Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Partager Posted March 4, 2007 AL DJEZAIR MATIN L'hebdromadaire du Forum réalisé par nos soins qui sort les dimanche matin de bonne heure!!! Zouzou Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Editoral Editoconsistorial A l'heure ou le soleil sort des brumes, la connexion internet refonctionne enfin, je peux donc écrire une peu et mettre en pages notre journal qui dépend du bon vouloir des Télécommunications. Un juron me vient à l'esprit, mais il n'est pas bon de jurer ni le matin ni le soir! Donc.........Le Printemps arrive, les amandiers et les cerisiers sont en fleur, Hamdullilah!!! Tout bourgeonne sauf moi! Je laisse ça aux plus jeunes qui peuvent encore fleurir! Poésie et Philosophie meublent les pages du Forum, et..... une certaine anarchie y règne aussi depuis quelques jours, c'est un signe de bonne santé, le ronron du "bonjour, bonsoir" est gentil et sert beaucoup! Dans ces colonnes aujourd'hui nous aurons de tout en vrac, de l'analyse sociale, de la science de la cellule,du sport, de l'humour! Donc allons y et postons les archives de la semaine! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Sciences naturelles par Céleste CERVEAU ….Bug ! Non, pour l’instant rien ne bug, juste qu’aujourd’hui nous allons faire l’effort de comprendre ce qu’est un flux nerveux, ce qu’est une information transmise au cerveau. Depuis plusieurs siècles les scientifiques se sont efforcés de mieux comprendre le fonctionnement du cortex cérébral. Ils sont parvenus par de nombreuses expériences à délimiter de vastes zones dévolues aux fonctions premières de perception de l'information et à la commande motrice. Il est apparu qu’elles sont symétriques et croisées, l'hémisphère gauche recevant les informations issues de l'hémicorps droit et inversement.( Image1) Cet organe noble, pour pas dire ce qui est le plus noble en nous et qui fascine tous les spécialiste de neurosciences…… Le cerveau est un ordinateur humaniser, surtout n’allez pas m’imaginer un corps humain et un écran d’ordinateur sur les épaules, bien que nous serions tous pareil mais toute fois nous serions bien moches lol Mais nous pouvons très bien imaginer le cerveau comme un écran qui va projeter nos perceptions sensorielles, c’est ainsi que perçoit les techniques d’imagerie l’information transmise au cerveau ‘image 1’ la neuroscience est bien différente et bien plus complexe également dans son explication sur les transmissions des flux, L’influx nerveux passe à travers des cellules « neurones » (Image2a)(Image2b) , le bon passage de cet influx nerveux dépend de différents stimuli/inhibiteurs ou activateurs, ainsi si vous avez envie de dire à une personne de manière polie qu’elle vous saoule, et bien dites simplement « qu’elle fait effet d’inhibiteur de votre influx nerveux !!! » Mais dites le avec une pointe d’humour pour pas froissé les sensibilités !!! La description du flux nerveux est celle-ci : Le flux nerveux est caractérisé par la propagation d’une sorte d’onde de faible tension électrique (inférieure au volt) tout le long de la cellule nerveuse jusqu’au cerveau. Imaginez ça comme le passage de la lumière sur une guirlande c’est pareil, Heu, jusque là fastoche, mais si c’est une information électrique comment celle-ci passe d’une cellule à l’autre ? et bien au niveau des terminaisons synaptiques l’influx nerveux se transforme en un signal chimique, l’information change de nature, elle passe d’un neurone effecteur à un autre récepteur qui présentes en surface ce qu’on appel des neurorécepteurs (image3) et ça se fait en tandem. Si ce flux nerveux ne passe pas et c’est le bug : cela se traduit par des pathologies : En pratique, que se passe-t-il ? : Lors du trouble du rythme, le cerveau n'est plus irrigué, il y a fort logiquement perte de conscience et panne neuronale, c'est à dire que les conditions d'un flux électrique inter-neuronal disparaissent. Si cette situation se prolonge, il y a mort cérébral. Si elle dure relativement longtemps, les neurones seront diversement altérés et la reprise de l'activité cérébrale se fera après des délais de cicatrisation. La reprise de l'activité neuronale ne sera donc pas synchrone pour tous les neurones. Donc voyez vous-même l’importance du bon déroulement de cet influx nerveux !! Notre noble cerveau est responsable de l’envoi, de la réception et du traitement des influx nerveux. Tous les muscles et les organes du corps dépendent de ces influx pour fonctionner. Trois systèmes travaillent de concert pour remplir cette mission : les systèmes nerveux central, périphérique et autonome. Toute perturbation entrainera à des symptômes pathologiques. Et c’est pour quoi qu’il est de notre devoir d’en faire bon usage de cet organe fascinant que certains méprisent !!!! Alors au nom de la Neuroscience bugons pas avec notre esprit carré et des idées arrêtées….laissons cette fluidité passer n’agissons pas en sur-tenseur neuronal………. CELESTE Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Celeste suite QUI SOMME NOUS Nous somme ce corps, ces organes, ces tissus, ces cellules, cette cellule, ce noyau, ces chromosomes, cet ADN, ces gènes, ces protéines, ces fonctions protéiques dans une cellule…… Ce noyau, ce centre, ce détenteur de nous, nos informations, notre code, le code le plus complexe par sa fonction et le plus simple par sa compostions bien définie, oui un tel paradoxe ne peux qu’exciter les généticiens, les amoureux de la biologie moléculaire, devenue outils incontournables de la biologie. (Image.1a) ( Image.1b) Le noyau détient l’information génétique sous forme d’ADN , qui sera transcrit en ARN et ce dernier traduit en polypeptides et en protéines doté de fonctions différentes dans la cellule Toute modification sur la structure de l’ADN, ou un chromosome de plus ou de moins amène à une pathologie, tout n’est qu’ordre et organisation parfaitement synchronisée. L’ADN est présent dans des sortes de petits étuis LES CHROMOSOMES :qui se présentent comme des structures en forme de bâtonnés.