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La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien


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La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien

Samer R. Zoughaib

 

Même si la guerre continue de déchirer son pays, le président Bachar al-Assad peut déjà savourer une victoire, celle d’avoir vu les Occidentaux, qui menaçaient, il y a un an, de bombarder son pays et son armée, partager aujourd’hui sa vision du conflit: le terrorisme est la véritable source du danger et combattre ce phénomène est un devoir prioritaire.

 

Dès le début de la crise en Syrie, les Occidentaux ont parlé de «révolution pacifique», alors que le régime dénonçait une insurrection armée, animée par des groupes terroristes ultra-extrémistes. Washington, Paris, Londres et leurs alliés turcs et arabes ne voulaient rien entendre. Ils ont fourni un soutien politique, médiatique, financier,La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. matériel et militaire aux rebelles, dans le but avoué de renverser le président Bachar al-Assad et son régime. Ils ont imposé des sanctions impitoyables à la Syrie et ont mis sur pied une gigantesque coalition internationale pour exécuter leurs plans. Ils ont fait la sourde oreille aux mises en garde de la Russie, de la Chine, des pays des Brics et de nombreux experts occidentaux sur le rôle essentiel joué par les extrémistes au sein de la rébellion. Bref, ils ont vécu dans le déni pendant plus de trois ans. Mais malgré tous leurs efforts, l’état syrien, dirigé par le président Assad, a fait preuve d’une remarquable résilience. Au lieu de revoir ses calculs, l’Occident a choisi la fuite en avant, en envisageant, il y a un an, de lancer une vaste campagne de bombardements aériens contre l’armée syrienne… avant de se rétracter.

 

Assad avait raison

 

Aujourd’hui, les faits sur le terrain, en Syrie et en Irak, prouvent que c’est Bachar al-Assad qui avait raison et non pas ses ennemis et ses détracteurs. Prenant comme couverture une contestation populaire légitime dans certaines de ses revendications, les groupes terroristes se sont infiltrés partout en Syrie, dès les premiers jours de la crise.La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. Et grâce au soutien des Occidentaux, des pétromonarchies du Golfe et de la Turquie, ils sont devenus l’acteur principal sur le terrain.

Le retour du bâton ne s’est pas fait attendre. Les Occidentaux, avec à leur tête les Etats-Unis, reconnaissent désormais le danger que représente pour leurs sociétés l’«État islamique» (EI, ou daech), qui entraine des légions de ressortissants européens, américains et australiens, dans ses camps des déserts syrien et irakien. Autant de terroristes prêts à frapper au cœur même des capitales occidentales. Barack Obama a utilisé le mot «cancer» pour décrire «daech», appelant à son éradication avant qu’il ne se propage dans toute la région. Sans doute que la vidéo de la décapitation du journaliste James Foley a fini par le convaincre.

Mais seule une action concertée sur les terrains syrien et irakien est susceptible de défaire cette organisation obscurantiste. La Syrie, qui en est parfaitement consciente, appelle depuis le début à une coordination régionale et internationale pour combattre ce fléau des temps moderne.

 

La feuille de route de Moallem

 

Le ministre des Affaires étrangères, Walid Moallem, a déclaré, lundi, que «la Syrie est prête à une coopération et à une coordination sur le plan régional, international et bilatéral pour lutter contre le terrorisme dans le cadre de la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l’Onu». S’exprimant lors d’une conférence de presse à Damas, le chef de la diplomatie syrienne a dit «ils sont les bienvenus», en réponse à un journaliste qui lui demandait si cette coopération englobait «les États-Unis et la Grande-Bretagne». «Il est naturel sur le plan géographique et pratique que la Syrie soit au centre d’une coalition internationale. S’ils sont sérieux, il faut qu’ils viennent vers la Syrie pour coordonner avec elle la lutte contre l’EI et al-Nosra.»

