Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Partager Posted March 4, 2007 Je me demande pourquoi tu vas chercher si loin ton argumentation sur la "Maladie du Journalisme". On peut en trouver des exemples ici dans les journaux français qui traitent aussi l'information, le pied en l'air, et très souvent! Ainsi en parcourant la presse tu peux trouver la même information traitée différemment selon son auteur. Et cela aboutit quelquefois à des incohérences! Dans la rubrique "faits divers" c'est parfois symptomatique. Ainsi un journal dévoilera-t-il incidemment les noms des protagonistes d'une affaire d'escroquerie alors que la loi l'interdit, ce qui aboutit parfois à des procédures judiciaires où les journaux sont condamnés pour atteinte à la présomption d'innocence. Autre chose, les informations sont parfois incohérentes, je pense aux différents sondages qui ne donnent pas les mêmes chiffres! Donc selon qu'elle sont traitées par nos journaleux les informations ne sont fiables qu'en partie, donc à lire avec précaution! Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Et le foutu nuage de Tchernobyl, hein, qui s'est arrêté aux frontières, personne s'en rappelle? Pourtant dans les journaux c'était pas grave pour nous!!!! Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted March 4, 2007 Partager Posted March 4, 2007 Et le foutu nuage de Tchernobyl, hein, qui s'est arrêté aux frontières, personne s'en rappelle? Pourtant dans les journaux c'était pas grave pour nous!!!! Comme si un nuage avait le pouvoir de s'arrêter de marcher à volonté ... était-ce un nuage robotique, commandé à distance ???? Pour le reste - les maladies du journalisme - hem, elkhayam, je n'aimerai pas m'étaler :confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted March 4, 2007 Partager Posted March 4, 2007 JoulJoul, tu es là, ça parle du journalisme. Je t'empeche de sortir, tu as beaucoup de choses à nous apprendre. ;) J'attends alors :D Mon très cher, d'abord voici un texte paru le 31 décembre dernier sur le site de la Fédération européenne des journalistes. Je le mets parce qu'il y a, ma foi, à boire et à manger en ce qui concerne les "maladies" des journalistes. Donc, d'abord, par souci de vérité, si vérité il y a car toute vérité n'est pas bonne à dire et toute vérité revêt de multiples facettes - je crois qu'il y a un topique quelque part qui s'étend sur le sujet -. Donc, en premier lieu, rendons hommage à ceux qui ont fait leur métier - aurions-nous un doute à leur encontre, ils n'en méritent pas mieux une pause, une pensée ... Ensuite, je me permettrai un peu plus tard, de faire un état des lieux en ce qui concerne le journalisme - pardon, les journalistes puisqu'il s'agit d'eux ... "Le journalisme mis à mort en 2006 : Selon la FIJ, 155 assassinats et meurtres inexpliqués au cours d’une année d’une exceptionnelle violence Selon la Fédération internationale des journalistes (FIJ), 2006 a été une année tragique pour les médias dans le monde, les meurtres de journalistes et travailleurs des médias ayant atteint des niveaux historiques avec au moins 155, meurtres, assassinats et morts inexpliquées. « Les médias sont devenus plus puissants et le journalisme est de venu plus dangereux, indique Aidan White, secrétaire général de la FIJ. 2006 est la pire année que nous ayons enregistrée, une année de violence au cours de laquelle on a délibérément visé et tué les journalistes avec impunité. » Au cours de l’année, les nombres ont commencé à croître avec la guerre civile et la résistance à l’occupation militaire en Irak. La FIJ affirme que les médias sont devenus les cibles principales d’attaques terroristes ou les victimes de l’incompétence des militaires. A la fin de l’année, 68 travailleurs des médias avaient été tués, portant à 170 le nombre des tué dans le pays depuis l’invasion en avril 2003. Ailleurs dans le monde, la FIJ souligne que la persistance de la violence en Amérique latine, particulièrement