la pression. Et au moins, avec la masturbation, tu reçois moins de syiate que si tu te fais caresser par une fille. »

 

Bien sûr, rien ne nous assure que Rabah dise toute la vérité. Cependant, non seulement parler à un journaliste étranger permet de se confier sans risquer le jugement de ses concitoyens (tous les prénoms ont été changés), mais les propos du jeune Chaoui (Berbère des Aurès) correspondent en tout point à la cinquantaine de témoignages recueillis à travers le pays. Avec certes quelques variantes. Noureddine, 26 ans, étudiant en cinquième année à Ouargla, vit une relation très sérieuse avec Sarah, étudiante en deuxième année. « Ça fait six ans que nous sommes ensemble, nos pères se connaissent, nous allons nous marier, inch’Allah [si Dieu le veut] ! » Contrairement à la plupart de ses copains, le jeune homme dispose d’une voiture, ce qui permet au couple quelques escapades solitaires. « On fait l’amour bouche à bouche. Je la caresse, elle me caresse, mais il y a une ligne rouge qu’il ne faut pas dépasser. Coucher avec elle ? Jamais ! C’est contraire à l’islam. Et en plus, je la respecte. En fait, la plupart du temps, on reste des heures à marcher et à discuter. On joue au parc, on va voir les animaux, et, à 18 heures, je la ramène à la cité [universitaire]. Après, on continue au mobile. »

 

Comme ses copains, Noureddine possède plusieurs numéros de téléphone portable. Un pour ses parents, un pour son amoureuse, avec forfait illimité de minuit à 6 heures du matin, et un dernier... pour ses copines. « C’est vrai que je pratique le dribblage, avoue-t-il en riant. Mais avec les autres, je joue, ce n’est pas sérieux ! » Le « dribblage », c’est jongler avec plusieurs filles rencontrées sur le Net (Facebook, Skype, etc.) ou grâce à des numéros de téléphone fournis par des amis, voire attrapés dans la ue à la sauvette, en quelques minutes d’une tchatche convaincante. « Là, au moins, c’est clair : c’est juste pour faire du sexe. » « Faire du sexe », c’est trouver un coin tranquille pour s’embrasser, caresser la peau de l’autre, « et, si vraiment c’est possible, aller jusqu’à la pénétration par-derrière — enfin... la sodomie, quoi ». Mais jamais de pénétration vaginale. « Ça, c’est haram ! Et puis je veux garder mon sexe pur pour ma nuit de noces avec Sarah. »

Les deux tiers de la population

ont moins de 35 ans

 

Amira, elle, est algéroise, porte le voile, et habite seule un petit appartement en centre-ville, loin du quartier de ses parents. A 30 ans, étudiante en doctorat d’archéologie, elle est « évidemment » encore vierge. Comme une majorité de filles de son âge, elle n’est pas mariée. « Mais c’est vrai que j’ai des pulsions sexuelles. Alors je regarde des films pornos, et je me masturbe. » La jeune femme n’a pas encore trouvé un véritable amoureux, mais elle a un bon copain prêt à venir chez elle, « sans [la] juger ». « Je l’ai appelé deux fois. On s’est caressés, ça fait du bien. Mais, évidemment, sans aller plus loin. » Tout cela, personne ne le sait. « En Algérie, si tu veux survivre, tu dois mentir à tout le monde : à ta famille, à tes amis, à ton copain, même à toi-même, parfois. »

 

