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Comment l’Ansej compte devenir “halal”


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Le nouveau ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aissa, veut rendre «licite» les crédits bancaires. Lors d’une conférence organisée par le groupe Baraka Bank mardi, il a déclaré qu’une instance d’exégèse sera mise en place prochainement. Celle-ci sera chargée de rendre des fetwas et des avis religieux sur un certain nombre de questions, notamment celles du crédit bancaire, des prêts Ansej et ses intérêts.

 

Beaucoup de jeunes refusent actuellement de déposer des dossiers auprès de l’Ansej (Agence nationale de soutien à l’emploi de jeune), alors même qu’ils leur permettrait de décrocher des financements conséquents pour réaliser leurs projets professionnels. Leur raison : souscrire un prêt bancaire avec intérêt (Riba) est un geste “haram“. Un point de vue que ne partage pas le nouveau ministre des Affaires religieuses. Mohamed Aissa a expliqué lors de son intervention en marge de la conférence de presse Baraka Bank qu’il fallait comprendre qu’un citoyen doit contribuer à la collectivité par la construction, par exemple, de ponts, d’hôpitaux ou de la prise en charge des plus démunis et des handicapés, et que cela nécessite des fonds importants.

 

Prise en charge des intérêts par l’Etat

 

D’autre part, le premier responsable de Baraka Bank, Amine Haider, a laissé entendre, dans le même contexte, que dans la Loi de finances 2015, adoptée mardi durant le conseil des ministres de rentrée, l’Etat prévoit de prendre en charge les intérêts bancaires des crédits qui remplissent les critères de l’Ansej. Une manière de persuader les jeunes concernés de ne plus avoir à s’inquiéter de cette question.

 

La finance islamique est devenu un créneau porteur dans bon nombre de pays musulmans. Mais jamais jusque-là un gouvernement n’a décidé de supprimer l’intérêt pour celui qui contracte un crédit, en prenant en charge le paiement des intérêts. Il y a quelques années, la Cnep Banque avait trouvé une astuce pour capter l’argent circulant dans certaines localités du Sud comme Ghardaia, qui compte énormément de commerçants. La banque avait alors permis à ceux qui le veulent d’ouvrir des comptes bancaires sans aucun intérêt.

 

Elyas Nour

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En islame comme en judaisme et christianisme le probléme fondamental s'est déclaré lorsque Dieu institua le versement de la zakate et les sadakates..au fil du temps un groupe de fonctionnaire issus de l'etat et qui ont été chargé non pas de collecté mais de gerer les sadakates ont été neutralisé par des bandits..Des bandits ont lis la main sur la zakate et les sadakates et ont modifié les noms en ''impots''....

Suite a cela il est apparue un autre collecteur d'impot qui offrait des interets contre le dépot de l'argent en surplus. Il ya eu apprition de deux classes de bandits qui font le meme travail, les uns enleve par la force les impots et les seconds soudoient les gens pour leur ramener ce qui reste de la premeiére opération..le systeme s'est greffé sur l'islame le judaisme et le christianisme...

On répond a cette banque baraka que le probléme n'est seulemnt dans l'interet mais aussi de la collecte d'argent..il ya deux formes de collecte et utilisation de la collecte..

Se constitué en groupe d'investisseur mettre une caisse et investire

Ou constituer une caisse de depot anonyme.

La banque se comporte comme un collecteur d'argent une caisse .qui ne demande pas l'origine de l'argent..elle fait le travail du recelleurs qui accepte la marchandise d'un individu en dehors du marché légale.

Tout centime que reçoit une banque est harame tant que le caissiers ne regarde pas l'origine du dépot. Le banque avec l'apparition de la monnaie papier cette derniére est redevenue une marchandise a aprt entiere. Les devises sont vendu et acheté selon l'offre et la demande. Alors que la monnaie n'est que étalon pour évaluer un produit comme ruban letre comme le kg le litre le m³ etc..ici ils sont entrain de vendre et d'acheter les instrulent de mesures ..

Une banque islamique ne doit jamis accepter les dépots inconnus et ne doit pas offrire en pret les dépots des personnes connue sans le concentement de dépositaires. En islame le musulman est résponsable de l'utilisation de son argent. Tu ne dois les remttre qu'a des personnes dignes de confiance sinon si une agence non controlé par sa banque mere investie l'argent des dépositaires dans des créneaux porteur comme l'alcool vnete d'arme de drogue de constituer un groupe de voleur acheter en gros des marchandise de la ressele ouvrie des maisons closes vendre des organes humains frafique d'etre humains

Bref le dépositaire est complice de crime. Ça c'est claire et ce n'est pas l'islame ou le nudaisme ou le boudhisme ou le laicisime qui vous l'apprendra.. c'est claire et c'est net..si tu ne veux pas devenir complice dune agence constitué par des bandits ne dépose pas ton argent dans cette agence...

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Le nouveau ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aissa, veut rendre «licite» les crédits bancaires. Lors d’une conférence organisée par le groupe Baraka Bank mardi, il a déclaré qu’une instance d’exégèse sera mise en place prochainement. Celle-ci sera chargée de rendre des fetwas et des avis religieux sur un certain nombre de questions, notamment celles du crédit bancaire, des prêts Ansej et ses intérêts.

 

 

 

 

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