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Conflit syrien en 2 mots


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Qui peut nous planter le décor sur ce conflit...j'avoue que je ne comprend plus rien: Qui se combat contre qui. qui est avec qui.

 

Peshmerga- Turques- Hezbollah-front annosra-Daech-Armée syrienne libre-Armée gouvernementale, coalition.

 

Ou bien chacun a son ennemi. ? A contre :gun_rifle: B et B contre :gun_sniper: D et D est :love:de A.

Les turques combattent les kurdes et daech combat les kurdes et turquie combat les daech et en même temps, la turquie laisse le peshmerga irak traverser les frontières turques :gun_sniper:

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Il fallait comprendre au début qu'il ne s'agissait pas d'une affaire de dictateur et de peuple mais d'un complot international judéo-maçonnique contre la Syrie , le seul état de la région qui refuse de normaliser avec Tel Aviv et soutient militairement le Hezbollah , le Hamas et le Djihad Palestiniens .

 

Une fois , cette évidence comprise , le reste viendra tout seul car rentrant dans le cadre de ce même conflit judéo-maçonnique ..............international contre la Syrie , armée et peuple .

 

Il vous en prie :crazy::crazy:

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Pour comprendre ce qui se passe, il faut lire l'accord qui a été conclut entre la pseudo opposition dénommée ASL et les antagonistes (Qatar, Arabie Saoudite, Emirats de Dubai, Turquie, Israel, USA, GB et France) qui la soutenaient.

Les raisons coulent de source !

Syrie-Opposition : « Protocole de Doha » : fin de l’Etat syrien ?

 

 

Par : Noureddine Merdaci

Publié le : 8/12/12

Une «opposition» hétéroclite, divisée, sans programme et sans perspective mise en place par le Qatar et adoubée par François Hollande !

 

 

 

 

 

Il faudra sans doute attendre encore des mois, certainement des années, avant que ne soit reconstitué le processus par lequel la Syrie s’est retrouvée piégée dans cette guerre civile. A l’évidence, Damas n’en a pas mesuré la dangerosité, non seulement pour le régime en place mais, singulièrement, pour la Syrie qui risque de disparaître en tant qu’Etat national. Or, le voile commence à se lever sur les circonstances du «conclave» qui s’est tenu à Doha au début du mois de novembre dernier, qui a vu une «opposition» hétéroclite, divisée, sans programme et sans perspective, se donner un chef, Ahmed Moez Al-Khatib et se former en «coalition».

 

 

Mais pour arriver à ce résultat, les «opposants» syriens ont été sommés par le Qatar de «trouver» un accord, sine qua non, avant de sortir de la salle mise à leur disposition, affirment des sources proches du dossier. Autant dire que les «opposants syriens» avaient le «revolver» sur la tempe pour arriver à cet accord minimum. Le Premier ministre qatari, Cheikh Hamad bin Jassim bin Jaber al-Thani, y veillait personnellement. En réalité, la «révolte» en Syrie, totalement prise en charge par des pays étrangers et leurs services de renseignements, a été une guerre par procuration contre l’Etat national syrien, laquelle guerre n’avait besoin de «Syriens de service» que pour servir de «couleur locale».

 

 

En Syrie ce sont des combattants venus de nombreux pays arabes, des éléments d’Al Qaîda, des djihadistes d’Afghanistan, de la Somalie et autre Pakistan, bien armés, qui tuent la population civile syrienne et se battent contre l’armée syrienne aux côtés d’une poignée de déserteurs. Donc, à Doha, il fallait «unifier» l’opposition dont la crédibilité était mise en doute y compris par l’un de ses principaux bailleurs de fonds, les Etats-Unis qui ont pesé de tout leur poids pour redonner un semblant de cohérence et de visibilité à une opposition créée de toutes pièces par la France, le Qatar et les Etats-Unis, notamment, appuyée par la Turquie laquelle a obtenu de l’Otan l’installation sur son territoire de missiles «Patriot» aux frontières avec la Syrie. Doha aura donc été un recentrage de la rébellion qui n’arrivait pas à concrétiser les objectifs que lui ont tracés ses commanditaires.