(Image.2) Chez un même individu il est à préciser que toutes les cellules comportent le même ADN, en d’autres termes, toutes nos cellules détiennent le même patrimoine génétique, c’est juste l’expression de cet ADN qui change d’un type cellulaire à un autre . Et c’est à savoir que seule nos globules rouges « Erythrocytes » ne comportent pas de noyau et donc pas d’ADN Arrivé là, vous vous dite et les gènes c’est quoi alors ? Un gène est un segment de l’ADN qui code pour un ARNm qui sera traduire en protéine et ainsi une fonction dans la cellule, de la nous générons le DOGME central de la biologie moléculaire et de la génétique : ADN…….ARN…………PROTEINE. (Image.3) Si un gène subit une modification dans sa structure « cassure et mauvaise réparation, ou modification structurale » on parle alors de mutation. Les variations génétiques sont dues à des mutations, ce sont donc des modifications dans l'expression des gènes. Une mutation peut survenir spontanément, et provoquer une modification dans la structure du génome, elle peut être aussi due à une erreur lors de la duplication de l’ADN ou due à un agent extérieur dit « Mutagène » comme les irradiations, les toxines, …. Une mutation peut être également transmise d’une génération à l’autre , et peut elle-même subir une nouvelle mutation. Une mutation peut être à l’origine d’une pathologie, mais nous en parlerons une autres fois… Abréviations : ADN :Acide Désoxyribonucléique. ARN :Acide ribonucléique . ARNm : m= Messenger : détenteur de l’information et qui sera traduit en protéine. Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Kenza analyse socio La politique et les jeunes Non, les jeunes ne sont pas dépolitisés ! Loin s'en faut. Plus informés, ils sont plus critiques et exigeants que leurs aînés à l'égard des politiques, n'ont pas remisé leurs illusions, et leur expérience dans ce domaine se révèle plutôt riche, voire pleine de promesses pour l'avenir. Les sirènes alarmistes qui retentissent dès qu'est abordée la question du rapport des jeunes à la politique peuvent donc se mettre en sourdine. En France, en effet, l'implication de ces derniers dans la vie de la cité et leur participation électorale - ou plutôt sa faiblesse - reviennent régulièrement dans les débats. Elles sont même au cœur de maints programmes d'action. Ainsi, des conseils municipaux de jeunes ont-ils été créés afin de faciliter leur apprentissage de la démocratie ou encore la réforme des lycées réintroduit-elle l'éducation civique. En fait, les jeunes sont, aujourd'hui, à la fois intéressés et désintéressés par la politique… comme bon nombre de citoyens. Et pour comprendre le lien qui les y unit, il faut saisir comment s'effectue le travail de recomposition des normes et valeurs inhérent à nos sociétés complexes, à travers lequel prend forme la socialisation des individus. La jeunesse étant, en outre, confrontée à un double impératif : s'identifier à ses aînés et innover, c'est via la tension entre héritage et expérimentation que se construit son rapport à la politique. Les jeunes rencontrent la politique dans un contexte assez différent de celui de leurs parents, car le système de repérage, les grands clivages idéologiques, sont désormais en partie brouillés. Ainsi, notamment, les oppositions gauche-droite ou socialisme-libéralisme économique ne sont-elles plus aussi évidentes. De même, la mondialisation modifie la perception de l'utilité de l'action collective dans le cadre purement national. La question sociale - prégnance du chômage et des exclusions oblige - n'a par ailleurs jamais été aussi présente dans la formation des enjeux politiques et partisans. Autant d'évolutions qui ne pouvaient qu'influer sur les comportements électoraux de nos concitoyens. Contrairement aux années 60 et 70, le vote des jeunes - dont seule une minorité se rend aux urnes - ne se démarque guère de celui de leurs aînés. Il n'est plus traversé ni par le désir de changer radicalement la société ni par des visées anticonformistes. Ce vote porte la marque des effets de l'alternance, suit globalement les récents changements de camp politique, et s'est peu à peu rallié aux choix de l'ensemble du corps électoral. S'ils renvoient dos à dos la gauche et la droite, les jeunes identifient, en revanche, les extrêmes comme étant les seules forces politiques à partir desquelles se structure le débat. En dehors de ces extrêmes, dont il convient certes de se protéger, les partis sont peu différenciés. Si le vote Front national a concerné une forte proportion de jeunes dans les années 90 (18 % lors de la présidentielle de 1995), leur origine sociale et leur niveau de formation ont un fort impact. Ainsi, en 1995, chez les non-bacheliers, le score de Jean-Marie Le Pen atteint 24 % ; chez ceux qui poursuivent des études supérieures, il descend à 4 %. Cette différenciation s'explique par le sentiment d'une certaine précarité et par la menace de l'exclusion sociale qui favorisent un vote protestataire et populiste parmi les jeunes des milieux populaires. Mais même s'ils maintiennent une distance, voire nourrissent une certaine méfiance, envers les hommes et les institutions liés à la politique, les jeunes sont loin d'en déserter la scène. Bien