au Mexique, en Colombie et au Venezuela, a coûté la vie à 37 travailleurs des médias, tandis qu’en Asie, les attaques persistantes aux Philippines et au Sri Lanka ont porté le total des journalistes tués à 34. Le seul signe positif est intervenu dans les derniers jours de l’année, observe la FIJ, lorsque les Nations Unies, pour la première fois de leur histoire, ont publié une déclaration condamnant les attaques contre les journalistes et appelant à des poursuites judiciaires contre les assassins des travailleurs des médias. Dans une résolution adoptée le 23 décembre, le Conseil de sécurité des nations Unies a appelé à l’unanimité les gouvernements à respecter la loi internationale et à protéger les civils dans les conflits armés. Le Conseil a appelé à la fin de l’impunité et à la poursuite des assassins de journalistes et a décidé » de préparer un rapport annuel sur les risques auxquels sont confrontés les médias. « Ce fut le seul moment d’espoir dans une année désespérément sombre, a dit White. Pour la première fois, les Nations Unies ont mis l’accent sur l’aggravation de la crise des médias. Il était temps ! Nous voulons que des mesures soient prises contre les pays qui laissent tuer des journalistes en toute impunité.» Les chiffres enregistrés pour 2006 par la FIJ sont les suivants : Meurtres, assassinats délibérés et morts inexpliquées : 155 Ne sont pas comprises les morts accidentelles en mission : 22 Le record précédent avait été enregistré l’année dernière, lorsque la FIJ avait enregistré 154 morts, un nombre gonflé tragiquement par la mort accidentelle de 48 journalistes iraniens qui accompagnaient des militaires. Mais cette année, il y a eu bien moins d’accident : seulement 22. Les détails complets figurent dans le rapport de la FIJ – Le journalisme mis à mort – qui sera publié à la mi-janvier. Le rapport couvre également le travail du Fonds de sécurité de la FIJ, qui fournit une aide humanitaire aux victimes de la violence et à leurs familles. L’accent porte une fois encore sur l’Irak, où la FIJ a vigoureusement mené campagne contre l’impunité dans les meurtres de journalistes. Depuis trois ans, la FIJ a organisé une journée de protestation le 8 avril, le jour où, en 2003, trois journalistes sont morts sous le feu américain à Bagdad. On a enregistré 19 morts similaires en Irak et dans tous ces cas, les médias concernées et les familles des victimes attendent toujours des rapports indépendants et crédibles sur ce qui s’est véritablement passé. En octobre, un juge au Royaume Unis a déclaré que l’une des victimes, Terry Lloyd, avait été tuée illégalement par des soldats américains aux abords de Bassorah. Son interprète Hussein Osman a également été tué et le caméraman Fred Nérac, porté disparu, est présumé mort. Il y a eu des appels à des poursuites judiciaires contre des soldats américains impliqués dans ce cas et dans beaucoup d’autres ; Néanmoins, durant l’année 2006, la très grande majorité des meurtres est le fait de groupes terroristes ou communautaires qui ont de fait interdit l’accès des rues de Bagdad et de nombreuses autres villes aux équipes de reporters. Mais pour la FIJ, la crise d’impunité n’est pas circonscrite aux zones de conflit. Le 12 décembre, la Fédération s’est jointe à d’autres organisations de défense de la presse pour lancer une Commission internationale d’enquête sur les meurtres de journalistes en Russie. Cette action fait suite à l’assassinat de la journaliste d’investigation Anna Politkovskaya à Moscou le 7 octobre. Sa mort était la dernière en date d’une série de plus de 200 journalistes tués depuis 1993. Beaucoup d’entre eux ont trouvé une explication, mais depuis l’accession au pouvoir du président Vladimir poutine, près de 40 meurtres de journalistes ont eu lieu sans qu’aucun n’ait reçu une explication satisfaisante. Les Philippines viennent immédiatement après l’Irak en tant que zone dangereuse pour les journalistes, indique