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la france va reconaitre l'etat palestinien.?


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C'est ce que j'ai cru entendre dans la radio algerchaine3. Un projet de lois va etre soumis pour abrobation reconnaissant l'etat palestinien...

Si c'est vrai ça va ouvrire une grande guerre dans la region. Vue que l'irak a comoletement disparue et la syrie est instable personne ne sauvera le peuple palestinien du genocide.

 

Alors il est du devoirs de l'algerie d'anticiper ces evenements pour cordonner des actions avec lambassade de palestine afin de coir comment accuillir des refugiers palestiniens.

Ils faut au moins eplucher les archives francaises pour voir a été reglé le probléme des refufié europeens pieds noirs et colons en france. Dispersion des familles pour eviter de creer le communautarisme et la gueotisation, eviter les attroupements et actions politiques, voila ce que racontent les pieds noirs de leurs fuite de la guerre d'algerie.

 

Siune famille palestiniens désire emigrer ailleurs l'etat algerien doit accepter son désire..

Ils faut leurs interdire seulement les pays catholiques.....la famille palestinienne musulmane ou laic doit sortir pour un autre pays musulman ou protestant

Jamais pour un pays catholique

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Imaginer que vous êtes un français qui parle dégustation de vin à l’aveugle

Eh bah, ça vous fera vraiment quelque chose entouré de vos bouteilles masquées que la France reconnaissent la Palestine?

Non alors?

 

à qui est destinée cette drague électorale qui n'aboutira jamais et qui même si elle abouti ne changera rien pour les palestiniens?

 

elle est destinée à .....à qui?

 

à certain forumistes ici même :mdr:

Français mais qui ne le se sente pas

 

un certain électorat maghrébin....

 

Je draguerais mieux en étant borgne et en manque de sommeil de 48 heures ( mon seul œil est rouge louchant)

 

Foutaise ce truc

 

Et en Fait, la dernière chose qu'il faut attendre de la gauche de n'importe quel pays occidentale...c'est d'aider les palestinien....en fait cette gauche ne fera que les utiliser les palestiniens

 

Sarkozy est un abu jihad par rapport à tout les gauchistes français, n'en parlons même pas de Chirac qui avait vraiment gêné les israéliens à l'époque et de manière je l'avoue suicidaire (je ne sais pas ce qu'il a pris pendant son séjour dans cette région)

Encore moins De Gaulle

 

En fait, ce qu'il faut demander à la France c'est de s'occuper de ses affaires et défendre ses propres intérêts ainsi de ses citoyens....vous aller voire elle va être naturellement pro-arabe.

 

Vous remarquerais que la gauche française est plein dans "l'importation du conflit du proche orient"

 

De la vrais raclure la gauche, je vous l'assure...des vendeurs de "principes" et surtout de rêves. Il suffit d'y croire (c'est tellement beau le bobard) et tu es le roi des cocus

 

Le monde diplo est plus dangereux que le Figaro...oui oui je vous l'assure

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Imaginez aussi que vous etes dans une ville composé d'etre humain qui change de logement au gré du prix du propriétaire, chacun prends ses affaires sur son dos. Il redevenue soit un escargot soit un apatride soit un nomade qui lorsqu'il voit s'installer devant sa location un gens du voyage un nomade qui a sa propre proriete mobilhome l'apatride escargot se sent mal a l'aise. Derriere la vitre de sa location perché au cinquiéme il observe le nomade sortir de sa carosse tirés par des cheveaux. C'est le tzigane que l'europe n'aime pas voir passer, car ils leurs montrent leurs réalité des apatride sans logeme'ts sa's travail, d'un interime vers un autre. Habiter paris ou lo'dre ou rome ou moscou n'est nulement etre un europeen, tu ne lossede rien tu n'est qu'une babboucha un escargots d'un appartement vers un autre et d'un interime vers un autre.

Mais qui a le droit a la carte de credit.? Le vrai nationaliste? Ce qui se passe a paris se passe a telaviv..lasbas aussi ils ont leurs escargots qui n'ont du juif que le titre.,,des apatrides qui regarde le nopade palestinien s'installer devant chez eux pour leurs lontrer leur condition de juif proproprietaire que par dans la theorie du peuple juive...alors il devient furieux,, a tout prie il veux casser cette realite que lui renvoie le nomade palestinien le gitan arabe....

Casser le gitan le jeter ailleurs c'est briser le miroir et la maudite retransmis et réflechis d'une réalité des juifs d'israel..en chomage en escargot en apatride..

Le'gitan arabe qui est le palestinien doit saisir l'etendu de la realité juivenet arabe.. berser dans le faux espoir des imames'et des rabbins ''attendez disent ils le ciel va pleuvoir des cailles''

Et la realité'de la vie

Si tu ne monte pas debout a 4 heures du matin pour elever ta cailles

Tu finiras comme caille dans un rotissoires chez les barbares:mdr:

Ou les berbes de lEst et ceux de l'ouest...

Bonne nuit les gita's

Et bon reveil aux escargots de telaviv

Sbah elkhir babbouche israil:zorro:

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Imaginez aussi que vous etes dans une ville composé d'etre humain qui change de logement au gré du prix du propriétaire, chacun prends ses affaires sur son dos. Il redevenue soit un escargot soit un apatride soit un nomade qui lorsqu'il voit s'installer devant sa location un gens du voyage un nomade qui a sa propre proriete mobilhome l'apatride escargot se sent mal a l'aise. Derriere la vitre de sa location perché au cinquiéme il observe le nomade sortir de sa carosse tirés par des cheveaux. C'est le tzigane que l'europe n'aime pas voir passer, car ils leurs montrent leurs réalité des apatride sans logeme'ts sa's travail, d'un interime vers un autre. Habiter paris ou lo'dre ou rome ou moscou n'est nulement etre un europeen, tu ne lossede rien tu n'est qu'une babboucha un escargots d'un appartement vers un autre et d'un interime vers un autre.