au contraire, leur activisme est réel et ils sont très mobilisés. Ici, ils s'impliquent dans la défense des droits de l'Homme, là, ils prennent la tête de mouvements de revendication liés à l'éducation ou à la formation. Ils sont d'ailleurs plus nombreux aujourd'hui qu'à la fin des années 80, et autant que l'ensemble de la population, à déclarer s'intéresser à la politique. Ce qui a donc changé, c'est d'abord le contenu de leur engagement, mais aussi le contexte de désinstitutionnalisation de l'action politique dans lequel ils expérimentent la mobilisation collective. Leurs aînés, en effet, tout en s'orientant également vers des formes autonomes et spontanées de revendication, conservent, eux, la mémoire des modes d'action traditionnels. Aussi la socialisation politique des jeunes est-elle plus expérimentale et suppose-t-elle un mode de participation plus axé sur des actions ponctuelles et ciblées. Les jeunes veulent en fait réconcilier terrain des idées et action, aspirent à un retour de l'éthique politique, et prônent l'engagement, la vérité et l'humanité. En résumé, quatre clés permettent de mieux appréhender les contours de l'expérience politique pendant la jeunesse : l'influence toujours dominante mais non dénuée d'ambivalence de la famille - les conditions de la filiation politique ont une incidence directe sur les choix des jeunes comme sur leur stabilité dans le temps ; la dissociation de l'univers de la décision électorale des autres formes d'implication politique des jeunes ; les effets du temps lui-même sur la constitution de l'expérience politique - notamment, le temps met à l'épreuve la durabilité des premiers choix et l'infidélité partisane ou électorale est plutôt la règle ; enfin, la recomposition des attentes politiques des jeunes. Et c'est là que bien des images convenues sont renversées. Les jeunes ne développent pas un rapport indifférencié à la politique. Les années de jeunesse ne constituent pas un bloc d'expériences unifié et continu. S'ils votent moins que leurs aînés, les jeunes sont pleinement concernés. S'ils peuvent être en retrait du jeu électoral, ils peuvent être aussi des acteurs, au premier rang de la mobilisation collective. Kenza Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Couisina de Raziela Le chaudron Il faut : trois yeux de coq cinq poils d’écureuil deux oreilles d’éléphant de la bouse de vache un nez d’homme six antennes d’extra -terrestre 1 litre de pipi de chat du polen de fleurs trois mèches de cheveux des flocons de neige des étoiles d’or du ciment Recette : Prendre trois yeux de coq. Mélanger avec cinq poils d’écureuil. Rajouter deux oreilles d’éléphant. Prendre de la bouse de vache. Mélanger avec un nez d’homme. Rajouter six antennes d’extra-terrestre. Prendre 1 litre de pipi de chat. Mélanger avec du polen de fleur. Rajouter trois mèches de cheveux. Prendre des flocons de neige. Mélanger le tout. Faire cuire pendant 35 mn. Saupoudrer avec des étoiles d’or et un peu de ciment. C’EST PRET !!!! ____ Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Couisina 2 par Raziela Langues de sorcières... Ingrédients pour 12 langues de sorcières 3 blancs d'oeufs - 120 g de sucre - 120 g de farine - 70 g de beurre - 20 g de fruits confits - 1 cuillère à soupe de vermicelles au chocolat - 3 cuillères à soupe de perles colorées - 10 g de pignons de pin - 5 g de pistaches décortiquées - 1 cuillère à soupe de graines de sésame - 10 g de copeaux de chocolat - du coulis de fraise concentré . Temps de préparation : 30 min Niveau : assez facile 1- Faites fondre le beurre à feu doux dans une casserole. 2- Dans un saladier, battez les blancs d'oeufs jusqu'à ce qu'ils aient une consistance mousseuse. Ajoutez la farine, le beurre et le sucre, mélangez bien. 3- Préchauffez votre four à 170°C. 4- Disposez du papier sulfurisé sur la plaque du four. Déposez une bonne cuillère à soupe de pâte et à l'aide d'un couteau à beurre, dessinez la tuile en forme de langues pointues (ou de feuilles). Vous pourrez faire deux tournées de 6 langues. Au milieu des tuiles, saupoudrez de la manière suivante (accrochez-vous) : - sorcières ayant attrapé la varicelle et du muguet : faîtes de petites boules de coulis de fraise concentré, mettez des graines de sésame et les pistaches concassées, - sorcières ayant des verrues et mangé des cafards : disposez des pignons concassés et des copeaux de chocolat, - sorcières ayant versé de la potion magique sur leur langue : saupoudrez de perles colorées, - sorcières ayant la langue crâmée avec des asticots dessus : disposez des fruits confits coupés en petits dés et des vermicelles de chocolat. Changez les ingrédients pour la décoration, je suis sûre que les vôtres vous surprendront. 5- Passez au four environ 10/15 min. Les langues sont cuites dès que les bords se foncent. Guettez la cuisson sinon, c'est rapide et vous pourrez choisir entre des tuiles craquantes/dorées ou tendres/claires. 