 

 

On comprend en fait, le pourquoi de la chose lorsque l’on connaît les clauses du «Protocole» de Doha, dont nous avons pu consulter le document, formulé en treize points qui se détermine comme suit:

 

 

«1- réduction du nombre des soldats de l’armée syrienne à 50 000;

 

 

2- la Syrie ne pourra faire valoir son droit à sa souveraineté sur le Golan que par les moyens politiques. Les deux parties signeront des accords de paix sous l’égide des Etats-Unis et du Qatar;

 

 

3- la Syrie doit se débarrasser, sous la supervision des Etats-Unis, de toutes ses armes chimiques et bactériologiques et de la totalité de ses missiles. Cette opération doit se dérouler sur les terres de Jordanie;

 

 

4- annulation de toute revendication de souveraineté sur Liwa Iskandaroun et désistement au profit de la Turquie de certains villages frontaliers habités par les Turkmènes dans les «mouhafadhas» d’Alep et d’Idlib;

 

 

5- renvoi de tous les membres du Parti des travailleurs du Kurdistan, ceux recherchés par la Turquie lui seront livrés. Inscription de ce parti sur la liste des organisations terroristes;

 

 

6- annulation de tous les accords et conventions signés avec la Russie et la Chine dans les domaines des forages du sous-sol et de l’armement;

 

 

7- permettre le passage à travers le territoire syrien d’un gazoduc qatari à destination de la Turquie puis de l’Europe;

 

 

8- permettre le passage à travers le territoire syrien des conduites d’eau en provenance du barrage Atatürk et à destination d’Israël;

 

 

9- le Qatar et les Emirats arabes unis s’engagent à reconstruire ce qui a été détruit par la guerre en Syrie à la condition que leurs sociétés aient l’exclusivité de la reconstruction et de l’exploitation du pétrole et gaz syrien;

 

 

10- gel des relations avec l’Iran, la Russie et la Chine;

 

 

11- rompre les relations avec Hezbollah et les mouvements de résistance palestinienne;

 

 

12- le régime syrien sera islamique et non salafiste;

 

 

13- le présent accord entrera en application dès la prise du pouvoir» (par l’opposition, Ndlr). Fin de citation.

 

 

C’est là le prix des pressions étrangères et de la démission et de la traîtrise arabes. Un prix fort, exorbitant pour la Syrie, que des personnes se disant «Syriennes» ont avalisé. En fait, cet accord, ou plutôt ce «Protocole» constitue donc le prix que l’opposition syrienne aura à payer une fois installée au pouvoir à Damas, comme le précise l’article 13 dudit «accord de Doha». Ainsi, chacun des parrains de la «révolte du peuple syrien» s’est servi selon ses voeux et demandes.

 

 

Les Etats-Unis en désarmant la Syrie et en l’éloignant de ses amis, la Turquie en récupérant des villages syriens et en rectifiant à son profit la frontière, le Qatar en s’octroyant la «reconstruction» du pays et l’Arabie Saoudite par la mise en place d’un régime islamiste à sa dévotion. C’est là en réalité une castration en règle de la Syrie, dépouillée de sa souveraineté dans le même canevas qu’ont été pour l’Egypte les accords de Camp David en 1979.

 

 

De fait, c’est à peine si on n’exige pas de «l’opposition» – portée à bout de bras par le Qatar – la reconnaissance immédiate d’Israël, dont on prévoit cependant (article 2 de l’accord de Doha), un règlement négocié. Un partage du magot syrien. Nulle part il n’est question de démocratie, de liberté, de droits de l’homme, de construction d’une nouvelle Syrie où les Syriens, quelles que soient leur ethnie, religion et croyance, jouiraient des mêmes droits. Or, chacun des «parrains» s’est d’abord servi et a pris ce qu’il voulait. Pour ceux qui connaissent l’histoire mouvementée du Proche-Orient ottoman, tout s’explique et Doha n’a été que le point de non-retour d’une opposition syrienne qui n’avait pas voix au chapitre. Elle n’était là que pour justifier la «syrianité» des événements.

 

 

On l’a bien vu au Caire avec le nouveau «patron» de la «coalition» Ahmed Moez al-Khatib venu dans les bagages de Cheikh Hamad bin Jassim bin Jaber al-Thani à la réunion de la Ligue arabe qui eut lieu à la mi-novembre. En Syrie, le processus activé pour la Libye est dépassé et fait désormais craindre une déstabilisation générale du monde, voire sa fragmentation comme des «experts» civils et militaires américains y travaillent sans désemparer. A méditer!

 

 

 

 

 

Noureddine Merdaci

 

 

L’Expression

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pour comprendre en deux mots, et essayer de joindre les raisonnements extreme ( d'un coté adminouche et de l'autre Ladoz ) je dirais que c'est suite à une gouvernance calamiteuse d'un pays tenu par une main de fer, en ne s'appuyant que sur la division de son peuple pour perdurer comme une monarchie sans roi

ensuite, il y a les corbeaux et autres vautours occidentaux qui sont toujours avec 'al wakaf ' comme on dit par chez nous, gare à ceux qui risque de tomber ( la kirchner en argentine )

c'est à dire, tant que tu es debout, friqué, soumis ou rebelle ça vient en dernier en réalité, l'essentiel c'est que tu es UN WAKAF,

du coup, quand l'economie va mal ( rappellez vous octobre 88 ) alors toutes les saloperies sont possibles, et les acteurs d'aujourd'hui ne sont rien d'autres que les effets de la gouvernance des ASSAD et surtout l'esprit ESCROC et RAPACE des occidentaux et leur chiens arabes, turk et kurdes

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Principalement, le Qatar veut alimenter l'Europe en gaz naturel en construisant un gazoduc et Israel veut être alimenté en eau à partir de la Turquie. La turquie veut étendre son territoire dans la Syrie et l'AS veut étendre son hégémonie salafo wahabite.

