Jump to content

Benflis présente son livre blanc sur la fraude, dénonce la vacance du pouvoir


Recommended Posts

Un centre de décision effrité, un pouvoir d’État qui a laissé place à un pouvoir des groupes de pression, d’influence et d’intérêt sont les principales conséquences du maintien du président Abdelaziz Bouteflika, selon Ali Benflis. L’ancien chef du gouvernement, candidat à la dernière présidentielle, a animé, ce mardi 30 septembre, une conférence de presse pour présenter son « Livre blanc sur la fraude ».

 

Vacance du pouvoir

 

Pour Ali Benflis, il serait difficile d’admettre que le pays est dirigé par son Président quand celui-ci ne tient que quatre Conseils des ministres par an. « Désormais, lorsque un Conseil des ministres est préprogrammé, il devient l’événement politique numéro 1 dans le pays. Alors que selon les normes, cette réunion doit se tenir chaque semaine », précise-t-il. Dans ce contexte, l’ancien chef du gouvernement est persuadé que toutes les conditions sont réunies pour déclarer la vacance du pouvoir. Selon lui, les preuves de cette vacance sont visibles. Il cite notamment « l’absence du Président des événements internationaux, les centaines de décrets qui restent dans les tiroirs en attendant la signature du Président sans omettre le fait que des dizaines d’ambassadeurs n’ont pas pu encore remis leur lettre de créances ».

 

Poursuivre le combat

 

Plus grave encore, « le président a délégué des prérogatives importantes contrairement à ce que stipule la Constitution », affirme M. Benflis. Pour lui, les élections présidentielles n’ont pas consacré seulement « cette vacance qui dure depuis déjà plusieurs années », mais elles servent à appuyer la théorie de « l’héritage du pouvoir ». « L’héritage peut concerner aussi bien le premier cercle, je fais allusion à la famille, mais peut concerner aussi le cercle d’intérêt », pense-t-il.

 

Ali Benflis promet de poursuivre le combat sur le terrain en mobilisant, s’il le faut et de manière pacifique, la population.

Link to post
Share on other sites
Méterran aussi a perdu plusieurs fois les urne mais avec la percevérence il est arrivé a etre président de la république

 

...........pense , si ses souvenirs sont bons, que Mitterrand avait perdu au second tour ,face à Giscard, avec plus de 45 pour cent des voix .

 

C'était la même configuration pour Chirac face à Mitterrand

Link to post
Share on other sites
...........pense , si ses souvenirs sont bons, que Mitterrand avait perdu au second tour ,face à Giscard, avec plus de 45 pour cent des voix .

 

C'était la même configuration pour Chirac face à Mitterrand

 

avec 1 ou 45 pourcent il a perdu et ce depuis les années cinquante qu'il a perdu des élection soit régional ou national et il a fini par etre président

Link to post
Share on other sites

L'Algérie est bien représentée

 

Un centre de décision effrité, un pouvoir d’État qui a laissé place à un pouvoir des groupes de pression, d’influence et d’intérêt sont les principales conséquences du maintien du président Abdelaziz Bouteflika, selon Ali Benflis. L’ancien chef du gouvernement, candidat à la dernière présidentielle, a animé, ce mardi 30 septembre, une conférence de presse pour présenter son « Livre blanc sur la fraude ».

 

Vacance du pouvoir

 

Pour Ali Benflis, il serait difficile d’admettre que le pays est dirigé par son Président quand celui-ci ne tient que quatre Conseils des ministres par an. « Désormais, lorsque un Conseil des ministres est préprogrammé, il devient l’événement politique numéro 1 dans le pays. Alors que selon les normes, cette réunion doit se tenir chaque semaine », précise-t-il. Dans ce contexte, l’ancien chef du gouvernement est persuadé que toutes les conditions sont réunies pour déclarer la vacance du pouvoir. Selon lui, les preuves de cette vacance sont visibles. Il cite notamment « l’absence du Président des événements internationaux, les centaines de décrets qui restent dans les tiroirs en attendant la signature du Président sans omettre le fait que des dizaines d’ambassadeurs n’ont pas pu encore remis leur lettre de créances ».

 

Poursuivre le combat

 

Plus grave encore, « le président a délégué des prérogatives importantes contrairement à ce que stipule la Constitution », affirme M. Benflis. Pour lui, les élections présidentielles n’ont pas consacré seulement « cette vacance qui dure depuis déjà plusieurs années », mais elles servent à appuyer la théorie de « l’héritage du pouvoir ». « L’héritage peut concerner aussi bien le premier cercle, je fais allusion à la famille, mais peut concerner aussi le cercle d’intérêt », pense-t-il.

 

Ali Benflis promet de poursuivre le combat sur le terrain en mobilisant, s’il le faut et de manière pacifique, la population.

 

Hum hum Ali...

Avec toi l'Algérie devrait prendre un essor considérable...

Aux dernières votations, ton score en a fait pâlir plus d'un...

Abdelaziz est un peu HS, c'est vrai...

Il délègue à des incompétents c'est vrai...

Tu parles de vacances, tu as envie de vacances?

J'avais pas compris...

Vacance de pouvoir...

Allez Ali le poteau est au bout...:mdr::mdr::mdr:

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...