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Jusqu'à l'âge de quarante ans, Muhammad (que la paix et la bénédiction soient avec lui) ne fut pas connu comme homme d'Etat, ni comme prédicateur ou orateur. Jamais on ne l'avait entendu parler de principes métaphysiques, éthiques, de loi, de politique, d'économie ou de sociologie. Sans doute avait-il un excellent caractère, de bonnes manières, et était-il très cultivé. Mais, il n'y avait en lui, aucun trait particulièrement saillant, ni tellement

 

extraordinaire, qui puisse inciter les hommes à s'attendre à quelque chose de grandiose ou de révolutionnaire de sa part. Cependant, lorsqu'il sortit de la grotte (HIRA), avec un nouveau message, il était entièrement transformé.

Etait-il possible qu'un être doté de telles qualités devienne, tout à coup, "un imposteur" ? Qu'il prétende être l'Envoyé de Dieu, s'attirant ainsi la colère de son peuple ? on peut se poser la question: pour quelle raison a-t-il souffert toutes ces épreuves ? Son peuple alla jusqu'à lui proposer de le nommer Roi et de poser à ses pieds toutes les richesses du pays, à la seule condition qu'il cesse de prêcher sa religion.

 

Cependant, il rejeta toutes ces propositions, et continua à prêcher sa religion, seul, malgré toutes sortes d'insultes, de blocage social et, même, d'attaques physiques que lui infligea son peuple. N'était-ce donc pas grâce au soutien de Dieu, à sa ferme volonté de diffuser le message d'Allah, ainsi qu'à sa profonde croyance dans le fait que l'islam devait, enfin, émerger comme source de vie pour l'humanité, qu'il put se tenir ferme comme une montagne face à toutes les résistances et à toutes les conspirations visant à l'éliminer ?

"Son peuple alla jusqu'a lui proposer de le nommer Roi [...] Cependant, il rejeta toutes ces propositions..."

Par ailleurs, et malgré une rivalité voulue avec les juifs et les Chrétiens, pourquoi a-t-il fait de la croyance en Jésus-Christ et de Moïse, ainsi qu'en d'autres prophètes de Dieu (que la paix et la bénédiction soient avec eux), une condition essentielle sans laquelle il n'est guère possible d'être musulman ?

 

N'avons-nous pas une preuve incontestable de sa qualité-même de prophète dans la façon dont cet homme illettré, qui avait mené pendant quarante ans une existence dépourvue de tout trait saillant, réussit, dès qu'il commença à prêcher son message, à impressionner toute l'Arabie, émerveillée et fascinée

 

par la magnifique éloquence des versets que cet homme récitait ? Cette beauté incomparable n'avait pas d'égal, dans toute la région, parmi les plus grands poètes, prédicateurs et orateurs. Et surtout, comment se fait-il qu'il était capable d'énoncer des vérités de nature scientifique, contenues dans le Coran, que nul n'était censé avoir découvertes à l'époque ?

 

 

 

 

 

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Voici deux exemples de la sagesse et la miséricorde prophétiques :

 

* « Un jour, alors que le prophète était assis avec ses compagnons dans la mosquée, un bédouin rentra et se mit à uriner quelque part, au sein de cette mosquée; quelques gens se précipitèrent alors sur lui pour l'empêcher (dans une autre version : Les fidèles l'appréhendèrent à l'envi), mais le Prophète (Que la paix et le salut soient sur lui) s'écria: "Laissez-le faire, ne l'interrompez pas, versez ensuite un sceau d'eau --- ou une jatte d'eau --- sur cette urine. Vous n'avez d'autre mission que de rendre toute chose facile et non de rendre les choses pénibles."

Quand l'homme eût fini d'uriner, le Prophète donna l'ordre d'apporter une jatte d'eau et la répandit lui-même sur l'endroit souillé.

Dans une autre version : le prophète (Que la paix et salut soient sur lui), le convoqua et lui dit : Les urines et autres souillures n'en conviennent guère aux mosquées, celles-ci sont plutôt faites pour l'invocation d'Allah, les prières et la récitation du Coran.

Puis il se retourna à ses compagnons et leur dit : "Allah ne vous a suscités que pour faciliter les obligations et ne vous a jamais suscités pour les rendre difficiles» le Prophète ordonna par la suite un seau d'eau et le versa sur l'endroit souillé.

Le bédouin, pris de stupeur de l’attitude du prophète (sur lui la paix), sa miséricorde et sa tolérance, dit alors : « Ô Allah, soit miséricordieux envers moi et Muhammad et éloigne les autres de ta miséricorde ! » Le prophète (sur lui la paix et le salut) réplique en souriant : Tu restreint là, quelque chose des plus vastes (la miséricorde d'Allah) ! » [1]

 

* Sidna Al-Hasan et Sidna Al-Huçayn -les deux fils de Sidna ‘Ali (que Dieu l’agrée) gendre et cousin du prophète (sur lui la paix) et de Sayyidatunâ Fâtima fille du Prophète (paix et salut sur lui)-, virent un jour à la porte de la mosquée un vieillard qui faisait très mal ses ablutions et donnait ainsi le mauvais exemple aux passants et aux fidèles. Ils s’approchèrent alors de lui et avec une douceur et une politesse fines ils lui disent : « Ô monsieur, on souhaiterait que vous jugiez lequel de nous deux, mon frère ou moi, fait le mieux ses ablutions ? ». L’homme répondit oui, et aussitôt Sidna Al-Hasan et Sidna Al-Hoçayn commencèrent leur ablution. Ils le firent avec une telle perfection et une parfaite similitude que l’homme resta surpris un moment, puis il compris le message si délicatement passé et dit : « il faudra bien que je me corrige… »

 

Le bon conseil doit se faire ainsi dans un esprit de sagesse et de morale constructive et instructive sans essayer de détruire l’autre, le blesser, ou le juger…

 

Le bon conseil avec la sagesse part d’une intention d’amour et d’altruisme envers le prochain.