Ils veulent dépecer la Syrie tout simplement !

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Principalement, le Qatar veut alimenter l'Europe en gaz naturel en construisant un gazoduc et Israel veut être alimenté en eau à partir de la Turquie. La turquie veut étendre son territoire dans la Syrie et l'AS veut étendre son hégémonie salafo wahabite.

Ils veulent dépecer la Syrie tout simplement !

 

à partir ce de raisonnement, je crois bien qu'il existe un schéma semblable nous concernant, entre le delta du Niger, c'est à dire le Nigeria et autres ebola providentielles :46: ,la libye et donc Largement l'Algérie, pays pivot

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Qui peut nous planter le décor sur ce conflit...j'avoue que je ne comprend plus rien: Qui se combat contre qui. qui est avec qui.

 

Peshmerga- Turques- Hezbollah-front annosra-Daech-Armée syrienne libre-Armée gouvernementale, coalition.

 

Ou bien chacun a son ennemi. ? A contre :gun_rifle: B et B contre :gun_sniper: D et D est :love:de A.

Les turques combattent les kurdes et daech combat les kurdes et turquie combat les daech et en même temps, la turquie laisse le peshmerga irak traverser les frontières turques :gun_sniper:

 

En deux Mot : les Musulmans de la région ...... c'est des traîtres.

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Ah bon ? explique stp !

 

je ne suis pas trop calé sur le dossier, j'ai lu pas mal d'analyses sur notre région d'afrique du nord et sub sahara ( le Nigeria et alentours, donc EBOLA n'est pas né par hasard ) qui indique que tout ce qui se trame comme soit disant terrorisme, virus, insécurité etc n'est qu'un plan pour exproprier les Etats de ces oléoducs gazoducs, exactement comme ce qui se passe en Syrie et au large de de Gaza Palestine, ce n'est que des histoires de gaz,pour le pétrole, c'est presque terminé de toute manière

ce dossier est trop opaque, et quand tu le sorts, t'a immediatement des toutous qui viennent aboyer que c'est de la conspiration, pendant qu'on nous l'enfonce bien profond :46:

voici un lien pris au hasard juste pour situer

Pipelines en Afrique du nord, Algérie, Egypte, Libye, Soudan, Tunisie, Maroc

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je ne suis pas trop calé sur le dossier, j'ai lu pas mal d'analyses sur notre région d'afrique du nord et sub sahara ( le Nigeria et alentours, donc EBOLA n'est pas né par hasard ) qui indique que tout ce qui se trame comme soit disant terrorisme, virus, insécurité etc n'est qu'un plan pour exproprier les Etats de ces oléoducs gazoducs, exactement comme ce qui se passe en Syrie et au large de de Gaza Palestine, ce n'est que des histoires de gaz,pour le pétrole, c'est presque terminé de toute manière

ce dossier est trop opaque, et quand tu le sorts, t'a immediatement des toutous qui viennent aboyer que c'est de la conspiration, pendant qu'on nous l'enfonce bien profond :46:

voici un lien pris au hasard juste pour situer

Pipelines en Afrique du nord, Algérie, Egypte, Libye, Soudan, Tunisie, Maroc

 

Ce qu'il faut retenir dans les conflits en Afrique, c'est le rôle de la France avec les sinistres Jacques Foccart, Jacques Sirven, Pierre Falcon et Bob Denard.

Je t'invite à lire ce document:

Procès Elf : le sang de l’Afrique derrière les « caisses noires » offshore

 

 

Publié le 1er juin 2003

THÈMESAFFAIRE ELFAFRIQUEFRANÇAFRIQUECRIMINALITÉ FINANCIÈRE

Elf en Afrique, c’est une histoire de sang et de misère . Elf a été créée en 1967 pour, entre autres, servir de faux-nez au financement et à l’action des services secrets français en Afrique. Elle abritait plusieurs centaines de barbouzes, entretenait des sociétés de mercenaires, participait au montage de coups d’État : on a même retrouvé dans les coffres de la Tour Elf les traces écrites de l’organisation de l’un d’entre eux, au Congo-Brazzaville.

 

Depuis Genève et d’autres paradis fiscaux (de plus en plus nombreux), Elf a organisé le drainage des énormes marges occultes sur l’exploitation de l’or noir africain : production non déclarée au large des côtes, sous-évaluation des redevances, surfacturation des investissements et prestations, arnaques sur le préfinancement des productions futures, etc. Cet argent permettait de financer le contrôle soft ou hard des pays producteurs. Contrôle soft par la corruption des décideurs locaux, la coorganisation des scrutins truqués, l’achat de la solidarité de la classe politique française (« le vaisseau France » de Le Floch). Contrôle hard avec le financement des polices politiques, des gardes dictatoriales, des milices ou des mercenaires ; l’implication dans les coups d’État ou les guerres civiles.

