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je ne comprends pas l'objectif de s'attribuer la pensée d'un autre

 

je comprends le plagiat d'expression d'une image d'une idée d'un petit bout

 

mais voler un livre c'est gros quand même ... sommes nous arrivé à ça maintenant ?

 

Wallah mafhemtch mais je suis vieux c'est pour ça peut être !

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Macha Allah,

387 lectures...

 

 

Les garçons sortirent de l'eau. Etendus au soleil, ils se séchaient. Les voyant elle se rappela un texte d'Albert Camus racontant ses bains à Alger.

Les garçons qu'est ce qui vous feraient plaisir pour manger?

 

Entendu, je vais préparer le repas. Je vous laisserais débarrasser et faire la vaisselle. Elle avait habitué sonb fils à participer aux tâches ménagères. Elle était pour ce partage. Son mari avait eu du mal. C'était aussi une des causes de leur mésentente.

Elle noua un paréo autour de la taille et se leva. Lounis la regarda. Elle était belle. C'était cette beauté typiquement algérienne: un teint mat, des cheveux chatains, des yeux noisette. Et surtout ce port de tête racé. Dans les colloques à l'étranger, elle ne passait pas inaperçue. Elle surprenait souvent des regards d'hommes, mais aussi de femmes, posés sur elle. Certains participants lui avaient même parfois fait des avances. Elle repoussait ces prétendants. Mais, par deux fois, et seulement après son divorce, elle n'y avait pas opposé de résistance. Alors durant la durée d'un colloque, dans les bras d'un homme, elle avait trouvé cette affection qui lui manquait. Le premier était un professeur d'université de Nantes. La cinquantaine à peine entamée, mince, d'allure sportive, il avait fait à la tribune un exposé brillant. Les questions avaient fusé lors du débat. Elle en avait posé une. Il lui avait répondu avec brio malgrè le côté ardu du sujet. A midi, ils s'étaient retrouvé côte à côte à table. Ils avaient longuement échangés sur le sujet de compétence. La séance de l'après midi reprenant, il lui proposa de poursuivre la discussion en fin de journée. Elle accepta.

L'après midi avait été consacré à une plénière puis après à d'intenses travaux en commissions. Ils en étaient ressortis exténués mais heureux.

 

Il l'emmena hors du palais des congrès vers un bistrot . C'était un endroit sympathique où se retrouvaient des habitués. Il y régnait une ambiance familiale. Le patron était un grand moustachu qui prenait soin des clients. Ils discutèrent autour d'un verre. La discussion portaient sur les politiques économiques et dans le cas des pays disposant d'une rente pétrolière. Comment fallait-il faire pour concillier développement d'une économique productive et développement social. Elle aimait son approche.

Le patron les observait du coin de l'oeil. S'approchant d'eux, il leur dit: alors les amoureux qu'est ce que je vous sert pour manger? Ils se regardèrent en éclatant de rire. Laurent lui proposa de manger sur place. La cuisine du bistrot était de choix. Elle accepta. Le patron pris leur commande et se dirigea vers les cuisines. Ils restèrent un moment immobile comme génés. Elle leva les yeux qui jusqu'à maintenant étaient fixés sur ses mains posés sur la table. Elle rencontra le beau regard de Laurent. Il posa délicatement sa main sur la sienne en disant: et si nous parlions de nous?

Ce fut comme une délivrance. Tout y passa. Elle avait besoin de se confier.

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je ne comprends pas l'objectif de s'attribuer la pensée d'un autre

 

je comprends le plagiat d'expression d'une image d'une idée d'un petit bout

 

mais voler un livre c'est gros quand même ... sommes nous arrivé à ça maintenant ?

 

Wallah mafhemtch mais je suis vieux c'est pour ça peut être !

 

IL s'agissait de lancer le topic.

Je publie sur Atramenta.fr sous le pseudo de Romain ROMANUS.

Allez voir si c'est du plagiat ou du naturel.

 

Extrait:

 

Les garçons sortirent de l'eau. Etendus au soleil, ils se séchaient. Les voyant elle se rappela un texte d'Albert Camus racontant ses bains à Alger.

Les garçons qu'est ce qui vous feraient plaisir pour manger?

