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JE DEMANDE LA DEMISSION DE LA JOURNALISTE DE FRANCE 2 DE NATAHALIE SAINT CRIQ


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BONJOUR

 

CEUX QUI SONT POUR

FAITES LA PROMOTION

 

 

JE DEMANDE LA DEMISSION DE LA JOURNALISTE DE FRANCE 2

DE NATAHALIE SAINT CRIQ

Nathalie Saint Criq sur France 2 a lancé un appel à "repérer tous ceux qui ne sont pas Charlie".

Elle est la pour informer et pas pour donner son ipinion

C'est puni par la loi

ou comme le dit un internaute

J'appelle à sa démission ce n'est pas digne d'une journaliste de faire de la propagande fasciste ! Mare du journalisme qui fait l'apologie des idées de L'État. Quand on est jouurnaliste on informe en se gardant de donner son opinion, ou bien ils sont des propagandistes et ça ce n'est pas la liberté de la presse c'est du bourrage de crânes !

 

PMAT

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Salut pmat

 

BONJOUR

 

CEUX QUI SONT POUR

FAITES LA PROMOTION

 

 

JE DEMANDE LA DEMISSION DE LA JOURNALISTE DE FRANCE 2

DE NATAHALIE SAINT CRIQ

Nathalie Saint Criq sur France 2 a lancé un appel à "repérer tous ceux qui ne sont pas Charlie".

Elle est la pour informer et pas pour donner son ipinion

C'est puni par la loi

ou comme le dit un internaute

J'appelle à sa démission ce n'est pas digne d'une journaliste de faire de la propagande fasciste ! Mare du journalisme qui fait l'apologie des idées de L'État. Quand on est jouurnaliste on informe en se gardant de donner son opinion, ou bien ils sont des propagandistes et ça ce n'est pas la liberté de la presse c'est du bourrage de crânes !

 

PMAT

 

Ouais elle a déconné Nathalie, d'habitude elle garde son calme et est relativement objective...

 

Quand à la démission tu peux toujours la demander, nombreux sont les journalistes qui débordent et écornent leur propre déontologie...:)

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Si vous vous collez a ces gens là vous allez vous distraire de votre but

Maintenant celui qui n'a pas occupation se colle le dos au mur et celui qui se colle fait la menche, et celui qui ne reçoit rien enta't que musulman. 2 cas pas autre devenir Daech et allez s'exploser en israel, ou se donner une balle dans la tete..

La journaliste est une femme elles so't expertes dans le vol et meme si elle ne reussi pas il ya bois de boulognes....

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Si vous vous collez a ces gens là vous allez vous distraire de votre but

Maintenant celui qui n'a pas occupation se colle le dos au mur et celui qui se colle fait la menche, et celui qui ne reçoit rien enta't que musulman. 2 cas pas autre devenir Daech et allez s'exploser en israel, ou se donner une balle dans la tete..

La journaliste est une femme elles so't expertes dans le vol et meme si elle ne reussi pas il ya bois de boulognes....

 

 

Fais tourner le joint , ma tekmiche wahdak ! :D

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LA FRANCE CHERCHE LA PETITE BETE AUX IMMIGRES

ET LES POUX DANS LA TETE DES GENS

 

c'est ca la france et beaucoup, l'aime

comme le dit la chanson

alors que d'autre subissent et trinquent

ET OU LE ROLE DE LA DELATION EST EN MARCHE COMME DANS LES ANNES 39/45

 

ciotti-marseillaise-400x400.png

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EN cherchant bien on trouve ec qui suit

 

 

← Je pose Charlie et je retiens rien

Momo a mal au ventre

 

14

JAN

 

Momo a mal au ventre parce que la maîtresse lui a dit qu’il était « inadmissible » et qu’elle a crié sur lui encore devant toute la classe.

 

D’habitude quand on chante on fait des trucs chelous, on se touche les joues, on respire fort, on lève les bras. On se fait engueuler mais on rigole bien.

 

Là, la maîtresse elle nous a dit de nous taire longtemps et puis après de chanter en même temps que le CD. On s’est même pas « chauffé la voix » comme elle dit.

 

Momo il avait un truc à dire en rentrant qu’il avait vu à la télé et il a causé avant la chanson.

 

Maintenant il est « inadmissible ».

 

Hee Momo, c’est de toi qu’ je parle.

 

 

C’est de toi qu ‘elle parle, la dame de Saint Machin de la télé. C’est de toi qu’elle dit que t’es pas Charlie et que t’es repéré… Elle, elle ne dit pas inadmissible, elle dit « pas intégré ».