la FIJ qui souligne que 13 journalistes sont morts en 2006, portant à 49 le nombre de travailleurs des médias tués depuis l’arrivée au pouvoir de Gloria Arroyo en 2001, dépassant le nombre atteint durant les 14 ans de la dictature de Marcos. Et en Amérique latine, les journalistes mexicains ont ravi la première place à leurs confrères de Colombie en ce qui concerne le risque qui attend ceux qui enquêtent sur le crime et la corruption : dix d’entre eux sont morts, la plupart des journalistes d’investigation. En Afrique, les pays déchirés par des conflits internes s’avèrent être les plus dangereux pour les journalistes : le journaliste indépendant suédois Martin Adler a été abattu alors qu’il filmait une manifestation à Mogadiscio et le journaliste soudanais Mohammed Tahaun, un rédacteur en chef expérimenté, a été enlevé et tué. « C’est une année au cours de laquelle de petits pas ont été accomplis pour faire face à cette catastrophe qui frappe les médias, observe White. Le sujet sera au cœur du Congrès de la FIJ qui se tiendra à Moscou en mai. Mais nous devons faire davantage, particulièrement pour aider les victimes de la violence et traduire les assassins de nos confrères devant la justice. » ;) ;) Citer Link to post Share on other sites
Gallizour 10 Posted March 4, 2007 Author Partager Posted March 4, 2007 Comme si un nuage avait le pouvoir de s'arrêter de marcher à volonté ... était-ce un nuage robotique, commandé à distance ???? Pour le reste - les maladies du journalisme - hem, elkhayam, je n'aimerai pas m'étaler :confused: Le plus sidérant dans cette histoire c'est que les journaux ont suivi les déclarations gouvernementales!!! Ca n'est que bien après, devant la recrudescence des cancers de la thyroïde constatés à l'Hopital de la Timone à Marseille que le pot aux roses (radioactives) a été découvert! Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted March 4, 2007 Partager Posted March 4, 2007 Un jour, à l'école nationale supérieure de journalisme d'Alger (aujourd'hui à Ben Aknoun), un professeur donna un devoir aux étudiants de 2e année ; le thème était de commenter une phrase de Houari Boumediène, laquelle, schématiquement, disait que le journaliste occidental n'était pas un journaliste engagé ... un étudiant eut la note de 4/20 parce qu'il disait son total désaccord avec cette réflexion de H. Boumediène ... Je réfléchis maintenant à la question... Nous avons plusieurs sphères d'engagement et plusieurs sphères idéologiques. Quoique le monde ait définitivement pris la voie du marché libre, mettant au grenier les grands mouvements qui ont fait la vie du monde depuis octobre 1917 ou, mieux, depuis même la Révolution française de 1789. Mais nous n'avons plus le découpage qui fut pendant 50 ans celui du monde : le bloc soviétique et le bloc Atlantique. La désintégration s'est faite, comme vous le savez, avec la destruction du mur du Berlin mais, surtout et le plus important, avec le démembrement soviétique ... La Chine, le Mouvement des pays non-alignés, faisaient bande à part. Tout en étant, par la force des relations gouvernementales et du processus historique notamment des pays nouvellement indépendants, liés au bloc communiste. Donc, les choses étaient, en surface, simplifiées : il y avait la presse libérale et la presse étatique. Cela en surface, bien entendu. Qu'en était-il ? La presse libérale : elle était développée, avec des patrons de presse, travaillait dans un système capitaliste, dans une culture diversifiée et non encadrée idéologiquement. Elle entreprenait tous les secteurs de la vie politique, économique, culturelle et sociale sans souci de voir sa liberté d'information mise en danger. Elle s'épanchait, sans crainte (de façon globlale), sur les "régimes dictatoriaux", entendons par là les pays communistes, à parti unique et à économie nationalisée. Le journaliste de la presse libérale intervenait sur deux plans alors : l'information qui a trait à son pays