Alger : un lycéen poignardé dans les toilettes de son lycée

[Samir16 10]

Dans nos écoles, nos enfants ne sont plus à l’abri de la criminalité qui les guette à l’intérieur même de l’enceinte scolaire. Pour preuve, un crime atroce vient de bouleverser le calme de la commune de Saïd Hamdine, dans la banlieue d’Alger. Un jeune adolescent de 17 ans a été poignardé par son camarade dans les toilettes de l’annexe d’un Lycée. Cet incident dramatique relance le débat sur la violence dans le milieu scolaire et l’insécurité qui commence à régner dans les écoles algériennes.

 

Nos écoliers sont-ils en sécurité à l’intérieur de nos écoles ? Pour les enseignants de l’annexe du lycée de Said Hamdine qui observent une grève pour exprimer leur indignation face à l’agression qui a failli ôter la vie à Souheib, un jeune lycéen de 17 ans, poignardé par son camarade, il est temps de tirer la sonnette d’alarme. Ces enseignants ont demandé aux autorités concernées de réagir en urgence sur le danger qui guette les élèves à l’intérieur de l’enceinte scolaire.

 

L’agression sauvage a été commise, jeudi dernier, à l’intérieur de l’annexe d’un lycée à Saïd Hamdine. La victime, le jeune lycéen Souheib, 17 ans, se trouve actuellement hospitalisé au niveau du service de réanimation de l’hôpital Mustapha Pacha. La victime, selon les témoignages de plusieurs camarades présents au moment du crime, recueillis par le quotidien d’information arabophone El-Khabar, s’est précipitée, au moment de la récréation, pour se rendre aux toilettes. Dans son empressement, le jeune Souheib a bousculé un camarade à lui et a poursuivi son chemin sans se retourner. Le camarade, en colère conte Souheib, le poursuit aux toilettes et l’agresse avant de lui asséner un coup de couteau à la poitrine et à la main avec un cran d’arrêt. Il s’est ensuite enfuit au moment où la victime était transférée, par les responsables de l’école, au centre médical de Saïd Hamdine et puis à l’hôpital de Mustapha Pacha. Cette agression a provoqué une vague d’émotion. Plusieurs enseignants et élèves dont des filles majoritairement, se sont évanouis sous l’effet du choc.

 

Encore sous le choc du dramatique incident, l’administration du lycée a suspendu les cours jusqu’à dimanche prochain pour permettre aux élèves de dépasser le traumatisme. Une enquête a été ouverte pour connaître les dessous de cette affaire qui a provoqué une vague d’indignation chez plusieurs parents qui ignorent maintenant si leurs enfants sont en sécurité à l’intérieur de l’école. Une maman qui accompagnait sa fille n’a pu dissimuler son appréhension et sa crainte de voir la criminalité gangrener l’école algérienne. «La situation est devenue très inquiétante. En plus de l’insécurité qui régnait aux abords de l’école, voilà que la criminalité s’installe désormais à l’intérieur de l’établissement. Comment est-ce possible que des élèves armés de couteaux puissent circuler en toute liberté ? », s’interroge cette maman inquiète pour la sécurité de sa fille scolarisée en classe terminale.

[Wahrani 1 465]

Si cet agresseur avait été bien suivi par ses parents depuis sa naissance , il n'irait pas au lycée avec une arme blanche !

 

De là à imposer une fouille systématique des élèves à l'entrée des établissements ....

[Ladoz 11]

Si cet agresseur avait été bien suivi par ses parents depuis sa naissance , il n'irait pas au lycée avec une arme blanche !

 

De là à imposer une fouille systématique des élèves à l'entrée des établissements ....

 

Ce "poignardeur" pourrait bien se retrouver ministre , député , médecin , juge ............

 

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