Mais qui a le droit a la carte de credit.? Le vrai nationaliste? Ce qui se passe a paris se passe a telaviv..lasbas aussi ils ont leurs escargots qui n'ont du juif que le titre.,,des apatrides qui regarde le nopade palestinien s'installer devant chez eux pour leurs lontrer leur condition de juif proproprietaire que par dans la theorie du peuple juive...alors il devient furieux,, a tout prie il veux casser cette realite que lui renvoie le nomade palestinien le gitan arabe....

Casser le gitan le jeter ailleurs c'est briser le miroir et la maudite retransmis et réflechis d'une réalité des juifs d'israel..en chomage en escargot en apatride..

Le'gitan arabe qui est le palestinien doit saisir l'etendu de la realité juivenet arabe.. berser dans le faux espoir des imames'et des rabbins ''attendez disent ils le ciel va pleuvoir des cailles''

Et la realité'de la vie

Si tu ne monte pas debout a 4 heures du matin pour elever ta cailles

Tu finiras comme caille dans un rotissoires chez les barbares:mdr:

Ou les berbes de lEst et ceux de l'ouest...

Bonne nuit les gita's

Et bon reveil aux escargots de telaviv

Sbah elkhir babbouche israil:zorro:

 

L'idée d'apatride est profondément socialiste....c'est l'internationale des cocos, pas d'Etat que des classes.

Sans le socialisme il n 'aurais jamais eu d’Israël, le Kibboutz (première identité israélienne) est le sommet du communisme et du collectivisme. Israël est née de gauche.

Je vais plus loin, sans le socialisme et les idées nouvelles, il n y' aurait jamais eu d'apatrides financiers. L'un sert l'autre : si l'infrastructure est le fric (l'apatride financier), la superstructure c'est les idées (le socialisme)

Hada yakwi o hada ybokh

 

Dans ces conditions, vous imaginer les socialistes faire quelques choses à l'encontre d’Israël? les mamelles desquelles ont téter leur idéologie?

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L'apatride des ville n'a ni ideologie ni livre, ni socialisme ni capitalisme. Croire au nationalisme des ville c'est croire au cheikh qui traverse la lere sur pieds pour aller a la meque..

Les juifs se font manipulé par le nationalisme des apatrides des villes. Les appatride n'ont ni dine ni malla.. lorsque l'apatride juif des villes a besoin d'argent le premier volé sera son ami le juif....

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trés interessant dialogue, moi aussi je ne crois pas du tout à cette histoire soudaine de reconnaissance de la Palestine, ça cache un truc, c'est quoi ? l'un de vous a dit pour des raisons electorales, oui mais c'est pas suffisant comme explication, puisque la question ne se limite pas à la France mais à l'europe entiere sinon le monde, d'ailleurs l'europe du nord, suede ou je ne sais plus qui a déjà voté, donc ouvert la voie

à mon humble avis,c'est un truc diplomatique qui sert d'abord à détruire definitivement la question palestienne, avec cette "reconnaissance" on se donne le beau role pour pas un kopeck, et du coup, les arabes boucleront le bec, puisque toujours en retard d'une manipulation

le vrai enjeu c'est

ce qui se prépare avec ce daesh et autres recompositions "nationales" au proche et moyen orient algérie comprise est beaucoup plus concret que cette étrange reconnaissance de la palestine

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la France ne fait que suivre les recommandations du ministère des Affaires Étrangère Européen, le vote actuellement à l'assemblé n'est pas reconnaissance. il préconise et donne un délai de 2 ans pour que les deux parties en lice parviennent à un accord de Paix.

Passé ce délai, si aucun accord n’aboutis, la France alors, reconnaitra officiellement l’État Palestinien.

 

mais c'est mal connaitre Israël, celle-ci fera tout ce qui est en son pouvoir pour torpiller ce projet, Israël ne vie que pour et par la guerre, la paix est son pire ennemie.

 

dans deux ans, c'est juste avant les élections présidentielle :D

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Ce qu'il ne faut pas lire ici... Vous ne connaissez vraiment ni la Palestine, ni Israël... Vous êtes dans vos fantasmes à 1000 lieues de la réalité de cette région et vous vous postez en tant que connaisseurs certifiés en balançant de grosses conneries...

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Débat à l’Assemblée nationale – Proposition de résolution relative à la reconnaissance de l’état palestinien - Discours de Laurent Fabius (28 novembre 2014)

 

Monsieur le Président,

 

Mesdames et Messieurs les Députés,

 

Vous allez vous prononcer, mardi prochain, après ce débat, dans un vote concernant la reconnaissance de l’État de Palestine.

 

Un tel débat suivi d’un scrutin n’est pas habituel : la reconnaissance d’un État est en effet une prérogative de l’exécutif, et il est rare que le Parlement se saisisse d’une telle question. Mais la situation elle-même est exceptionnelle : l’interminable conflit israélo-palestinien, l’attachement de la France envers les deux peuples, le désir de notre pays de voir la paix enfin s’instaurer là-bas expliquent votre volonté commune, même si elle s’exprime par des positions diverses, de contribuer à une solution politique.

 

***

 

Je commencerai sur ce sujet par une évidence : la France est l’amie à la fois du peuple israélien et du peuple palestinien. Et ceci devrait guider le fond et le ton des prises de position. Nos seuls ennemis dans cette région sont les extrémistes et les fanatiques qui, de chaque côté, entravent la marche vers la paix par ce que j’appellerai leur « spirale du talion ».