Il n’existe aucune étude sur les pratiques sexuelles et amoureuses de la jeunesse algérienne avant le mariage. A partir d’un fait divers rapporté en 2006 par la presse algérienne, l’anthropologue Abderrahmane Moussaoui s’est interrogé sur un éventuel nouveau recours aux mariages coutumiers (urfi et misyar), qui permettent de s’affranchir rapidement de l’interdit sexuel musulman, mais sans donner aucun indice de l’ampleur réelle du phénomène (1). Cependant, les témoignages recueillis dans une quinzaine de villes (Alger, Oran, Annaba, Béjaïa, Tizi Ouzou, Ouargla, Chlef, etc.) vont dans le même sens, sans aucune différence régionale notable, et correspondent à la perception des chercheurs et professionnels interrogés. « Pour la plupart des jeunes Algériens, la virginité de la fille reste une frontière infranchissable, confirme Djelloul Hammouda, médecin à Oran. En dehors de cela, les jeunes non mariés pratiquent toutes les autres formes de sexualité. » Or, en une vingtaine d’années, l’âge moyen du mariage a considérablement reculé, essentiellement à cause de la difficulté de trouver un travail et un logement. Il atteint aujourd’hui 30 ans pour les femmes, et 34 ans pour les hommes. Chez les étudiants — dont le nombre, en progression exponentielle, atteint aujourd’hui un million et demi —, l’âge recule encore.

 

En Algérie, on est encore « jeune » dans la trentaine (66 % de la population a moins de 35 ans), et il n’est pas rare de rencontrer des femmes encore vierges à 40 ans. C’est le cas notamment des plus instruites d’entre elles, professionnellement très accomplies, dans l’impossibilité de trouver un homme qui accepte leur indépendance intellectuelle et financière. « J’ai un appartement à moi, mais je ne peux pas y habiter, explique Khadija, journaliste de 43 ans issue d’une « bonne famille » d’Annaba. Comme je ne suis pas mariée, tout le monde penserait automatiquement que je reçois plein d’hommes chez moi, et la honte rejaillirait sur ma famille. »

Comment gérer sa sexualité pendant ces longues années, entre les premières pulsions et le moment si lointain du mariage ? Cette question constitue un immense tabou : on ne parle de sexualité ni avec ses parents, ni avec ses frères et sœurs, ni même avec ses meilleurs amis. Comme le dit en rigolant Idir, un jeune rencontré à Tizi Ouzou, « la première fois que t’es avec une fille, tout ce que tu connais, c’est les films pornos ! ». C’est aussi la préoccupation majeure de la jeunesse — en lien étroit et obsessionnel avec l’islam. « Car à part ça, ils ont tout, estime Kamel Daoud, éditorialiste vedette au Quotidien d’Oran. Un toit chez les parents, un repas trois fois par jour et de l’argent distribué par l’Etat grâce au pétrole. Par contre, les jeunes s’ennuient. Les loisirs n’existent pas en Algérie. Il faudrait dans chaque ville une piscine, une bibliothèque, un terrain de sport, un cinéma, un théâtre, etc. Or il n’y a strictement rien ! »

 

En travaillant sur un sujet périphérique, la prostitution, Keltouma Aguis s’est intéressée à la vie sexuelle des jeunes de son pays. Doctorante au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc) à Oran, elle s’excuse de ne pas citer le nom de sa directrice de thèse, « parce que ça pourrait lui porter préjudice ». « Pour vivre leur sexualité, les jeunes Algériens doivent faire face à trois sortes d’interdits, parfaitement harmonisés entre eux : la religion, les coutumes et le code pénal. » L’article 333 du code pénal algérien dispose en effet que « toute personne qui a commis un outrage public à la pudeur est punie d’un emprisonnement de deux mois à deux ans et d’une amende de 500 à 2 000 dinars [5 à 20 euros] ». Cet article est régulièrement utilisé par les juges algériens contre des jeunes non mariés surpris en train de s’embrasser ou de se caresser.