 

 

[1] Voir : Al-Bukhârî : Livre des ablutions, CHAPITRE LVIII. --- Du fait de verser de l'eau sur l'urine dans la mosquée et Muslim dans le livre de la Purification, Hadîth : 427.

 

https://www.youtube.com/watch?v=eJSMosQ9YSs

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Le prophète(paix et salut sur lui) était la miséricorde envoyée pour les univers: "Et Nous ne t'avons envoyé que comme une miséricorde pour les mondes"[1]

 

Abû Hurayra rapporte que le prophète (paix et salut sur lui) a dit : «J’ai été envoyé comme miséricorde et non pas comme châtiment (peine) »[2]

 

Le prophète dit : « chaque prophète avait un vœu exaucé qui fut exaucé de son vivant, et j’ai épargné mon vœu pour intercéder en faveur de ma communauté au jour du jugement …»[3]

Quand il se prosternait il priait : « ma communauté, ma communauté : o le Pardonneur »

 

‘Aïsha rapporte, dans les recueils de Hadîths authentiques :

«… Le Prophète (paix et salut sur lui) ne répondait pas au mal par le mal, mais il pardonnait et ne tenait pas rigueur » (c’est-à-dire : n’était pas rancunier).

 

‘Aïsha (que Dieu l’agrée) rapporte: « Chaque fois qu'on a laissé au Messager de Dieu (paix et salut sur lui) le choix entre deux solutions, il en prenait toujours la plus aisée tant qu'il ne s'agissait pas d'un péché. Quand c'était un péché il en était le plus éloigné. Le Messager de Dieu (paix et salut sur lui) ne s'est jamais vengé pour lui-même sauf quand l'une des limites sacrées de Dieu était transgressé et, dans ce cas, il se vengeait pour Dieu l'exalté »[4]

 

Le prophète ne se mettait jamais en colère(sauf pour Dieu) si les gens lui faisaient du tord, il pardonnait :

Le prophète (Prière et bénédiction d'Allah sur lui) séjourna pendant dix jours parmi les gens de Tâif . Au cours de cette période, son appel n'épargna aucun des notables de la localité. Ceux-ci lui répondirent: «Sors de notre pays!». Ils incitèrent contre lui les sots et les stupides. Au moment où le prophète (Prière et bénédiction d'Allah sur lui) allait sortir, les sots et les esclaves le suivirent, l'injuriant et lui criant dessus au point

 

d'ameuter les gens autour de lui. Organisés en deux rangs, ils se mirent tous à lui jeter des pierres et à lui adresser des grossièretés. Ils lui jetèrent des pierres aux tendons au point que ses chaussures fussent teintées de sang.

Il s’arrêta, à un endroit, les pieds en sang, pour prier Dieu (l’invoquer)…Dieu lui envoya l’ange Gabriel avec l’ange des montagnes. Ce dernier lui dit : « ô Muhammad ! Je ferai ce que tu désires. Si tu veux, je peux replier sur eux les « Al-Akhchabayn » (deux montagnes situées près de la Mecque). »

Le prophète de la miséricorde et du pardon répondit : « je n’ai pas été envoyé comme malédiction (injure) (la’ânan) mais comme miséricorde (pour les univers). Je souhaite plutôt que Dieu fasse sortir de leurs reins une progéniture qui adorera Dieu, l’Unique, sans rien Lui associer. O mon Dieu ! Guide ma tribu (mon peuple) car ils ne savent pas »

Et Gabriel (paix sur lui) dit alors suite à cela : « Dieu a raison de t’appeler le miséricordieux, plein de compassion. »[5]

 

 

 

Al-Bukhari, Muslim et Al-Bayhaqî l’histoire suivante :

 

Après une expédition, les compagnons ont laissé au Prophète (paix et salut sur lui) un arbre le plus ombré où il accrocha son épée et dormit… Un bédouin polythéiste profita du sommeil des compagnons et se saisit alors de l’épée du Prophète. ..En s’apprêtant à le tuer il lui dit : « qui m’empêchera de te tuer ! »

Le Prophète répondit « Allah ! »

C’est alors que l’épée tomba de la main du bédouin !Et aussitôt le Prophète la reprend et dit au bédouin : « qui m’empêchera de te tuer ! »

 

Le bédouin répondit : « sois meilleur preneur»

 

Le Prophète lui dit alors :

« Tu attestes alors qu’il n’y a de divinité si ce n’est Allah ? »

L’homme répondit « non ! Mais je te donne ma parole que je ne te combattrais jamais et que je ne serais jamais parmi des gens qui te combattront »

Le Prophète de la miséricorde le laissa partir en paix.

Le bédouin arriva chez les siens et leur dit : « je suis revenu à vous de chez le meilleur des gens ! »

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=sjW6qdRkjyU

 

https://www.youtube.com/watch?v=eSTX5mdOHJk

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Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) : une miséricorde pour toutes les créatures

III – Une miséricorde pour les Animaux

Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) était bienveillant envers chaque être vivant et cette bienveillance était sans limite. Il était très aimable vis-à-vis des animaux aussi. Les Arabes, comme n’importe quel peuple ignorant et analphabète, étaient très cruels envers leurs animaux. Il était très courant en Arabie de mettre un collier autour du cou d'un chameau, mais cette pratique fut stoppée sur ordre du Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui). Les gens avaient l'habitude de couper des morceaux de chair d'animaux vivants pour les faire cuire et manger. C’est une pratique qu’il a également interdite.