 

Dans cette recherche de la paix, notre pays s’est depuis longtemps déclaré favorable à la solution des deux États. Le 29 novembre 1947, lors du vote de l’Assemblée générale des Nations unies sur la création de deux États, la France apporta sa voix décisive. Je rappelle le texte, en 1947, de la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations unies : « les États indépendants arabe et juif (…) commenceront d’exister (…) le 1er octobre 1948 au plus tard ». La France fut l’une des premières, après l’URSS et les États-Unis, à reconnaître le jeune État d’Israël, qui dut conquérir de haute lutte son droit à l’indépendance. Ce fut aussi la position du Général de Gaulle, de ses successeurs - et, par un discours resté fameux prononcé à la tribune de la Knesset en 1982, celle de François Mitterrand, qui traça la perspective en reconnaissant l’aspiration légitime du peuple palestinien à un État.

 

Au-delà des alternances politiques, c’est la position constante de la diplomatie française. Les votes récents de la France en faveur de la Palestine comme membre de l’UNESCO ou comme État observateur non membre à l’ONU vont dans le même sens. C’est également la position du président François Hollande et du Premier ministre Manuel Valls ; je réaffirme cette position. Notre conviction est que le règlement définitif du conflit et l’avènement d’une paix durable au Proche-Orient ne pourront être obtenus que par la coexistence de deux États souverains et indépendants. La conséquence logique de cette position est claire - et je l’exprime clairement : la France reconnaîtra l’État de Palestine. Cette reconnaissance, je l’ai dit, ce n’est pas une faveur, un passe-droit, c’est un droit.

 

La question qui se pose à nous n’est donc pas celle des principes, puisque celle-ci est tranchée, mais celle des modalités : quand et comment ? Plus largement, quelle méthode pour essayer d’aboutir concrètement à la paix ? C’est le débat qu’appelle la proposition soumise à votre Assemblée.

 

***

 

Mesdames et Messieurs les Députés, personne ne peut nier que l’espoir de paix au Proche-Orient soit plus que jamais menacé.

 

Nous partageons tous devant ce conflit un sentiment d’urgence. Nous mesurons la gravité de la situation. Nous savons les ravages que crée des deux côtés, et ailleurs, l’absence de perspective concrète de solution. Nous voyons l’étendue des drames humains et les atteintes, toujours plus inquiétantes, portées à la solution des deux États.

 

C’est d’ailleurs pourquoi plus de 130 pays dans le monde ont reconnu la Palestine. C’est aussi pourquoi, au cours des dernières semaines, plusieurs pays ou Parlements voisins ont pris des initiatives voisines : la Suède, le Parlement de Grande-Bretagne, d’Irlande et, très récemment, celui d’Espagne. Ils ont voulu exprimer que, face à l’impasse actuelle, ils refusaient le fatalisme et l’inertie. Nous sommes nous-mêmes convaincus qu’il faut agir pour faire avancer la paix.

 

La paix, nous en connaissons depuis longtemps les contours. Elle doit reposer sur l’existence de deux États souverains et démocratiques, vivant côte à côte en paix et en sécurité, sur la base des lignes de 1967 et avec Jérusalem pour capitale. C’est d’ailleurs le paradoxe tragique du conflit israélo-palestinien et sa spécificité par rapport à d’autres conflits : les termes de sa résolution sont pour l’essentiel déjà connus, et cependant il apparaît depuis des décennies comme le symbole du conflit insoluble.

 

Car il est vrai que la méfiance est forte entre les deux parties, même si les opinions publiques des deux côtés sont majoritairement favorables à la solution des deux États. La poursuite illégale des implantations depuis les années 1970 dans les territoires occupés par Israël menace à un terme de plus en plus rapproché la viabilité d’un État palestinien, cependant que la position de certains groupes palestiniens tels le Hamas, qui appellent à la destruction d’Israël, rejettent les accords d’Oslo et exaltent la violence, est évidemment contraire à la volonté de solution et à nos choix.

 

Bref, face à une paix nécessaire et espérée, les obstacles se multiplient.

 

Le processus de négociations entre les deux parties, que le secrétaire d’État américain Kerry a tenté avec ténacité de relancer en début d’année, apparaît à l’arrêt.

 

L’explosion des violences provoque l’effroi, avec encore récemment l’attentat barbare commis contre des Israéliens dans une synagogue de Jérusalem, et cet été, la tragédie insupportable qui a frappé les habitants de Gaza.

 

À Gaza précisément, rien n’est réglé, en Cisjordanie, à Jérusalem, partout la tension grandit : une étincelle peut, à chaque instant, conduire à l’embrasement général.

 

Cette situation dramatique, c’est à la fois l’expression et l’aboutissement de décennies de tensions, avec l’engagement périodique de négociations et l’échec périodique de ces mêmes négociations. À tel point qu’au fil des années, ce conflit est devenu une sorte de « rocher de Sisyphe des relations internationales ». À chaque reprise des discussions, l’espoir renaît ; mais, quand le but approche, quand chacun espère que les deux parties peuvent et vont conclure, la rechute hélas se produit.

 

À Madrid, puis lors des accords d’Oslo, la paix a pu sembler à portée de main. Lors des sommets de Camp David, de Taba aussi, où l’issue paraissait proche. Mais la paix a fini toujours par se dérober, rendant chaque fois plus amères et plus brutales les désillusions de ceux qui croyaient en elle.

 

Face à cette impasse, c’est le devoir de la communauté internationale de réagir, en particulier le devoir de la France, puissance de paix, amie traditionnelle des Israéliens et des Palestiniens, même si nous savons que la tâche est et sera très difficile.