 

Entendu, je vais préparer le repas. Je vous laisserais débarrasser et faire la vaisselle. Elle avait habitué sonb fils à participer aux tâches ménagères. Elle était pour ce partage. Son mari avait eu du mal. C'était aussi une des causes de leur mésentente.

Elle noua un paréo autour de la taille et se leva. Lounis la regarda. Elle était belle. C'était cette beauté typiquement algérienne: un teint mat, des cheveux chatains, des yeux noisette. Et surtout ce port de tête racé. Dans les colloques à l'étranger, elle ne passait pas inaperçue. Elle surprenait souvent des regards d'hommes, mais aussi de femmes, posés sur elle. Certains participants lui avaient même parfois fait des avances. Elle repoussait ces prétendants. Mais, par deux fois, et seulement après son divorce, elle n'y avait pas opposé de résistance. Alors durant la durée d'un colloque, dans les bras d'un homme, elle avait trouvé cette affection qui lui manquait. Le premier était un professeur d'université de Nantes. La cinquantaine à peine entamée, mince, d'allure sportive, il avait fait à la tribune un exposé brillant. Les questions avaient fusé lors du débat. Elle en avait posé une. Il lui avait répondu avec brio malgrè le côté ardu du sujet. A midi, ils s'étaient retrouvé côte à côte à table. Ils avaient longuement échangés sur le sujet de compétence. La séance de l'après midi reprenant, il lui proposa de poursuivre la discussion en fin de journée. Elle accepta.

L'après midi avait été consacré à une plénière puis après à d'intenses travaux en commissions. Ils en étaient ressortis exténués mais heureux.

 

Il l'emmena hors du palais des congrès vers un bistrot . C'était un endroit sympathique où se retrouvaient des habitués. Il y régnait une ambiance familiale. Le patron était un grand moustachu qui prenait soin des clients. Ils discutèrent autour d'un verre. La discussion portaient sur les politiques économiques et dans le cas des pays disposant d'une rente pétrolière. Comment fallait-il faire pour concillier développement d'une économique productive et développement social. Elle aimait son approche.

Le patron les observait du coin de l'oeil. S'approchant d'eux, il leur dit: alors les amoureux qu'est ce que je vous sert pour manger? Ils se regardèrent en éclatant de rire. Laurent lui proposa de manger sur place. La cuisine du bistrot était de choix. Elle accepta. Le patron pris leur commande et se dirigea vers les cuisines. Ils restèrent un moment immobile comme génés. Elle leva les yeux qui jusqu'à maintenant étaient fixés sur ses mains posés sur la table. Elle rencontra le beau regard de Laurent. Il posa délicatement sa main sur la sienne en disant: et si nous parlions de nous?

Ce fut comme une délivrance. Tout y passa. Elle avait besoin de se confier.

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— J’ai l’intention de proposer à Lounis de venir passer quelques jours ici si ça ne t’ennuie pas, me dit Ali, mon fils, alors que nous prenions le petit déjeuner près de la piscine.

 

— Je le connais ?

 

— Non, tu ne l’as jamais vu, mais c’est quelqu’un de très sympa.

 

— Alors pourquoi pas…

 

Pour Farida, les amis d’Ali, du moins ceux qu'elle connaissait, étaient généralement des garçons plutôt agréables et cultivés. Et le fait que l’un d’eux vienne à la maison en ce début du mois de juillet qui s’annonçait particulièrement calme ne pouvait qu’apporter un peu de dynamisme et de vitalité dans cette période estivale habituellement morose.

 

Mais ne vous méprenez pas, je n’étais pas vraiment à plaindre non plus. Je vivais seule depuis que mon mari ingénieur à la Sonatrach s’était laissé séduire deux ans auparavant par une de ses jeunes collaboratrices dont le tour de poitrine était nettement supérieur à son QI.

 

Cela étant, j’avais 41 ans — j’ai eu mon fils très jeune —, et un physique dont je prenais soin et qui, sans pouvoir rivaliser avec celui d’un mannequin, demeurait, je pense, assez plaisant à regarder même si j’avais pris quelques rides.

 

Ajoutons à cela que mon mari m’avait laissé la maison — à vrai dire une très belle propriété avec piscine à Hydra —, ainsi qu’une solide indemnité compensatoire qui me permettait de vivre comme je l’entendais, sans vraiment travailler, et de me consacrer notamment à ma passion pour la photo.