 

 

Il était également interdit de tondre leurs poils ou de sectionner leurs queues. Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit que la queue était la brosse et le ventilateur de ces animaux et leurs cheveux étaient leur édredon. Il a également interdit aux gens de laisser les animaux attachés longtemps à leur matériel de travail et a dit : « Ne faites pas du dos des animaux vos chaises ». Les combats d’animaux ont également été déclarés illégaux. Une autre coutume consistait à attacher un animal et le prendre pour cible à l’aide de flèches. Cela a également été interdit.

 

 

Une fois, le Prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) croisa un âne en route avec une marque sur son visage, et dit : « Que la malédiction d'Allah soit sur celui, qui l’a marqué ». Comme les gens devaient marquer leurs chameaux et leurs moutons afin de les identifier, on leur dit de les marquer sur des parties qui ne sont pas aussi délicates. Anas rapporte qu'il était allé dans un troupeau de moutons et avait vu le Messager d'Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) les marquer sur les oreilles.

 

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Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) : une miséricorde pour toutes les créatures

III – Une miséricorde pour les Animaux

Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) était bienveillant envers chaque être vivant et cette bienveillance était sans limite. Il était très aimable vis-à-vis des animaux aussi. Les Arabes, comme n’importe quel peuple ignorant et analphabète, étaient très cruels envers leurs animaux. Il était très courant en Arabie de mettre un collier autour du cou d'un chameau, mais cette pratique fut stoppée sur ordre du Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui). Les gens avaient l'habitude de couper des morceaux de chair d'animaux vivants pour les faire cuire et manger. C’est une pratique qu’il a également interdite.

 

 

Il était également interdit de tondre leurs poils ou de sectionner leurs queues. Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit que la queue était la brosse et le ventilateur de ces animaux et leurs cheveux étaient leur édredon. Il a également interdit aux gens de laisser les animaux attachés longtemps à leur matériel de travail et a dit : « Ne faites pas du dos des animaux vos chaises ». Les combats d’animaux ont également été déclarés illégaux. Une autre coutume consistait à attacher un animal et le prendre pour cible à l’aide de flèches. Cela a également été interdit.

 

 

Une fois, le Prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) croisa un âne en route avec une marque sur son visage, et dit : « Que la malédiction d'Allah soit sur celui, qui l’a marqué ». Comme les gens devaient marquer leurs chameaux et leurs moutons afin de les identifier, on leur dit de les marquer sur des parties qui ne sont pas aussi délicates. Anas rapporte qu'il était allé dans un troupeau de moutons et avait vu le Messager d'Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) les marquer sur les oreilles.

 

 

 

que du khoroto....

 

a t-il été miséricordieux avec Om qirf, Kaab ibn al ashraf...avec les chiens noirs...

 

a t-il été tendre quand il a frappé aicha sur sa poitrine....?

 

Abu Jahl: avait osé critiquer Mahomet. 2 zélés compagnons se précipitèrent sur lui, le tuèrent et revinrent aviser Mahomet, qui leur demanda de lui montrer leurs ssif (sabres). Après les avoir examiné, il déclara que la dépouille appartenait au 1er des 2 soldats, car seul son sabre "portait des traces du contenu de l'abdomen". (Muslim, n° 3295)

 

- Abu Afak: chef d'une tribu juive, un homme d'un grand âge (on disait 120 ans) a été tué parce qu'il avait tourné Muhammad en ridicule dans ses poèmes. L'acte a été commis par Salam ibn Umayr, "sur la demande du prophète, qui avait demandé: -Qui me débarrassera de cette crapule?" (Ali Dasthi, Vingt trois années).

 

- Asma bint Marwan: le meurtre du vieillard Abu Afak avait choqué cette poétesse qui composa un poème dénigrant Mahomet. Il lui envoya de nuit un de ses fidèles. Elle dormait, ses enfants autour d'elle, le plus jeune tétait encore son sein. Il écarta l'enfant et transperça la poitrine de la mère. "As-tu assassiné la fille de Marwan? demanda l'apotre d'allah" (ibn Sad, Tabaqat 2 / 30.1).

 

- Abu Sufyan: "Amir ibn Umayya fut mandaté pour tuer Abu Sufyan, mais Abu Sufyan en eut vent, et lui échappa. A la place, Amir tua un Quraïch sans défense et un autre homme, sur le chemin du retour vers Médine" (Ali Dasthi, Vingt trois années).

 

- Khalid abu Sufyan al Hudhayli: ce chef de la tribu Hudhayl avait fait preuve d'hostilité envers Mohamed devant son peuple. "Le prophète nomma Abdallah ibn Unays pour aller s'occuper de lui. Lui aussi fut éliminé avec succès" (Ali Dasthi, Vingt trois années). "Sa tête fut apportée au prophète à la fin du mois de muharram".

 

- Salam ibn Abu Huqyaq: plus connu sous le nom d’Abu Rafi, son meurtre a fait couler beaucoup d'encre au bout des calam (roseau taillé qui sert de stylo) car il a posé un problème moral lié à une coutume anté-islamique, : faut-il tuer durant la nuit? Juif et ami des Banu Aws, qui sont les rivaux des Banu Khazraj. Des Khazraj demandèrent à Mahomet la permission de le tuer, il la leur donna et il désigna un commando pour aller accomplir cette basse besogne d'inspiration bien islamique.

 

- Yusayr ibn Rizam: un autre juif, il incitait la tribu des Banu Ghatafan à combattre Mahomet, celui-ci lui envoya un commando qui le tua.

