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Sellal et l'aménagement de la capitale.


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Ménage à huis clos

 

Et les associations? Pourquoi ne sont-elles pas associées? Un édito qui pose de bonnes questions.

 

Editorial | 12. septembre 2014 - 8:01 Algérie patriotique.

 

Par Kamel Moulfi – Dans la gestion des grandes villes, la transparence et la démocratie participative ne semblent pas les bienvenues. C’est ce que l’on comprend du huis clos imposé aux travaux de la réunion entre une partie du gouvernement, une quinzaine de ministres, et les autorités locales, consacrée aux problèmes de la capitale. Ni les médias ni le mouvement associatif n’étaient présents pour écouter et rapporter à l’opinion publique, et encore moins intervenir dans un débat censé discuter des problèmes vécus par la population. Autrement dit, la société civile est indésirable. C’est évidemment contradictoire avec les déclarations officielles sur la démocratie participative et l’implication du citoyen dans les problèmes qui le touchent directement. Mais les contradictions entre le discours et la réalité sont maintenant monnaie courante et les Algériens, qui ont fini par s’en accoutumer, ne cherchent plus à comprendre. Ils constatent que ce sont ces contradictions qui font que leurs villes, et en premier lieu la capitale, sont mal gérées. Le résultat est visible dans la rue et aux yeux de tous, à travers la saleté envahissante, l’état dégradé de la voirie et l’incivisme qui est devenu une règle de conduite «normale», à croire que la loi «au-dessus de tous» ne sert à rien. La circulation automobile est le cauchemar quotidien des Algérois, les embouteillages sont partout et à toute heure, au point où il est maintenant très difficile de transporter en ambulance une personne qui exige des soins en urgence ; aucune priorité ne lui est accordée. Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, a évoqué, pour la capitale, des décisions urgentes dans tous les domaines et qui seront suivies par d’autres, a-t-il ajouté. Concernent-elles les préoccupations réelles des Algérois, qui sont les mêmes que celles des habitants des autres agglomérations urbaines du pays ? Par exemple, les «mesures urgentes» vont-elles mettre fin au commerce informel qui empoisonne la vie des riverains et qui s’étend aux produits prohibés ou strictement réglementés, comme les feux d’artifice et les fumigènes, avec des risques sur la sécurité des personnes ? La crise profonde qui frappe la gestion de la capitale ne sera pas réglée par des mesures administratives, du genre réorganisation, même si elles sont indispensables au vu des carences constatées. Les élites doivent être impérativement associées pour pallier les insuffisances en ressources humaines des instances locales. Le débat doit être élargi.

K. M.

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"la réunion entre une partie du gouvernement, une quinzaine de ministres, et les autorités locales, consacrée aux problèmes de la capitale".

 

Je voudrais demander à Monsieur Sellal s'il a eu une vue d'avion sur la capitale à son retour de France par exemple ?

Qu'en est-il des terrasses et des toitures des nombreuses cités et quartiers de la capitale ?

J'avais vu Paris de haut comme un plateau ou un "sni" étincelant de beauté où les les dômes, toitures des musées et des bâtisses rappelaient un riche service à table et à café joliment disposé, attirant par ses couleurs d'or et d'argent . La Tour Effel dressée comme une théière majestueuse et Les piscines ressemblaient à des sous- tasses bleues donnant une touche particulière à la capitale.

En voyant Alger ( Bab Ezzouar et plus), j'ai pleuré, il faisait un ciel gris et noir, du désordre vu de haut...

On se fait une opinion du pays avant d'atterrir.

Pourtant il faut juste blanchir et nettoyer.

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"la réunion entre une partie du gouvernement, une quinzaine de ministres, et les autorités locales, consacrée aux problèmes de la capitale".

 

Je voudrais demander à Monsieur Sellal s'il a eu une vue d'avion sur la capitale à son retour de France par exemple ?

 

.

 

 

le Chef du Gouvernement nous a déjà donné la bonne réponse. Selon lui , Dieu de ses hauteurs nous observe à la jumelle. La vue des toits de la capitale lui est familière. Il en reste aux recommandations qu'ils nous a déjà formulé . Tant que les Algérois ne feront pas l'effort de balayer devant leurs portes pour avoir des rues propres , le Tout Puissant laissera leurs toits dans l'état où ils sont.

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Sellal ce n'est un algerois, qu'il s'occupe de sa comune de naissance et laisser alger pour les natifs d'alger, tlemcen pour les tlemecenien batna pour les batnien sougueurs pour les segourois..

Que sait sellal de lhistoir de la ville d'alger..

 

Qu'on fint avec ces intrusions chaque fait entrer son derrieres dans des choses qui ne sont pas de son domaine

Pas vrai?

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Sellal ce n'est un algerois, qu'il s'occupe de sa comune de naissance et laisser alger pour les natifs d'alger, tlemcen pour les tlemecenien batna pour les batnien sougueurs pour les segourois..

Que sait sellal de lhistoir de la ville d'alger..

 

Qu'on fint avec ces intrusions chaque fait entrer son derrieres dans des choses qui ne sont pas de son domaine

Pas vrai?

C'est injuste ce que tu as dit là. C'est même régionaliste. Celui qui a le sens du beau n'a pas besoin d'être Algérois pour bien faire. Les gens s'adaptent, échangent, transforment, créent et magnifient. Je pense à Dubai qui a su avec de la neige artificielle créer des pistes de ski. L'impossible n'existe pas.