6- A l'aide d'une spatule à crêpe, récupérez les langues et posez-les quelques secondes sur un rouleau à pâtisserie si vous les voulez tordues. langue rose Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 SPORT Par Luciole bonjour monsieur zouzou voila c'est pour la rubrique sport Footbag C'est l'épreuve artistique du footbag, et la plus pratiquée hors compétition. A mi-chemin entre la jonglerie en football, la danse et l'art martial, il s'agit d'executer des figures en combinant technique et fluidité. La technique s'acquiert à force de répétition du mouvement, et la fluidité, pour ne pas dire la grâce, dépend du rapport personnel à la musique et de la créativité du joueur. Tout ceci donne à chacun son propre style. Le style n'est ni bon ni mauvais, il reflète tout simplement la personnalité du joueur. Le freestyle footbag se joue généralement entre plusieurs personnes qui forment un cercle. Elles essaient de garder la balle «en vie», c'est à dire de ne pas la faire tomber, le plus longtemps possible à l'aide de tricks (ou figures) et de passes. Chaque figure à un nom comme dans toute discipline relevant du freestyle. Tous les tricks portent en faite des noms artistiques tels que «flying clipper, squeeze, paradox mirage, symposium whirl, etc ». Il existe dans le freestyle une pratique sport-loisir qui consiste surtout à se passer la balle entre personnes d'un même cercle, sans toutefois utiliser l'amorti et toutes les figures qu'il permet d'exécuter. La pratique sport du freestyle demande un engagement physique nettement plus prononcé, le rythme de jeu augmente fortement, il demande de plus en plus de contrôle et de précisions. En compétition les joueurs se présentent devant un panel de juges, avec une musique et une chorégraphie qu'ils exécutent. Pour shématiser, les compétiteurs se voient attribuer, tout comme au patinage artistique, des notes artistiques et techniques. Il existe également une version "team" (à deux) du freestyle, celle-ci est visuellement proche de la capoera. Elle fait également l'objet d'une épreuve en compétition. demain je vous posterais la blague http://video.google.fr/videoplay?docid=1509038117670176321&q=footbag euhh!!! la paye c'est pour quand?? Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Blague par Luciole La blague de Luciole bonjour monsieur zouzou et voila ma blague Quand je suis né, j'étais noir. Quand j'ai grandi, j'étais noir. Quand j'ai peur, je suis noir. Quand je vais au soleil, je suis noir. Quand je suis malade, je suis noir. Tandis que toi "homme blanc", Quand tu es né, tu étais rose, Quand tu as grandi, tu est devenu blanc, Quand tu vas au soleil, tu deviens rouge, Quand tu as froid, tu deviens bleu, Quand tu as peur, tu deviens vert, Quand tu es malade, tu deviens jaune, Et après ça tu as le toupet de m'appeler "homme de couleur" ? Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Huirck? par Zouzou Bonjour Cousin !!!! Le séquencage du génome du chimpanzé Nature septembre 2005 Une équipe internationale (67 chercheurs) principalement américaine vient de livrer le résultat de ses recherches sur le séquencage complet du génome du chimpanzé. La séquence d'ADN du chimpanzé et de l'homme identique à 99 % ! C'est le chimpanzé Clint, de la sous espèce Pan troglodytes verus, qui a servi de modèle. Après l'homme, le rat et la souris, c'est le quatrième mammifère qui bénéficie d'une étude aussi complète . La comparaison avec Homo sapiens indique que les deux espèces partagent la très grande majorité de leur patrimoine génétique. De manière plus précise, 99% des 3 milliards de paires de bases formant notre double hélice d'ADN sont identiques à celles du chimpanzé... C'est peu et beaucoup à la fois : la différence entre notre génome et celui du chimpanzé est dix fois plus grande que celle entre deux êtres humains... La confirmation d'une séparation "récente" entre la branche humaine et celle des chimpanzés. L'extréme proximité génétique des deux espèces indique que la séparation, à l'échelle du monde, est relativement récente. Si la majorité des scientifiques évaluent cette séparation entre 6 et 8 millions d'années, Brigitte Senut (Museum National d'Histoire Naturelle) et Martin Pickford penchent pour une disjonction plus ancienne : 13 millions d'années Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Informatique par Knuth: Chronique OTAKU Ce terme qui est devenu courant chez les jeunes d’aujourd’hui, est un mot Japonais qui signifie «*celui qui reste chez lui*», en effet le mot en lui-même signifie «*maison*». L’équivalent de ce mot en anglais est «*No-life*» qui est passé en français à «*Quelqu’un qui n’a pas de vie sociale*». Il y a plusieurs catégories de «*no-life*» et l’une d’elle c’est celui qu’on appelle «*Geek*», qui est beaucoup tournée «*virtuel*» (programmation, chat, jeux…) qu’autre chose. Les Geeks et les Otakus sont souvent source de plaisanterie (voir même de mépris) de la part des «*gens normaux*» (vous m’en direz tant), est-ce par ignorance ou par jalousie*? C’est ce qu’on essaiera de voir. Pour mieux comprendre ces gens il faut voir leur style de vie, qui est particulier. En effet, leur vie repose beaucoup sur l’ordinateur et l’internet, ils passent leurs temps devant l’écran sans sortir (sauf en cas d’extrême). L’une des principales attractions étant les jeux, mais pas n’importe quel jeu, les MMORPG «*jeux enligne massivement multi-joueurs*» où des «*milliers*» de joueurs se rassemblent pour vivre une vie virtuelle loin des problèmes de la vie courante, loin des contraintes physique. Dans cette vie on peut faire un retour à zéro en créant un nouveau caractère (un personnage dans le jeu) chose qu’on ne peut faire dans la vraie vie. C’est vrai que d’un point de vue logique on ne peut pas dire que le joueur de ce genre de jeux est sans vie social car il «*socialise*» avec des gens de tous les pays, c’est l’un des bon coté de ces jeux, mais il reste que l’abus a des répercutions sur la vie réelle. On se rend compte alors que c’est plus une maladie voir même un fléau car pour le seul jeux Lineage2 , on recense des «*centaines de milliers*» de joueurs, sans oublier que ce n’est qu’un jeu qui est classé en deuxième place derrière le leader «*The World of Warcraft*» qui a quand à lui des millions, et ces jeux ne cessent de remplir les stands, comme le tous nouveau «*Second Life*» dont le nom ne laissera personne perplexe sur la nature du jeu. A la fin on se pose des questions*: Est-ce vraiment une deuxième vie*? Peut-on vraiment vivre ainsi*? Qu’espère-t -on d’une telle vie*? Et si c’est vraiment une maladie, comment les guérir*? Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Toujours par Knuth Conseils aux "NULS" Eteindre son ordinateur à une heure précise sans utiliser un logiciel." Ouvrez le Bloc-notes, et entrez y cette ligne : shutdown -s Faites Fichier --> Enregistrer sous , dans type sélectionnez Tous les fichiers et comme nom de fichier tapez " shutdown.bat " (sans les guillemets). Ouvrez le Panneau de configuration, ensuite Tâches planifiées. Double clique sur Création d’une tâche planifiée. Cliquez sur «*Suivant*», Cliquez sur parcourir et sélectionnez notre fichier «*shutdown.bat*». Dans ce qui suit sélectionnez la fréquence (Tous les jours, … ou une seule fois), (suivant), définissez en suite l’heure et la date. Dans la nouvelle vue ne pas changer le nom d’utilisateur, saisissez le mot de passe de votre session Windows cliquez sur suivant ensuite terminer. A l’heure précisée l’ordinateur lancera le fichier shutdown.bat qui éteindra l’ordinateur après 30sec de son lancement. ------------------------------------------------------------ Pour ceux qui n’ont pas de mot de passe pour leurs sessions Windows*: -Panneau de configuration --> Comptes d’utilisateurs --> Sélectionnez votre nom de session (nom de votre compte) - -> Créer un mot de passe. Si en cas de mauvais choix de date vous pouvez supprimer la tâche. Mais dans le cas où la tâche s’exécute et que vous êtes toujours entrain de travailler vous pouvez annuler l’arrêt du PC en faisant*: Démarrer - -> Exécuter - -> shutdown –a - -> Ok. Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Meteo Allez à Thouars par Zouzou Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Mots croisés http://www.mots-croises.ch/Grilles/HTML.cgi?Gr=HC%2FHC-0001 Aujourd'hui ce sont les Suisses!!!! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 TV http://www.programme-tv.net/ Hop là il y a tout!:mdr: Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Mot de la fin Bon j'ai fini! Il manquait des choses promises, j'ai les noms!!! Donc Seront punis............:crazy: Ceux qui ont promis et qui n'ont pas fait Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Musique du jour Eh oui c'est de ça que je joue! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Par Maimon "La Blague" (Il revient demain!) Une mere juive offre a son fils deux cravates pour l'anniversaire Une bleue et une rouge le fils voulant faire contente maman, le lendemain se met la bleue la mère en ouvrant la porte le voit et s'excalme: Pourquoi la bleue? La rouge ne te plait pas? 3 mères juives autour d'une table. La première s'exclame: oye, oye , oye la seconde: gevald, gevald gevald la troisième: aye. aye , aye enfin une dit: Bon assez parlé des enfants. Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Dernière minute: les dix commandements du Forum les 10 commandements 1.Garde des chaînes anti-dérapage sur ta langue, dis toujours moins que ce que tu penses. La façon de le dire compte plus que ce que tu dis. 2.Fais peu de promesses mais tiens toujours à tout prix celles que tu fais. 3.Ne laisse jamais passer l'opportunité de dire un bon mot d'encouragement à ou sur quelqu'un. Louange un travail bien fait, qui que ce soit qui l'ait fait. Si tu as besoin de critiquer, fait une critique constructive, jamais pour blesser. 4. Sois intéressé dans les autres, leurs espoirs, leur travail, leurs foyers, leurs familles. Sois heureux avec ceux qui le sont, pleure avec ceux qui pleurent. Que tous ceux que tu rencontres, même les plus démunis, se sentent importants à tes yeux. 5. Sois de bonne humeur. Ne laisse pas voir tes petits malaises et tes désappointements. Rappelle-toi que chacun porte sa part de misères. 6. Garde ton esprit ouvert. Tu peux discuter mais sans argumenter. C'est une marque d'un esprit supérieur d'être en désaccord sans être désagréable. 7. Laisse tes vertus, si tu en as, parler pour elles-mêmes. Refuse de parler des vices des autres. Décourage les commérages . C'est une perte de temps précieux qui peut être extrêmement destructive. 8. Sois prudent avec les sentiments des autres. Faire de l'esprit et s'amuser aux dépens des autres ne vaut pas la peine et peut blesser sans le vouloir. 9. Ne fais pas attention aux remarques désobligeantes sur ton compte. Rappelle-toi, la personne qui les dit n'est probablement pas le reporter le plus exact du monde. Que ta vie soit tout simplement vécue pour que personne ne croie ces remarques. 10. Ne sois pas trop anxieux sur le crédit qui t'est dû. Fais de ton mieux et soit patient. Oublie-toi toi-même et laisse les autres "se rappeler". Le succès est bien plus agréable Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Histoire De Djoha et traduction du Judéo-espagnol Djohá era kazado kon una mujer muy tabiyatlí.2 Todo lo ke él azía, para eya no era bueno. Si vinía del charshí3 djusto a kaza, eya le dizía: «Ke minder-beg4 de marido ke tengo! Nada no va salir de él». Si se kedava ‘n el charshí, eya dizía: «Tanta sihorá5 ke me dates! Yo te sto asperando, i tú? Ni vienes, ni mandas haberes!6 El Dio me va ayudar, i un día no vas a tornar. Me sikliyaré7 una vez para siempre, i skapimos!» Kuando él venía a la kaza kon los zembiyes8 yenos de zerzevates,9 le dizía: «Vaka soy? Loke stoy? I la karne onde sta?» Si él le traía karne, eya le dizía: «Atavanado, gastador! Kvalo te parese? Shabat es oy?» El buen del