M. Moallem a toutefois précisé que si des avions américains menaient des raids en Syrie contre «daech» sans coordination préalable avec Damas, cela serait «une agression». IlLa victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. n’a pas exclu, dans ce cas, que la défense antiaérienne syrienne tire sur ces appareils.

Le ministre a proposé une feuille de route pour cette coopération, basée sur les points suivants :

-L’assèchement des sources du terrorisme, notamment le financement et l’armement.

-Le contrôle des frontières par les pays limitrophes.

-Un échange de renseignements.

Le changement de ton des Occidentaux a été évoqué lors d’un long entretien téléphonique, lundi, entre M. Moallem et son homologue russe, Serguei Lavrov. Le chef de la diplomatie du Kremlin a appelé les Occidentaux et les pays arabes à surmonter leur mépris pour le président Assad et à s’allier à lui contre les jihadistes. «Je pense que les Occidentaux ont déjà pris la mesure de la rapide propagation de la menace grandissante», a-t-il déclaré. «Ils vont bientôt devoir déterminer ce qui est le plus important: un changement du régime syrien pour satisfaire des inimitiés personnelles et prendre le risque d’une détérioration de la situation au-delà de tout contrôle, ou trouver des moyens pragmatiques pour unir les efforts contre la menace commune», a commenté M. Lavrov.

Mais la première réaction de Washington montre que les Américains n’ont pas encore imaginé un moyen de sauver la face. Les porte-paroles du département d’état et du Pentagone ont tenu les mêmes propos: «Nous n’avons aucune intention de coordonner avec le régime syrien. Il n’y a aucun plan pour des discussions en profondeur avec le régime Assad sur ce que nous pourrions faire ou ne pas faire en Syrie».

Toutefois, des rapports de centres de réflexion proches de l’administration américaine ont révélé que des échanges de renseignements avaient lieu en ce moment entre Washington et Damas.

 

Coopération inévitable

 

Par ailleurs, de nombreux experts occidentaux parlent déjà de la victoire du président Assad. «Il est clair qu’Assad est dans une dynamique de victoire et qu’il va finir par l’emporter», a souligné Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et directeur du Groupe La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. de recherches et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient, dans une interview accordée à l’Agence britannique Reuters. «Bachar el-Assad n’est plus considéré aujourd’hui de la même manière qu’en août 2013», a de son côté déclaré Didier Billion, spécialiste Moyen-Orient et directeur adjoint de l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). «On est revenu à un début de jeu diplomatique, il y a eu un changement substantiel puisque jusqu’alors personne ne voulait parler avec Bachar sauf ses soutiens», analyse le chercheur.

Le rétablissement du chef de l’État syrien «par rapport à une fin annoncée qui ne s’est pas produite est spectaculaire», déclare Bertrand Badie, expert en relations internationales, toujours à Reuters. «Par rapport à ce qu’on nous annonçait, la potence ou la Cour pénale internationale, effectivement, on en est loin», ajoute-t-il.

«Bachar el-Assad est aux premières loges pour combattre l’EI dont une partie des bases se trouvent en Syrie, explique Didier Billion. Ça va être compliqué de discuter avec Assad, c’est très déplaisant mais on n’y coupera pas.»

Plus le temps passe, plus «daech» renforce ses positions et son emprise sur les régions qu’il a occupé. La coopération avec Damas est inévitable pour combattre cette organisation. Les Occidentaux le savent pertinemment mais sont-ils prêts à l’admettre publiquement?

 

Source: french.alahednews

26-08-2014

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L'occident n'a en rien changé sa vision du conflit syrien.

 

OBAMA a décidé d'aider la communauté chrétienne en bombardant les troupes de l'EI sans obtenir l'autorisation ni de l'ONU encore moins celle des Syriens.

ASSAD qui n'a aucune possibilité de s'y opposer et qui a des ennemis en ces mêmes djihadistes offre sa collaboration conjecturelle. Il compte soulager son armée et éviter que les frappes américaines confondent leurs objectifs .

 

Rien ne dit que le deal sera accepté.