 

Mon fils, Ali, avait entrepris des études dans le domaine du multimédia (la fibre artistique de sa mère peut-être…) et il était assez souvent avec moi. La maison était spacieuse, et il en disposait à sa guise, en alternance avec une colocation dans Alger Centre avec deux de ses amis.

 

J’étais donc loin d’être malheureuse, hormis peut-être un relatif isolement — toutes mes amies étaient évidemment mariées, heureuses et occupées par une multitude d’activités — et une certaine solitude affective que quelques aventures sans lendemain n’avaient pu réellement combler. Pour autant, je ne vivais pas en recluse, je sortais quand l’occasion se présentait car, comme beaucoup, j’avais besoin de voir du monde, d’être entourée. De rencontrer des hommes aussi, parce que sans être obsédée, je n’avais jamais eu le tempérament d’une nonne et qu’à 41 ans du point de vue des sentiments j'étais toujours bien vivante.

 

Mais voilà, quelques rencontres sans lendemain et sans grand intérêt semblaient être les seules perspectives d’une femme divorcée de mon âge. Et l’idée d’un été plus ou moins solitaire n’était pas des plus enthousiasmantes.

 

— Et il vient quand ? demandai-je à mon fils.

 

— Demain. Si tu es d’accord bien sûr.

 

— Pas de problème, c’est juste pour aller faire quelques courses.

 

Ce que je fis l’après-midi dans les commerces du petit centre-ville voisin. Brochettes, grillades, salades. Le temps était radieux et cela promettait de durer, il fallait en profiter.

 

2

 

Le dénommé Lounis arriva effectivement le lendemain en début d’après-midi. Il devait avoir 21 ou 22 ans, comme Ali, le gabarit d’un sportif, une très jolie chevelure sombre et bouclée, des mains de pianiste et un sourire lumineux. Le genre beau garçon dont doivent rêver toutes les futures belle-mères, j’imagine. Sauf que je n’avais pas de fille à marier.

 

Tous deux passèrent une bonne partie de l’après-midi très ensoleillée dans la piscine, dont je profitai à mon tour vers 18 heures lorsqu’ils se réfugièrent au salon avec leurs ordinateurs pour un échange vidéo avec un de leurs amis parti passer quelques mois dans la Silicon Valley.

 

L’eau était délicieuse, et j’y restai un long moment avant de songer à préparer le diner.

 

— Brochettes et salade, ça vous va pour ce soir ? demandai-je aux deux garçons en traversant le salon.

 

Parfait, répondirent-ils en choeur.

 

 

 

J’allumai le barbecue avant de monter dans ma chambre prendre une douche rapide et passer un paréo, puis je m’occupai de préparer le repas et de dresser la table sous la pergola près de la piscine.

 

Le jour déclina lentement pendant que nous dinions dans la relative fraicheur du soir.

 

Au cours du diner, je constatai avec grand plaisir que Lounis était un jeune homme très cultivé, féru d’art sous toutes ses formes. En dépit d’Ali que cela semblait laisser indifférent, nous parlâmes longuement de peinture, d’opéra, de musique classique, de rock, de cinéma et de photo aussi. Lounis était éclectique. Il avait également un charme indéniable et je le soupçonnai d’en jouer avec les femmes en général et avec moi en particulier. Ce qui n’était pas au fond pour me déplaire. Les femmes aiment qu’on les séduise, et j’étais une femme, une femme ravie qu’on s’intéresse à elle.

 

— Avez-vous suivi la série Game of Thrones ? me demanda-t-il alors qu’Ali semblait, comme souvent, plus absorbé par son smartphone que par la conversation.

 

— Quelques épisodes, sans plus…

 

— Vous avez autant de prestance de Cersei.

 

— Je dois prendre cela comme un compliment ?

 

— C’en est un ! Vous en avez le charme et l’élégance…

 

— Merci…

 

Lounis était un garçon troublant, le regard malicieux, un homme déjà, sûr de son pouvoir de séduction, auquel je ne me sentais pas vraiment indifférente malgré le fait qu’il ait l’âge de mon fils.

 

Il avait dû le remarquer, et multipliait les compliments et les allusions discrètes à mon physique, à mon ouverture d’esprit, mon magnétisme et mon sex-appeal.