muestro Djohá entendió ke komo no sea eya va gritar, ansina ke deshó de eskucharla i de tomar al korasón. Kvando eya, la áspida, entendió ke él mas no se sta sikliyando por sus keshas i maldisiones, empesó a maltratarlo en otras maneras. A vezes le dizía ke lave el servisio, i kvando él skapava kon el lavoro, eya lo suziava de muevo i le dizía: "Ayde, Djohá, no se bive solamente oy... Ayde, lava el servisio!» I Djohá somportava i somportava... Ama un día, kvando la mujer le disho ke se eche en kvatro pies, porké la tahtá10del tekné11para lavar la ropa se le rompió, i eya kere meter el tekné sovre su espalda, la pasensia de Djohá s'akavó, i él se fuyó de la kaza. Djoha était marié avec une vraie vipère. Quoi qu’il fasse, elle le jugeait mal. S’il revenait du marché directement à la maison, elle lui lançait : « Quel casanier j’ai épousé ! On en fera jamais rien ». Si au contraire il restait un moment sur le marché, elle criait : « Ben Adam ? je t’attends toute la journée et toi ? Tu disparais et tu ne donnes aucune nouvelle ». Dieu m’aidera et un jour tu ne reviendras plus. Je me déciderai pour de bon et je m’enfuirai ! ». S’il revenait les paniers remplis de légumes (verdures), elle lui disait « Je suis une vache ? Une folle ? Et la viande elle est où ? ». Si c’était avec de la viande qu’il revenait « Ya Hasrha, quel dépensier ! Qu’est-ce qui t’arrive ? C’est shabbat aujourd’hui ? ». A force d’entendre ses hurlements, Djoha comprit que pour son bien il valait mieux ne plus l’écouter ou prendre à coeur ce qu’elle disait. Mais quand la vipère comprit qu’il ne faisait plus attention à ses plaintes et à ses malédictions, elle commença à le maltraiter autrement. Parfois elle lui demandait de laver la vaisselle, et dès qu’il avait terminé elle la salissait de nouveau et lui hurlait « allez Djoha, on ne boit pas qu’aujourd’hui, allez on lave la vaisselle ! ». E Djoha le supportait ainsi chaque jour. Mais il arriva un jour où sa femme lui dit de se mettre à quatre pattes parce que La table à linge était cassée. Et elle voulut mettre la table sur son dos. C’est à cet instant que la patience de Djoha prit fin et qu’il s’enfuit de la maison. Andando él por el diziarte12, topó dos amigos ke kaminavan djuntos. Los dimandó si se pueden adjuntar kon eyos. Le disheron: «Mozotros no tenemos nada en este mundo, afuera de una dová13, ke savemos, i kada día uno de mozotros dize esta dová, i la komida mos kaye de los sielos. Si saves esta dová, puedes ir kon mozotros». Alors qu’il marchait dans le désert, il rencontra deux amis qui cheminaient ensemble. Il leur demanda s’il pouvait se joindre à eux. Ils lui répondirent « Nous n’avons rien en ce monde, si ce n’est une prière que nous connaissons, et chacun jour un de nous l’a récite faisant tomber la nourriture du ciel. Si tu sais cette prière tu peux venir avec nous. «Bueno» - les disho Djohá - «ya la sé». Primer día le dizen a Djohá: «Ayde, djánum,14 diga la dová, porké keremos komer». Les respondió Djohá: «Oy ke la diga uno de vozotros. Amanyana la digo yo». « D’accord », leur répondit-il, « je la connais ». Le premier jour, ils disent à Dojha : « Allez l’ami, dis nous cette prière ». - « Euh non, qu’un de vous la dise aujourd’hui. Dès demain c’est moi qui le ferai ». Uno de los amigos se mitió a dizir la dová, i en dos tres puntos ya bashó de los sielos un siní15 yeno de komidas i frutas. Djohá se kedó kon la boka avierta. Komieron, bindisheron i se mitieron al kamino. Otro día le dizen: «Ayde, kuzum16, es tu torno de dizr la dová». Les disho Djohá: "Oy ke la diga el sigundo amigo, i yo la vo dizir amanyana».«Ki sea! » - le disheron eyos. El sigundo amigo se mitió a dizir la dová, i Djohá lo está mirando, para ver si podrá maldarle17 las palavras de la dová de los lavios. Ama kon unas kvantas palavras éste skapó, i de muevo bashó de los sielos un siní yeno de todo. Treser día, non tuviendo otro rimedio, el buen de muestro Djoh se mitió a dizir la dová. Ama, komo no savía el teksto segreto de akeya dová spesial, él empesó ansina: «Sinyor del mundo, esta dová ke la stan diziendo éstos dos, ni la sé, ni la supi. Ama komo ke Tú sos muestro Padre Rahmán,18 mira esta tefilá mía komo si fuera lo ke stan diziendo eyos. Toma mi niyet19 komo si era suyo, i azmos bondad, para no pedrermos yo i esta djente.» En akel momento basharon de los sielos tres sinís: uno kon komidas gizadas, otro kon frutas i treser kon todo tipo de dulsura. I non solamente esto, si no ke kayó también un ibrik20, para ke puedan lavarsen las manos i los pies, i un peshkir21 para poder enshugarsen. I al kavo les kayó un djezvé22de kavé i tres nargilas. Los dos amigos se maraviyaron muncho, ama el mas maraviyado era Djohá. El día de dispués los dimandó a sus amigos komo es la dová ke eyos stan diziendo, i les disho: «Vitesh ke yo también me la sé, i es solamente ke kero saver si ay alguna diferensia entre lo ke digo yo i lo ke stash diziendo vozotros». Le disheron: «Mozotros stamos diziendo ansina: Un des amis se mit à réciter la prière et en deux temps trois mouvement un plateau rempli de nourriture descendit des cieux. Djoha en était bouche bée. Ils mangèrent, prièrent ( ?) et reprirent le chemin. Le jour suivant ils lui dirent « Allez, mon lapin, c’est à toi de la dire cette prière ». Mais il répondit « finalement que le 2e ami la dise, je le fais demain ». « Ainsi soit-il », lui répondirent les deux amis. Djoha regarda avec attention l’homme pour essayer de lire sur ses lèvres. Mais il y avait bien trop de paroles pour qu’il puisse y parvenir et de nouveau un plateau couvert de nourritures apparut. Au troisième jour, le bon Djoha