 

***

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Mesdames et Messieurs les Députés,

 

Le texte qui vous est soumis affirme « l’urgente nécessité d’aboutir à un règlement définitif du conflit permettant l’établissement d’un État démocratique et souverain de Palestine en paix et en sécurité aux côtés d’Israël ». Il affirme que « la solution des deux États, promise avec constance par la France et l’Union européenne, suppose la reconnaissance de l’État de Palestine aux côtés de l’État d’Israël ». Et il « invite le gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit ».

 

Certains parmi vous estiment que, pour des raisons constitutionnelles, ils ne peuvent prendre position favorable, ou position tout court, car cela empiéterait sur les pouvoirs de l’exécutif. Je veux être clair. Ce qu’interdit la Constitution au titre de l’article 34-1, c’est que le Parlement inscrive à l’ordre du jour des propositions de résolution contenant des « injonctions » à l’égard du gouvernement. Or la proposition examinée constitue, non une injonction, mais - ce n’est pas une querelle sémantique - une invitation à l’adresse du gouvernement. Donc, pas d’ambiguïté : sur la question de la reconnaissance de l’État de Palestine, le Parlement peut se prononcer, il va le faire, mais aux termes de notre Constitution, l’exécutif - et lui seul - est juge de l’opportunité politique.

 

Mesdames et Messieurs,

 

Comment servir le plus efficacement possible la cause de la paix ?

 

La France défend depuis longtemps l’idée que la reconnaissance de l’État de Palestine doit intervenir dans le cadre d’un règlement global et définitif du conflit, négocié par les deux parties. Pour une raison : nous ne voulons pas d’une reconnaissance symbolique qui n’aboutirait qu’à un État virtuel. Nous voulons un État de Palestine réel. Après vingt-cinq années de « processus de paix » sans résultat, on ne peut se contenter d’une reconnaissance en trompe-l’œil, suivie d’aucun effet concret.

 

Mais l’objectif souhaitable d’une reconnaissance inscrite dans le cadre d’un accord global n’a de sens que si les négociations s’engagent effectivement, si elles avancent et si elles aboutissent. En d’autres termes, nous soutenons la négociation, mais nous refusons que celle-ci devienne le mode de gestion d’un statu quo injuste et intenable. Nous refusons un faux-semblant où les deux parties, livrées seules à elles-mêmes, ne parviendraient qu’à ressasser les mêmes questions sans qu’un cadre et un terme clairs soient donnés à la négociation. Bref, la négociation accompagnant la reconnaissance ne peut devenir un moyen, le moyen d’éviter ou d’empêcher cette reconnaissance.

 

***

 

Dès lors, constatant le blocage actuel, nous pensons qu’il est légitime de retenir une approche permettant de donner une réelle et peut-être ultime chance à la négociation.

 

Nous considérons qu’il est indispensable de sortir d’un face-à-face solitaire entre Israéliens et Palestiniens, méthode qui a fait la preuve de son peu d’efficacité. Le constat historique de ces dernières décennies est en effet sans appel : seules, ou même avec le concours des États-Unis, les deux parties réussissent - difficilement - à discuter mais elles ne parviennent pas à conclure. Notamment pour des raisons de politique intérieure, elles ne parviennent pas à accomplir les dernières concessions qu’impose la signature d’un compromis.

Il faut donc essayer de faire évoluer cette méthode. Il faut un accompagnement, certains diront une pression de la communauté internationale pour aider les deux parties à faire le geste final indispensable et accomplir le pas ultime qui mènera à la paix.

 

C’est ce à quoi le gouvernement français s’emploie en ce moment même.

 

Aux Nations unies, nous travaillons avec nos partenaires pour essayer de faire adopter une résolution du Conseil de sécurité en vue d’une relance et d’une conclusion des négociations, pour laquelle le terme de deux ans est le plus souvent évoqué. Le gouvernement français peut reprendre ce chiffre à son compte.

 

Après tant d’efforts et d’échecs, le résultat n’est pas assuré. Mais nous ne voulons écarter aucune chance de paix. Les objectifs de cette résolution espérée sont clairs. Fixer un cap : nous voulons éviter l’écueil de négociations sans fin, qui reprendraient depuis le départ des efforts déjà accomplis depuis des années. Des paramètres précis pour un règlement du conflit adoptés en amont par la communauté internationale fourniront la base des futures négociations. Et nous devons fixer un calendrier. Car en l’absence de calendrier, comment convaincre qu’il ne s’agira pas d’un énième processus sans perspective réelle d’aboutir ?

 

Parallèlement à ces négociations aux Nations unies, la France plaide pour créer les conditions d’un effort collectif au service de la paix. L’expérience nous enseigne, je l’ai souligné, que les Israéliens et les Palestiniens ne parviennent pas à conclure seuls. Les décisions à prendre sont si délicates qu’un accompagnement et un soutien extérieurs sont indispensables, avec et au-delà même des États-Unis qui ont un rôle majeur à jouer. D’autres pays sont par ailleurs directement concernés par la solution du conflit : je cite notamment l’Égypte ou la Jordanie, qui accueillent de nombreux réfugiés palestiniens depuis des décennies ou exercent des responsabilités particulières sur les Lieux saints.

 

La France souhaite entraîner dans cette démarche à la fois l’Union européenne, la Ligue arabe, les membres permanents du Conseil de sécurité, dont les États-Unis, dans une mobilisation collective en faveur de la paix au Proche-Orient. Une conférence internationale pourrait être organisée afin d’appuyer cette dynamique indispensable. La France est disposée à en prendre l’initiative. Dans cette négociation diplomatique, la reconnaissance de l’État palestinien constituera un instrument du règlement définitif du conflit, un levier au service de la paix.