 

— Ali m’avait caché le fait qu’il avait une mère aussi jolie, aussi séduisante…, me déclara-t-il, profitant de ce que ce dernier était sorti passer un coup de fil.

 

Je piquai un fard. Lounis me "draguait" presque ouvertement, avec l’insolence de la jeunesse. Mais je ne pus m’empêcher de tressaillir et de sentir se répandre en moi une étrange chaleur. Son sourire était ensorcelant et j’étais sous son charme quoi qu’en pense ma conscience.

 

Nous montâmes nous coucher assez tard. J’étais indéniablement troublée par ce garçon. Peut-être parce qu’il était parfaitement séduisant, peut-être parce que j’avais envie d’être séduite, peut-être parce que je traversais une longue période d’abstinence…

 

Ma dernière "aventure" remontait à plusieurs mois. Un homme rencontré un peu par hasard, au cours d’une soirée. Un peu moins de 50 ans, une belle prestance, une certaine culture. Il était prof à Bab-Ezzouar. Il m’avait invitée à diner, puis chez lui. Cela avait été un échec. Comme j’en avais hélas collectionné un certain nombre depuis mon divorce.

 

 

 

Je pris une longue douche fraiche pour chercher l’apaisement, fatiguée et en même temps curieusement agitée par le comportement de Lounis à mon égard. "Ce n’est qu’un gamin…" me dis-je en me remémorant ses sourires ravageurs et ses compliments. Et pourtant. J’éprouvais un désir indéniable. Mes sentiments s’étaient incontestablement réveillés…

 

J’essayai de lire pour trouver le sommeil, sans grand succès. Mon corps et ses pulsions plus ou moins en sommeil se rappelaient à mon bon souvenir, réclamant ce dont ils étaient privé depuis trop longtemps.

 

Allongée dans la pénombre de ma chambre, je sentais se répandre en moi une douce chaleur. Je me retournai dans mon lit, incapable de m’endormir.

 

Il faisait chaud. Malgré ma fine nuisette, j'avais chaud. Je me retournai encore et encore, moite .

 

Ay Caramba ! que fue lo que passo despues?

Anda anda diga el suspens nos esta mattando!

Hydra ha ha !

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Guest Chabha
Ya chattar, faites mieux que Romain...

 

Chiche!

 

Fort bal klam

mais faible dans l'action...

 

Ya hasra, Romain chater et Rumanus me dit quelque chose d'ailleurs.

Lui est un écrivain pas moi.

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Guest Chabha

Si l'écriture n'est pas un kheir fi 3aqobati alors je n'écrirai pas, je saurai m'en passer. Dieu seul sait quel en est l’intérêt pour moi et pour mes semblables.

Merci Hilar, j'ai lu tes posts, C'est parce que tu es une belle âme. Allah ey kather min amthalek. L'Algérie a besoin des hommes comme toi. Salam

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Bonjour Chebha :40: ça fait vraiment plaisir de discuter, partager et s'améliorer avec toi et paisiblement sans se sentir diminuer ou juger

 

Merci vraiment heureusement que c'est encore possible pour des dinosaures de la vieille Algérie de joindre le geste à la mémoire ...

 

oui je ne sais pas ce qui m'a intéressé dans le peu de messages que vous avez écrits ... mais je sais et le lorsque je sais sans savoir je ne me trompe que rarement

 

il me reste peu de raisons de venir encore ici partager, aussi lire ou échanger avec Chebha :40: lire des petites choses qui me font encore rire parfois découvrir des petits textes choisis par Stalactite :40:, Esmeralda :40:, Sissa :40: et bien d'autres et écouter beaucoup beaucoup beaucoup de musique et des chansons sont les seules qui me font encore venir ...

J'ai oublié Astéroïde :40: que j'ai eu l'occasion de lui répondre une ou deux fois et qui a initié le fil des textes ... c'est marrant car je rentre chez moi pour justement étudier de près les Astéroïdes et plein de petits objets ... et comme je l'avais promis un jour à Essahrane qui adore les choses de l'univers je vais certainement le voir un jour alors nous prendrons une photo et il changera son avatar à ce moment là :):)

 

Passez une bonne journée toutes et tous !

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Avec Romain, c'est de la similitude dans les pensées mais sabine c'est du plagiat.

 

Lisez le nouveau texte que je propose.