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Sellal ce n'est un algerois, qu'il s'occupe de sa comune de naissance et laisser alger pour les natifs d'alger, tlemcen pour les tlemecenien batna pour les batnien sougueurs pour les segourois..

Que sait sellal de lhistoir de la ville d'alger..

 

Qu'on fint avec ces intrusions chaque fait entrer son derrieres dans des choses qui ne sont pas de son domaine

Pas vrai?

 

Je pense que c'est vrai .'' Les gens de la Mecque connaissent ses sentiers ''.

De toute façons,que pourra t - il faire a cette malheureuse ville hyper-saturée? conçue pour 600 000 habitants ,elle se trouve a presque 10 000 000 avec moins de 1 o/o de natifs.

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C'est injuste ce que tu as dit là. C'est même régionaliste. Celui qui a le sens du beau n'a pas besoin d'être Algérois pour bien faire. Les gens s'adaptent, échangent, transforment, créent et magnifient. Je pense à Dubai qui a su avec de la neige artificielle créer des pistes de ski. L'impossible n'existe pas.

 

Le regionalisme est inné chez l'algerien, il né du ventre de sa mére regionaliste. Beaucoup de gens haisse alger et algeroie par jalousie et n'avalent pas encore sa position de capitale..avec chadli il avaient l'intention de mettre en morceau la capitale et chacun prendra sa part chez lui dans son djebel et dans son douar..

Dans les casernes vous n'avez pas vu le clanisme chez les appélé ceux de l'Est ceux de l'ouest ceux du centre bouira..chawiya de l'est chawiya du centre les arabe de l'ouest ..

C'est la france qui propageait cette litte interégional et elle existe toujours..

Alger c'est une affire d'assemblé des mairies..chaque assemblé fera ce qu'elle voudra chez elle..et vous puis tous les fonctionnaires de l'etat en fonction construisent des villas chez eux....

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Ménage à huis clos

 

Et les associations? Pourquoi ne sont-elles pas associées? Un édito qui pose de bonnes questions.

 

Editorial | 12. septembre 2014 - 8:01 Algérie patriotique.

 

Par Kamel Moulfi – Dans la gestion des grandes villes, la transparence et la démocratie participative ne semblent pas les bienvenues. C’est ce que l’on comprend du huis clos imposé aux travaux de la réunion entre une partie du gouvernement, une quinzaine de ministres, et les autorités locales, consacrée aux problèmes de la capitale. Ni les médias ni le mouvement associatif n’étaient présents pour écouter et rapporter à l’opinion publique, et encore moins intervenir dans un débat censé discuter des problèmes vécus par la population. Autrement dit, la société civile est indésirable. C’est évidemment contradictoire avec les déclarations officielles sur la démocratie participative et l’implication du citoyen dans les problèmes qui le touchent directement. Mais les contradictions entre le discours et la réalité sont maintenant monnaie courante et les Algériens, qui ont fini par s’en accoutumer, ne cherchent plus à comprendre. Ils constatent que ce sont ces contradictions qui font que leurs villes, et en premier lieu la capitale, sont mal gérées. Le résultat est visible dans la rue et aux yeux de tous, à travers la saleté envahissante, l’état dégradé de la voirie et l’incivisme qui est devenu une règle de conduite «normale», à croire que la loi «au-dessus de tous» ne sert à rien. La circulation automobile est le cauchemar quotidien des Algérois, les embouteillages sont partout et à toute heure, au point où il est maintenant très difficile de transporter en ambulance une personne qui exige des soins en urgence ; aucune priorité ne lui est accordée. Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz, a évoqué, pour la capitale, des décisions urgentes dans tous les domaines et qui seront suivies par d’autres, a-t-il ajouté. Concernent-elles les préoccupations réelles des Algérois, qui sont les mêmes que celles des habitants des autres agglomérations urbaines du pays ? Par exemple, les «mesures urgentes» vont-elles mettre fin au commerce informel qui empoisonne la vie des riverains et qui s’étend aux produits prohibés ou strictement réglementés, comme les feux d’artifice et les fumigènes, avec des risques sur la sécurité des personnes ? La crise profonde qui frappe la gestion de la capitale ne sera pas réglée par des mesures administratives, du genre réorganisation, même si elles sont indispensables au vu des carences constatées. Les élites doivent être impérativement associées pour pallier les insuffisances en ressources humaines des instances locales. Le débat doit être élargi.

K. M.

 

Ils devrait penser à faire une présélection routière uniquement pour les ambulances, les pompiers, les voitures d'urgence et l'autorisé pour les taxi et transports publique comme je vois ici. :)

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"la réunion entre une partie du gouvernement, une quinzaine de ministres, et les autorités locales, consacrée aux problèmes de la capitale".

 

Je voudrais demander à Monsieur Sellal s'il a eu une vue d'avion sur la capitale à son retour de France par exemple ?

Qu'en est-il des terrasses et des toitures des nombreuses cités et quartiers de la capitale ?

J'avais vu Paris de haut comme un plateau ou un "sni" étincelant de beauté où les les dômes, toitures des musées et des bâtisses rappelaient un riche service à table et à café joliment disposé, attirant par ses couleurs d'or et d'argent . La Tour Effel dressée comme une théière majestueuse et Les piscines ressemblaient à des sous- tasses bleues donnant une touche particulière à la capitale.

En voyant Alger ( Bab Ezzouar et plus), j'ai pleuré, il faisait un ciel gris et noir, du désordre vu de haut...

On se fait une opinion du pays avant d'atterrir.

Pourtant il faut juste blanchir et nettoyer.

 

Il y a bien d'autres plus urgentes :)

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