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L'occident n'a en rien changé sa vision du conflit syrien.

 

OBAMA a décidé d'aider la communauté chrétienne en bombardant les troupes de l'EI sans obtenir l'autorisation ni de l'ONU encore moins celle des Syriens.

ASSAD qui n'a aucune possibilité de s'y opposer et qui a des ennemis en ces mêmes djihadistes offre sa collaboration conjecturelle. Il compte soulager son armée et éviter que les frappes américaines confondent leurs objectifs .

 

Rien ne dit que le deal sera accepté.

 

Le Dr prend les paris sur ces "bombardements sans en référer à Damas" :mdr::mdr:

 

Ni Assad ni les Iraniens ni les Russes ne sont cons au point de ne pas comprendre que les Américains ne vont pas frapper DAEESH mais l'armée régulière Syrienne !!

 

Tout ce qu'on peut envisager c'est que les Américains demandent aux Syriens (donc au "dictateur" Assad) de les laisser bombarder telle ou telle cible désignée en commun accord !!!

 

Autrement tu verras Mr Bouamama supplier Assad de lui rendre les "carcasses" de ses avions et drones que la DCA Syrienne aura abattus comme il l'avait fait, sans succès , avec l'Iran

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Le Dr prend les paris sur ces "bombardements sans en référer à Damas" :mdr::mdr:

 

Ni Assad ni les Iraniens ni les Russes ne sont cons au point de ne pas comprendre que les Américains ne vont pas frapper DAEESH mais l'armée régulière Syrienne !!

 

Tout ce qu'on peut envisager c'est que les Américains demandent aux Syriens (donc au "dictateur" Assad) de les laisser bombarder telle ou telle cible désignée en commun accord !!!

 

Autrement tu verras Mr Bouamama supplier Assad de lui rendre les "carcasses" de ses avions et drones que la DCA Syrienne aura abattus comme il l'avait fait, sans succès , avec l'Iran

 

 

je ne comprends toujours pas ton emballement pour la situation géopolitique, que tu sois pro assad, je comprend, il y a bien des pro israel, ou pro usa ici, mais tout de meme docteur, un peu moins de légerete et rapidité dans tes diagnostics sinon, je ne viendrai pas me soigner chez toi:D

 

le mieux c'est de dire, peut etre, et donner deux solutions, il y en a jamais une,la preuve, regarde les occidentaux comment ils essaient de s'adapter à la pugnacité d'assad, prend en de la graine:D

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La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien

Samer R. Zoughaib

 

Même si la guerre continue de déchirer son pays, le président Bachar al-Assad peut déjà savourer une victoire, celle d’avoir vu les Occidentaux, qui menaçaient, il y a un an, de bombarder son pays et son armée, partager aujourd’hui sa vision du conflit: le terrorisme est la véritable source du danger et combattre ce phénomène est un devoir prioritaire.

 

Dès le début de la crise en Syrie, les Occidentaux ont parlé de «révolution pacifique», alors que le régime dénonçait une insurrection armée, animée par des groupes terroristes ultra-extrémistes. Washington, Paris, Londres et leurs alliés turcs et arabes ne voulaient rien entendre. Ils ont fourni un soutien politique, médiatique, financier,La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. matériel et militaire aux rebelles, dans le but avoué de renverser le président Bachar al-Assad et son régime. Ils ont imposé des sanctions impitoyables à la Syrie et ont mis sur pied une gigantesque coalition internationale pour exécuter leurs plans. Ils ont fait la sourde oreille aux mises en garde de la Russie, de la Chine, des pays des Brics et de nombreux experts occidentaux sur le rôle essentiel joué par les extrémistes au sein de la rébellion. Bref, ils ont vécu dans le déni pendant plus de trois ans. Mais malgré tous leurs efforts, l’état syrien, dirigé par le président Assad, a fait preuve d’une remarquable résilience. Au lieu de revoir ses calculs, l’Occident a choisi la fuite en avant, en envisageant, il y a un an, de lancer une vaste campagne de bombardements aériens contre l’armée syrienne… avant de se rétracter.