 

 

Poids des coutumeset permanence du contrôle social

 

Un étranger qui débarque en Algérie le remarque immédiatement : l’islam, visible dans l’espace public sans être ostentatoire, envahit en revanche les discussions, en particulier dès que l’on parle de sexualité. Un islam qui interdit rigoureusement toute pratique sexuelle avant le mariage. Khaled Aït Sidhoum, psychanalyste à Alger (le seul en Algérie à être membre de l’Association psychanalytique internationale), propose une explication : « Le jeune Algérien, homme ou femme, se trouve dans un immense désarroi, incapable de satisfaire réellement ses désirs sexuels, et écrasé de culpabilité à la suite des quelques expériences sexuelles qu’il s’autorise. L’islam lui offre à la fois une explication socialement valorisée aux interdits qu’il s’impose et un cadre collectif qui lui permet de réguler ses tensions. Un peu comme les boy-scouts ou les supporteurs d’une équipe de football. »

 

Une anecdote a marqué les esprits : en septembre 2013, un petit groupe d’activistes algérois a proposé aux couples de venir accrocher, sur le modèle des cadenas fixés par des couples sur les ponts de Paris, un « cadenas de l’amour » sur les grilles du pont du Telemny, au centre d’Alger — un lieu jusqu’alors connu pour être le « pont des suicidés ». Le soir même, des jeunes islamistes du quartier, vêtus du qamis musulman, ont arraché les cadenas « impies, symboles de la décadence occidentale ». Puis tout le « impies, symboles de la décadence occidentale ». Puis tout le monde s’est déchaîné sur Internet et dans les espaces infinis de défoulement offerts par les réseaux sociaux. « Chez nous en Kabylie, un proverbe dit : “Celui qui a du foin dans le ventre a peur du feu”, s’amuse Aït Sidhoum. Lorsque vous titillez quelqu’un sur ce qu’il a le plus de mal à gérer, il démarre au quart de tour. Cela dit, les deux clans sont mus par les mêmes pulsions sexuelles et agressives. Sauf que les mouvements islamistes disposent de sommes d’argent considérables : ce sont eux qui gagnent toujours. »

 

 

 

Autre obstacle écrasant qui pèse sur les épaules de la jeunesse algérienne : les coutumes, et le poids permanent du contrôle social. « En Algérie, explique Saïd, 24 ans, rencontré dans un café de Béjaïa, tu ne peux pas transgresser les interdits, comme coucher en vrai avec une fille, ou même dire “merde” à tes parents, parce que tu n’as pas les moyens de cette transgression. C’est la porte immédiatement ! Tu te retrouves à la rue, sans famille, sans rien, et tu fais quoi ? C’est impossible ! » Dans chaque village, dans chaque quartier, dans chaque immeuble, chacun surveille l’autre. Dès lors, les lieux dans lesquels peuvent se rencontrer les couples d’amoureux sont rigoureusement circonscrits.

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Guest Padawan
Sincèrement, je trouve ces articles bizarres au vu de ce que je vois en Algérie. Toutes les filles que je connais ont des copains certaines 1 ms c pas rare de voir des filles côtoyées plusieurs mecs à la fois. Le sexe en Algérie c pire qu'en France. La plupart des filles pratiquent la sodomie sans préservatif pour rester vierges. Moi je pense surtout au Sida et mon petit doigt me dit qu'il est plus répandu en Algérie qu'en France le truc c ko bled les personnes ne font pas de test donc ils sont porteurs de la maladie sans le savoir.

 

Tu fais trop dans les généralités. Tu englobes toutes les filles algériennes dans un même panier, bien sûr toi tu te sens en dehors de cette description par ta phrase: "Le sexe en Algérie est pire qu'en France", et même en tant que scientifique tu te bases sur ton petit doigt pour donner encore plus dans les généralités. Je trouve ça dommage que ça vient d'une personne qui est sensée avoir appris la méthodologie et la rigueur scientifique. Je m'excuse d'avoir été trop directe.

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Tu fais trop dans les généralités. Tu englobes toutes les filles algériennes dans un même panier, bien sûr toi tu te sens en dehors de cette description par ta phrase: "Le sexe en Algérie est pire qu'en France", et même en tant que scientifique tu te bases sur ton petit doigt pour donner encore plus dans les généralités. Je trouve ça dommage que ça vient d'une personne qui est sensée avoir appris la méthodologie et la rigueur scientifique. Je m'excuse d'avoir été trop directe.

