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Commémoration à Oran de l’assassinat du Pr Fardeheb


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Commémoration à Oran de l’assassinat du professeur Fardeheb

Article | 21. septembre 2014 - 10:36 Algérie-Patriotique

Le défunt Abderrahmane Fardeheb enseignait à l'université d'Oran. D. R.

 

 

Une cérémonie de commémoration du lâche assassinat du regretté Pr Abderrahmane Fardeheb sera organisée par le MDS, et des proches et amis du regretté à Oran, le samedi 27 septembre 2014. Dans un communiqué parvenu à la rédaction, le MDS tient à saluer «les pensées qu'auront pour le défunt, assassiné par les terroristes islamistes, en 1994, les démocrates et, en particulier, ses amis à travers le monde». Le MDS se félicite, par ailleurs, de l'initiative de la faculté des sciences économiques de l'université d'Oran de programmer, pour le mois d’octobre prochain, un colloque scientifique en sa mémoire. «Nous ne saurions laisser passer inaperçue la date de son lâche assassinat le 26 septembre 1994, ni ne pas valoriser la présence, samedi prochain, d'un membre ou plus de sa famille à Oran, pour organiser, en concertation avec quelques amis, la modeste commémoration et qui se déclinera, comme suit : le matin à 10h30 : recueillement au cimetière d’Ain El-Beïda à la mémoire de notre regretté ami ; l'après-midi à 15h : débat et témoignages sous la présidence de sa famille au siège (sis au 13, rue Monge, au quartier Miramar, à Oran) de l'AFEPEC, que nous remercions de mettre sa salle à la disposition de cette commémoration en dépit des problèmes d'agrément qu'elle connaît toujours», écrit le MDS. Il est à savoir, selon le site «Ajouad Algérie mémoires» que Abderrahmane Fardeheb, était «un grand humaniste, syndicaliste, fervent défenseur des plus faibles. Pendant des années il a milité au sein du Parti d’avant-garde socialiste (PAGS). «Né le 23 mai 1944 à Maghnia, le regretté était docteur d’Etat en sciences économiques à l’université d’Oran lorsqu’il est assassiné «le 26 septembre 1994 dans son quartier, alors qu’il était accompagné de sa fille, par deux jeunes terroristes islamistes». Aîné de la famille et orphelin de mère dès son adolescence, il est élevé par son défunt père, intendant des hôpitaux, et par sa grand-mère. Après l’école élémentaire à Maghnia, il s’inscrit au lycée Ben Zerdjeb à Tlemcen et passe son baccalauréat série scientifique avec succès à Alger en 1963. Il continue ses études universitaires en sciences économiques à l’université d’Alger, et obtient son diplôme de licence en 1969, et son DESS en 1972, sous la direction du professeur Benhassine, avec pour titre «Le rôle du secteur industriel dans la politique de développement économique». De 1970 à 1973, il est assistant contractuel à l’université d’Oran, avant de devenir assistant stagiaire jusqu’en 1981, et maître-assistant titulaire et chargé de cours jusqu’en 1983. En janvier 1990, il est maître de conférences et passe au grade de professeur en sciences économiques en mars 1992. Entre 1993 et 1994, il a encadré un groupe d’étudiants en post-graduation. Durant sa carrière, Abderrahmane Fardeheb a dirigé différents travaux, notamment en économie politique, économie du socialisme, relations économiques internationales, analyse des modèles de développement, ainsi qu’en histoire de la pensée économique. Il a aussi eu la direction de la formation doctorale en économie de développement d’un groupe de recherche sur la crise économique et la transition vers l’économie de marché en Algérie. Parmi ses écrits, «Les enjeux de la gestion socialiste en Algérie», «Industrialisation de l’Algérie et impérialisme», «La politique des investissements dans le secteur d’état industriel», une contribution au numéro spécial de la revue Notes, critiques et débats n°3, septembre 1982, consacrée au 20e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, et «Economie politique», ouvrage en deux tomes, OPU, 1993.

Meriem Sassi

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Feu Fardeheb était un éradicateur engagé et militant. Il avait été assassiné par un jeune binational manipulé par les services de sécurité , qui sera lui même tué après un second attentat manqué où l'attendaient ses employeurs en vue de l'éliminer.

 

qui tue qui ?

 

Qui tue qui?

 

Toujours le même cynisme afin de faire passer vos amis égorgeurs islamistes pour des innocents.

 

Combien de cadres, de patriotes et de simples anonymes ont été assassinés par vos amis?

Chacun saura reconnaître, les vrais amis du peuple algérien.

 

Désolé, mais les islamistes et vous même n'en faites pas partie.

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