 

Tous ces actes sont bien sûr illégaux, inavouables, délinquants ou criminels. Ils se fondent sur le schéma de base de la Françafrique : la confiscation des indépendances africaines. En 1960, l’histoire acculait De Gaulle à accorder l’indépendance aux colonies d’Afrique noire. La France, « meilleure amie de l’Afrique et du développement », se flattait de « protéger » cette nouvelle légalité internationale proclamée. En même temps, De Gaulle chargeait son éminence grise, Jacques Foccart, d’organiser le maintien de la dépendance - avec la complicité de chefs d’État « amis de la France », soigneusement sélectionnés (jusque dans les services secrets français, comme Omar Bongo). Le contrôle soft et hard de pays indépendants étant interdit, il ne pouvait se financer qu’au black - via les paradis fiscaux. En même temps, l’énorme masse d’argent noir ainsi générée installait les « réseaux » françafricains dans une formidable opulence et capacité corruptrice, les laissant s’autonomiser en un système quasi-mafieux.

 

Elf a pris une part déterminante dans la guerre d’agression contre le Nigeria, dite « guerre du Biafra » (1967-1970, 2 millions de morts). Car la Françafrique a toujours eu un penchant expansionniste, vers l’Afrique anglophone ou latine (les ex-colonies belges, portugaises et espagnoles). Avec l’argent et la logistique d’Elf, Paris a fourni armes et mercenaires afin d’aider à détacher du géant anglophone sa région pétrolifère. Cela s’accompagnait déjà d’une propagande très élaborée, et d’un recours au déguisement humanitaire. L’instrumentalisation de la famine justifiait une sorte de pont aérien urgencier. Les « réseaux » livraient des armes dans des avions siglés de la Croix-Rouge. L’ancien ministre de la Coopération Bernard Debré a participé dans sa jeunesse à ces opérations clandestines et en reste très fier.

 

Le Cameroun a été maintenu dans le giron français au terme d’une guerre occultée, semblable à celle du Vietnam, parsemée de crimes contre l’humanité, et qui a fait plusieurs centaines de milliers de morts (1957-1970). Depuis, la terreur policière n’a pas cessé, même si la corruption permet d’asservir les moins résistants. Cette corruption a d’ailleurs pris des proportions record, pourrissant la vie politique, économique et sociale. Selon Loïk Le Floch-Prigent, c’est Elf qui a choisi l’actuel potentat camerounais, Paul Biya. Dans l’ombre de la compagnie pétrolière, le procès Elf montre l’agitation des réseaux Pasqua - vieux financeurs de la Chiraquie. Via les paradis fiscaux, des prêts et instruments financiers relevant de l’escroquerie ont nourri ces réseaux tout en augmentant la dette du pays - donc en minant les budgets éducatif et sanitaire.

 

Au Congo-Brazzaville, Elf était extrêmement satisfaite de Denis Sassou Nguesso, un dictateur « marxiste, toujours sous contrôle d’Elf », selon la délicieuse formule de son grand ami Le Floch. Le pays était spolié à souhait. Mais, en 1991, le peuple n’en a plus voulu. Des sortes d’« États généraux » de la démocratie, la Conférence nationale souveraine (CNS), ont été organisés. Contre la CNS, Elf et les réseaux ont tenté un putsch : ne réclamait-elle pas un audit de l’argent du pétrole ? Le putsch a échoué, mais Elf a corrompu les personnalités impliquées dans l’audit, nous apprend le curieux « auditeur » d’Elf, Pierre Fa. Elle n’a cessé de manœuvrer contre la démocratie puis le régime de Pascal Lissouba, élu à la suite de la CNS. Elle s’est impliquée dans la constitution et l’armement de milices, elle a continué de financer et d’armer le dictateur déchu Sassou Nguesso, jusqu’à provoquer une guerre civile en juin 1997. En même temps, l’argent du pétrole payait les armes côté Lissouba, si bien que dans ce conflit, selon le mot d’un député français, « il n’y a pas une balle qui n’ait été payée par Elf ».

 

Comme souvent, il y avait suffisamment de clans et de caisses noires au sein d’Elf pour financer tous les camps de la guerre civile - et donc se retrouver à coup sûr dans le camp du vainqueur. Il n’empêche : Elf et la Françafrique penchaient massivement en faveur de Sassou. Elles lui ont apporté l’appui de leurs alliés : un millier de soudards du dictateur tchadien Idriss Déby, la Garde présidentielle de Mobutu déchu, des restes de l’armée et des milices rwandaises qui commirent le génocide de 1994, plus d’une centaine de mercenaires et barbouzes français, et enfin l’invasion de l’armée angolaise - puissamment équipée grâce aux pompes à finances de l’Angolagate.