 

Remarques bien, c’est pareil.

 

Momo t’as mal au ventre parce que t’as encore bouffé des pains au chocolat au Leader Price, vu que tu manges plus à la cantine, puisque Maman n’a pas payé.

 

C’est quand même pas la Marseillaise qui t’a fait ça ?

 

La Marseillaise, ça me fait penser au savon. Mais dans la pub, c’est pas un arabe qui se lave, c’est une cefran qui mousse. Moi je préfère les Thaîti douche parce qu’elle est…

 

Ta gueule Momo, je te causes ! Et j’ai un billet à terminer.

 

Alors Momo fissa tu vas répéter après moi « je suis Charlie…. je suis Charlie…. »

 

Bon… ça ira pour cette fois.

 

ciotti-marseillaise.png

 

 

 

Cette pitrerie est grotesque, camarade

 

Pas davantage que tous les doctes débats qui se succèdent sur l’ensemble des télévisions et radios, ou s’étalent dans les colonnes de la presse écrite ou numérique, jusque dans la presse radicale parfois.

 

Plus que jamais, des Charlie diplômés, des Charlie députés, des Charlie choisis parce que noirs, marrons ou employé du téléphone, mais musulmans, défilent et s’entrecroisent sur les face plates.

 

C’est Kaameloot en continu et tablée spéciale.

 

 

 

Il y a même des « journalistes » qui invitent des « journalistes » pour savoir s’ils ont entendu parler de ce qu’ont répété d’autres « journalistes ».

 

Et tous ceux là causent du Momo aussi.

 

7541866-pourquoi-les-debats-tele--400x198.jpg

 

Tout le monde a déjà oublié le courant d’air de dimanche, parce qu’ils ont pris soin de bien fermer les fenêtres, et que d’ailleurs l’Ouragan Charlie n’a remué que du vent, puisqu’il était sous contrôle.

 

Miss météo est en congés, aujourd’hui on cause du Momo.

 

Il y a bien quelque part des politiques qui s’épongent le front et s’aperçoivent qu’ils ont quand même transpiré dans leurs chaussettes et pas que.

 

Mais ils y ont gagné l’unité nationale, des applaudissements, une ovation d’un discours sécuritaire, un répit pour un moment.

 

Bref, la Marine nationale est sauve.

 

On vient de lui siphonner quelques voix en échange d’une reconnaissance éternelle.

 

 

 

On ne parle plus pour l’instant des élections de mars, tant on est ravis.

 

Il y en a qui ont tellement picolé ensemble dimanche, que droite et gauche c’est devenu pareil. Et c’est pas le chef qui dira le contraire, ni même certains écolos émus biens placés.

 

La gauche du PS souffle aussi, elle voit s’éloigner la trouille d’une dissolution et peut ranger ses frondes.

 

valls-charlie-400x266.jpg

 

 

 

Le vent a soulevé la poussière, et elle retombera doucement, ralentie encore par la publication des bonnes feuilles de Charlie qui en appelleront d’autres, encore sur le Momo.

 

Finalement, vous nous avez bien foutu la trouille, avec vos fusillades en direct.

 

Maintenant c’est au tour des cellules psychologiques qui expliquent tout à la télé.

 

Pour celles et ceux qui n’auraient pas encore reposés leurs pancartes, ça paraît compliqué au début, de s’y retrouver entre Momo et Schlomo, entre Valls et la liberté, Hollande et Charlie.

 

Vous verrez, c’est pas compliqué, suffit de penser comme avant.

 

On vous dira bientôt tout tout tout sur le Charlie dans les sondages, et même ce que vous en pensez, vous.

 

Vous pourrez dormir tranquilles.

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COMMENT ETRE CHARLIE AU DELA DU RESPECT DES VICTIMES

Heureusement qu'il ya la comunauté internationale

 

 

 

charlie-hebdo-washington-post.jpg

 

 

Vu des États-Unis : « Les morts de Charlie Hebdo, bien que tragiques, ne sont pas le problème »

 

 

12/01/2015 -WASHINGTON (NOVOpress) – Article traduit du Whashington Post par Novopress. Date de publication originale : 8 janvier 2015. Auteur : Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université George Washington. Avertissement aux lecteurs : cet article, écrit par une personnalité des universités américaines, reflète un point de vue pertinent compte tenu de l’actualité. Les rédacteurs de Novopress ne sont toutefois pas nécessairement en phase avec l’intégralité du point de vue exprimé ci-dessous.