 

Et si ces efforts échouent, dira-t-on ? Si cette ultime tentative de solution négociée n’aboutit pas ? Alors, il faudra que la France prenne ses responsabilités, en reconnaissant sans délai l’État de Palestine. Nous y sommes prêts.

 

***

 

Mesdames et Messieurs les Députés,

 

La position du gouvernement français se veut à la fois positive et équilibrée. Pas question d’un statu quo qui, en réalité, menace la solution des deux États. Pas question non plus de céder sur la sécurité d’Israël. Et pas question d’« importer » chez nous le conflit israélo-palestinien. Dans notre esprit, les votes qui vont intervenir n’opposeront pas d’un côté ceux qui soutiennent les Palestiniens et de l’autre ceux qui soutiennent les Israéliens : la reconnaissance de l’État de Palestine est en effet nécessaire aussi pour assurer durablement le développement et la sécurité d’Israël, elle devrait donc logiquement être soutenue par tous les amis d’Israël. Inversement, nous pensons qu’être un ami d’Israël n’est nullement être un ennemi de la Palestine. Le point de rencontre est la recherche de la paix qui implique de reconnaître l’État palestinien, selon la méthode et au moment les plus efficaces pour servir cette paix. Sur ce chemin escarpé, nous ne ménageons pas nos efforts. Car nous savons comme vous que le temps est compté à celles et ceux qui, dans cette région et pour cette région, veulent sincèrement la paix.

 

Débat à l?Assemblée nationale ? Proposition de résolution relative à la reconnaissance de l?Etat palestinien - Discours de Laurent Fabius (28.11.14) - France-Diplomatie - Ministère des Affaires étrangères et du Développement internatio

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État palestinien : Fabius fixe un calendrier

 

Le ministre des Affaires étrangères veut aboutir à un règlement du conflit israélo-palestinien dans les deux ans.

 

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Initiative pour la paix ou déclaration de guerre? Les débats sur la reconnaissance de l'État de Palestine ont ravivé les tensions droite-gauche, vendredi à l'Assemblée nationale. À l'origine, une proposition de résolution PS, sans valeur contraignante pour la France. Lors de son examen, Laurent Fabius a affirmé que la diplomatie française voulait proposer l'adoption d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU pour aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien, dans un délai de deux ans.

 

«La France est l'amie à la fois du peuple israélien et du peuple palestinien (…) Nous partageons tous devant ce conflit un sentiment d'urgence», a déclaré le ministre des Affaires étrangères, qui a suggéré le vote d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. «Une conférence internationale, dont la France est disposée à prendre l'initiative, pourrait être organisée afin d'appuyer cette dynamique indispensable», a-t-il ajouté. Surtout, Laurent Fabius a annoncé que «si cette ultime tentative de solution négociée n'aboutit pas, alors, il faudra que la France prenne ses responsabilités en reconnaissant sans délai l'État de Palestine. Nous y sommes prêts». Ce qui lui a valu des salves d'applaudissements à gauche.

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Palestine, des assassinats ciblés contre la paix Une stratégie israélienne immorale et dangereuse

 

Orient XXI > Magazine > Jean-Paul Chagnollaud > 10 mars 2014

 

Le 27 février dernier, Moataz Washaha, militant du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), était assassiné dans sa maison de Birzeit. Fin 2013, en dépit de la trêve signée le 21 novembre avec le Hamas, Israël a multiplié les raids contre Gaza, visant des militants. Ces « assassinats ciblés » sont une pratique ancienne de Tel-Aviv. Toujours justifiés par des raisons de sécurité, ils sont un élément de déstabilisation et un obstacle majeur à la paix.

 

 

 

Un assassinat ciblé est « l’utilisation intentionnelle, préméditée et délibérée d’une force létale dirigée à l’encontre d’une personne individuellement sélectionnée n’étant pas détenue ». Cette définition d’un juriste proche du Comité International de la Croix-Rouge (CICR)1 est impeccable. Chaque mot est pesé et le tout donne une idée précise de cette pratique. À un détail près, essentiel : rien n’est dit sur l’auteur ; or l’auteur de l’acte est toujours un État. Et comme il est question de meurtres, il s’agit donc bien de meurtres d’État.

 

Nombre de gouvernements, engagés dans des conflits asymétriques, y ont eu recours. La France a assassiné pendant la guerre d’Algérie des leaders de la Révolution algérienne comme Larbi Ben M’Hidi2. Les États-Unis ont pratiqué, sur une grande échelle, l’assassinat ciblé pendant la guerre du Vietnam et continuent aujourd’hui au Pakistan et ailleurs à tuer des responsables d’organisations radicales islamistes, notamment à l’aide de drones.

 

Dès 1948, Israël a monté des opérations pour éliminer des responsables palestiniens. Par la suite, cette pratique s’est poursuivie de manière ponctuelle3 avant qu’elle ne devienne courante lors de la seconde Intifada. Décidées par le gouvernement, ces opérations sont l’œuvre des services spéciaux : le Mossad pour les actions extérieures et le Shabak4 pour l’intérieur et les territoires occupés. Ils identifient et repèrent la « cible » et ensuite, le plus souvent, l’armée procède à l’exécution par toutes sortes de moyens.