 

Ancien bras droit de Charles Pasqua, le préfet Jean-Charles Marchiani a expliqué à la justice que la contrepartie des livraisons d’armes de l’Angolagate était une « aide » angolaise « à l’action de la France dans cette partie de la région, qui s’est concrétisée par l’envoi de troupes dans les deux Congo. » Nul citoyen français ne savait jusqu’alors que son pays s’était ainsi engagé dans deux des guerres civiles les plus meurtrières d’Afrique.

 

Restauré, Sassou II s’est trouvé rapidement confronté à une contradiction : il lui fallait des élections pour acquérir une légitimité internationale, mais il était sûr de les perdre à moins d’écraser les populations du Sud, majoritaires, qui lui demeurent hostiles. Il a donc déchaîné contre elles la coalition peu recommandable qui lui avait apporté la victoire. Entre décembre 1998 et décembre 1999, les agressions contre des civils ethniquement ciblés, au sud de Brazzaville et du pays, ont fait au moins autant de victimes que, durant la même période, les conflits au Kosovo, à Timor Est et en Tchétchénie réunis : probablement cent mille morts, quantité de villages rasés, le viol systématique de « plusieurs dizaines de milliers » de femmes, selon l’ONU. Plus d’un sixième de la population congolaise a dû fuir dans les forêts, où des dizaines de milliers de personnes, surtout les enfants et les vieillards, sont morts de faim et de maladies.

 

Au moins 353 jeunes réfugiés (peut-être un millier), rapatriés de Kinshasa vers le port de Brazzaville sous l’égide du Haut-commissariat aux réfugiés, ont été emmenés et froidement assassinés. Au nom de ces « disparus du Beach », l’association des parents, présidée par le colonel Marcel Touanga, a porté plainte pour crimes contre l’humanité en Belgique et en France. En vérité, la liste de ces crimes est une interminable litanie, et elle a connu des rallonges jusqu’en mars 2003.

 

La terreur et la fraude électorale ont permis de doter le Congo-Brazzaville d’une nouvelle Constitution quasi monarchique et d’un État entièrement dévoué à Denis Sassou Nguesso. Il est ainsi redevenu le complice idéal de Total (qui a absorbé Elf) pour la poursuite d’une équation surréaliste : l’échange d’un “plus” contre trois “moins”, du pétrole congolais contre une dette galopante, égale à trois fois le PIB du pays. Où s’opère cette alchimie ? Dans une chaîne de paradis fiscaux. L’argent du pétrole offshore se perd dans les comptes offshore.

 

Un peu de l’argent de la dette est quand même dépensé au Congo : depuis Genève, les comptes de la pétrodette payaient, on l’a vu, les armes des deux camps de la guerre civile... La ruine, en prime.

 

L’Angola est en principe un pays de rêve, avec au large de ses côtes d’exceptionnels gisements de pétrole. C’est sans doute la convoitise de cet or noir (et de ses diamants) qui lui a valu d’être en guerre civile depuis son indépendance, en 1975, jusqu’en 2001. Là encore, le procès Elf vient confirmer qu’Elf finançait les deux camps de la guerre civile : le gouvernement, via les circuits bien huilés d’André Tarallo, et la rébellion Unita, via les caisses noires d’Alfred Sirven. La guerre pouvait durer longtemps, faire son million de morts et transformer le pays en champ de mines.

 

L’Angolagate ouvre sur le tableau d’une mondialisation mafieuse : les nappes financières des services secrets français, russes, américains, israéliens, etc. se connectent sur un magma de spéculations et de trafics, portant sur le pétrole, les armes, la dette, les diamants, les jeux, la fausse monnaie... Dans l’un des plus grands gisements de la planète, 10 % des parts vont à la firme Falcon Oil, de Pierre Falcone, et 5 % à une firme de mercenaires. Ainsi, la fourniture de biens et services de guerre est comme génétiquement inscrite dans l’exploitation pétrolière. Pas étonnant que les pays pétroliers africains soient si souvent en guerre civile !

 

L’on constate par ailleurs que la plupart des protagonistes de l’Angolagate officiaient à la fois dans le pétrole et dans les armes, en émargeant à un ou plusieurs services secrets. C’est que les commerces du pétrole et des armes, qui drainent tous deux jusqu’à 50 % de commissions et rétro-commissions, supposent un même savoir-faire : jongler entre les paradis fiscaux. Et tous les services secrets ont toujours estimé que les autorités politiques ne leur allouaient qu’un budget très insuffisant. Ils se servent donc là où il y a de l’argent. L’“honorable correspondant” Sirven, par exemple, avait de quoi se payer la classe politique française, rien qu’avec ses cagnottes suisses connues (3 milliards de francs). En attendant, les habitants de l’Eldorado angolais sont parmi les plus misérables de la planète... à part le clan dirigeant, qui exfiltre au minimum un milliard de dollars chaque année via les paradis fiscaux.