 

La plus grande menace contre la liberté d’expression en France n’est pas le terrorisme. C’est le gouvernement.

 

Moins d’une heure après le massacre au siège du journal Charlie Hebdo, des milliers de parisiens se sont spontanément rassemblés sur la Place de la République sous la statue symbolisant la Liberté, l’Égalité et la Fraternité où ils ont scandé « Je suis Charlie » et « Charlie! Liberté ! ». C’est un rare moment d’unité française à la fois touchant et authentique.

 

On pourrait néanmoins se demander ce qui mobilise vraiment ces gens. La plus grande menace contre la liberté en France ne vient pas des terroristes qui ont commis ces actes horribles la semaine dernière mais des Français eux-mêmes, qui ont entrainé le monde occidental dans une campagne de répression contre la liberté d’expression.

 

 

En effet si les Français veulent honorer les victimes de Charlie Hebdo ils pourraient commencer par annuler leurs lois criminalisant tout discours critiquant, diffamant ou incitant à la haine sur la base de la religion, race, ethnicité, nationalité, handicap, sexe ou orientation sexuelle. Ces lois ont été utilisées pour harceler le journal satirique et menacer son personnel pendant des années. La liberté d’expression a été conditionnée à une utilisation « de façon responsable » en France, ce qui laisse penser qu’il s’agit plus d’un privilège que d’un droit pour ceux qui ont des opinions contraires à la pensée officielle.

 

En 2006, après que Charlie Hebdo ait reproduit les caricatures controversées du prophète Mahomet apparues dans un journal Danois, le Président français Jacques Chirac condamnait déjà cette publication et mettait en garde contre ces “provocations évidentes”.

 

« Tout ce qui peut blesser les convictions d’autrui, notamment religieuses, doit être évité », disait-il alors. « La liberté d’expression doit s’exercer dans un esprit de responsabilité. »

 

La grande mosquée de Paris et l’Union des Organisations Islamiques de France ont poursuivi le journal pour avoir insulté les musulmans, un crime qui est passible d’une amende pouvant atteindre 22 500 euros et six mois d’emprisonnement. Finalement le verdict rendu par les tribunaux Français est allé en faveur de Charlie Hebdo. Mais l’appétit des autorités Françaises pour le contrôle de la liberté d’expression s’en est retrouvé renforcé.

 

Les cas suivants ont été variés et bizarres. En 2008, par exemple, Brigitte Bardot a été condamnée pour avoir écrit une lettre au ministre de l’Intérieur d’alors, Nicolas Sarkozy, sur la façon dont elle pensait que les musulmans et les homosexuels ruinaient la France. En 2011, le couturier John Galliano a été reconnu coupable pour des commentaires antisémites contre au moins trois personnes dans un café de Paris. En 2012, le gouvernement a criminalisé la négation du génocide Arménien (une loi par la suite annulée par les tribunaux mais la négation de l’Holocauste reste un crime). En 2013 une mère Français a été condamnée pour “apologie de crime”, pour avoir laissé son fils, prénommé Jihad, aller à l’école vêtu d’un t-shirt portant l’inscription “Je suis une bombe”. L’an dernier, le ministre de l’intérieur Manuel Valls s’est acharné à interdire les spectacles de l’humoriste Dieudonné m’Bala m’Bala, déclarant qu’il « n’est plus un comédien » mais plutôt un « antisémite et raciste ». Il est facile de réduire au silence quelques prêcheurs isolés crachant leur haine, mais la censure se limite rarement aux cas marginaux de notre société.

 

Ainsi parmi les manifestants Place de la République se trouvait Sacha Reingewirtz, Président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui a déclaré à NBC News , « nous sommes ici pour rappeler aux terroristes que la religion peut être librement critiquée. » L’Union des étudiants juifs de France ne se sentait pas apparemment aussi magnanime en 2013, quand elle poursuivit avec succès Twitter pour des messages jugés antisémites. Son président de l’époque a rejeté les objections d’associations civiles en disant que ce réseau social s’était « fait complice en offrant un média aux racistes et antisémites ». Le gouvernement a déclaré illégaux ces tweets, et un tribunal Français a ordonné à Twitter de révéler l’identité des commentateurs antisémites.

 

Les tribunaux interviennent désormais régulièrement en France pour déterminer si un discours est « haineux » ou non. L’an dernier par exemple un tribunal a infligé une amende à la bloggeuse Caroline Doudet et lui a ordonné de modifier son titre d’article afin de réduire sa notoriété sur Google pour sa critique négative d’un restaurant.