 

- Rifaa ibn Qays: "Abu Hardad tua Qays d'une flèche dans le coeur et lui a ensuite coupé la tête, qu'il rapporta au prophète aux cris de "allah akbar, allah akbar!" (ibn-Hisham).

 

- Abu Azzai: cet autre poète avait été grâcié une première fois "à condition qu'il ne dénigre plus l'islam", mais il n'a pas pu ou su tenir sa promesse. Il fut exécuté.

 

- Kaab ibn Al Ashraf: juif emblématique qui semble drainer la haine de tous les musulmans à travers les siècles, il fait l'objet d'une très longue liste de récits de la part de presque tous les commentateurs et ulémas.

Son crime: "Il était l’un des juifs les plus hostiles à l’islam et commença à attiser la haine entre les associateurs et les musulmans en composant des poèmes à la mémoire des associateurs morts à Badr, il alla jusqu’à chanter la beauté des femmes des compagnons de façon indécente." Mahomet donna l’ordre de le tuer en disant cette phrase, un peu comme un parrain de la mafia: "Qui veut me délivrer de Kaab ibn Al Ashraf?".

 

- "Une juive insultait le prophète et le dénigrait. Un homme l’étrangla jusqu’à ce qu’elle en meure. L’apôtre d'Allah déclara qu’il n’y avait rien à payer pour son sang." (abu-Daoud, 38.4349).

 

- Une esclave enceinte, tuée par son maitre, un aveugle, parce qu'elle dénigrait l'Homme Parfait. Un enfant en est "sorti d’entre ses jambes, souillé du sang" (abu-Daoud, 38.4348).

 

 

- après la bataille de Badr, Mahomet fit décapiter 2 poètes anonymes, sans raison,

- il fit exécuter Fartana, une chanteuse qui s'était moquée de lui,

- il fit exécuter une autre chanteuse: Qariba,

- il fit décapiter le poète Abdallah ibn Khatal,

- il fit décapiter un autre poète, Howairith ibn Noqaïd.

 

LA MISÉRICORDE EST SYNONYME DE PARDON est non de vengeance et assassinats.

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Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

 

L’islam est la religion de la miséricorde et du bien pour le monde tout entier:

 

Elle est la religion du bien pour tout le monde qu’ils soient croyants ou non et cette vérité n’est reniée que par l’ignorant.

 

 

Chers frères, suite aux actes barbares qui ont été commis lors de la guerre à l’encontre de Gaza et qui ont été la honte de l’humanité, je pose entre vos mains un sujet qui traite ces sujets; à savoir: les usages de la lutte dans l’Islam. L’Islam est la religion de la miséricorde pour tous les gens. Allah, exalté soit-Il, a dit:

 

(Et Nous ne t’avons envoyé (ô Mohammed PSL) qu’en miséricorde pour le monde)

 

[sourate AL Ambia 107]

 

 

Allah, exalté soit-Il, dit:

 

(Telle est la religion droite; mais la plupart des gens ne savent pas)

 

[sourate Youssef 40]

 

Il fut du nombre des orgueilleux. Allah, exalté soit-Il, a dit:

 

(Mais, seul le grand traître et le grand ingrat renient Nos signes)

 

[sourate Louqman 32]

 

La charité de l’Islam envers les musulmans et les non musulmans à la fois:

 

Quant à la charité de l’Islam envers les musulmans, elle est évidente. Selon le poète:

 

Rien n’est valide dans l’explication au cas où la journée avait besoin d’une preuve

 

Quant à la charité envers les non musulmans c’est parce qu’il leur a gardé leurs droits et réservé leur dignité et les a bien traités. Allah, exalté soit-Il, a dit:

 

(Et ne discutez que de la meilleure façon avec les gens du Livre)

 

[sourate AL 'Ankabout 46]

 

 

 

 

Cette attitude noble n’a pas changé même durant les heures de victoire. Le prophète PSL conquit et entre à la Mecque en baissant la tête au point que le bout de son turban a failli toucher sa bête et fort de sa modestie envers Allah exalté soit-Il, Il dit:

 

 

 

Que pensez-vous que je fasse avec vous? Ils dirent: vous êtes un frère noble et le fils d’un frère noble. Il dit: Partez, vous êtes libres

 

[La biographie du prophète]

 

Telle est l’attitude humaine et noble qui n’a jamais changé même durant les heures de victoire, les heures de fierté et de dignité. Les commandements du messager d’Allah après sa mort à ses émirs déjà envoyés à la tête des armées et des brigades: “conquérez et n’exagérez pas, ne trahissez pas, ne massacrez pas et ne tuez pas un enfant”

Par contre, nos ennemis n’ont fait que massacrer des enfants et des femmes désarmés. Le successeur du prophète, Al Siddiq qu’Allah soit satisfait de lui, demanda à son envoyé, le chef de l’armée au Cham:

 

Je te demande dix choses: ne tue pas une femme, un garçon ou une personne âgée. Ne coupe pas un arbre fécond, ne détruis pas un bâtiment construit, n’abat pas un mouton ou une bête que pour le manger, ne brûle pas un palmier, n’aie pas de haine et ne sois pas lâche

 

Les usages de l’Islam et ses jugements dans la lutte légale:

 

En Islam, on a des usages et des jugements clairs notamment dans la lutte légale qui interdisent de tuer des désarmés:

 

(Et combattez dans la voie d’Allah ceux qui vous combattent)

 

[sourate AL Bakara 190]

 

 

L’Islam interdit de combattre ceux qui ne combattent pas et il interdit aussi de tuer les innocents comme les vieux, les enfants et les femmes et interdit de poursuivre des évadés ou de tuer ceux qui se rendent, le fait de maltraiter les prisonniers, le massacre des corps des morts, la destruction des bâtiments, des cités et des immeubles qui n’ont rien à voir avec le combat. Il est impossible d’établir un lien entre le terrorisme et la violence des tyrans qui violent les patries, pillent les trésors, bafouent les dignités et profanent les choses sacrées, et entre l’exercice d’un droit autorisé, entamé par les lésés afin de récupérer leurs droits légaux dans leur détermination pour le sort de leur destin.