 

Au Tchad, la perspective de considérables gisements terrestres au sud du pays a poussé le dictateur Idriss Déby, « assassin invétéré » [4], à pratiquer plusieurs nettoyages ethniques préventifs dans la zone pétrolifère. Massacres, égorgements, tortures et viols sont une constante de ce régime. Elf s’est officiellement retirée du pactole pétrolier tchadien, mais Déby est son homme, et tout porte à croire que ce retrait s’inscrit dans un marchandage plus vaste avec les compagnies anglo-saxonnes. Idriss Déby ne fait pas que dans le massacre : il pille son pays avec une conscience et une constance sans beaucoup d’égales. Il se prête aussi au faux-monnayage. Tout ceci supposant bien entendu le relais des paradis fiscaux.

 

Au Gabon, l’ancien policier et agent secret Omar Bongo a suffisamment distillé la terreur pour qu’il ne soit plus nécessaire de l’exercer en permanence. De simples menaces téléphoniques suffisent le plus souvent, quand la corruption n’a pas fait son œuvre. Omar Bongo, lui aussi, a fait transiter durant sa carrière plusieurs milliards d’euros par divers paradis fiscaux. Moyennant quoi son pays, l’un des plus riches d’Afrique en production par habitant, est aussi l’un des plus attardés au plan sanitaire.

 

Il y a aussi le rôle joué par les USA dans la partie du Rwanda et le Congo central. Il faut distinguer le Congo Kinshassa qui était appelé Zaïre et le Congo Brazzaville qui est continuellement sous les influences néfastes du Rwanda contrôlé par les USA.

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Il y a bien sur un projet de création d'un gazoduc partant du Nigeria et devant traverser le Niger pour alimenter l'Europe via l'Algérie.

La démarche de l'Algérie est de créer des activités économiques tout le long de la route de l'Unité Africaine qui est toujours en construction partant d'Alger jusqu'à Naïrobi au Nigéria.

Dans l'idée des concepteurs de ces projets, seule l'activité économique peut amener la stabilité politique dans ces régions.

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Il y a bien sur un projet de création d'un gazoduc partant du Nigeria et devant traverser le Niger pour alimenter l'Europe via l'Algérie.

La démarche de l'Algérie est de créer des activités économiques tout le long de la route de l'Unité Africaine qui est toujours en construction partant d'Alger jusqu'à Naïrobi au Nigéria.

Dans l'idée des concepteurs de ces projets, seule l'activité économique peut amener la stabilité politique dans ces régions.

 

oui mais ces projets c'était il y a longtemps, un peu comme le fameux barrage vert et la transaharienne de mes deux, tout ces plans ont foiré, pour une seule raison, comme le dit trés justement MR ADMINOUCHE pour une fois :D, nos Etats ont été défaillants et peu importe qui est de nos décideurs est le roi de la merdouille ( boumedienne, chadli, boutef ) en tous cas, ces problemes dépassent largement la personne d'un chef d'etat ou meme de tout un gouvernement,

le rapport de forces se forge dans une longue tradition, cette tradition aucun pays arabe ou africain ne l'a, donc adminouche n'a pas entierement raison non plus, sinon ça serait trop simple, ilsuffit juste de taper sur le président

comme on le fait contre Assad zaama, alors que tous les Musulmans sont CORROMPUS

c'est une question de CORRUPTION GENERALISEE DES ELITES dans le Monde entier, sauf peut etre en Chine coree du nord et Russie de Poutine, mais meme pour ces trois pays, je ne donnerais pas un cheque en blanc question de corruption du sommet ( je ne parle pas de la petite corruption bien sur )

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oui mais ces projets c'était il y a longtemps, un peu comme le fameux barrage vert et la transaharienne de mes deux, tout ces plans ont foiré, pour une seule raison, comme le dit trés justement MR ADMINOUCHE pour une fois :D, nos Etats ont été défaillants et peu importe qui est de nos décideurs est le roi de la merdouille ( boumedienne, chadli, boutef ) en tous cas, ces problemes dépassent largement la personne d'un chef d'etat ou meme de tout un gouvernement,

le rapport de forces se forge dans une longue tradition, cette tradition aucun pays arabe ou africain ne l'a, donc adminouche n'a pas entierement raison non plus, sinon ça serait trop simple, ilsuffit juste de taper sur le président

comme on le fait contre Assad zaama, alors que tous les Musulmans sont CORROMPUS

c'est une question de CORRUPTION GENERALISEE DES ELITES dans le Monde entier, sauf peut etre en Chine coree du nord et Russie de Poutine, mais meme pour ces trois pays, je ne donnerais pas un cheque en blanc question de corruption du sommet ( je ne parle pas de la petite corruption bien sur )

 

La transsaharienne est une réalité ! Le barrage vert est aussi une réalité !