n’avait plus le choix et se mit à réciter la prière. Mais comme il n’en connaissait pas les paroles secrètes, il commença ainsi : « Seigneur, cette prière que les deux ont récitée, je ne la sais pas, ni l’ai jamais su. Mais comme tu es le maître miséricordieux, écoute ces paroles comme si c’étaient celles de mes deux compagnons, accepte mon appel comme si c’était le leur, et sois bon pour ne pas nous perdre, ces gens-là et moi ». A ce moment trois plateaux descendirent du ciel. L’un était garni de viandes cuisinées avec des fruits et toutes sortes de pâtisseries. En outre, une jarre ( ?) leur tomba du ciel pour qu’ils puissent se laver les mains et les mains et une serviette pour qu’il puisse se sécher. Et à la fin tombèrent également un moulin à café et trois narguilés. Les deux amis furent émerveillés, mais le plus surpris de tous fut Djoha. Le jour suivant, il demanda à ses amis les paroles de leur prière et leur dit « vous avez vu que je la connais moi aussi, je voulais juste savoir s’il y avait une différence entre ce que chacun dit ». ils lui répondirent que leur prière était la suivante : Patrón del mundo, por zahú23d'akel Djohá, ke tanto sufre de la mano de su mujer la áspida, demos vino i komida i alarge muestra vida». Maitre du monde Pour le mérite de Djoha Qui souffre tant De la main de sa femme Donne nous du vin et de la nourriture Et fais durer nos vies Entendiendo ke el kamino al Gan Eden24 está basho de los pies de su mujer, Djohá tornó a kaza, se metió en kvatro i le disho a la balabaya25: «Ayde, buena mujer, tray el tekné i no me detengas de mis zehuyot!"26 Version originale en "Ladino" ( Judéo-espagnol) Comprenant que le chemin vers l’Eden était aux pieds de sa femme, Djoha rentra à la maison, se mit à quatre pattes et dit à la maîtresse de maison « Allez, ma douce épouse, amène le battoir à linge et ne me délivre pas de mon devoir ». __ Un petit lexique pour le texte: 1 áspida: kulevra 2 tabiyatlí: (del turko: tabiat: natura): kaprichoza 3 charshí: (en turko: çarsi): merkado 4 minder-beg: (del turko: minder: sofá; bey: shefe): ombre de kaza, ke no le agrada salir 5 sihorá: (del ebreo: sh.horá: preta): estrechura 6 haberes: (del turko: haber): notisias 7 sikliyaré: (del turko: sikilmak: enfasiarse): me la tomaré 8 zembiyes: (del turko: zenbil): sestos 9 zerzevates: (del turko: zerzavat): vedruras 10 tahtá: (en turko: tahta: tavla): banketa 11 tekné: (en turko: tekne): payla 12 diziarte: dizierto 13 dová: (del turko: dua): orasión 14 djánum: (del turko: canim): mi kerido 15 siní: (del árabo ): plato de servir 16 kuzum: (del turko: kuzu): kodrero, akí: mi kerido 17 maldarle: meldarle 18 Rahmán: (en ebreo): piadozo 19 niyet: (en turko): entansión 20 ibrik: (en turko): djarriko 21 peshkir: (en turko: peskir): tovaja 22 djezvé: (en turko: cezve): kafetiera 23 zahú: (del ebreo:zhut): mérito 24 Gan Eden: (en ebreo): paradizo 25 balabaya: (del ebreo: baalat abait): patrona de kaza 26 zehuyot: (el ebreo: zhuyot): derechos, méritos Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Je suis sûr en effet que ces commandements feraient bien dans la charte!:04: Chacune et chacun se devrait de les lire et de le méditer avant de poster!!! Et j'oubliais une chose importante, aujourd'hui c'est la Fête de " Pourim" donc Maimon est à la maison! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Pourim Contexte historique Les livres de Daniel (chap. 1-9) et d'Ezra (chap. 1-6) nous donnent le contexte du récit de la Meguila. Ce fut au Ve-IVe siècle av., époque où le peuple juif, déjà exilé en Babylonie, avait perdu sa souveraineté et son sanctuaire et était exilé en Babylonie. Cet empire était tombé aux mains des Perses et s'étendait de l'Inde à l'Ethiopie. Cyrus avait donné la permission aux Juifs de retourner en Israël (qui se trouvait également sous sa domination) et d'y reconstruire le Temple. Une partie du peuple s'y était rendue et, dans des conditions difficiles, avait jeté les fondations du sanctuaire. Sous le règne d'Assuérus, les Samaritains, intriguant contre les Juifs, les accusèrent de vouloir se révolter contre la Perse ; le roi prêta foi à ces accusations et fit arrêter la construction du Temple. Les travaux ne purent être repris qu'au temps de Darius. L'histoire de Pourim se situe donc à une époque où une partie du peuple juif se trouvait en Israël attendant de pouvoir réédifier le Temple ; l'autre était dispersée dans l'empire perse. A Suze, lieu de résidence d'Assuérus, il y avait également une communauté juive : c'est là où notre récit se déroule. Histoire de Pourim La troisième année de son règne, lorsque son trône est consolidé, Assuérus donne un festin durant cent quatre-vingts jours et y convie les satrapes et les notables des cent vingt-sept provinces de son royaume. A la fin de ces festivités, il invite pendant une semaine tous les habitants de Suze à un nouveau festin. Le dernier jour, le roi ordonne à sa femme, la reine Vachti, de paraître devant tous les hommes pour montrer sa beauté. Vachti refuse. Le roi consulte les Sages et l'un d'entre eux, s'appelant Memoukhan (d'après la tradition orale, c'est Aman), lui conseille de répudier la reine. Il prétend notamment que la conduite intolérable de Vachti pourrait devenir un précédent fâcheux pour les autres femmes qui seraient, elles aussi, incitées à manquer de respect à leur mari. Le conseil de Memoukhan est suivi et, en outre, des ordonnances sont expédiées dans tout le royaume exigeant le respect du mari dans tous les foyers. Assuérus, cherchant une nouvelle reine, fait réunir plusieurs belles jeunes filles. Parmi celles-ci, Esther, la seule à ne