 

La législation de la lutte sacrée en Islam vient pour faire triompher la justice et repousser l’injustice:

 

 

O frères, la lutte sacrée en Islam a été légiférée pour établir la vérité, rejeter l’injustice, réaliser la justice, la paix, la sécurité et pour renforcer la miséricorde avec laquelle Mohammed PSL a été envoyé aux hommes du monde pour les faire sortir des ténèbres à la lumière. Cette idée détruit tous les genres de terrorisme parce que la lutte sacrée l’a légiférée dans le sens

 

de la défense de la patrie et contre l’occupation des territoires, le pillage des trésors, contre l’occupation coloniale qui chasse les gens de leurs demeures, contre ceux qui aident à chasser les gens de leurs demeures, ceux qui violent leurs promesses et pour jeter la discorde entre les musulmans dans leur religion et leur défendre la liberté d’inviter pacifiquement à l’Islam. Allah, exalté soit-Il, a dit:

 

(Allah ne vous défend pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Allah aime les équitables* Allah vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. Et ceux qui les prennent pour alliés sont les injustes)

 

https://www.youtube.com/watch?v=iQesIQH0ruk

 

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Une fois que le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) était en voyage avec ses compagnons, ils s’arrêtèrent pour se reposer à un endroit. Un oiseau y avait pondu un œuf. Un homme s’empara de cet œuf et l'oiseau se mit à battre ses ailes dans un état de grande détresse. Le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) demanda qui lui avait fait mal en prenant son œuf. Lorsque l'homme admit qu'il avait fait cela, le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) lui demanda de remettre l'œuf dans le nid.

 

Un compagnon qui avait des oisillons enveloppés dans un morceau de tissu vint auprès du Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui). Le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) l’interrogea à leur sujet et il dit : « J'ai entendu un bruit en provenance d'un buisson ; j’y suis allé et j'y ai vu ces oisillons, je les ai ensuite pris. Quand leur mère a vu ce qui s'était passé, elle a commencé à planer au-dessus de ma tête ». Le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) lui dit de retourner remettre les oisillons au même endroit.

 

Une fois, ayant vu un chameau en route, dont le ventre avait tellement diminué à cause d’une faim extrême qu'il était presque collé à son dos, il a dit : « Craignez Allah dans votre manière de traiter ces animaux qui ne peuvent pas parler ». Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a lui-même eu à nourrir les animaux, les utiliser comme moyens de transport et traire des chèvres.

 

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Une fois, le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) raconta cette histoire à ses compagnons : « Un homme qui était sur une route, étant éprouvé par une soif très vive, trouva un puits. Il descendit dans ce puits et y but. Quand il remonta, il vit un chien qui, tout en haletant, mâchait la terre (humide). « Cet animal, se dit l’homme, souffre de la soif autant que j’en souffrais moi-même ». Alors, descendant dans le puits, il remplit sa bottine d’eau et en abreuva le chien. Allah lui sut gré de son acte et lui accorda le pardon (de ses fautes) ».

 

Il y a un autre récit qui parle d'une femme qui va en Enfer pour avoir affamé son chat à mort.

 

Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) était si aimable et doux qu'il a conseillé à ses compagnons d'être gentils et attentionnés, même pendant l'abattage des animaux pour s’en nourrir. Il leur a demandé de les abattre à l’aide d’un outil bien tranchant, de manière à provoquer un minimum de douleur et de souffrance chez l'animal.

 

Il a également interdit d’aiguiser cet outil en face de l'animal ou lorsque l'animal est prêt pour l'abattage, mais leur a dit de faire tous ces préliminaires avant d’approcher l'animal pour l'abattage.

 

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Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a enseigné aux gens par la parole et les actes, d'être gentils et polis avec tout le monde. Abû Hurairah rapporte que le Prophète (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : « Le croyant est convivial (et gentil) ». Aïcha rapporte que le Messager d'Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : « Allah est doux et aime la douceur. Il donne à cause de la douceur ce qu'Il ne donne pas pour la rigueur et ce qu'Il ne donne pas pour toute autre chose ».

 

Toujours d’après Aïcha, le Messager d'Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : « Celui qui reçoit sa part de douceur a reçu sa part de bien dans ce monde et dans l’au-delà, mais celui qui est privé de sa part de douceur est privé de sa part de bien dans ce monde et dans l’au-delà ». Abdullah ibn Mas’ud rapporte que le Messager d'Allah (Paix et bénédiction d’Allah sur lui) a dit : « N’aimeriez-vous pas que je vous parle de l'homme qui est tenu à l'écart de l'Enfer et de qui l'Enfer est tenu à l'écart ? C’est celui qui est doux et aimable, accessible et d'une disposition facile ».

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=it9y_o-8fuI

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Le prophète Muhammad (Paix et bénédiction d’Allah sur lui), par son propre exemple, a inculqué ce genre de comportement chez ses compagnons, qui, après lui, furent un exemple pour d'autres personnes. L’évènement suivant en est une bonne illustration : Abdullah ibn Jafar rapporte qu’en passant par une prairie, il vit un esclave abyssin qui gardaient un troupeau de

 

chèvres. Un chien vint et s'assit en face de lui. Il sortit un morceau de pain et le donna au chien, qui le mangea. Ensuite, il donna un deuxième puis un troisième morceau de pain à ce chien qui les mangea tous. Il demanda à l'esclave, le nombre de morceau de pain qu'il recevait chaque jour de son maître.