« Raison de sécurité »

 

Le discours officiel israélien justifie ces pratiques en invoquant des raisons de sécurité : il faut liquider les terroristes avant qu’ils n’agissent. À titre d’exemple, voici un argumentaire typique : « Israël agit avec calme et sang-froid. Cette politique intelligente des assassinats ciblés et les opérations aériennes de liquidations à Gaza ont permis de sauver de nombreuses vies, du côté israélien comme du côté palestinien. Les frappes de l’armée israélienne visaient uniquement les chefs terroristes actifs sur le terrain. Cela évite des opérations terrestres plus coûteuses en vies humaines et souvent moins efficaces. Il faut espérer qu’Israël les élimine tous avant qu’ils ne commettent d’autres attentats »5. Tout est dit : ces assassinats seraient nécessaires pour assurer la sécurité des citoyens. Et, par un renversement paradoxal, on en vient à affirmer que ces meurtres sauvent des vies.

 

En réalité, dès qu’on examine les circonstances précises d’une opération, on constate que les choses sont beaucoup plus complexes. Deux exemples concrets : Yehia Ayache et Salah Shehadeh, tous deux chefs militaires du Hamas. L’assassinat du premier, le 5 janvier 1996, intervient à un moment où la situation politique est très délicate. Côté palestinien, des négociations sont ouvertes entre le Fatah et le Hamas, notamment dans la perspective des élections du 20 janvier. Le Hamas refuse d’y participer puisqu’il récuse les accords d’Oslo mais Yasser Arafat veut obtenir qu’il ne tente rien d’irréparable pour déstabiliser le processus politique dans lequel lui-même est engagé.

 

Côté israélien, l’assassinat de Itzhak Rabin par Ygal Amir, un extrémiste juif religieux, le 4 novembre 1995 avait provoqué une émotion considérable en Israël. Ce choc avait discrédité la droite dure, que beaucoup rendaient responsable d’avoir provoqué un climat de haine contre Rabin. Leah Rabin avait d’ailleurs appelé à « profiter » de cette situation en organisant des élections anticipées, puisque à ce moment-là les sondages donnaient Shimon Pérès vainqueur. Son argument était simple et fort : que son mari ne soit pas mort en vain.

 

Entre le 25 février et le 4 mars, en riposte à l’assassinat d’Ayache, le Hamas commet trois attentats : à Ashkelon, à Jérusalem et à Tel-Aviv. Le bilan est lourd : des dizaines de morts et de nombreux blessés. Benyamin Nétanyahou, radicalement opposé à Oslo, remporte de justesse l’élection du 29 mai. Sans le climat de peur et d’angoisse créé par cette série d’attentats, il n’aurait pas été élu.

Déstabilisation permanente

 

Dès lors, on peut se demander pourquoi avoir pris la décision de tuer Ayache en un tel moment, sachant que les radicaux du Hamas chercheraient à le venger ? Était-ce une erreur d’appréciation de la part du Shabak et de l’armée ? Une erreur de Pérès ? Un calcul plus machiavélique de la part de certains ? On le saura peut-être un jour. Toujours est-il qu’en liquidant Ayache on n’a sauvé aucune vie.

 

Même type d’interrogations à propos de Shehadeh, tué le 20 juillet 2002 par une bombe d’une tonne larguée sur sa maison à Gaza. Bilan : quinze morts, dont neuf enfants, et une centaine de blessés. Cela provoque une profonde colère chez les Palestiniens et de multiples réactions en Israël. Là encore, la question du timing est primordiale, comme le montre bien l’éditorial de Haaretz du 24 juillet : « Comment pouvait-on s’attendre à ce que la bombe n’atteigne que Shehadeh dans la disposition des lieux où cela s’est passé ? (...) Le choix du moment soulève aussi des questions. Des signes indiquaient ces derniers jours qu’existait, pour la première fois depuis des mois, une chance de progrès en direction d’un cessez-le-feu. (...) Nous n’avons d’autre choix que de nous interroger sur le bien-fondé du feu vert donné par le premier ministre à un assassinat dont les conditions d’exécution et le contexte allaient inévitablement réduire à néant ces tentatives de paix. (...) Les Palestiniens voudront venger Shehadeh et plus encore la mort des enfants. La vérité est qu’Israël joue avec le feu depuis longtemps et que quelque chose d’essentiel a dérapé dans l’esprit des décisionnaires (...) ».

 

Ces deux exemples ne sont pas isolés. Ils montrent bien qu’il ne s’agit pas seulement de prévenir des attentats en tuant leurs auteurs présumés avant qu’il ne passent à l’acte. Les assassinats ciblés ont pour fonction de déstabiliser une situation pour légitimer des répressions sur une large échelle et en même temps, d’éliminer physiquement les hommes qui ont les capacités de structurer le mouvement national palestinien.

« Notre guerre d’indépendance n’est pas terminée »

 

À partir du déclenchement de la seconde Intifada en septembre 2000, cette pratique s’accélère considérablement, puisque près de trois cent cadres palestiniens sont ainsi exécutés6 en quelques années. Elle s’inscrit pleinement dans la politique du nouveau premier ministre, qu’il a résumée — en une formule demeurée célèbre — dans Haaretz en avril 2011 : « Notre guerre d’indépendance [de 1948] n’est pas encore terminée ». Son ministre de l’intérieur Uzi Landau s’inscrit dans cette logique : « Les accords d’Oslo ne sont pas la solution au problème. Ils sont le problème. Les Palestiniens ont lancé cette Intifada parce qu’après Oslo, ils se sont sentis les plus forts. Il faut donc, comme en Afghanistan, détruire les infrastructures de la terreur. Je ne parle pas seulement du Hamas et du Djihad islamique mais des talibans locaux qui les protègent, (...) la garde rapprochée d’Arafat et toute l’Autorité à travers ses ministères et ses activités. Il faut mettre toutes ces organisations hors d’état de nuire. (...) Tuer ses soldats, détruire ses bâtiments, l’étrangler financièrement. (...) Le terrorisme est comme une tumeur qui prolifère si on ne le détruit pas, comme le sida ou le cancer »7.