 

Je ne fais que me baser sur des observations faites en Algérie, et je dis que dans mon village c'est fréquent de voir des filles sortir avec plusieurs mecs à la fois. En France autour de moi j'ai jamais connu. D'après une autre personne cela dépend des régions effectivement je parle que de la mienne et cela peut être différent ailleurs j'aurai du rajouter à Rélizane. Ne texcuse pas tu es libre de dire ce que tu penses mkech mouchkil

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bon sang , je ne c'est pas pourquoi ces gens s’intéresse que sur la sexualité , en + tu veut qu'il te disent qoi le rabah qu'il a ammené dans un hotel et qu'il ont dansé sur la belle étoile , arréter un peu avec es stupides topics et intéressé vous un peu a quelque chose de serieux

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Guest Padawan
Je ne fais que me baser sur des observations faites en Algérie, et je dis que dans mon village c'est fréquent de voir des filles sortir avec plusieurs mecs à la fois. En France autour de moi j'ai jamais connu. D'après une autre personne cela dépend des régions effectivement je parle que de la mienne et cela peut être différent ailleurs j'aurai du rajouter à Rélizane. Ne texcuse pas tu es libre de dire ce que tu penses mkech mouchkil

 

Ton village n'est pas toutes l'Algérie, alors que lors de ton premier message tu englobes toute l'Algérie dans un même panier. Même que je suis sûr qu'à ton village ce n'est pas "oléolé" à chaque coin de rue. :)

 

Ça ne me dérange absolument pas qu'une fille soit libertine et qu'elle multiplie les partenaire si elle est protégée, mais ça serait dommage que d'autres filles en pâtissent quand les "On dit" restent importants pour elles.

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Ton village n'est pas toutes l'Algérie, alors que lors de ton premier message tu englobes toute l'Algérie dans un même panier. Même que je suis sûr qu'à ton village ce n'est pas "oléolé" à chaque coin de rue. :)

 

Ça ne me dérange absolument pas qu'une fille soit libertine et qu'elle multiplie les partenaire si elle est protégée, mais ça serait dommage que d'autres filles en pâtissent quand les "On dit" restent importants pour elles.

 

Chacun est libre de faire ce qu'il veut bien entendue après il faut assumer et c pas évident dans une société comme l'Algérie c cela qui n'est pas évident pour certaines filles d'assumer sans qu'il y ait de répercussions négatives pour sa vie future, ms je ne cautionne pas les "on dit"

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Ton village n'est pas toutes l'Algérie, alors que lors de ton premier message tu englobes toute l'Algérie dans un même panier. Même que je suis sûr qu'à ton village ce n'est pas "oléolé" à chaque coin de rue. :)

 

Ça ne me dérange absolument pas qu'une fille soit libertine et qu'elle multiplie les partenaire si elle est protégée, mais ça serait dommage que d'autres filles en pâtissent quand les "On dit" restent importants pour elles.

 

vous faites trop trop trop attentioon aux 'on dit '

quoique tu fasses, tu pourras jamais fermer la bouche des gens !

alors arrête de prendre ca en compte et tout le monde ira bien

en plus genre quoi;

elle dit ca donc les gens vont se taire

elle dit ca donc les gens vont parler

 

tu lui donnes trop d'importance

un avis reste un avis

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l'article est incomplet

ce qui donne ces garçons agressifs violents dans la rue, c'est le fait que leur comportement est tacitement accepté voire même incité par leur éducation

ils doivent entendre leurs mère insulter les filles de p*te, tenir des propos distinguant les bent familia des p*te....après faut pas faire comme si de rien était....et que ces garçons sont ainsi juste à cause de la frustration .... leur comportement de sauvages fait partie de leur éducation

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Guest Padawan

Un avis reste un avis, mais l'avis de LOUNA86 me touche plus car c'est une femme instruite dont j'ai l'impression qu'elle jette l'anathème sur les autres femmes algériennes. Sinon si l'avis avait été pondu par une personne "ordinaire", je n'aurais pas réagi :). Si on ne peut plus compter sur les filles comme LOUNA86 pour arrêter ses clichés sur qui on doit compter?