 

La France s’est débarrassée depuis longtemps de ses lois sur le blasphème mais cela ne se sent guère dans les procédures légales pour diffamation ou incitation à la haine raciale. Cela peut avoir incité les extrémistes, comme ceux de Paris, à rendre leur propre justice contre un discours que le gouvernement lui-même définit comme un crime. Ce n’est plus qu’une question de degré en réponse à ce que les autorités désignent comme des provocations illégales. Ce pas a d’ailleurs été franchi par le religieux musulman radical Anjem Choudary qui a écrit la semaine dernière, « pourquoi dans ce cas le gouvernement Français a permis au magazine Charlie Hebdo de continuer à provoquer les musulmans ? »

 

Mais c’est aussi l’intolérance croissante de la France face à la liberté de parole qui a motivé l’équipe de Charlie Hebdo et notamment son rédacteur en chef, Stéphane Charbonnier dit Charb, à se moquer de toutes les religions avec leurs dessins et éditoriaux impertinents. Charbonnier a ainsi fait face à de nombreuses menaces, non seulement de la part d’extrémistes, mais aussi dans le cadre de procédures criminelles. En 2012, malgré les protestations internationales sur un film anti-islamique, Charlie Hebdo a encore publié des caricatures de Mahomet. Le premier ministre de l’époque, Jean-Marc Ayrault, avait averti que la liberté d’expression « doit se formuler dans les limites de la loi et sous le contrôle des tribunaux ».

 

Charb n’était pas intimidé, ni par les pressions du gouvernement, ni par les manifestations publiques ou l’ajout de son nom sur une liste de cibles d’al-Qaïda. Dans une interview avec le journal Le Monde, il fait écho au révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata et proclama : « Je préfère mourir debout que vivre à genoux. » Charbonnier a été la première personne recherchée par les assaillants qui ont demandé où il se trouvait lors de leur attaque, et il fut l’un des premiers à être tué.

 

Les Français ne sont pas les seuls à faire reculer les protections sur la liberté d’expression. La Grande-Bretagne, le Canada et d’autres nations les ont rejoints. Nous avons connu ici aux États-Unis des faits similaires. En 2009 l’administration Obama a scandaleusement soutenu ses alliés musulmans afin d’établir une nouvelle norme internationale sur le délit de blasphème. Hillary Clinton en tant que Secrétaire d’État, a invité ces délégations à Washington pour travailler sur la mise en œuvre de cette norme et « pour rassembler les forces nécessaires » pour « éviter un retour des divisions habituelles ». De même, en 2012, le président Obama est allé à l’ONU et a déclaré que « l’avenir ne doit pas appartenir à ceux qui calomnient le prophète de l’Islam ».

 

Il y eut un temps ou le futur était la liberté d’expression. C’était même la pierre angulaire de la civilisation occidentale et des libertés civiles. Une personne seule ne peut vraiment pas diffamer une religion ou une figure religieuse. C’est précisément cette tentative visant à rétablir la critique de la religion qui a été le combat de Charb. Il a dit un jour qu’il espérait que les caricatures sur l’Islam seraient « aussi banales que celles sur le catholicisme » dans le débat public.

 

Charbonnier est mort car il s’est battu debout plutôt que de céder. La question est de savoir combien de personnes se rassemblant place de la République sont vraiment prêtes continuer à se battre avec lui. Ils devraient regarder de plus près ces statues. Au nom de l’Egalité et de la Fraternité la Liberté a été restreinte en France. La terrible vérité est qu’il faut seulement un seul homme armé pour tuer un journaliste, mais il faut une nation pour tuer un Droit.

 

Jonathan Turley – professeur de droit public à l’université Georges Washington

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DE PUS C'EST EN TRAIN DE DERIVER

DIRE JE SUIS CHARLIE

C'est oublier les VICTIMES

Et donner raison a la profession du SATIRISME et du caricaturisme

Et les politiques pour qu'on les oublies alors qu'il y a plus de 9 millions de pauvres

EN FRANCE

C'est pour mieu nous enrouler dans la farine

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Ouais elle a déconné Nathalie, d'habitude elle garde son calme et est relativement objective...

 

Quand à la démission tu peux toujours la demander, nombreux sont les journalistes qui débordent et écornent leur propre déontologie...:)

 

oui mais tu crois que Minouche pourra donner une suite favorable à cette demande ?...:mdr::mdr:

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