 

 

Il lui répondit qu'il en obtenait autant que ce qu’il venait de donner. Sur ce, il lui demanda pourquoi il avait donné tout son pain au chien. L'esclave répondit que le chien n’était pas de cette localité et était sans doute venu d'un endroit lointain dans l'espoir de trouver de quoi s'alimenter ; alors, il ne voulait pas que son effort soit vain. Abdullah a dit qu'il avait tellement aimé

 

l’action de cet esclave qu'il l’acheta a son maître avec les chèvres et la prairie, puis lui rendit sa liberté en même temps qu’il lui offrait les chèvres et la prairie. Quant à cet esclave, il le remercia et pria pour lui, puis, donna toutes les chèvres de même que la prairie en aumône et s'en alla.

 

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Ce qu'ils disent de Muhammad

 

 

A vrai dire, Muhammad (que la paix et la bénédiction soient avec lui) représente le dernier maillon de la chaîne des prophètes envoyés dans les différentes terres et les différents temps, depuis le commencement de l'existence de la vie humaine sur cette planète.

 

« Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Muhammad ? Les plus fameux n'ont remué que des armes, des lois, des empires; il n'ont fondé (quand ils ont fondé quelque chose) que des puissances matérielles écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d'hommes sur un tiers du globe habité; mais il a remué de plus des autels, des dieux, des religions, des idées, des croyances, des âmes,... sa longanimité dans la victoire, son ambition toute d'idée, nullement d'empire, sa prière sans fin, sa conversation mystique avec Dieu, sa mort et son triomphe après le tombeau attestent plus qu'une imposture, une conviction. Ce fut cette conviction qui lui donna la puissance de restaurer un dogme. Ce dogme était double, l'unicité de Dieu est, l'autre disant ce qu'il n'est pas; l'un renversant avec le sabre des dieux mensongers, l'autre inaugurant avec la parole une idée! Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d'idées, restaurateur de dogmes rationnels, d'un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d'un empire spirituel, voilà Muhammad!

A toutes les échelles où l'on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ? »

 

Lamartine

Histoire de la Turquie, Paris, 1854. Tome 1 et Livre 1-p.280.

 

 

« Ce n'est pas la propagation mais la permanence de sa religion qui mérite notre émerveillement; la même impression, pure et parfaite, qu'il laissa à la Mecque et à Médine, se retrouve, après douze siècles écoulés, chez les Indiens, les Africains et les Turcs, prosélytes du Coran... Les Musulmans ont su résister, uniformément, à la tentation de réduire l'objet de leur foi et de leur dévotion au niveau des sens et de l'imagination de l'homme. "je crois en Un seul Dieu et en Muhammad, Son prophète"; ceci enferme la profession de foi de l'Islam, de façon simple et invariable. L'image intellectuelle de la Divinité ne s'est jamais vue dégradée par une idole quelle qu'elle soit; les hommages rendus au prophète n'ont jamais franchi la mesure de la vertu humaine; et ses préceptes vivants ont restreint la gratitude de ses disciples dans les limites de la raison et de la religion ».

 

Edward Gibbon et Simon Ocklay

History of the Saracen Empire.

 

 

« Il était César et le Pape réunis en un seul être; mais il était le Pape sans avoir les prétentions du Pape, et César sans avoir les légions de César: sans armée, sans garde du corps, sans palais, et sans revenu fixe; s'il y a un homme qui a le droit de dire qu'il règne par la volonté divine, ce serait Muhammad, puisqu'il a tout le pouvoir sans en avoir les instruments ni les supports ».

 

Bosworth Smith

Mohammad and Mohammadanism. Londres, 1874; p. 92.

 

 

« Il est impossible, pour quelqu'un qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d'Arabie, pour quelqu'un qui sait comment il enseignait et comment il vivait, d'avoir d'autre sentiment que le respect pour ce prophète prodigieux, un des grands messagers de l'Etre Suprême. Et même si mes discours contiennent bien des choses qui sont familières à beaucoup d'entre vous, chaque fois que moi-même je les relis, je sens monter en moi une nouvelle vague d'admiration, un nouveau sende révérence, pour ce prodigieux grand maître arabe. »

 

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Annie Besant

The Life and Teachings of Muhammad. Madras, 1932, p. 4.

 

 

« La façon dont il accepta les persécutions dues à ses croyances, la haute moralité des hommes qui vécurent à ses côtés et qui le prirent pour guide, la grandeur de son oeuvre ultime, tout cela ne fait que démontrer son intégrité fondamentale. La supposition selon laquelle Muhammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu'elle n'en résout. Cependant, aucune des grandes figures de l'histoire n'est si peu appréciée en Occident que le Prophète Muhammad. »

 

W. Montgomery

Mohammad at Mecca. Oxford, 1953; p. 52.

 

 

« Homme d'affaires prospère dès l'âge de vingt ans, il devait bientôt devenir directeur des caravanes de chameaux d'une veuve fortunée. Celle-ci, reconnaissant ses mérites, lui proposa le mariage. Bien qu'elle fût de quinze ans son aînée, il l'épousa et fut un époux dévoué jusqu'à sa mort. De même que la plupart des grands prophètes qui le précédèrent, Muhammad chercha à éviter l'honneur de transmettre la parole divine, se considérant comme indigne d'accomplir cette tâche. Mais l'ange lui ordonna: "Lis !". De ce que nous connaissons de sa vie, nous savons que Muhammad ne savait ni lire ni écrire, mais il commença à dicter des mots qui lui étaient inspirés, et qui allaient bientôt transformer une grande partie du globe par le verset: "il n'y a qu'Un seul Dieu".