et l'information ayant trait à l'extérieur et, de ce fait, aux pays idéologiquement cadrés par un parti unique et un secteur peu ou prou socialisé. La marge de manoeuvre semble très large : le journaliste de la presse libérale peut toucher à tout, écrire sur tout, montrer tout, critiquer tout, dénoncer tout. Il est un journaliste libre. Ou considéré comme tel, en tout cas. La presse idéologique : ou presse de parti unique. Pas besoin de faire un dessin. Toutes les publications étaient alignées sur les lignes directrices du parti. Rien ne pouvait s'infiltrer dans la pensée des peuples, sans l'assentiment des apparatchiks. Les patrons de cette presse étaient des gens placés par le parti ou par l'autorité suprême et ils devaient montrer patte blanche, c'est-à-dire montrer qu'ils étaient fidèles serviteurs de ce même parti. L'information était non seulement filtrée mais elle pratiquait aussi le culte de la personnalité. Nous étions loin de l'idéologie dominante en tant que principe, nous en étions à lire des informations sur tel ou tel personnage du parti, du gouvernement, recevant telle personnalité, ou allant dans tel pays. Le tout agrémenté de communiqués de presse dûment réécrits par le "journaliste de service". Rien n'était plus amusant que de lire les dépêches de l'agence de presse chinoise où s'étalait une énumération incroyable de toutes les personnalités du parti communiste chinois présentes à tel événement, telle réception ! Et dans l'ordre des compétences, pardon, selon l'importance hiérarchique de la personne ... Pour l'Algérie, par exemple, le phénomène était plus en nuances. Reconnaissons au moins cela au "régime" algérien ! La Nébuleuse instituée depuis juin 1965 avait pour ambition à la fois de présenter le visage d'une presse "moderne", à l'occidentale, ayant une semi-liberté ... que le journaliste algérien se gardait bien d'enfreindre ou d'en abuser ... à moins qu'il ne fut un magicien du verbe et qu'il laissât passer quelques critiques plus ou moins gentilles à l'égard de ceux-là même qui s'imposaient au peuple algérien. Mais il faut dire que dans ce cadre-là, on ne parlait pas d'une presse réprimée, on parlait de "presse engagée" ... rien n'était plus éloigné d'un journaliste du quotidien de langue française "El-Moudjahid" qu'un honorable membre du "Figaro" - le journal "Le Monde" échappait à cette évaluation idéologique car, curieusement, ce journal passait pour être un journal de "gauche" !!!! Mais oui, vous avez bien lu ! Pourquoi ? Parce que l'information était diluée, une information sèche ou un article de fond qui se faisait analyse - c'est tout l'art du "Monde" : faites une analyse de contenu d'un seul article et dites-moi si vous y trouvez des termes qui ressembleraient à une prise de position, à un mécontentement, à une dénonciation, à une critique ... ?!! Donc, voici que le journaliste algérien était un "journaliste engagé" face à une presse libérale non engagée, donc n'ayant pas le sens des responsabilités et, donc, n'étant pas une presse à laquelle on peut se fier, sujette à caution parce qu'elle ne défend pas les mêmes principes idéologiques, la même lecture d'une situation internationale - suivez mon regard : les pays colonisés, les peuples opprimés -. Le journaliste était recruté, en dehors de ceux sortis de l'école ou d'une faculté, bien souvent parmi des instituteurs, des gendarmes (mais oui !), d'anciens militaires ou parmi les grands "penseurs" (Mohamed El-Mili, au demeurant, un vrai homme cultivé) qui rassuraient l'autorité centrale ... Ensuite, il fallait faire avec tout ce monde une information encadrée par les petits censeurs qui étaient les rédacteurs en chef, les chefs de rubriques, etc. Mais dans tout ce fatras, presse libérale ou presse étatique, il y a eu quelques journalistes courageux et plus souvent que l'on pourrait imaginer. Savez-vous qu'un jour, un journal, ici, en France, avait reçu une avalanche de courriers courroucés de