faire aucun effort pour plaire au roi, attire les sympathies de tous et est choisie. C'est une orpheline juive, nièce et pupille de Mardochée. Elle devient reine et, suivant le conseil de son tuteur, ne fait pas connaître son origine. Elle continue à garder contact avec lui, et suit ses instructions et ses conseils. Mardochée découvre un complot contre le roi et l'en prévient par le truchement d'Esther. Le fait est consigné dans le livre des Annales ; aucune récompense ne lui est donnée. Assuérus élève Aman, descendant d'Agag (roi des Amalécites), au plus haut rang de la hiérarchie. Tout le monde doit se prosterner devant lui. Mardochée refuse. Courroucé contre Mardochée, Aman veut exterminer tous les Juifs. Au mois de Nissan, il procède à un tirage au sort qui désigne le 13 Adar comme date propice au massacre. Il persuade le roi de donner son accord, lui offre même une somme énorme en échange des pleins pouvoirs. Ils lui sont remis et un décret royal publié dans tout l'empire annonce que la population entière doit se tenir prête à la date susdite. Mardochée fait dire à Esther d'intercéder auprès du roi pour sauver son peuple. Après quelques hésitations, elle accepte mais lui demande de faire décréter d'abord un jeûne de trois jours dans la communauté juive de Suze. Le troisième jour, Esther, au péril de sa vie (ne peut se présenter devant le roi que celui qui y est appelé), invite le roi et Aman à une fête intime. Au cours du banquet, Assuérus lui demande ce qu'elle désire et Esther ne répond pas. Elle invite pour le lendemain le souverain et Aman à un nouveau festin et promet à cette occasion de faire connaître au roi sa requête. Aman sort du banquet royal gonflé d'orgueil et de joie. Croisant Mardochée qui ne s'incline pas devant lui, il est pris d'une fureur irrésistible. La nuit même, il érige une potence et attend le lever du jour pour recevoir du roi l'autorisation d'y pendre Mardochée. La même nuit, Assuérus, ne comprenant rien à la signification du dîner offert par Esther, est inquiet et ne parvient pas à s'endormir. Il ordonne à ses serviteurs de lui lire les Annales. Comme par hasard, le livre est ouvert à la page où est consigné le bienfait de Mardochée. Le roi veut le récompenser au plus tôt. A l'aube, Aman se présente devant le souverain qui, ne lui laissant pas le temps de formuler sa requête, veut connaître quelle rétribution il proposerait pour un homme de mérite. Aman, croyant qu'il s'agit de lui-même, propose qu'on le fasse chevaucher en tenue royale dans la capitale pendant qu'un dignitaire proclamerait à ses côtés : "Voilà ce qui se fait pour l'homme que le roi veut honorer !" Assuérus dit à Aman que les honneurs sont destinés à Mardochée et que le dignitaire sera Aman en personne. L'ordre est exécuté. Sans avoir eu le temps de se remettre de sa honte, Aman doit se rendre au festin d'Esther. Au cours du banquet, Esther révèle au roi qu'elle est juive et accuse Aman de tramer un complot contre la reine et son peuple. Assuérus, sous l'effet de la surprise, est pris d'une rage folle (il avait déjà donné son accord à Aman). Dans son désarroi, il quitte la salle. Aman, saisi de panique implore la pitié d'Esther et trébuche sur le divan. Le roi revient et, croyant qu'Aman fait la cour à la reine, se fâche de plus belle. Un serviteur révèle qu'Aman avait préparé une potence pour Mardochée (qui avait sauvé la vie du roi) et, immédiatement, le bourreau y est pendu. Assuérus, apprenant que Mardochée est l'oncle de la reine, le nomme premier vizir à la place d'Aman. Sous l'influence d'Esther et de Mardochée, le roi établit de nouveaux décrets proclamant le 13 Adar comme journée d'autodéfense pour les Juifs. Le 14 Adar, lendemain de la victoire, devient, à la place d'un jour de deuil, un jour de fête. Tous ces faits sont consignés par Mardochée et Esther dans un mémoire s'intitulant la Meguila (le rouleau) d'Esther. La fête de Pourim : Pourim se fête le 14 Adar (dernier mois du calendrier juif) pour les villes ouvertes, et le 15 Adar pour les villes qui étaient entourées d'une enceinte dans l'Antiquité. C'est que, dans toutes les villes, la bataille se termina le 13, tandis qu'à Suze, qui était une ville fortifiée, la bataille ne se termina que le 14. Jérusalem est parmi les villes qui fêtent Pourim le 15. "Pourim" signifie en perse "sorts". Cela en souvenir du sort qu'Aman avait consulté pour fixer la date d'extermination des Juifs. Les rites de la fête sont : - cadeaux aux amis (sous forme de mets) ; - cadeaux aux pauvres (sous toutes les formes) ; - lecture soir et matin de la Meguila, récitation d'une prière de remerciement dans la 'amida et le birkath hamazone ; - grands festins arrosés de vin et de boissons ; - réjouissances de toutes sortes. Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Le chahut de Pourim Le chahut L'habitude s'est répandue de faire du bruit quand on cite le nom d'Aman. Cependant, ce chahut devra être supprimé après la mention de sa mort (car "Quand ton ennemi tombe, ne te réjouis pas"). De toute façon, ce chahut ne doit pas empêcher l'audition de tous les mots de la Méguila. Donc au cours de la lecture du livre d'Esther à chaque fois que l'on prononce le nom d'Aman on fait un raffut terrible avec des crécelles, et on crie! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Partout où il y a des juifs, oui, et pour répondre à ta question, effectivement un peu partout dans le monde, même chez moi où il y en a trois!!!! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Et pas salées, merci:04: Citer Link to post Share on other sites
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