Il y a aussi des chrétiens corrompus et des juifs aussi. J'ai même entendu parler de boudhistes corrompus. Des athées corrompus existent aussi !

La corruption n'est en rien liée a une quelconque religion ni ethnie.

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Il fallait comprendre au début qu'il ne s'agissait pas d'une affaire de dictateur et de peuple mais d'un complot international judéo-maçonnique contre la Syrie , le seul état de la région qui refuse de normaliser avec Tel Aviv et soutient militairement le Hezbollah , le Hamas et le Djihad Palestiniens .

 

Une fois , cette évidence comprise , le reste viendra tout seul car rentrant dans le cadre de ce même conflit judéo-maçonnique ..............international contre la Syrie , armée et peuple .

 

Il vous en prie :crazy::crazy:

 

Merci ladoz pour cette précision

j'ajouterai que le lion "Assad" était l’ennemi 1 dans cette région maintenant il est le doux chacal apprivoiser par l'autre manche de force dont ils soutiennent l'Iran qui veut sa part du gâteau dans le Golf

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oui mais ces projets c'était il y a longtemps, un peu comme le fameux barrage vert et la transaharienne de mes deux, tout ces plans ont foiré, pour une seule raison, comme le dit trés justement MR ADMINOUCHE pour une fois :D, nos Etats ont été défaillants et peu importe qui est de nos décideurs est le roi de la merdouille ( boumedienne, chadli, boutef ) en tous cas, ces problemes dépassent largement la personne d'un chef d'etat ou meme de tout un gouvernement,

le rapport de forces se forge dans une longue tradition, cette tradition aucun pays arabe ou africain ne l'a, donc adminouche n'a pas entierement raison non plus, sinon ça serait trop simple, ilsuffit juste de taper sur le président

comme on le fait contre Assad zaama, alors que tous les Musulmans sont CORROMPUS

c'est une question de CORRUPTION GENERALISEE DES ELITES dans le Monde entier, sauf peut etre en Chine coree du nord et Russie de Poutine, mais meme pour ces trois pays, je ne donnerais pas un cheque en blanc question de corruption du sommet ( je ne parle pas de la petite corruption bien sur )

 

Je crois que tu prend la bâton par son derrière:

Les musulmans ne sont pas des corrompus , mais des corrupteurs

car il n'y a jamais de fumée sans feu

 

en ce qui concerne le barrage vert et la transsaharienne c'est une autre paire de tricot!

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vous avez raison de préciser qu'il ne s'agit pas de Musulmans seulement, evidement ce que tu dit Bourourou, les chrétiens sont corrompus, et cela ce n'est un secret pour personne ( le vatican est une poubelle ) les Juifs, pas la peine d'en parler, nous les avons dans la bouche matin et soir, quand aux boudhistes, le dalai lama est un criminel agent de la CIA, et tout récement encore, meme la junte birmane a été corrompue par l'occident alors qu'elle etait jusque là resté fermée

mais moi, si je l'ai écrit en rouge, c'est pour dire que basta, on est pas mieux que les autres, et quand je dit TOUS LES MUSULMANS, je ne parle pas INDIVIDUELLEMENT hein Mr Sahraoui, on va pas compter un par un le milliard et demi de musulmans quand meme

 

@ pour la réalité des projets, si c'était vraiment efficace ça se saurait, en tous cas, le desert est déjà arrivé aux abords de Bouira !

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vous avez raison de préciser qu'il ne s'agit pas de Musulmans seulement, evidement ce que tu dit Bourourou, les chrétiens sont corrompus, et cela ce n'est un secret pour personne ( le vatican est une poubelle ) les Juifs, pas la peine d'en parler, nous les avons dans la bouche matin et soir, quand aux boudhistes, le dalai lama est un criminel agent de la CIA, et tout récement encore, meme la junte birmane a été corrompue par l'occident alors qu'elle etait jusque là resté fermée

mais moi, si je l'ai écrit en rouge, c'est pour dire que basta, on est pas mieux que les autres, et quand je dit TOUS LES MUSULMANS, je ne parle pas INDIVIDUELLEMENT hein Mr Sahraoui, on va pas compter un par un le milliard et demi de musulmans quand meme

 

@ pour la réalité des projets, si c'était vraiment efficace ça se saurait, en tous cas, le desert est déjà arrivé aux abords de Bouira !

 

J'ai pas dit que c'était une réussite à 100 % . J'ai juste dit que c'était bien une réalité. Il y a beaucoup d'endroits où ça a bien pris et où on peut voir l'apparition de micro-climats. Il faut reconnaitre que dans ces endroits, la nature a complètement changé !

