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Le régime saoudien est sur le point de s'effondrer


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Selon le site Freedom House , Le régime d'Arabie Saoudite est englouti des crises du Moyen-Orient innombrables et se trouve devant l'évolution de plus en plus dangereux de ses pays environnants qui peuvent compromettre la sécurité nationale du royaume riche en pétrole .

 

Freedom House, par exemple, a cité l'Institut national de droit français de la statistique et récent rapport études économiques sur la situation financière sombre du régime et pronostiqué que l'Arabie saoudite devrait faire face à une récession financière sans précédent et pour la première fois dans l'histoire contemporaine du régime, est aux prises avec croissance économique négative et des déficits budgétaires considérables du gouvernement qui ont fait le régime augmenter la production de pétrole et d'utiliser ses réserves de change.

 

Bien que l'Arabie Saoudite ait connu une multiplication de sept dans ses dépenses militaires, Riyad entend allouer plus de $ 95000000000 pour des projets militaires conjointes avec États-Unis et la Grande-Bretagne.

 

source: whatsupic

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Les Al Seoud ne tiennent au pouvoir que grâce au soutien Américain .

On ne peut prédire de la longévité de leur régime collabo surtout avec l'effondrement de l'"avantage comparatif" Américain ainsi que la , désormais , autosuffisance énergétique assurée par les mêmes Américains .

Le risque le plus plausible reste une partition du pays avec les Al Seoud retranchés dans la grande zone sunnite !!

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D'accord pour l'efo'drement mais vous voulez remplacer quoi par quoi et qui ar qui..l'experience etait faite en algerie, chaque fois qu'un ane part ou sera limogé un autre pire que lui le remplace-.

Et tu te dis a cjaque il fallait laisser l'ancien..

Mais le changement est toujours bon meme s'il n'apporte rien de bon...

Chez un peuple non disipliné non droit chaque chose introduit chez lui se tord d'elle meme et finira par épouser le tordu,,ce qu'on appelle l'adaptation aux tordu

Et lorsque le tordu sera chez les non tordu le policier et les impots sont la pour le redresser car il ne pourra jamais s'adapter au droit. Il est deja tordu il ne jamais se redresser, c'est l'echec de notre proohéte avec les certain arabe tordu il cite a propos des femmes

''La femme c'est comme un os si tu essyes de la redresser tu va la briser''. Elle a deja prie le pli la forme et c'est durci et endrci par l'evironnement

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Guest George Bish
Les Al Seoud ne tiennent au pouvoir que grâce au soutien Américain .

On ne peut prédire de la longévité de leur régime collabo surtout avec l'effondrement de l'"avantage comparatif" Américain ainsi que la , désormais , autosuffisance énergétique assurée par les mêmes Américains .

Le risque le plus plausible reste une partition du pays avec les Al Seoud retranchés dans la grande zone sunnite !!

 

je ne souhaiterai à aucun pays arabe d'etre partitionné selon la confession ou l'ethnie,( la diversité est en principe une force) par contre je souhaiterai vraiment que les villes saintes de l'islam, La Mecque et medine forment un etat à part, un etat religieux comme le vatican. les musulmans finiront de se chamailler entre eux sur à qui revient le profil des recettes du pelerinage ou la protection des lieux saints. les saoudiens vivront en paix, s'ouvriront sur le monde, et se débarrasseront du fardeau d'etre assimilés aux propagateurs de l'islam radical.

 

clip_image001.jpg

 

Alors que l’on parle de plus en plus de la syrie, écoutez donc le Général Wesley Clark, commandant suprême des forces militaires de l'Otan en Europe de 1997 à 2001. Il témoigne que, suite aux attentats du 11 septembre 2001, il était averti par le Pentagone de la volonté des États-Unis de « remodeler » le Moyen-Orient, et où ils envisageaient de prendre le contrôle de 7 pays sur 5 ans…

 

Tels que : l'Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan, et finalement l'Iran.

 

Ils ont un peu de retard sur le calendrier, mais il faut avouer que le plan semble plutôt bien fonctionner ! ; )))

 

[YOUTUBE]watch?v=e8ya295inZc[/YOUTUBE]

 

 

Dès 1957, le Premier ministre israélien évoquait l’idée de dépecer le Liban sur des bases confessionnelles. Dans article publié, en février 1982, par la revue de l’Organisation sioniste mondiale Kivunim (Directions), sous le titre « Une stratégie pour Israël dans la décennie 1980 », un journaliste israélien qui avait travaillé pour le ministère israélien des Affaires étrangères, exposait que la stratégie d’Israël devait consister à favoriser l’éclatement des pays arabes sur des bases confessionnelles ou ethniques. Il soutenait que le plan de décomposition du Liban en petits cantons confessionnels, à laquelle les israéliens travaillaient depuis la fin des années 60 avec la complicité de certains extrémistes maronites, devait être appliquée à tout le monde arabe, notamment à l’Irak (trois Etats sunnite, kurde et chiite), à la Syrie (trois Etats alaouite, druze, sunnite), à la Jordanie (une partie pour les bédouins et l’autre pour les Palestiens) et à l’Arabie saoudite qui devait être amputée de ses provinces pétrolières et ramenée à une mosaïque tribale. Dans un entretien avec Paul Balta, dans Le Monde du 17 août 1982, un dirigeant irakiens, Tarek Aziz, prédisait « Pour que ce plan d’atomisation réussisse pleinement, il faut s’attaquer à la pièce maîtresse du dispositif, l’Irak, seul pays de la région qui possède en même temps l’eau et le pétrole et qui poursuit son développement avec détermination. Il faut donc commencer à ébranler l’Irak et c’est ce à quoi l’on s’emploie depuis plus de vingt ans …».