 

 

Sur tous les plans, Muhammad était un esprit éminemment pratique. Lorsque son fils bien aimé, Ibrahim, mourut, il y eut une éclipse, et des rumeurs, disant que Dieu lui avait exprimé personnellement Ses condoléances, s'étendirent rapidement. Or, on dit que Muhammad lui-même affirma qu'une éclipse étant un phénomène naturel, il est insensé d'attribuer ce genre de phénomène à la naissance ou à la mort d'un être humain".

Lors de la mort de Muhammad, certains voulurent le déifier, mais son successeur administratif mit fin à cette vague d'hystérie par une des paroles les plus belles de l'histoire religieuse: "Si l'un d'entre vous alla jusqu'à rendre un culte à Muhammad, il est mort. Mais si c'est à Dieu qu'il rend un culte, Il vivra pour l'éternité" ».

 

James A. Michener

Islam: The Misunderstood Religion".

Dans la revue Reader's Digest (édition américaine), numéro de mai 1955, p. 68-70.

 

 

« Certains lecteurs seront peut-être surpris de me voir placer Muhammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d'influence dans le monde, et d'autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les deux plans: religieux et séculier. »

 

Michael H. Hart

The 100: A Ranking of the Most Influential Persons in History. New York: Hart Publishing Company, Inc. 1978, p. 33.

 

https://www.youtube.com/watch?v=2DL1u_ojPdA

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MOHAMMAD DANS La bible :

 

le NOUVEAU TESTAMENT

 

Est tu le prophète?

Les Juifs ont de tout temps attendu leur Messie, celui-ci est parfaitement décrit dans l'Ancien Testament.

Le Messie devait être Jésus (Isa) fils de Marie, le dernier prophète envoyé aux Israélites.

Il ne devait pas venir subitement, mais devait être précédé par un prophète qui annoncerait sa venue, ce prophète est Jean-Baptiste (Yahya). Après la venue du Messie, les Juifs savaient qu'il y aurait un autre prophète, lui aussi annoncé dans l'Ancien Testament, c'était Muhammad ( ).

Ainsi, au temps de Jésus, les Juifs attendaient trois prophètes distincts. Nous allons prouver au moyen de la Bible que ces trois prophètes sont cités dans un même verset et dans l'ordre que nous avons établi.

 

De nos jours, si l'on pose la question à un Juif il vous répondra le Messie n'est pas encore arrivé, et le Chrétien rétorquera que seul deux personnes étaient attendues, Jean-Baptiste et Jésus lui même.

Cependant un et un seul verset de la Bible va mettre nos frères juifs et chrétiens d'accord.

En effet, la meilleur des choses à faire serait de remonter le temps et de demander à un prêtre juif, un Lévite, ce qu'ils attendent comme saint homme. Dommage, nous ne pouvons pas !

Alors nous allons simplement interroger le Nouveau Testament, voyons le tout premier chapitre de l'Évangile selon Jean.

Dans ce chapitre est rapporté ce que les Lévites demandèrent à Jean-Baptiste (Yahya):

 

« 19 Voici le témoignage de Jean, lorsque les juifs envoyèrent de Jérusalem des

sacrificateurs et des Lévites, pour lui demander: Toi, qui es-tu?

 

20 Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu'il n'était pas le Messie .

 

21 Et ils lui demandèrent: Quoi donc? es-tu Élie ? Et il dit: Je ne le suis

point. Es-tu le prophète ? Et il répondit: Non.

 

22 Ils lui dirent alors: Qui es-tu? afin que nous donnions une réponse à ceux

qui nous ont envoyés. Que dis-tu de toi-même ?

 

23 Moi, dit-il, je suis la voix de celui qui crie dans le désert: Aplanissez

le chemin du Seigneur, comme a dit Ésaïe, le prophète.»

[Jean 1:19-23]

 

Il devient clair que les prêtres juifs de l'époque attendait 3 personnes distinctes, un certain Élie, il attendait le Messie et aussi le prophète !

Qui était donc le prophète ? Ce n'est pas un prophète, mais LE prophète, en grec ? p??f?t?s « o prophêtês ».

 

Une explication s'impose, Élie est en réalité Jean-Baptiste, comme l'affirme le verset 12 et 13 de l'Évangile selon Matthieu:

 

12 Mais je vous dis qu'Élie est déjà venu, qu'ils ne l'ont pas reconnu [...]

13 Les disciples comprirent alors qu'il leur parlait de Jean Baptiste.

[Matthieu 17:12-13]

Après avoir identifié Jésus en tant que Messie, puis Jean-Baptiste en tant qu'Élie, il nous reste le prophète, qui est donc ce prophète ?

Quelques versets plus bas, nous lisons:

 

Ils lui firent encore cette question: Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Messie , ni Élie , ni le prophète ? [Jean 1:25]

 

Encore une fois, les prêtres, les Lévites posent la même question, en mentionnant toujours les trois personnages, ils attendent bien le Messie, Élie et le prophète.

 

En réalité, Muhammad ( ) ne peut être que le prophète, annoncé en Jean 1.21 et 1.25, historiquement, il n'y a aucun autre prophète qui soit venu après Jésus.

Sans la reconnaissance de Muhammad ( ) en tant que prophète, la prophétie de Jean 1.21 ne serait pas achevée, et la Bible aurait totalement faux.