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Merci ladoz pour cette précision

j'ajouterai que le lion "Assad" était l’ennemi 1 dans cette région maintenant il est le doux chacal apprivoiser par l'autre manche de force dont ils soutiennent l'Iran qui veut sa part du gâteau dans le Golf

 

Les Perses ont toujours été de fins stratèges qui savent manœuvrer !

 

Ils ont été , par exemple, les premiers bénéficiaires de l'invasion US de l'Irak sans avoir à dépenser le moindre Dollar ni encore moins à se "déshonorer" en ouvrant ses frontières aux soldats et avions US comme l'avaient fait les "arabes" du Qatar , du Koweit et d'Arabie Saoudite .

 

Il ne serait pas étonnant de les voir s'"arranger" avec les Américains sur certains dossiers au détriment des Mechyakhas du Khalidj s'il y a conjonction d'intérêts .

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Les Perses ont toujours été de fins stratèges qui savent manœuvrer !

 

Ils ont été , par exemple, les premiers bénéficiaires de l'invasion US de l'Irak sans avoir à dépenser le moindre Dollar ni encore moins à se "déshonorer" en ouvrant ses frontières aux soldats et avions US comme l'avaient fait les "arabes" du Qatar , du Koweit et d'Arabie Saoudite .

 

Il ne serait pas étonnant de les voir s'"arranger" avec les Américains sur certains dossiers au détriment des Mechyakhas du Khalidj s'il y a conjonction d'intérêts .

 

ton "si" est déjà dans les tuyaux je crois, il parait que l'Iran ( via Rafsanjani ? ) s'achemine petit à petit à appliquer le plan que tu viens d'evoquer au conditionnel, mais bon, c'est pas officiel, y a pas de lien à donner pour des précisions, il suffit juste d'avoir un peu de jugement d'anticipation, et on tombe pile poile avec cette théorie, les perses sont largement bon tacticiens, et ces fils de p tes d'occidentaux en sont conscients, donc, ils manoeuvrent pour y arriver

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on assiste ...la a on assiste a un double phenomene

l’effondrement des vieux arrangements régionaux mis en place par les Britanniques et les Français ( sykes- picot) et un l’échec pur et simple de l’Etat-nation moderne dans la région.

 

le caractere artificiel ne tenant pas compte des population de l'arrangement de 1916 .... s'exprime pleinement aujourdhui sur des bases religieuse et ethnique .

 

les états nations n'ont maintenu cet equilibre entre peuples tribus et ethies qu'en terme de violence et de clientélisme et non terme de citoyenneté.

 

si l'on y ajoute la vielle lutte chiite sunnite ...et la course au leadership entre l'iran et l'AS ...

 

tout cela sous les odeur de petrole et les interets occidentaux .

on a cette khalotta !

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on assiste ...la a on assiste a un double phenomene

l’effondrement des vieux arrangements régionaux mis en place par les Britanniques et les Français ( sykes- picot) et un l’échec pur et simple de l’Etat-nation moderne dans la région.

 

le caractere artificiel ne tenant pas compte des population de l'arrangement de 1916 .... s'exprime pleinement aujourdhui sur des bases religieuse et ethnique .

 

les états nations n'ont maintenu cet equilibre entre peuples tribus et ethies qu'en terme de violence et de clientélisme et non terme de citoyenneté.

 

si l'on y ajoute la vielle lutte chiite sunnite ...et la course au leadership entre l'iran et l'AS ...

 

tout cela sous les odeur de petrole et les interets occidentaux .

on a cette khalotta !

 

 

t'es parti t'instruire sur la question et tu es revenu :D, c'est maintenant que tu t'aperçois qu'il s'agit d'odeur de pétrole ? et ben dit donc, tu en a mis du temps, mais maalihche, il vaut mieux aujourd'hui que jamais

 

pour ta gouverne, tu viens de faire une légère erreur, qui peut devenir trop grosse si tu essaie de te donner raison comme d'hab avec un revers de main dedaigneux

en fait, non seulement ils s'agit bel et bien de sykes picot et autres odeurs de pétrole et d'Etats Nations Caduque .....dans la région dit tu ( je te cites donc ) alors qu'en fait, il s'agit de TOUS LES ETATS du Monde, ce qui se passe en Afrique est flagrant, mais surtout en Europe avec cette pseudo Union Europenne qui n'est la que pour détruire les Etats Eiropéens au profit de l'alliance transatlantique et autres TAFTA,

voilà, n'insistes pas belkarem, ou alors retournes d'abord te cultiver dans les poubelles du web ( dixit adminouche ) et reviens nous pondre des réponses qu'on se tue à les répéter .........presque en vain, mais on sait qu'il faut toujours insister pour que l'arbre donne ses fruits :mdr:

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