 

**** La théorie bien connue avancée, depuis longtemps, par les stratèges israéliens a été tout simplement reprise et actualisée par les cercles néoconservateurs qui inspirent la diplomatie de l’administration Bush. Le projet de remodeler le Proche-Orient par une politique de « chaos constructeur » fut conçu dans les années 1990 puis exposé par George Bush II lors d’un discours prononcé le 26 février 2003, quelques jours avant l’agression des Etats-Unis contre l’Irak. Connue sous le nom de l’ « Initiative de Grand Moyen-Orient » (Greater Middle East Initiative), cette doctrine vise au remodelage d’un prétendu Grand Moyen-Orient regroupant un vaste ensemble d’Etats du Maroc à la frontière chinoise, avec les pays arabes, Israël, la Turquie, l’Iran, l’Afghanistan et le Pakistan.

 

**** Si cette théorie – qui tend tout simplement à asseoir, avec la participation d’Israël, l’hégémonie américaine dans cette partie du monde qui détient 65% des réserves de pétrole et près d’un tiers des réserves de gaz– a fait l’objet de nombreux commentaires, on a moins fait écho aux projets de redécoupages géographiques qui l’accompagnent. Pourtant, depuis le début des années 1990, les experts connaissaient l’existence de nouvelles cartes pour le « Grand Moyen-Orient ». Dans sa livraison de juin 2006, la revue militaire états-unienne Armed Forces Journal, publie un article, signé par le lieutenant-colonel de réserve Ralph Peters, dont le titre est évocateur : How a better Middle East would look (« Comment améliorer le Moyen-Orient »). Selon Ralph Peters, un ancien spécialiste du renseignement et membre du think tank néoconservateur Project for the New American Century, les nouvelles frontières « doivent se remodeler en fonction du critère ethnique et confessionnel » et il propose à l’appui de sa thèse une nouveau redécoupage des frontières dont les grandes lignes sont les suivantes : constitution d’un « grand Liban) englobant la côte méditerranéenne de la Syrie jusqu’à la frontière turque ; création d’un Etat kurde comprenant le nord de l’Irak, le nord-ouest de l’Iran et le sud-est anatolien ; éclatement de l’Irak qui, outre la perte de sa région septentrionale, serait divisé entre un petit Etat sunnite arabe et un grand Etat chiite qui annexerait la région saoudienne du Hasa (entre l’émirat de Koweït et la péninsule de Qatar), où les chiites ne sont d’ailleurs pas majoritaires, l’Arabistan (actuel Khouzistan iranien, peuplé d’Arabes… sunnites !) et la zone de Bouchir ; formation d’une grande Jordanie au détriment de l’Arabie saoudite, laquelle perdrait également la région des Villes Saintes de La Mecque et Médine (Etat autonome) et l’Asir (au profit d’un Yémen agrandi). Outre, sa région kurde, l’Iran perdrait le Baloutchistan qui deviendrait indépendant mais récupérerait la région Afghane de Herat. Le Pakistan serait considérablement réduit avec la séparation du Baloutchistan et une extension de l’Afghanistan dans les régions pachtounes. L’auteur reste prudent sur les nouvelles frontières d’Israël mais on comprend que toute perspective d’un Etat palestinien est exclue. Les deux grands perdants seraient l’Irak et l’Arabie saoudite, c'est-à-dire deux des plus importants pays arabes. Le monde arabe serait donc morcelé selon des découpages surréalistes qui conduiraient à des querelles et des divisions sans fins.

 

**** De fait, ce nouveau « Grand Moyen-Orient » conçu sur des découpages confessionnels, nationaux et ethniques très arbitraires ne serait pas plus sûr que l’actuel. Au contraire, il deviendrait une véritable poudrière. Mais cela ne semble pas perturber Ralph Peters qui déclarait dans une conférence prononcée en 1997 : « Le rôle imparti de facto aux forces des États-Unis consistera \[dans le futur] à tenir le monde pour la sauvegarde de notre économie et ouvert à notre assaut culturel. À ces fins, nous devrons commettre un bon paquet de massacres ». Peters est également l’auteur d’une autre formule lapidaire qui résume bien l’idéologie des néoconservateurs : « Gagner signifie tuer » (Armed Forces Journal, septembre 2006).

 

**** Selon le chercheur Pierre Hillard ( voir Balkans Infos, septembre 2006), « les propositions de Ralph Peters et les appels lancés à un changement radical des frontières du Moyen-Orient ne sont évidemment pas le résultat des réflexions d’un seul homme soucieux d’occuper son temps. De nombreuses études ont été lancées au sein des instances militaires américaines comme dans de nombreux think tanks appelant à revoir les limites frontalières de ces Etats ». A cet égard, il est notable que Ralph Peters est membres du Project for the New American Century, un think tank (groupe de réflexion) néoconservateur et pro-israélien présidé par William Kristol, dont l'objectif est la promotion de la domination mondiale américaine et qui rassemble les principaux dirigeants de l’administration Bush : Dick Cheney, vice-Président des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, secrétaire à la défense, Elliot Abrams, émissaire de la Maison Blanche pour le Proche-Orient, Lewis Libby, un proche de Benyamin Netanyahou, et Paul Wolfowitz, actuel directeur de la banque mondiale qui a été la cheville ouvrière de l’agression et de l’occupation de l’Irak.

par Charles Saint-Prot (octobre 2006)

 

Source : Accueil | Observatoire d'Etudes Géopolitiques

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