 

On le voit bien, la question n’est donc pas vraiment – ou pas seulement – de savoir si ces assassinats ciblés ont été « efficaces » pour prévenir des attentats, mais bien de comprendre qu’ils furent un outil décisif pour éliminer tous ceux qui auraient pu être les négociateurs potentiels de la construction d’un État palestinien et plus largement tous ceux qui auraient pu compter dans le débat politique. Par cette violence ciblée, on détruit toute possibilité de dialogue politique à venir, dont on ne veut à aucun prix. Ariel Sharon l’a affirmé haut et fort : « Oslo n’existe plus ; Camp David et Taba n’existent plus. Nous ne retournerons jamais dans ces endroits »8.

 

Ceux qui prônaient cette ligne dure ont gagné. Déjà, quand ils étaient dans l’opposition à l’époque d’Oslo, ils détenaient des postes clés au sein de l’appareil militaire et de sécurité. Dès 1996, Nétanyahou revient aux affaires. Ariel Sharon devient premier ministre en mars 2001. Moshé Yaalon est nommé chef des renseignements militaires, Aman, en 1995 puis chef d’état-major de juillet 2002 à juin 2005 — en 2013, il est ministre de la défense9. Shaul Mofaz, chef d’état-major de 1998 à 2002, était ministre de la défense entre 2002 et 2006, puis leader de Kadima en 2012. Avi Dichter, patron du Shabak de 2002 à 2005, a été ministre dans le gouvernement Nétanyahou, où on trouve aussi Uzi Landau.

 

Mais au regard de l’histoire, qu’ont-ils gagné ? La consolidation — provisoire — de leur domination sur un peuple et la persistance d’une occupation par la force militaire. Belle victoire, en vérité !

J

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C'est ce que j'ai cru entendre dans la radio algerchaine3. Un projet de lois va etre soumis pour abrobation reconnaissant l'etat palestinien...

Si c'est vrai ça va ouvrire une grande guerre dans la region. Vue que l'irak a comoletement disparue et la syrie est instable personne ne sauvera le peuple palestinien du genocide.

 

Alors il est du devoirs de l'algerie d'anticiper ces evenements pour cordonner des actions avec lambassade de palestine afin de coir comment accuillir des refugiers palestiniens.

Ils faut au moins eplucher les archives francaises pour voir a été reglé le probléme des refufié europeens pieds noirs et colons en france. Dispersion des familles pour eviter de creer le communautarisme et la gueotisation, eviter les attroupements et actions politiques, voila ce que racontent les pieds noirs de leurs fuite de la guerre d'algerie.

 

Siune famille palestiniens désire emigrer ailleurs l'etat algerien doit accepter son désire..

Ils faut leurs interdire seulement les pays catholiques.....la famille palestinienne musulmane ou laic doit sortir pour un autre pays musulman ou protestant

Jamais pour un pays catholique

 

 

 

A quel etat palestinien sont ils entrain de faire allusion?

 

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Le ministre des Affaires étrangères veut aboutir à un règlement du conflit israélo-palestinien dans les deux ans.

 

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Initiative pour la paix ou déclaration de guerre? Les débats sur la reconnaissance de l'État de Palestine ont ravivé les tensions droite-gauche, vendredi à l'Assemblée nationale. À l'origine, une proposition de résolution PS, sans valeur contraignante pour la France. Lors de son examen, Laurent Fabius a affirmé que la diplomatie française voulait proposer l'adoption d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU pour aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien, dans un délai de deux ans.

 

 

:mdr:

 

«La France est l'amie à la fois du peuple israélien et du peuple palestinien (…) Nous partageons tous devant ce conflit un sentiment d'urgence», a déclaré le ministre des Affaires étrangères, qui a suggéré le vote d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. «Une conférence internationale, dont la France est disposée à prendre l'initiative, pourrait être organisée afin d'appuyer cette dynamique indispensable», a-t-il ajouté. Surtout, Laurent Fabius a annoncé que «si cette ultime tentative de solution négociée n'aboutit pas, alors, il faudra que la France prenne ses responsabilités en reconnaissant sans délai l'État de Palestine. Nous y sommes prêts». Ce qui lui a valu des salves d'applaudissements à gauche.

 

Un amitie qui s'est faite profondement sentir lors de la derniere visite de tshal sur Gaza.

 

En tous les cas il est clair que quelque chose de mauvais est entrain de se preparer...

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:mdr:

 

 

 

Un amitie qui s'est faite profondement sentir lors de la derniere visite de tshal sur Gaza.

 

En tous les cas il est clair que quelque chose de mauvais est entrain de se preparer...

 

c'est juste de la poudre aux yeux en direction des Arabes, :mdr::mdr:

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trés interessant dialogue, moi aussi je ne crois pas du tout à cette histoire soudaine de reconnaissance de la Palestine, ça cache un truc, c'est quoi ? l'un de vous a dit pour des raisons electorales, oui mais c'est pas suffisant comme explication, puisque la question ne se limite pas à la France mais à l'europe entiere sinon le monde, d'ailleurs l'europe du nord, suede ou je ne sais plus qui a déjà voté, donc ouvert la voie

à mon humble avis,c'est un truc diplomatique qui sert d'abord à détruire definitivement la question palestienne, avec cette "reconnaissance" on se donne le beau role pour pas un kopeck, et du coup, les arabes boucleront le bec, puisque toujours en retard d'une manipulation

le vrai enjeu c'est

ce qui se prépare avec ce daesh et autres recompositions "nationales" au proche et moyen orient algérie comprise est beaucoup plus concret que cette étrange reconnaissance de la palestine

comme d'habitude quoi que fasse la france c'est un complot qu'il y a derrière.