 

Assad avait raison

 

Aujourd’hui, les faits sur le terrain, en Syrie et en Irak, prouvent que c’est Bachar al-Assad qui avait raison et non pas ses ennemis et ses détracteurs. Prenant comme couverture une contestation populaire légitime dans certaines de ses revendications, les groupes terroristes se sont infiltrés partout en Syrie, dès les premiers jours de la crise.La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. Et grâce au soutien des Occidentaux, des pétromonarchies du Golfe et de la Turquie, ils sont devenus l’acteur principal sur le terrain.

Le retour du bâton ne s’est pas fait attendre. Les Occidentaux, avec à leur tête les Etats-Unis, reconnaissent désormais le danger que représente pour leurs sociétés l’«État islamique» (EI, ou daech), qui entraine des légions de ressortissants européens, américains et australiens, dans ses camps des déserts syrien et irakien. Autant de terroristes prêts à frapper au cœur même des capitales occidentales. Barack Obama a utilisé le mot «cancer» pour décrire «daech», appelant à son éradication avant qu’il ne se propage dans toute la région. Sans doute que la vidéo de la décapitation du journaliste James Foley a fini par le convaincre.

Mais seule une action concertée sur les terrains syrien et irakien est susceptible de défaire cette organisation obscurantiste. La Syrie, qui en est parfaitement consciente, appelle depuis le début à une coordination régionale et internationale pour combattre ce fléau des temps moderne.

 

La feuille de route de Moallem

 

Le ministre des Affaires étrangères, Walid Moallem, a déclaré, lundi, que «la Syrie est prête à une coopération et à une coordination sur le plan régional, international et bilatéral pour lutter contre le terrorisme dans le cadre de la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l’Onu». S’exprimant lors d’une conférence de presse à Damas, le chef de la diplomatie syrienne a dit «ils sont les bienvenus», en réponse à un journaliste qui lui demandait si cette coopération englobait «les États-Unis et la Grande-Bretagne». «Il est naturel sur le plan géographique et pratique que la Syrie soit au centre d’une coalition internationale. S’ils sont sérieux, il faut qu’ils viennent vers la Syrie pour coordonner avec elle la lutte contre l’EI et al-Nosra.»

M. Moallem a toutefois précisé que si des avions américains menaient des raids en Syrie contre «daech» sans coordination préalable avec Damas, cela serait «une agression». IlLa victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. n’a pas exclu, dans ce cas, que la défense antiaérienne syrienne tire sur ces appareils.

Le ministre a proposé une feuille de route pour cette coopération, basée sur les points suivants :

-L’assèchement des sources du terrorisme, notamment le financement et l’armement.

-Le contrôle des frontières par les pays limitrophes.

-Un échange de renseignements.

Le changement de ton des Occidentaux a été évoqué lors d’un long entretien téléphonique, lundi, entre M. Moallem et son homologue russe, Serguei Lavrov. Le chef de la diplomatie du Kremlin a appelé les Occidentaux et les pays arabes à surmonter leur mépris pour le président Assad et à s’allier à lui contre les jihadistes. «Je pense que les Occidentaux ont déjà pris la mesure de la rapide propagation de la menace grandissante», a-t-il déclaré. «Ils vont bientôt devoir déterminer ce qui est le plus important: un changement du régime syrien pour satisfaire des inimitiés personnelles et prendre le risque d’une détérioration de la situation au-delà de tout contrôle, ou trouver des moyens pragmatiques pour unir les efforts contre la menace commune», a commenté M. Lavrov.

Mais la première réaction de Washington montre que les Américains n’ont pas encore imaginé un moyen de sauver la face. Les porte-paroles du département d’état et du Pentagone ont tenu les mêmes propos: «Nous n’avons aucune intention de coordonner avec le régime syrien. Il n’y a aucun plan pour des discussions en profondeur avec le régime Assad sur ce que nous pourrions faire ou ne pas faire en Syrie».