 

Dans de nombreuses bibles, il y a une annotation concernant les versets en question, Jean 1.21 et 1.25 , elle renvoie au Deutéronome 18.18 (voir l'article sur le Deutéronome 18.18 Le prophète clairement annoncé par Moïse )

 

Deut. 18.18 étant une autre prophétie majeure, que Muhammad ( ) est venu accomplir, sans lui, elle tomberai à l'eau.

 

Dans une traduction de la Bible que je possède (Société Biblique Francaise), au bas de la page on peut lire "Voir Deut. 18.18 et 18.15" avec la note m [ 1 ].

 

Les traducteurs disent donc eux-même que le prophète de Jean 1.21 est le même que celui annoncé par Moïse en Deutéronome 18.18, ce qui signifie qu'ils admettent que le prophète qui devait venir parmis les arabes et qui parlerait au nom de Dieu, et bien ce prophète viendrait après Jésus.

Voici le passage en question, où le verset Jean 1.21 est présent [ 1 ].

 

Les traducteurs devrait accepter que Muhammad ( ) est bien le dernier prophète de Dieu, au lieu de vouloir lancer des références contradictoires à tout bout de champ pour cacher les prophéties, en effet, Deutéronome 18.18 ne peut annoncer Jésus, car cela contredirait le christianisme (voir la fin de l'article Le prophète clairement annoncé par Moïse pour plus de détails, et le fait que selon les christianisme, Jésus est mort sur la croix).

 

Jean 7.40

Des gens de la foule, ayant entendu ces paroles, disaient: Celui-ci est

vraiment le prophète.

Jean 7.41

D'autres disaient: C'est le Christ. [...]

 

 

[...] jusqu'à ce que viennent un prophète et les messies d'Aaron et d'Israël

 

Luc 1.5

Du temps d'Hérode, roi de Judée, il y avait un sacrificateur, nommé

Zacharie, de la classe d'Abia; sa femme était d'entre les filles d'Aaron,

et s'appelait Élisabeth.

La conclusion de ce court article est que le prophète mentionné par les Lévites en Jean 1.21 et 1.25 ne peut être que Muhammad ( ), c'est en effet le dernier messager de Dieu, envoyé à toute l'humanité, et mentionné dans tout les livres saints du monde.

 

De plus, ceci est confirmé par les commentaires de la Bible qui renvoient à la prophétie du Deutéronome 18.18, appliquable seulement à Muhammad ( ).

 

https://www.youtube.com/watch?v=zqBFg12X76Y

 

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La tolérance dans notre religion est basée sur:

1-La croyance à l’unité de l’origine de toutes les religions:

L’Islam est la religion de la tolérance et beaucoup de témoignages ont été écrits sur l’Islam dans ce domaine et dans ce cadre. L’ennemi a attesté avant l’ami que:

 

L’histoire n’a jamais connu de plus miséricordieux que les Arabes, ni une religion plus tolérante que la leur

De telles attestations ont été notées dans des documents historiques, sociaux et politiques. Si quelqu’un s’est interrogé sur les données de la tolérance dans notre religion et notre Islam, on lui dira que la tolérance dans notre religion est basée sur:

Premièrement: la croyance à l’unité de l’origine de toutes les religions:

La croyance à l’unité de l’origine de toutes les religions:

 

(Il vous a légiféré, en matière de religion, ce qu’Il avait enjoint à Noé, ce que Nous t’avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Ibrahim, à Moussa et à Issa: “Etablissez la religion; et n’en faites pas un sujet de division”)

[sourate Achoura 13]

 

 

2- L’annulation des différences entre les messagers:

Deuxièmement: nous, qui croyons à l’Islam, ne faisons aucune distinction entre un messager et un autre du côté de la foi et de la croyance au fait que tous ces hommes furent des messagers envoyés par Allah aux gens. Et Allah, exalté soit-Il, a dit:

(nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes soumis)

[sourate AL Bakara 136]

Et Allah, exalté soit-Il, a dit:

(nous ne faisons aucune distinction entre Ses messagers. Et ils ont dit: “nous avons entendu et obéi. Seigneur, nous implorons Ton pardon. C’est à Toi que sera le retour”)

[sourate AL Bakara 285]

 

 

3- Nulle contrainte en religion:

Troisièmement: nulle contrainte en religion et on n’oblige personne à y entrer parce que Allah, gloire à Lui, a dit:

(Nulle contrainte en religion! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement)

[sourate AL Bakara 256]

 

 

4- Le respect des lieux religieux:

Quatrièmement: les lieux de religion sont respectés:

(Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d’Allah est fréquemment évoqué)

[sourate AL Hajj 40]

 

 

5- La relation avec les gens des autres religions est basée sur la discussion de la meilleure façon:

Cinquièmement: la relation avec les gens des autres religions est basée sur la discussion de la meilleure façon. Allah, exalté soit-Il, a dit:

(Et ne discutez que de la meilleure façon avec les gens du Livre)

[sourate AL 'ankabout 46]

 

 

6- Ne pas interdire de créer de bonnes relations de voisinage et d’hospitalité entre nous et les gens des autres religions:

Sixièmement: il n’y a pas d’inconvénient d’avoir entre toi et les gens des autres religions de bonnes relations de voisinage et d’hospitalité. Allah, exalté soit-Il, a dit:

(Vous est permise la nourriture des gens du Livre)

[sourate AL Mayda 5]

La nourriture n’a été évoquée qu’à cause de l’existence des possibilités d’avoir avec eux des rencontres et des invitations.

Ce sont les six principes sur lesquels s’appuie la tolérance en Islam en tant qu’un de nos termes.

 

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