Jamais contents ces algériens.

Paranoïaques congénitaux:D et ça va leur jouer des tours (mauvais):(

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comme d'habitude quoi que fasse la france c'est un complot qu'il y a derrière.

Jamais contents ces algériens.

Paranoïaques congénitaux:D et ça va leur jouer des tours (mauvais):(

 

Faut pas trop nous en vouloir, on nous a habitue aux coups bas... La France de Hollande (:crazy:) n'est pas celle de De Gaulle, encore moins celle de Francois 1er !

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Ce qu'il ne faut pas lire ici... Vous ne connaissez vraiment ni la Palestine, ni Israël... Vous êtes dans vos fantasmes à 1000 lieues de la réalité de cette région et vous vous postez en tant que connaisseurs certifiés en balançant de grosses conneries...

 

oui j'ai entendu ce discours, il y a du vrai dans ce que tu dit, mais sur le plan interne seulement,

effectivement trés peu de gens y compris en occident ne savent pas la vérité sur la vie quotidienne en israel ( qualités ou défauts peu importe )

moi j'ai eu la chance de m'interesse à ce conflit depuis des lustres, et hasard de la vie, j'ai connu pas mal de juifs et précisement des israeliens, pratiquement de chaque pays arabe et sabras compris,

j'ai connu des juifs francais plus sionistes que les israeliens, et des juifs presque indifferents à israel, des anti sionistes j'en ai pas rencontré, mais ils existent

j'ai meme des potes arabes qui sont partis par curiosité voir ce qu'il y avait dedans ( un peu comme brahim sansal ) et sont revenus aux anges

bref, malgré tout cela, j'ai une conclusion à moi, toute personnelle,

je plains vraiment les juifs, ils sont dramatiquement manipulés par le sionisme international, c'est meme devenu aveuglant de vérité, mais bon, c'est un peu tard d'epiloguer maintenant

dit moi al charq, tu n'es pas le fameux anis dans une autre vie par hasard ? :mdr:

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C'est ce que j'ai cru entendre dans la radio algerchaine3. Un projet de lois va etre soumis pour abrobation reconnaissant l'etat palestinien...

Si c'est vrai ça va ouvrire une grande guerre dans la region. Vue que l'irak a comoletement disparue et la syrie est instable personne ne sauvera le peuple palestinien du genocide.

 

Alors il est du devoirs de l'algerie d'anticiper ces evenements pour cordonner des actions avec lambassade de palestine afin de coir comment accuillir des refugiers palestiniens.

Ils faut au moins eplucher les archives francaises pour voir a été reglé le probléme des refufié europeens pieds noirs et colons en france. Dispersion des familles pour eviter de creer le communautarisme et la gueotisation, eviter les attroupements et actions politiques, voila ce que racontent les pieds noirs de leurs fuite de la guerre d'algerie.

 

Siune famille palestiniens désire emigrer ailleurs l'etat algerien doit accepter son désire..

Ils faut leurs interdire seulement les pays catholiques.....la famille palestinienne musulmane ou laic doit sortir pour un autre pays musulman ou protestant

Jamais pour un pays catholique

La France ne pourra pas le faire car le lobby juif y est très puissant pour ne pas dire que c'est lui qui gouverne.

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Ca changera rien au taux de chômage.

 

le taux du chômage ne va plus jamais descendre, pour plusieurs raisons, l'une c'est qu'il n y a plus d'usines et rien n'est rentable,

deux, le travail lui meme tend à disparaitre, bientot, tu ira au supermarché acheter non pas des bidules pour meubler ta cuisine ou ta salle de bain, mais carrément une imprimantes trois dimentions pour fabriquer tes propres bidules à l'encre plastoche,

trois, les robots vont se démocratiser, ça coute parait il autour des mille cinq cent euros, et ça fait pas mal de choses ( ballayer, t'apporter le petit dej, et que sais je encore )

la vie qui arrive ne vaudra que pour les riches trés riches, ou carrément les pauvres, entre les deux, la classe moyenne est dorés et dejà condamné à disparaitre,

j'exagere ? que neni :D

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le taux du chômage ne va plus jamais descendre, pour plusieurs raisons, l'une c'est qu'il n y a plus d'usines et rien n'est rentable,

deux, le travail lui meme tend à disparaitre, bientot, tu ira au supermarché acheter non pas des bidules pour meubler ta cuisine ou ta salle de bain, mais carrément une imprimantes trois dimentions pour fabriquer tes propres bidules à l'encre plastoche,

trois, les robots vont se démocratiser, ça coute parait il autour des mille cinq cent euros, et ça fait pas mal de choses ( ballayer, t'apporter le petit dej, et que sais je encore )

la vie qui arrive ne vaudra que pour les riches trés riches, ou carrément les pauvres, entre les deux, la classe moyenne est dorés et dejà condamné à disparaitre,

j'exagere ? que neni :D

 

J ai vu un film avec matt damon comme ça.

 

Mais Barjavel a aussi écrit " ravages"

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pratiquement tous les films de hollywood ont une forte connotation d'anticipation, c'est désormais vérifiable, on les compte plus les films qui ont parlé de l'epoque qu'on vit actuellement, j'ai pas en tete des titres, mais vaut mieux pas les voir, ça te foutra la trouille pour de vrai

je sais que c'est pour les enfants que tu te préoccupes, mais dit toi bien qu'allah n'abandonne pas les innocents, je ne sais pas dire autre chose dans ce domaine la lol

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