Toutefois, des rapports de centres de réflexion proches de l’administration américaine ont révélé que des échanges de renseignements avaient lieu en ce moment entre Washington et Damas.

 

Coopération inévitable

 

Par ailleurs, de nombreux experts occidentaux parlent déjà de la victoire du président Assad. «Il est clair qu’Assad est dans une dynamique de victoire et qu’il va finir par l’emporter», a souligné Fabrice Balanche, spécialiste de la Syrie et directeur du Groupe La victoire d’Assad: l’Occident partage sa vision du conflit syrien. de recherches et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient, dans une interview accordée à l’Agence britannique Reuters. «Bachar el-Assad n’est plus considéré aujourd’hui de la même manière qu’en août 2013», a de son côté déclaré Didier Billion, spécialiste Moyen-Orient et directeur adjoint de l’Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). «On est revenu à un début de jeu diplomatique, il y a eu un changement substantiel puisque jusqu’alors personne ne voulait parler avec Bachar sauf ses soutiens», analyse le chercheur.

Le rétablissement du chef de l’État syrien «par rapport à une fin annoncée qui ne s’est pas produite est spectaculaire», déclare Bertrand Badie, expert en relations internationales, toujours à Reuters. «Par rapport à ce qu’on nous annonçait, la potence ou la Cour pénale internationale, effectivement, on en est loin», ajoute-t-il.

«Bachar el-Assad est aux premières loges pour combattre l’EI dont une partie des bases se trouvent en Syrie, explique Didier Billion. Ça va être compliqué de discuter avec Assad, c’est très déplaisant mais on n’y coupera pas.»

Plus le temps passe, plus «daech» renforce ses positions et son emprise sur les régions qu’il a occupé. La coopération avec Damas est inévitable pour combattre cette organisation. Les Occidentaux le savent pertinemment mais sont-ils prêts à l’admettre publiquement?

 

Source: french.alahednews

26-08-2014

 

 

c est typiquement algerien ca !:rudolph:

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je pense que les américains ...feront tres peu confiance quand a la coopération de bashar .....surtout en ce qui concerne le repérage et désignation des cibles a frapper ....

 

une donnée importante ! la rébellion syrienne ..ne comprend pas que les djihadistes ......il a plus de 10 groupes allant des laics au partisan de benladen en passant par des anciens national baathiste que bachar a réprimé qui combattent le regime et parmi eux il y en a qui beneficie du soutien de etats unis et des européens ...

 

bachar s'il avait l'oreille des americains serait bien sur et c'est de bonne guerre tenter de lui designer des cibles autres et en plus de celle des djihadiste

 

tout dependra du degrés d'infiltration de chaque groupe ...

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je pense que les américains ...feront tres peu confiance quand a la coopération de bashar .....surtout en ce qui concerne le repérage et désignation des cibles a frapper ....

 

une donnée importante ! la rébellion syrienne ..ne comprend pas que les djihadistes ......il a plus de 10 groupes allant des laics au partisan de benladen en passant par des anciens national baathiste que bachar a réprimé qui combattent le regime et parmi eux il y en a qui beneficie du soutien de etats unis et des européens ...

 

bachar s'il avait l'oreille des americains serait bien sur et c'est de bonne guerre tenter de lui designer des cibles autres et en plus de celle des djihadiste

 

tout dependra du degrés d'infiltration de chaque groupe ...