 

Dans sa nouvelle "Un été particulier", Sabine Delambre a quelques premières pages sublimes. La rencontre entre cette femme divorcée et cet étudiant est belle.

Cela est magique.

Le trouble que la femme ressent lorsqu'il la complimente.

Mais l'auteure aurait dû y consacrer 20 pages!!!!!!

Ce moment de la rencontre est trop beau.

 

 

Personnellement, je ne suis pas allé plus loin que les 5 premières.

Sur ATRAMENTA, son texte est trop brutal me semble-t-il:

-brutal dans l'approche de Lucas, vers la mère de son copain,

-brutal par rapport à nos tagalid.

 

J'ai trouvé ces 5 pages sublimes. Mais elles seraient à ré-écrire de telles façons qu'elles puissent être publiables à Alger.

 

Chiche à vos plumes!

 

Zoubir (alias Romain ROMANUS).

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Farida est présente à un congrès d'économie à Nantes.

Laurent brillant congressiste a remarqué cette charmante brunette.

Ils lient connaissance.

Il l'invite à diner.

Après le repas une musique jazzy.

Il lui propose de danser.

Elle accepte.

C'est un slow ...

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La musique se faisait douce. C'était un slow de Léonard Cohen. Il saisit sa main et l'entraina sur la piste de danse. Serrés l'un contre l'autre, ils se laisser emporter par la musique.

 

En fin de soirée, ils regagnèrent leur hôtel. Il lui tenait la main. Il ne la lâcha pas jusqu'à ce qu'ils soient dans sa chambre. Une fois la porte refermée, ils donnèrent libre cours à leurs sentiments.

 

Le matin, elle se réveilla. Il était près d'elle, attentif, prévenant. Il avait fait monter le petit déjeuner.

Après un rapide tour à la salle de bain, elle se retrouva avec lui partageant un plateau superbement garni.

Ils étaient heureux. Le colloque étant terminé, il lui proposa de venir chez lui pour le week-end. Il avait un grande propriété près de Nantes. Elle accepta. Il lui dit qu'il l’emmènerait faire du voilier et se promener à cheval.

Arrivé chez lui sa fille de 18 ans l'accueillit avec un large sourire. Farida se sentit immédiatement à l'aise.

 

Elle passa un week end agréable dans une ambiance familiale. Il été aux petits soins pour cette belle brune. Il aurait la garder auprès de lui...

 

Le dimanche soir, il la raccompagna à la gare. Elle avait un TGV pour paris où sa soeur l'attendait

Sur le quai de la gare, il la pris dans ses bras. Farida lui promis: je reviendrais...

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AUTRE NOUVELLE EN PREPARATION:

 

Extrait...

 

Yasmina était pressée. Elle était en retard. Près de la Grande Poste à Alger, les voitures avançaient au pas. Un autre automobiliste devait être pressé, car elle entendit un choc à l'arrière.

 

Descendant de voiture, ils constatèrent tous les deux les dégats. Pas très grave mais un constat s'imposait. Garant leur voiture, ils s'installèrent dans un café à proximité.

Elle observa le conducteur attablé à remplir le constat tout en sirotant le thé qu'on venait de lui apporter. Cela lui faisait du bien.

Le conducteur devait avoir la quarantaine. Il avait les cheveux poivre et sel Mince, sportif, c'était un bel homme. Elle avait apprécié son sourire et son calme malgrè cette situation conflictuelle.

 

Ce fut à elle de remplir le constat. Il l'observa. Il admira le chic de la jeune femme. Elle devait avoir la trentaine bien avancée. En jeans et chemisier, cheveux courts, elle était très mignonne. Il l'imaginait prof à la fac juste à côté du tunnel des faculté.

 

Terminant son constat, elle leva la tête et vit qu'il l'observait. Elle sourit.

 

Ils discutèrent terminant leur verre de thé maintenant dans une ambiance plus apaisée. Elle aurait aimé qu'il lui demande son numéro de téléphone. Il lui avait dit qu'il était ingénieur marketing chez Cevital.

 

Divorcée depuis 4 ans, elle travaillait au ministère de l'industrie.

 

Finalement, par délicatesse, il ne lui demanda que son adresse mail. Elle l'a lui donna. De son côté, il tendit sa carte de visite.

 

Le soir même ils échangeaient des mails. Cela dura tard dans la soirée.