plusieurs maires parce qu'un article sur la chasse les aura fâchés ? Qui plus est, un article basé non pas sur des "mensonges" mais sur les textes et les lois régissant et contrôlant l'ouverture et la fermeture de la chasse ... donc, on ne pouvait se méprendre sur la valeur de l'information, celle-ci étant confirmée par les textes juridiques. Aujourd'hui, le paysage, déjà pas très beau auparavant, a complètement changé. Non pas par le fait du journaliste, mais par le fait du patron de presse et l'impact, l'importation d'une presse, d'une méthode de presse outre-Atlantique. Savez-vous qu'aux J.O. de Salt Lake City, une véritable censure s'est instaurée pour les journalistes français et européens, parce que les Etats-Unis ont voulu imposer "leur" information, "leurs" champions - le cas d'une médaille d'or qui sera donnée en patinage artistique à un couple de Canadiens après avoir été enlevée à un couple de Français ? et pourquoi ? Parce que les Etats-Unis en avaient ainsi décidé. Nous avons aussi la première guerre du Golfe où bien sûr, nous avons dû subir non seulement l'intox, le parti-pris contre les Irakiens, une véritable guerre psychologique qui nous a laissé un goût amer. Mais il faut savoir que la presse française, par exemple, avait dû laisser le terrain, largement occupé d'ailleurs, à CNN afin qu'elle continue de nous matraquer sans complexes et sans scrupules. Apprenez que CNN comprend près de 400 "journalistes" recrutés en milieu militaire et dans les renseignements ... c'est dire que l'on est loin de la coupe aux lèvres. Le journaliste se recrute aujourd'hui comme un commercial : vendre une information qui ne porte pas atteinte aux intérêts des multinationales, lesquelles sont de grands annonceurs. Car un journal ne peut survivre sans publicité, ses recettes ne suffisant plus ... et cela depuis les années 70. Il n'est pas jusqu'à une chaîne de TV culturelle comme Arte qui n'aie pas sacrifié au dieu de la publicité ... ou la revue Lire de Bernard Pivot ! Aujourd'hui, pour l'exemple de la France, il y a douze écoles de journalisme reconnues. Chaque année, près de 300 jeunes journalistes sont sur le marché et ne trouvent pas de travail. Comment voulez-vous qu'avec cela, ils fassent du sentiment si certaines règles de violation du droit de l'information, du droit à l'information, de la liberté d'expression ne sont pas ou peu respectées, voire oubliées ? Un journaliste de bureau coûte moins cher qu'un journaliste sur le terrain et regarde moins dans le linge sale ... les agences d'informations et de photos se sont réduites à la peau de chagrin pour laisser la place aux plus grandes ... il n'est pas jusqu'à Bill Gates qui n'ait pas lancé sa propre agence de photos, neutralisant le métier du photographe de presse. Les gouvernants méprisent les journalistes et, pourtant, ils ont besoin d'eux. Non pas pour donner une information digne de ce nom mais pour les servir, les mettre en avant. Il ne s'agit même plus de donner une information sur la vie économique, sociale, politique et culturelle d'un pays, il s'agit de donner l'information sur telle ou telle personnalité. En échange, le patron de presse assure la pérennité de son travail au journaliste. C'est marche ou crève. L'engagement n'est pas une affaire d'idéal à poursuivre, il est un engagement vis-à-vis du patron de presse qui emploie, de l'idéologie hégémonique qui a survécu, à savoir l'ultra-libéralisme états-unien. Le journalisme du parti unique n'était pas plus pire que ce journalisme mercantile, où tout se vend. Pourtant, quelques journalistes du monde dit libre se battent même s'ils ne vont pas en prison, à l'instar de leurs collègues d'Afrique, du Maghreb, d'Asie, du Proche-Orient, d'Amérique du Sud qui perdent non seulement leur identité journalistique, mais leur liberté ou, pour survivre, leur intégrité et donc leur âme ... Citer Link to post Share on other sites
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