 

Merci cerise pour ta participation au sujet, tu relèves un point pertinent sur la transmission de la violence et du sexisme par les parents dans l'éducation de leurs enfants.

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Un avis reste un avis, mais l'avis de LOUNA86 me touche plus car c'est une femme instruite dont j'ai l'impression qu'elle jette l'anathème sur les autres femmes algériennes. Sinon si l'avis avait été pondu par une personne "ordinaire", je n'aurais pas réagi :). Si on ne peut plus compter sur les filles comme LOUNA86 pour arrêter ses clichés sur qui on doit compter?

 

Merci cerise pour ta participation au sujet, tu relèves un point pertinents sur la transmission de la violence et du sexisme par les parents dans l'éducation de leurs enfants.

 

J'ai une mission moi Louna 86 je vais attaquer les clichés qui pourrissent la vie des algériens lol quand j'écris vite je fais des raccourcis et c vrai kan me lisant on a l'impression que je généralise ms j'ai un regard très critique vis à vis de tout ce ki mentoure nous en reparlerons

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l'article est incomplet

ce qui donne ces garçons agressifs violents dans la rue, c'est le fait que leur comportement est tacitement accepté voire même incité par leur éducation

ils doivent entendre leurs mère insulter les filles de p*te, tenir des propos distinguant les bent familia des p*te....après faut pas faire comme si de rien était....et que ces garçons sont ainsi juste à cause de la frustration .... leur comportement de sauvages fait partie de leur éducation

 

je suis d'accord c un point important

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Un avis reste un avis, mais l'avis de LOUNA86 me touche plus car c'est une femme instruite dont j'ai l'impression qu'elle jette l'anathème sur les autres femmes algériennes. Sinon si l'avis avait été pondu par une personne "ordinaire", je n'aurais pas réagi :). Si on ne peut plus compter sur les filles comme LOUNA86 pour arrêter ses clichés sur qui on doit compter?

 

Merci cerise pour ta participation au sujet, tu relèves un point pertinents sur la transmission de la violence et du sexisme par les parents dans l'éducation de leurs enfants.

 

les diplômes n'ont jamais révélé l’intelligence d'une personne....ca se saurait....c'est donc à toi d'être assez intelligent pour ne pas faire ce genre de distinction :04:

 

sans trop m'avancer je crois que luna met le doigt sur un point pertinent : assez souvent "la libertine " comme tu dis (c'est pas ca une libertine et ils et elles sont dans des clubs assez privés ) est vue comme l'immigrée (algérienne de france) , alors que beaucoup de fois, t'as pas besoin d'aller chercher ce genre de moeurs à 2000 km...

mais encore une fois, si dès le départ, personne ne surveille personne...on aurait pas cette discussion

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je suis d'accord c un point important

 

en corée du sud, il y a aussi ce tabou : pas de rapports intimes avant le mariage....l'éducation est très forte et la plupart du temps, les hommes et les femmes vivent ensemble qu'une fois mariés

 

mais tout ca est entouré dans le respect de sorte que :

les filles sortent avec des micro short juqu'à 3H du mat seules et personne ne les agresse

 

l'éducation pousse à ce que les rapports se fassent au sein du mariage mais il n'y a pas violence envers les femmes : elles peuvent avoir un petit copain , et si elles ont des rapports (pas à 15 ans hein) , les parents partent du principe qu'il s'agit de son choix....

mais tout ca se fait dans le respect des parents de la fille (elle va pas sauter sur son ami, elle n'embrasse pas son ami face à ses parents etc...)

 

le problème est bien là : aucun respect pour la femme en Algérie.....

entre le gars qui ne sait pas faire la différence entre une p*te et une femme,

entre le gars qui dit :ha oui !!! elle veut le liberté ben qu'elle vienne pas pleurer si personne ne vient demander sa main

 

et ca ce sont des paroles des garçons zarma moudernes :eek:

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