Ils se promirent de se revoir et de se faire un bon restaurant à la pêcherie.

 

(à suivre)...

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Hidra appartient a certains seulement et c'est connu du peuple algériens

 

Bof, le sujet n'est pas là...

Personnellement, on m'a raconté de belles romances entre gens qui se sont rencontrés ailleurs.

je me rappelle notamment à El Oued...

Mais. Chutttttt.

 

ps: Sandrine a récidivé avec une deuxième partie.

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C'était l'été où ma cousine était venu chez nous. Elle habitait la région parisienne. Elle est restée un mois et demi chez nous à Alger.

On était souvent ensemble, nous racontant nos histoires de filles à la fac: les études, les amourettes.

Elle était drôlement délurée.

Nous allions souvent à la plage où mes parents avaient une petite villa. Nous y restions quelques jours avant de nous retrouver dans notre maison d'El Harrach.

Durant la sieste nous restions toutes les deux, les volets fermés afin de garder de la fraicheur.

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Hidra appartient a certains seulement et c'est connu du peuple algériens

 

9alek khatra ,une femme de HYDRA ; (VILLA, PISCINE, JARDIN,CHAUFFEUR, SAUNA, CANICHES, SIAMOI, etc...) a décidé d'acheter un KEBCH pour l'3id lekbir. Alors son chauffeur le lui ramène et elle le met dans le jardin.

 

Le premier jour elle lui donne a manger dans un saladier, des chips, popcorn etc... Alors ghadha (Elle a eu pitié de lui) en voyant ses ongles pas beaux. Elle lui fait une mani/pedicure , Elle continue en lui faisant prendre une douche parcequ'elle trouvait qu'il sentait mauvais avec du shampoing .

 

Elle le laisse passer la nuit au salon devant la télé... et toute la semaine comme ça..

la veille de l'AID le kebch avant d'aller se coucher demande: - o dorka TATA ?? weqt'ach techrilna el kebch ta3 el AID hada ???" lol

 

Lors des événements de 5 octobre 1988 bcp d’Algériens sont sortis ds la rue pour interpréter leur désaccord avec le gouvernement et Chadli bendjdid.

ils ont brûlé, cassé,saboté......rien que de dégâts. Alors ds les quartiers de Hydra régnaient la paix ,le silence. (Da3wa soussta),,,.

A la fin ga3 les gens de HYdra tfahmo w chraw camion w har9ouh pour participer fe les événements:D.

 

Hadihiya Hidra avant de passé de Sidi Yahia a Sidiyaya

Zoubir c vrais c du HS mais c ca Hydra

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9alek khatra ,une femme de HYDRA ; (VILLA, PISCINE, JARDIN,CHAUFFEUR, SAUNA, CANICHES, SIAMOI, etc...) a décidé d'acheter un KEBCH pour l'3id lekbir. Alors son chauffeur le lui ramène et elle le met dans le jardin.

 

Le premier jour elle lui donne a manger dans un saladier, des chips, popcorn etc... Alors ghadha (Elle a eu pitié de lui) en voyant ses ongles pas beaux. Elle lui fait une mani/pedicure , Elle continue en lui faisant prendre une douche parcequ'elle trouvait qu'il sentait mauvais avec du shampoing .

 

Elle le laisse passer la nuit au salon devant la télé... et toute la semaine comme ça..

la veille de l'AID le kebch avant d'aller se coucher demande: - o dorka TATA ?? weqt'ach techrilna el kebch ta3 el AID hada ???" lol

 

Lors des événements de 5 octobre 1988 bcp d’Algériens sont sortis ds la rue pour interpréter leur désaccord avec le gouvernement et Chadli bendjdid.

ils ont brûlé, cassé,saboté......rien que de dégâts. Alors ds les quartiers de Hydra régnaient la paix ,le silence. (Da3wa soussta),,,.

A la fin ga3 les gens de HYdra tfahmo w chraw camion w har9ouh pour participer fe les événements:D.

 

Hadihiya Hidra avant de passé de Sidi Yahia a Sidiyaya

Zoubir c vrais c du HS mais c ca Hydra

bigmdrbigmdrbigmdr

 

merçi beaucoup mon frère notre zoubir il défend toujour l'indéfendable c'est connu car il aime ce régime et c'est sont droit d'etre comme ça

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