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Le cri de l'aube,

 

Quand l’astre du jour s’éclipse derrière le soir,

Mon regard hagard se refuse à voir le noir,

Parce que mon sommeil persiste encore à croire,

A inventer son rêve qui me fera te voir.

 

Puisque c’est ainsi, il fallait que tu me quittes,

Je me console alangui à cette vague ombre insolite.

Elle vient comme une fée dans mon coin qui abrite

Le confus silence qui m’accable et m’irrite.

 

Oui ! J’aime vivre en solitaire pour garder ces airs

Qui dessinent tes reflets aux raies de tes lumières

Dans mon esprit meurtri qui divague et erre

A l’ombre de l’aube dans le silence de tes mystères.

 

Ça me revient ainsi, je ne sais vraiment pourquoi,

Cette façon de te revoir une infinie de fois ;

L’habitude de t’aimer a peut être avivé en moi

L’immuable fibre qui nie de vivre sans toi.

 

Hemran

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Bonjour Hemran

 

Le cri de l'aube,

 

Quand l’astre du jour s’éclipse derrière le soir,

Mon regard hagard se refuse à voir le noir,

Parce que mon sommeil persiste encore à croire,

A inventer son rêve qui me fera te voir.

 

Puisque c’est ainsi, il fallait que tu me quittes,

Je me console alangui à cette vague ombre insolite.

Elle vient comme une fée dans mon coin qui abrite

Le confus silence qui m’accable et m’irrite.

 

Oui ! J’aime vivre en solitaire pour garder ces airs

Qui dessinent tes reflets aux raies de tes lumières

Dans mon esprit meurtri qui divague et erre

A l’ombre de l’aube dans le silence de tes mystères.

 

Ça me revient ainsi, je ne sais vraiment pourquoi,

Cette façon de te revoir une infinie de fois ;

L’habitude de t’aimer a peut être avivé en moi

L’immuable fibre qui nie de vivre sans toi.

 

Hemran

 

J'aime bien ton poème...:)

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Le cri de l'aube,

 

Quand l’astre du jour s’éclipse derrière le soir,

Mon regard hagard se refuse à voir le noir,

Parce que mon sommeil persiste encore à croire,

A inventer son rêve qui me fera te voir.

 

Puisque c’est ainsi, il fallait que tu me quittes,

Je me console alangui à cette vague ombre insolite.

Elle vient comme une fée dans mon coin qui abrite

Le confus silence qui m’accable et m’irrite.

 

Oui ! J’aime vivre en solitaire pour garder ces airs

Qui dessinent tes reflets aux raies de tes lumières

Dans mon esprit meurtri qui divague et erre

A l’ombre de l’aube dans le silence de tes mystères.

 

Ça me revient ainsi, je ne sais vraiment pourquoi,

Cette façon de te revoir une infinie de fois ;

L’habitude de t’aimer a peut être avivé en moi

L’immuable fibre qui nie de vivre sans toi.

 

Hemran

 

Un vrai plaisir de te lire.

 

Comment vous faites pour ecrire comme ça ?

 

Ca vient tout seul ? Vous faites ca en musique ? Comment vous faites pour trouver la juste inspiration ?

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J'aime bien ton poème...:)

 

Très honnoré amarlekabyle. C'est souvent grace aux autres qu'on peut défier notre inertie et motiver notre créativité. On ne peut écrire en vérité que pour les autres, un écrivain qui n'est pas lu ne peut prétendre en être un.

 

Merci encore une fois amarlekabyle

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