 

Justement c'est cela leur point faible :rolleyes:

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qu'est ce que vous discutaillez sur les relations bashar usa, ce ne sont que des imbécilités,

les usa sont dans le caca, que ce soit au proche orient qu'en ukraine, ils essaient de rebondir avec de la propagande en disant qu'ils sont contre les djihadistes daesh alors que c'est bel et bien leur avorton de poussin

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je ne comprends toujours pas ton emballement pour la situation géopolitique, que tu sois pro assad, je comprend, il y a bien des pro israel, ou pro usa ici, mais tout de meme docteur, un peu moins de légerete et rapidité dans tes diagnostics sinon, je ne viendrai pas me soigner chez toi:D

 

le mieux c'est de dire, peut etre, et donner deux solutions, il y en a jamais une,la preuve, regarde les occidentaux comment ils essaient de s'adapter à la pugnacité d'assad, prend en de la graine:D

 

La situation est telle que la Syrie a le choix entre le Dr Assad et devenir une Libye (encore plus "Libyenne") .

 

PS : ..............n'est pas médecin !

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je pense que les américains ...feront tres peu confiance quand a la coopération de bashar .....surtout en ce qui concerne le repérage et désignation des cibles a frapper ....

 

une donnée importante ! la rébellion syrienne ..ne comprend pas que les djihadistes ......il a plus de 10 groupes allant des laics au partisan de benladen en passant par des anciens national baathiste que bachar a réprimé qui combattent le regime et parmi eux il y en a qui beneficie du soutien de etats unis et des européens ...

 

bachar s'il avait l'oreille des americains serait bien sur et c'est de bonne guerre tenter de lui designer des cibles autres et en plus de celle des djihadiste

 

tout dependra du degrés d'infiltration de chaque groupe ...

 

Assad ne leur fera pas confiance non plus !

Il s'agit d'une affaire d'intérêts communs et il y a bel et bien un début de coopération avec des camps de DAEESH ciblés par l'aviation Syrienne sur "renseignements" Américains (pas forcément "aériens")

 

Pour la "rébellion Syrienne" , seuls les groupes djihadistes "internationaux" comptent sur le terrain militaire!!!

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L'occident n'a en rien changé sa vision du conflit syrien.

 

OBAMA a décidé d'aider la communauté chrétienne en bombardant les troupes de l'EI sans obtenir l'autorisation ni de l'ONU encore moins celle des Syriens.

ASSAD qui n'a aucune possibilité de s'y opposer et qui a des ennemis en ces mêmes djihadistes offre sa collaboration conjecturelle. Il compte soulager son armée et éviter que les frappes américaines confondent leurs objectifs .

 

Rien ne dit que le deal sera accepté.

 

Les chretiens de Syrie, et du moyen orient en general, sont le dernier des soucis d'Obama, cela fait plus de deux ans qu'ils se font massacrer...

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Les chretiens de Syrie, et du moyen orient en general, sont le dernier des soucis d'Obama, cela fait plus de deux ans qu'ils se font massacrer...

 

Ils ne représentent "que" des arabes pour l'establishment judéo-maçonnique occidental !!!

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Ils ne représentent "que" des arabes pour l'establishment judéo-maçonnique occidental !!!

 

pire encore, ils ne representent pas un pouvoir de nuisance suffisant pour interesser les imperialistes de tous poils, donc, on les laisse tomber comme de vieilles chaussettes tout en les pleurant avec des larmes de crocos

d'ailleurs les chrétiens d'orient le savent, et le disent tous les jours, mais qui s'interessent à leur dire, tf1 BFM france 24 ? :D

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Guest George Bish
Ils ne représentent "que" des arabes pour l'establishment judéo-maçonnique occidental !!!

 

c'est du n'importe quoi !!!

en quoi la race arabe est péjorative pour la FM ?!!

ceci dit, il y a les musulmans, qui peuvent proteger ce qu'ils appellent "les gens du livre", ils l'ont deja fait par le passé.

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c'est du n'importe quoi !!!

en quoi la race arabe est péjorative pour la FM ?!!

ceci dit, il y a les musulmans, qui peuvent proteger ce qu'ils appellent "les gens du livre", ils l'ont deja fait par le passé.

 

les arabes c'est pas une race, c'est une culture ( devenue sous merde c'est vrai ) un environnement, etc

n'ecoutes pas ces imbéciles de berberistes qui nous noient dans un verre d'eau quand à ces francs macons, l"emir abdelkader que tous les 'arabistes' honorent en etait un

donc, c'est plus compliqué que ça

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Guest Arsène
Assad ne leur fera pas confiance non plus !

Il s'agit d'une affaire d'intérêts communs et il y a bel et bien un début de coopération avec des camps de DAEESH ciblés par l'aviation Syrienne sur "renseignements" Américains (pas forcément "aériens")

 

Pour la "rébellion Syrienne" , seuls les groupes djihadistes "internationaux" comptent sur le terrain militaire!!!

 

Les américains ne peuvent pas frapper autre pour lequel ils ont mandat en Syrie .

Ils s'en tiendront à leur feuille de route et je pense que la confiance sera pleine entre américains et syriens .

Pour ainsi dire ,ils n'ont pas vraiment le choix.

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les arabes c'est pas une race, c'est une culture ( devenue sous merde c'est vrai ) un environnement, etc

n'ecoutes pas ces imbéciles de berberistes qui nous noient dans un verre d'eau quand à ces francs macons, l"emir abdelkader que tous les 'arabistes' honorent en etait un

donc, c'est plus compliqué que ça

 

 

si les arabes n est pas une race ce st quoi alors ?

 

et je te conseille de respecter l emir car ce qu il a fait toi tu ne pourras jamais le faire !

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si les arabes n est pas une race ce st quoi alors ?

 

et je te conseille de respecter l emir car ce qu il a fait toi tu ne pourras jamais le faire !

 

les arabes c'etait une race avant, ou alors limitée à quelque yahouds du golf :D

 

maintenant quand moi je dit que je suis arabe, contrairement au berberiste, je suis trés conscient de ce que je dit, je suis arabe de culture et d'environnement, mais berbere d'origine sans aucun doute

le mixage des populations ça été fait d'une maniere non décrite par notre histoire ( nous sommes menteurs, en plus on ecrit rien ou presque )

et tout le monde n'a pas eu la "chance" de s'enfuir dans les montagnes de tizi ouzou :D

 

quand à l'emir, je connais pas trés bien la biographie, mais de toute maniere je croierais aucun bouquin, du moment que le pouvoir algérien le met comme le pere, moi je ne me reconnait pas qu'il est mon papa:D

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c'est du n'importe quoi !!!

en quoi la race arabe est péjorative pour la FM ?!!

ceci dit, il y a les musulmans, qui peuvent proteger ce qu'ils appellent "les gens du livre", ils l'ont deja fait par le passé.

Les "chrétiens" Palestiniens se font massacrer aussi et leurs lieux saints confisqués et judaïsés sans que l'occident "chrétien" ne trouve à redire !!!

 

Sans parler des chrétiens de Syrie qui se faisaient massacrer par les terroristes soutenus politiquement et militairement par ce même occident chrétien !!!

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Les "chrétiens" Palestiniens se font massacrer aussi et leurs lieux saints confisqués et judaïsés sans que l'occident "chrétien" ne trouve à redire !!!

 

Sans parler des chrétiens de Syrie qui se faisaient massacrer par les terroristes soutenus politiquement et militairement par ce même occident chrétien !!!

 

l'occident a toujours été CONTRE les chrétiens d'orient, ( parcequ'il est lui meme anti chretien ) et pour pas le montrer ouvertement devant son opinion publique, il fait pleurer dans les chaumieres des larmes de croco

allez parler avec des chretiens d'orient, ils vous expliqueront mieux que moi

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victoire d'assad ...

 

je ne sais pas comment on doit prendre cela .....j'oserai même pas demandé a la pauvre syrienne mendiant dans les cafées de ma ville car chassée de son pays par la guerre que ce grand salopard a imposé aux syriens !

 

2.8 millions de refugiés ....plus de 150 000 mort et ca ose parler de victoire

 

...tfou !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! a'ala li mayahchamch

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